Saint Roch.

<center>Église Saint-Roch. </center>  Les statues des Pères de l’Eglise latine par Chauvenet Michelet ornent les deux coins de la façade de l’Eglise Saint-Roch. Il s’agit de deux groupes sculptés représentant deux personnages chacun.
Église Saint-Roch.
Les statues des Pères de l’Eglise latine par Chauvenet Michelet ornent les deux coins de la façade de l’Eglise Saint-Roch. Il s’agit de deux groupes sculptés représentant deux personnages chacun.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Église Saint-Roch. L'Eglise Saint-Roch, située rue Saint-Honoré, présente une belle façade directement inspirée de celle des Gesù à Rome. Des colonnes doriques supportent le premier niveau alors qu'au dessus ce sont des colonnes corinthiennes. Six statues ou groupes sculptés ornent cette façade.
Église Saint-Roch.
Église Saint-Roch. L'Eglise Saint-Roch, située rue Saint-Honoré, présente une belle façade directement inspirée de celle des Gesù à Rome. Des colonnes doriques supportent le premier niveau alors qu'au dessus ce sont des colonnes corinthiennes. Six statues ou groupes sculptés ornent cette façade.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Église Saint-Roch. La statue de Saint-Roch par Pierre Loison, sculpteur français du XIXe siècle,  orne la façade de l’Eglise Saint-Roch. Elle se trouve à gauche du porche principal. La statue de Saint-Honoré par Eugène-Antoine Aizelin orne la façade de l’Eglise Saint-Roch. Elle se trouve à droite du porche principal.
Église Saint-Roch.
Église Saint-Roch. La statue de Saint-Roch par Pierre Loison, sculpteur français du XIXe siècle, orne la façade de l’Eglise Saint-Roch. Elle se trouve à gauche du porche principal. La statue de Saint-Honoré par Eugène-Antoine Aizelin orne la façade de l’Eglise Saint-Roch. Elle se trouve à droite du porche principal.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Église Saint-Roch. La statue de Sainte-Clotilde (475–545), par Pierre Loison se trouve sur la façade de l’Eglise Saint-Roch, à gauche de la pendule. Sainte-Geneviève (Nanterre, c. 419/422 – Paris 502/512), par Eugène Antoine Aizelin, orne la façade de l’Eglise Saint-Roch. On la trouve à droite de la porte, au second niveau.
Église Saint-Roch.
Église Saint-Roch. La statue de Sainte-Clotilde (475–545), par Pierre Loison se trouve sur la façade de l’Eglise Saint-Roch, à gauche de la pendule. Sainte-Geneviève (Nanterre, c. 419/422 – Paris 502/512), par Eugène Antoine Aizelin, orne la façade de l’Eglise Saint-Roch. On la trouve à droite de la porte, au second niveau.
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<center>Église Saint-Roch. </center> La nef de Saint-Roch est de style classique. Elle est séparée des bas-côtés par une série de piliers carrés flanqués de pilastres doriques. Les arcades en plein cintre de la nef sont surmontés de symboles floraux. Les deux niveaux de l'élévation sont, quant à eux, séparés par une large corniche décorée de motifs circulaires. La voûte de la nef est dite 'en berceau à pénétration'. Elle est assez dépouillée
Église Saint-Roch.
La nef de Saint-Roch est de style classique. Elle est séparée des bas-côtés par une série de piliers carrés flanqués de pilastres doriques. Les arcades en plein cintre de la nef sont surmontés de symboles floraux. Les deux niveaux de l'élévation sont, quant à eux, séparés par une large corniche décorée de motifs circulaires. La voûte de la nef est dite 'en berceau à pénétration'. Elle est assez dépouillée
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<center>Église Saint-Roch. </center> En revanche, le chœur possède une magnifique voûte, elle aussi en berceau à pénétration, entièrement peinte par Adolphe Roger (1800-1880). Elle représente des saints et des anges.
Église Saint-Roch.
En revanche, le chœur possède une magnifique voûte, elle aussi en berceau à pénétration, entièrement peinte par Adolphe Roger (1800-1880). Elle représente des saints et des anges.
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<center>Église Saint-Roch. </center> La coupole à la croisée du transept, signée du même artiste, symbolise «Le Triomphe du Christ».
Église Saint-Roch.
La coupole à la croisée du transept, signée du même artiste, symbolise «Le Triomphe du Christ».
