Le Baptême du Christ. Dans le médaillon du haut, représentation du Père. Juste en dessous, à moitié caché, le Saint Esprit figuré par une colombe.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Sainte Marie-Madeleine.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Vierge de Pitié. Dans les deux trèfles de chaque côté sont représentés les instruments de la Passion : la lance, l’éponge, le roseau et les verges de la flagellation. Vitrail de Maréchal de Metz et de Gugnon, datant de 1847.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Un monumental retable flamand en bois verni, d'origine anversoise, datant du début du XVe siècle se trouve dans la chapelle Notre-Dame de Compassion. Il s'agit d'un don du comte de Montalivet, ministre de Louis-Philippe.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Le premier registre est scindé en cinq scènes : on reconnaît de gauche à droite, le Mariage de la Vierge, la Nativité du Christ, le Songe de Jessé, l'Adoration des mages et la Présentation au temple.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
l'Adoration des mages et la Présentation au temple.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Le registre supérieur représente Jésus chargé de sa croix, accompagné de la Vierge, de St Jean, de Véronique et du Juif errant, la Mise sur la Croix et la Descente de Croix.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
L a Crucifixion.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
En bas, de gauche à droite : Saint Pierre, construction d'un oratoire, martyre du pape Saint Sixte, Éducation de la Vierge. Au dessus : Arrestation et martyre de Saint Vincent - Arrestation du pape Saint Sixte . Tout en haut, Ravissement de Sainte Marie l'Égyptienne.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Saint Pierre, Construction d'un oratoire, martyre du pape Saint Sixte, Éducation de la Vierge - Arrestation et martyre de Saint Vincent - Arrestation du pape Saint Sixte
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Chapelle Sainte-Clotilde. La grande peinture de Sébastien Bourdon (1616-16781) Saint Pierre Nolasque recevant l'habit de l'ordre de la Merci provient du couvent de la Merci. A la suite d’une vision qu’il eut de la Vierge en 1218, il fonda, avec saint Raymond de Penyafort, l’Ordre de Notre-Dame de la Merci, pour le rachat des captifs chrétiens.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Les vitraux bas du choeur. Chapelle Sainte-Clotilde. Sainte Clotilde. 1845, J. Quantin. Sainte Clotilde est représentée donnant à des religieuses le plan du monastère qu’elle fonda sur la montagne Sainte-Geneviève.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Création de Claude Courageux.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La chapelle Notre-Dame de la Bonne-Garde contient une statue de la Vierge à l'Enfant, de Landelle (1812), miraculeusement épargnée lors des émeutes de 1831. Elle présente aussi la particularité d’être couverte depuis 1850 d’ex-voto (plaques de marbre placées sur les murs et les colonnes) témoignages de remerciement à la vierge Marie pour avoir permis l’exaucement de prières et vœux grâce à son intercession. Beaucoup sont des ex-votos de la guerre 14-18.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La chapelle Notre-Dame de la Bonne-Garde. la Vierge et l’Enfant, copie d’un tableau de Murillo. Donné par l'Empereue en 1861.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La chapelle Notre-Dame de la Bonne-Garde. Saint Louis, Louis IX, né à Poissy, le 25 avril 1214, et mort à Tunis le 25 août 1270, lors de la huitième croisade, canonisé en 1297. En bas, le roi de France, rendant la justice sous le chêne de Vincennes. 1845, J. Quantin.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Chapelle Saint-Vincent-de-Paul. St Vincent de Paul, par A. Truelle. 1841. Autel de bois, d’époque Louis XIII, entouré de quatre colonnes torses, entrelacées de feuilles de lierre.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Chapelle Saint-Vincent-de-Paul. Saint Vincent de Paul recueillant, dans la neige, les enfants abandonnés. Copie de 1837 d’un tableau de Mansiau.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Chapelle Saint-Vincent-de-Paul. Saint Vincent de Paul. J. Quantin, 1845. saint Vincent de Paul en ornements sacerdotaux surmonté d’un écusson représentant le pélican nourrissant ses petits au nid. aint Vincent de Paul (1581-1660), apôtre de la charité à Paris, est le fondateur de la congrégation de la Mission (Lazaristes) et des filles de la Charité.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Chapelle Saint-Charles-Borromée. Retable de l’époque Louis XIV. Saint Charles Borromée visitant les malades de la peste à Milan, par Lemonnier (élève de David – mort en 1824)
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Chapelle Saint-Charles-Borromée. Assomption, par G. Rouget en 1825.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Saint Charles Borromée, en vêtements épiscopaux, avec sa devise ‘Ecce venir, Domine’ (Voici, je suis venu, Seigneur)..