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<center>Église Saint-Roch. </center> La voûte peinte du chœur (Adolphe Roger).
Église Saint-Roch.
La voûte peinte du chœur (Adolphe Roger).
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<center>Église Saint-Roch. </center>
Église Saint-Roch.
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<center>Église Saint-Roch. </center> La coupole de la croisée du transept
«Le Triomphe du Christ» d'Adolphe Roger (1800-1880).
Église Saint-Roch.
La coupole de la croisée du transept «Le Triomphe du Christ» d'Adolphe Roger (1800-1880).
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<center>Église Saint-Roch. </center>
Église Saint-Roch.
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<center>Église Saint-Roch. </center>
Église Saint-Roch.
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<center>Église Saint-Roch. </center>
Église Saint-Roch.
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<center>Église Saint-Roch. </center>
Église Saint-Roch.
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<center>Église Saint-Roch. </center> L'orgue initial, dont le buffet est le seul vestige, fut construit en 1752 par Louis-Alexandre Clicquot, remanié par son fils le célèbre François-Henri Clicquot en 1769, détérioré à la Révolution et reconstitué par Pierre-François Dallery, son successeur, en 1826.
Église Saint-Roch.
L'orgue initial, dont le buffet est le seul vestige, fut construit en 1752 par Louis-Alexandre Clicquot, remanié par son fils le célèbre François-Henri Clicquot en 1769, détérioré à la Révolution et reconstitué par Pierre-François Dallery, son successeur, en 1826.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle des Fonts Baptismaux. Cuve baptismale (1845) : en marbre avec un couvercle en cèdre. Le dessus de la cuve est en métal, enrichie de têtes d'angelots.
Église Saint-Roch.
Chapelle des Fonts Baptismaux. Cuve baptismale (1845) : en marbre avec un couvercle en cèdre. Le dessus de la cuve est en métal, enrichie de têtes d'angelots.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle des Fonts Baptismaux. Saint Philippe, l'un des premiers diacres de la communauté chrétienne, baptise par immersion le ministre de la reine d'Éthiopie. Chassériau se voit confier la réalisation de la décoration de la chapelle des fonts baptismaux de Saint Roch, grâce à ses références. Il a peint de 1841 à 1843 la chapelle de Sainte-Marie l'Egyptienne à Saint-Merri et de 1844 à 1848 l'escalier du Conseil d'État (incendié en 1871). C'est un peintre en pleine gloire qui mêle la tradition et la modernité.
Église Saint-Roch.
Chapelle des Fonts Baptismaux. Saint Philippe, l'un des premiers diacres de la communauté chrétienne, baptise par immersion le ministre de la reine d'Éthiopie. Chassériau se voit confier la réalisation de la décoration de la chapelle des fonts baptismaux de Saint Roch, grâce à ses références. Il a peint de 1841 à 1843 la chapelle de Sainte-Marie l'Egyptienne à Saint-Merri et de 1844 à 1848 l'escalier du Conseil d'État (incendié en 1871). C'est un peintre en pleine gloire qui mêle la tradition et la modernité.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle des Fonts Baptismaux. Saint François Xavier, (1506-1552), missionnaire jésuite, baptise par aspersion ceux qu'il a conduits à Jésus-Christ en Inde et au Japon. Il fut l'un des premiers compagnons de saint Ignace de Loyola en 1534, à Montmartre.
Église Saint-Roch.
Chapelle des Fonts Baptismaux. Saint François Xavier, (1506-1552), missionnaire jésuite, baptise par aspersion ceux qu'il a conduits à Jésus-Christ en Inde et au Japon. Il fut l'un des premiers compagnons de saint Ignace de Loyola en 1534, à Montmartre.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle de Saint Jean Baptiste. Le baptême de Jésus (Œuvre de Jean Baptiste I et Jean-Baptiste II Lemoyne, 1731) : sculpté en marbre, ce groupe se trouvait dans l'église Saint-Jean-en Grève, située derrière l'hôtel de ville. Cette église fut détruite lors de la Révolution.
Église Saint-Roch.
Chapelle de Saint Jean Baptiste. Le baptême de Jésus (Œuvre de Jean Baptiste I et Jean-Baptiste II Lemoyne, 1731) : sculpté en marbre, ce groupe se trouvait dans l'église Saint-Jean-en Grève, située derrière l'hôtel de ville. Cette église fut détruite lors de la Révolution.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle de Saint Jean Baptiste. Les deux toiles marouflées sont de Louis Duveau (1818-1867). Les apôtres André et Jean suivent Jésus.