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Le choeur.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Le choeur.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Chapelle Saint-Denis, premier évêque de Paris (Lutèce), martyr (IIIᵉ siècle, vers 250). Retable en pierre de style Henri II, avec des statues de l’Ecole Française du XIXe siècle : saint Denis et de ses deux compagnons martyrisés avec lui, saint Rustique et saint Eleuthère. Chapelle de la reine Marie-Amélie, femme de Louis-Philippe, qui venait suivre les offices avec ses enfants. XIXe.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Vitrail à deux compartiments orné d’arabesques.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Chapelle de Sainte Genevieve. Autel de style XVe siècle.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Chapelle de Sainte Genevieve.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Chapelle de Sainte Genevieve. Les tableraux, de Jean-François Gigoux (1841, représentent des épisodes de la vie de la sainte.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Chapelle de Sainte Genevieve. Les tableraux représentent des épisodes de la vie de la sainte.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La chapelle des Saints-Patrons. Autel néogothique. Retable en pierre de l’Ecole Française du XIXe siècle, sculpté par Louis Desprez en 1840. Saint Vincent et saint Germain, patrons de la paroisse, entourant la Sainte Trinité, Père, Fils et Esprit-Saint.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La chapelle des Saints-Patrons posséda dans le passé de nombreuses sépultures, notamment un caveau pour les personnes qui, n'ayant pas de sépulture particulière, avaient obtenu le droit d'être inhumées dans l'église. Mausolée-cénotaphe de la famille des marquis de Rostaing, monument initialement dans la chapelle Notre-Dame-de-la-Bonne-Garde. Ce cénotaphe, commandé en 1659, est l'œuvre de Philippe de Buyster. Il est orné de deux orants à genoux, respectivement de gauche à droite Charles et Tristan, qui regardent le visiteur.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La chapelle des Saints-Patrons. Saint Vincent. Vitraux d’Etienne Thévenot. 1847.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La chapelle des Saints-Patrons. Saint Germain.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La chapelle des Saints-Patrons. La Vierge avec le Christ et 2 anges.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La chapelle du Tombeau (aussi appelée du Calvaire) est fondée en 1505 par Jehan Tronson, le riche marchand drapier. Les membres de cette famille y sont alors inhumés. À cause de son riche fondateur, elle devient le siège de la confrérie des drapiers qui y tiennent leurs réunions corporatives et y font célébrer des messes. Lors du sac de 1831, les sépultures de son caveau sont profanées.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La chapelle du Tombeau. La chapelle est peinte et décorée à l’antique par Auguste Couder (1844) et ses vitraux, signés par Étienne Thevenot (1840), s'inspirent de ceux de la Sainte-Chapelle. L’autel de style Louis XVI date de 1840. En pierre de Conflans, il comprend un Christ gisant dont l'origine est incertaine, peut-être un reste d’un ensemble de l’École française du XVIe siècle repris par Fouginet au XIXe siècle. Au-dessus, une crucifixion entourée des allégories de l'Egilse et de la Synagogue.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La chapelle du Tombeau. Peintures à la cire par Louis-Auguste Couder en 1844 : l’Adoration des bergers et l’Arrivée des mages.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La chapelle du Tombeau .
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La chapelle du Tombeau .
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La chapelle du Tombeau. Vitraux (Thévenet – 1840) inspirés de ceux de la Sainte-Chapelle à la demande de Jean-Baptiste Lassus. A gauche, Vie Publique du Christ. Au centre, Passion du Christ. A droite, Passion et Vie Glorieuse du Christ.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La chapelle du Tombeau. Vie Publique du Christ. E. Thévenot, 1840. Baptême de Jésus, les Noces de Cana, tentations du Christ, expulsion des marchands du Temple, guérison du paralytique à la piscine de Bethesda, au centre le repas chez Simon ?, guérison de l'aveugle, résurrection de Naïn, Transfiguration, ésurrection de Lazare, l'entrée dans Jérusalem .
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La chapelle du Tombeau. Passion du Christ. Lavement des Pieds, la Cène, la trahison de judas, le Jardin des Oliviers, le baiser de Judas, Jésus est emmené au Sanhédrin, Jésus présenté au peuple, Jésus devant Ponce Pilate, pendaison de Judas, la Flagellation, lavement des mains de Pilate, couronnement d'épines, portage de la croix, Crucifixion.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La chapelle du Tombeau. Passion et Vie Glorieuse du Christ. La descente de Croix, la mise au tombeau, les saintes femmes devant le tombeau, descente aux limbes, apparition à Marie-Madeleie, la Cène, apparition à saint Thomas, l'Ascension.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Statue à l'arrière du choeur.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La Chapelle de la Bonne Mort (anciennement appelée du Saint Sépulcre ou chapelle st Roch, le patron des fossoyeurs) est totalement refaite en 1841. Elle abrite des vitraux de Thévenot datant de 1859.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La Chapelle de la Bonne Mort. Saint Joseph.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La Chapelle de la Bonne Mort. Vierge de pitié grandeur nature de Bonnardel (marbre, 1859).
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La Chapelle de la Bonne Mort. Ste Philomène. Dominique Molchneht, 1841.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La Chapelle de la Bonne Mort. Mise au tombeau par Henri Triqueti (1841) à partir d’un dessin de J-B Lassus. Dans le soubassement la Résurrection.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Tobie d'Étienne Thevenot.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Le Christ avec la Vierge, encadrés par Saint Joseph et Saint Michel .
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Saint Pierre.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La chapelle Saint-Landry (anciennement Saint-Pierre-et-Saint-Paul) qui fait référence à l'ancien évêque de Paris, saint Landry, est bâtie entre 1521 et 1522. Elle est cédée en 1624 à Étienne d'Aligre et devient la chapelle et le lieu de sépulture de sa famille. Au début du XIXe siècle (1817), Louis XVIII y fait déposer le cœur de Joseph Hyacinthe François-de-Paule de Rigaud, comte de Vaudreuil (1740-1817), grand fauconnier, dont le corps se trouve dans la sépulture familiale au cimetière du Calvaire (Paris). La décoration actuelle date de 1843-1845 ; les fresques murales, peintes à l'huile, sont l'œuvre de Joseph Guichard (1806-1880) et racontent la vie de saint Landry. On trouve également un autel avec un retable néogothique du même artiste. Sur le retable au-dessus de l’autel : le Christ en croix est entouré de quatre anges. De part et d’autre de ces anges : à gauche, Clovis II (633-647), roi de Neustrie et de Bourgogne et sainte Bathilde, son épouse ; à droite, saint Landry et Erchinoald (Archambaud), maire du palais de Neustrie de 641 à 658.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La chapelle Saint-Landry. Étienne Ier d'Aligre (1550-1635), par Laurent Magnier. La chapelle contient deux statues funéraires du XVIIe siècle, celles d'Étienne d'Aligre père et fils, par Laurent Magnier (1618-1700), tous deux chanceliers de France. Elles proviennent du tombeau de la famille d'Aligre initialement dans l'église Saint-Germain-l'Auxerrois et elles ont fait partie précédemment des collections du premier musée des monuments français d'Alexandre Lenoir55. Elles furent restaurées par Louis-Denis Caillouette (1790-1868), vers 1838.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La chapelle Saint-Landry. Étienne III d'Aligre (1592-1677), chancelier de France, par Laurent Magnier. Les peintures, de Joseph Guichard, 1843, représentent des scènes de la vie de Saint Landry, évêque de Paris au VIIe et troisième saint patron de l'église.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La chapelle Saint-Landry. Vitraux d’Etienne Thévenot.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Au-dessus de la porte de l’ancienne sacristie des fresques de Victor Mottez, 1843. Ex-voto de la restauration de l'église de 1836 à 1845, offert par Jean-Baptiste de Merson, Curé : maquette en bois doré présentée à saint Germain et saint Vincent.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
La glorification et la charité de saint Martin de Tours (317-397) partageant son manteau avec un pauvre aux portes d’Amiens. Victor Mottez, 1843.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Chapelle des Saints-Apôtres. Les trois vertus théologales la Foi, l’Espérance et la Charité, par Jules Quantin (1857)
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Chapelle des Saints-Apôtres. Jésus et les douze apôtres, par Lusson, d'après Viollet-le-duc. 1846.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Le deuxième retable flamand est un grand triptyque sculpté avec des volets peints (XVIe siècle). En haut : Saint Luc peint le portrait de Marie et Présentation de Jésus aux bergers. En bas, Miracle de Marie : un pendu sauvé et Miracle de Marie : moines sauvés des eaux. Peintures : la tentation et le Mariage de Marie.