Église Saint-Roch.
Chapelle de Saint Jean Baptiste. Les deux toiles marouflées sont de Louis Duveau (1818-1867). Les apôtres André et Jean suivent Jésus.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle de Saint Jean Baptiste. ) :
Jean-Baptiste désigne Jésus comme étant le Messie.
Église Saint-Roch.
Chapelle de Saint Jean Baptiste. ) : Jean-Baptiste désigne Jésus comme étant le Messie.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle de Saint Jean Baptiste.
Église Saint-Roch.
Chapelle de Saint Jean Baptiste.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Saint Nicolas. Statue de sainte Rita de Cascia, (1381-1457), dont on demande l’intercession dans les cas des causes désespérées. Fête le 22 mai.
Le buste de Pierre Mignard (+ 1695), peintre, et la statue de sa fille, la comtesse de Feuquiéres, proviennent de leur ancien monument funéraire.
Église Saint-Roch.
Chapelle Saint Nicolas. Statue de sainte Rita de Cascia, (1381-1457), dont on demande l’intercession dans les cas des causes désespérées. Fête le 22 mai. Le buste de Pierre Mignard (+ 1695), peintre, et la statue de sa fille, la comtesse de Feuquiéres, proviennent de leur ancien monument funéraire.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Saint Nicolas. Les deux ‘toiles marouflées' sont d’Alexandre Colin (1798-1873). Les funérailles de saint Nicolas.
Église Saint-Roch.
Chapelle Saint Nicolas. Les deux ‘toiles marouflées' sont d’Alexandre Colin (1798-1873). Les funérailles de saint Nicolas.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Saint Nicolas. Saint Nicolas apaise la tempête. Alexandre Colin appartient à l'école romantique, il est l'ami intime d'Eugène Delacroix. . Ici, le sujet et sa composition rappellent évidemment le radeau de la Méduse de Géricault peint un demi-siècle plus tôt. Pourtant, ce n'est qu'une illusion due à la similitude apparente de la situation. Chez Géricault, la lumière en clair-obscur accentue l'effet dramatique alors que chez Colin elle construit l'espoir. L'expressivité de Géricault passe par les corps là où celle de Colin passe par les mains, qui expriment la diversité des sentiments humains devant une telle situation.
Église Saint-Roch.
Chapelle Saint Nicolas. Saint Nicolas apaise la tempête. Alexandre Colin appartient à l'école romantique, il est l'ami intime d'Eugène Delacroix. . Ici, le sujet et sa composition rappellent évidemment le radeau de la Méduse de Géricault peint un demi-siècle plus tôt. Pourtant, ce n'est qu'une illusion due à la similitude apparente de la situation. Chez Géricault, la lumière en clair-obscur accentue l'effet dramatique alors que chez Colin elle construit l'espoir. L'expressivité de Géricault passe par les corps là où celle de Colin passe par les mains, qui expriment la diversité des sentiments humains devant une telle situation.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle de la Compassion. La Pieta (1856), est un plâtre de Frédéric (1831-1899). Les deux ‘toiles marouflées’ (1859) sont de Sébastien Cornu (1804-1870). La Vierge des douleurs.
Église Saint-Roch.
Chapelle de la Compassion. La Pieta (1856), est un plâtre de Frédéric (1831-1899). Les deux ‘toiles marouflées’ (1859) sont de Sébastien Cornu (1804-1870). La Vierge des douleurs.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle de la Compassion. Jésus est descendu de la Croix.
Église Saint-Roch.
Chapelle de la Compassion. Jésus est descendu de la Croix.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle de la Compassion.Vitrail du Christ en croix, par Louis Steinheil (1876).
Église Saint-Roch.
Chapelle de la Compassion.Vitrail du Christ en croix, par Louis Steinheil (1876).
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<center>Église Saint-Roch. </center> La chaire, édifiée en 1758, se veut être le lieu où le voile des ténèbres de l'ignorance est éloigné par la vérité de la Parole de Dieu, vécue à la lumière de la Foi; de l’Espérance et de la Charité.
Église Saint-Roch.
La chaire, édifiée en 1758, se veut être le lieu où le voile des ténèbres de l'ignorance est éloigné par la vérité de la Parole de Dieu, vécue à la lumière de la Foi; de l’Espérance et de la Charité.
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<center>Église Saint-Roch. </center> L'abat-son (style baroque) est l'œuvre de Simon Challe, XVIIIe, mmense draperie tournoyante, soulevée par la Vérité tenant une trompette et soulevant le voile de l’Erreur.
Église Saint-Roch.
L'abat-son (style baroque) est l'œuvre de Simon Challe, XVIIIe, mmense draperie tournoyante, soulevée par la Vérité tenant une trompette et soulevant le voile de l’Erreur.
30
<center>Église Saint-Roch. </center> Les cariatides (soutenant la cuve) sont de Gabriel Rispal, XXe.
Église Saint-Roch.
Les cariatides (soutenant la cuve) sont de Gabriel Rispal, XXe.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Les cariatides (soutenant la cuve) sont de Gabriel Rispal, XXe.
Église Saint-Roch.
Les cariatides (soutenant la cuve) sont de Gabriel Rispal, XXe.
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<center>Église Saint-Roch. </center>
Église Saint-Roch.
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<center>Église Saint-Roch. </center>
Église Saint-Roch.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Sainte Suzanne. L’Abbé Charles de l’Epée (1712-1789) codifia le langage par signes à l’intention des jeunes sourds-muets, jusque-là considérés comme “aliénés” et privés de droits civiques. Pour eux il fonda une école dans le quartier de St Roch. Il fut inhumé dans cette église. Ce monument fut élevé à sa mémoire par souscription des sourds-muets en 1840.
Église Saint-Roch.
Chapelle Sainte Suzanne. L’Abbé Charles de l’Epée (1712-1789) codifia le langage par signes à l’intention des jeunes sourds-muets, jusque-là considérés comme “aliénés” et privés de droits civiques. Pour eux il fonda une école dans le quartier de St Roch. Il fut inhumé dans cette église. Ce monument fut élevé à sa mémoire par souscription des sourds-muets en 1840.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Sainte Suzanne. Sainte Suzanne, vierge martyre à Rome en 296, est fêtée le 11 août. Cette chapelle Sainte Suzanne (ou des Cinq Plaies) rappelle celle qui fut construite en 1518, par Jean Dinocheau, marchand de bétail, à l’intention des maraîchers et des meuniers du quartier, alors que l’église Saint Roch n’existait pas encore. La mort de la jeune martyrepar Sébastien Norblin de la Gourdaine (dit Sobeck) et Victor Casimir Zier, 1858. Les deux artistes qui peignirent cette mort de Sainte Suzanne sont nés à Varsovie. Le premier fut Grand prix de Rome en 1825. Ils nous montrent une vision bien esthétique des faits... Sainte Suzanne, nièce du Pape Caius, reçoit la palme du martyre sous l'empereur Dioclétien, décapitée pour Jésus-Christ en 295. Sa tête fut remise en place avant d'être recouverte du linceul. Le bandeau autour du cou le rappelle. Dans l'ombre, le logo du « Chiro » qui soulignait le martyre dans les catacombes. Son père, Gabin, prêtre de Rome, se serait laissé mourir en apprenant la mort de sa fille. L'actuelle église Saint Roch fut construite à la place de l'ancienne chapelle Sainte Suzanne.
Église Saint-Roch.
Chapelle Sainte Suzanne. Sainte Suzanne, vierge martyre à Rome en 296, est fêtée le 11 août. Cette chapelle Sainte Suzanne (ou des Cinq Plaies) rappelle celle qui fut construite en 1518, par Jean Dinocheau, marchand de bétail, à l’intention des maraîchers et des meuniers du quartier, alors que l’église Saint Roch n’existait pas encore. La mort de la jeune martyrepar Sébastien Norblin de la Gourdaine (dit Sobeck) et Victor Casimir Zier, 1858. Les deux artistes qui peignirent cette mort de Sainte Suzanne sont nés à Varsovie. Le premier fut Grand prix de Rome en 1825. Ils nous montrent une vision bien esthétique des faits... Sainte Suzanne, nièce du Pape Caius, reçoit la palme du martyre sous l'empereur Dioclétien, décapitée pour Jésus-Christ en 295. Sa tête fut remise en place avant d'être recouverte du linceul. Le bandeau autour du cou le rappelle. Dans l'ombre, le logo du « Chiro » qui soulignait le martyre dans les catacombes. Son père, Gabin, prêtre de Rome, se serait laissé mourir en apprenant la mort de sa fille. L'actuelle église Saint Roch fut construite à la place de l'ancienne chapelle Sainte Suzanne.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Sainte Suzanne. Les deux ‘toiles marouflées’ (1857) sont de Sébastien Norblin (1796-1884). L’empereur Maximien recule devant l’ange qui protège sainte Suzanne.