155
Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
En haut : Baiser à la Porte d'or et Présentation de Marie au temple. En bas, Purification de Marie et présentation de Jésus et Nativité de Marie. Peintures : l'Annonciation et l'exclusion du paradis.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Saint Luc peint le protrait de Marie, Présentation de Jésus aux bergers, Baiser à la Porte d'or, Présentation de Marie au temple.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Saint Luc peint le protrait de Marie, Présentation de Jésus aux bergers
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Baiser à la Porte d'or, Présentation de Marie au temple
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Miracle de Marie : un pendu sauvé, Miracle de Marie : moines sauvés des eaux
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Miracle de Marie : un pendu sauvé.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Miracle de Marie : moines sauvés des eaux.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Purification de Marie et présentation de Jésus, Nativité de Marie
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Purification de Marie et présentation de Jésus.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Nativité de Marie.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Chapelle Saint-Pierre, ancienne chapelle de la Visitation. Tableau représentant Jésus entouré de ses disciples et remettant à saint Pierre, chef des apôtres, les clefs du royaume des cieux. Copie par mademoiselle Despré en 1840, d’après un original d’Alonso Cano (XVIIe siècle).
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Chapelle de la Visitation. Crucifixion de st Pierre, par Charpentier en 1822.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Vitrail à trois compartiments de Viollet-le-Duc et Lusson, représentant saint Pierre avec l’inscription sur banderole “Tu es Petrus et super hanc Petra aedificabo Ecclesiam meam” (Tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Eglise).
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Chapelle de st Augustin ou des Pères et docteurs de l’Eglise. Autel en bois, surmonté de trois tableaux : au centre, saint Ambroise, saint Augustin et saint Jérôme, d’après Piero di Cosino Rosselli. A gauche, saint Chrysostome, d’après Moretto da Brescia. A droite, saint Basile, d’après Lorenzo da Credi. Tout cet ensemble est une copie faite par Auguste Truelle.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Chapelle de st Augustin. Tableau de Jacques-Augustin-Catherine Pajou, 1818, offert par Louis XVIII. La Consécration de sainte Geneviève,
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
L'Enfant Jésus de Prague.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Vers 1730, l’ancienne chapelle Saint-Victor ou des Agonisants fut supprimée et devint une petite sacristie pour les chapelains. Porte entourée d’une décoration de feuillages d’acanthe et de choux frisés. Dessin de Lassus, et sculpture de Plantard.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Statue de la Vierge à l’Enfant avec un oiseau (bois polychrome du XVème S), provenant de l'hôpital de Brienne près de Troyes (XVe). La Vierge, couronnée, porte l’Enfant Jésus sur son bras gauche. L’Enfant tend, de la main droite, à un oiseau perché sur le bras de sa Mère, un grain de raisin qu’il vient de prendre dans le petit panier qu’il porte.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Façade sud (XVe). Derrière se trouve la base du clocher du XIIe.
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Église Saint-Germain-l'Auxerrois.
Les « carpes de Saint-Germain l'Auxerrois ». Il s'agit d'une frise, sculptée autour de la chapelle centrale, représentant des tronçons de carpes (têtes, corps, queues) alternant avec des rosaces. Le financement d’une des chapelles de l’abside au XVIème siècle avait été le fait d’un certain Jehan Tronsson, bourgeois fortuné, maître drapier. En échange, il demanda que son nom passe à la postérité. Les religieux chargés d’exaucer ses vœux eurent la bonne idée de présenter, en dehors de la chapelle en question, du côté de la rue de l'Arbre Sec, des poissons coupés en deux, en tronçons.