 A gauche, la mort de la jeune martyre. Au-dessus de l’autel, toile de Pierre Herbstoffer (1857) : sainte Suzanne au milieu des païens.
Église Saint-Roch.
Chapelle Sainte Suzanne. Les deux ‘toiles marouflées’ (1857) sont de Sébastien Norblin (1796-1884). L’empereur Maximien recule devant l’ange qui protège sainte Suzanne. A gauche, la mort de la jeune martyre. Au-dessus de l’autel, toile de Pierre Herbstoffer (1857) : sainte Suzanne au milieu des païens.
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<center>Église Saint-Roch. </center> LE MIRACLE DES ARDENTS Huile sur toile. Gabriel François Doyen. En 1759, Jean-Baptiste Marduel, curé de Saint-Roch, lance le réaménagement de l’espace liturgique de son église. Les travaux sont confiés à Étienne-Louis Boullée, et Gabriel François Doyen reçoit la commande d'un des deux grands retables du transept, l’œuvre met en scène le Miracle des ardents : en 1129, les Parisiens sont sauvés d’une terrible épidémie dite « Peste des ardents », par l’intercession de sainte Geneviève.
Église Saint-Roch.
LE MIRACLE DES ARDENTS Huile sur toile. Gabriel François Doyen. En 1759, Jean-Baptiste Marduel, curé de Saint-Roch, lance le réaménagement de l’espace liturgique de son église. Les travaux sont confiés à Étienne-Louis Boullée, et Gabriel François Doyen reçoit la commande d'un des deux grands retables du transept, l’œuvre met en scène le Miracle des ardents : en 1129, les Parisiens sont sauvés d’une terrible épidémie dite « Peste des ardents », par l’intercession de sainte Geneviève.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Ste Geneviève.
Église Saint-Roch.
Ste Geneviève.
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<center>Église Saint-Roch. </center> La dédicace de l’église à saint Roch, patron des pestiférés, explique certainement ce choix. Statue de Louis-Aimé Lejeune, 1946.
Église Saint-Roch.
La dédicace de l’église à saint Roch, patron des pestiférés, explique certainement ce choix. Statue de Louis-Aimé Lejeune, 1946.
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<center>Église Saint-Roch. </center> SAINT DENIS PRÊCHANT LA FOI EN FRANCE
Huile sur toile 1767. Joseph-Marié Vien. Le second tableau d'autel, consacré à saint Denis, est attribué à Jean- Baptiste Deshays, puis, à sa mort, à Joseph-Marie Vien. Le prêche du saint en Gaule est dépeint dans une composition sobre et classicisante, radicalement opposée à la manière enfiévrée de Doyen.
Achevés en 1767, les deux tableaux font sensation au Salon. Saisis à la Révolution, leur succès leur vaudra de rejoindre l’éphémère musée spécial de l'École française à Versailles. Rendus à la paroisse en 1802, ils font aujourd'hui partie des rares œuvres ayant retrouvé leur emplacement d'origine après la Révolution.
Église Saint-Roch.
SAINT DENIS PRÊCHANT LA FOI EN FRANCE Huile sur toile 1767. Joseph-Marié Vien. Le second tableau d'autel, consacré à saint Denis, est attribué à Jean- Baptiste Deshays, puis, à sa mort, à Joseph-Marie Vien. Le prêche du saint en Gaule est dépeint dans une composition sobre et classicisante, radicalement opposée à la manière enfiévrée de Doyen. Achevés en 1767, les deux tableaux font sensation au Salon. Saisis à la Révolution, leur succès leur vaudra de rejoindre l’éphémère musée spécial de l'École française à Versailles. Rendus à la paroisse en 1802, ils font aujourd'hui partie des rares œuvres ayant retrouvé leur emplacement d'origine après la Révolution.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Saint Rustique, Saint Denis et Saint  Éleuthère qui subirent le martyre à la fin du IIIe siècle.
Église Saint-Roch.
Saint Rustique, Saint Denis et Saint Éleuthère qui subirent le martyre à la fin du IIIe siècle.
42
<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Saint Vincent de Paul. Chemin de croix : Jésus trahi par Judas (Matthieu 26,47). Plâtre de Louis Pierre Deseine. (1805)
Église Saint-Roch.
Chapelle Saint Vincent de Paul. Chemin de croix : Jésus trahi par Judas (Matthieu 26,47). Plâtre de Louis Pierre Deseine. (1805)
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Saint Vincent de Paul. Saint Vincent de Paul (1581 -1660), consacra sa vie aux consacra sa vie aux malades, aux galériens, aux déshérités et aux pauvres. Pour eux, il créa plusieurs hôpitaux et fonda les ‘Filles de la Charité’ en 1638, appelées aussi ‘Sœurs de saint Vincent de Paul’ est fêté le 27 septembre. Devant lui, une Sœur de la Charité se réjouit de la glorification de saint Vincent de Paul.
Église Saint-Roch.
Chapelle Saint Vincent de Paul. Saint Vincent de Paul (1581 -1660), consacra sa vie aux consacra sa vie aux malades, aux galériens, aux déshérités et aux pauvres. Pour eux, il créa plusieurs hôpitaux et fonda les ‘Filles de la Charité’ en 1638, appelées aussi ‘Sœurs de saint Vincent de Paul’ est fêté le 27 septembre. Devant lui, une Sœur de la Charité se réjouit de la glorification de saint Vincent de Paul.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Saint Vincent de Paul. Devant lui, une Sœur de la Charité se réjouit de la glorification de saint Vincent de Paul. Saint Vincent de Paul secourant les malheureux.
Église Saint-Roch.
Chapelle Saint Vincent de Paul. Devant lui, une Sœur de la Charité se réjouit de la glorification de saint Vincent de Paul. Saint Vincent de Paul secourant les malheureux.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Orgue de chœur du facteur Cavaillé-Coll, en 1865. Il a été modifié par Mutin en 1913. .
Église Saint-Roch.
Orgue de chœur du facteur Cavaillé-Coll, en 1865. Il a été modifié par Mutin en 1913. .
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<center>Église Saint-Roch. </center> Vitrail du chœur. La Vierge.
Église Saint-Roch.
Vitrail du chœur. La Vierge.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Vitrail du chœur. Le Christ.
Église Saint-Roch.
Vitrail du chœur. Le Christ.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Vitrail du chœur. «Saint Jean-Baptiste» (fin XIXe siècle)
Église Saint-Roch.
Vitrail du chœur. «Saint Jean-Baptiste» (fin XIXe siècle)
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Saint François de Sales. Chemin de croix : Jésus accablé d’outrages. Plâtre de Louis Pierre Deseine. (1805)
Église Saint-Roch.
Chapelle Saint François de Sales. Chemin de croix : Jésus accablé d’outrages. Plâtre de Louis Pierre Deseine. (1805)
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Saint François de Sales. Saint François de Sales (1567-1622), évêque de Genève puis d’Annecy. Par ses écrits, il fut un des maîtres spirituels de ses contemporains. Il est aussi le patron des journalistes car il rédigea de nombreux journaux pour convaincre les Chrétiens Réformés de revenir à l’Église catholique romaine. Il est fêté le 24 janvier. Saint François de Sales prêchant.
Église Saint-Roch.
Chapelle Saint François de Sales. Saint François de Sales (1567-1622), évêque de Genève puis d’Annecy. Par ses écrits, il fut un des maîtres spirituels de ses contemporains. Il est aussi le patron des journalistes car il rédigea de nombreux journaux pour convaincre les Chrétiens Réformés de revenir à l’Église catholique romaine. Il est fêté le 24 janvier. Saint François de Sales prêchant.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Saint François de Sales. Les deux « toiles marouflées » (1847) sont d'Henry Scheffer. Saint François de Sales secourant un voyageur alors qu'il traversait les Alpes. Henry Scheffer possède un remarquable sens de la composition, et de l'utilisation de l'espace. Entre 1846 et 1847, il forma, dans son atelier le jeune Pierre Puvis de Chavannes ; celui-ci se reconnut, d'ailleurs, toujours son élève et ne manqua jamais de faire son éloge. Saint-François de Sales, évêque chassé de Genève, séjournait à Annecy. Il visitait souvent ses diocésains montagnards. Il sauva l'un d'eux, lors d'une tempête de neige, au bord d'une crevasse. Il est l'un des premiers grands auteurs spirituels de langue française En 1877, trente ans après cette toile il fut reconnu « docteur de l'Église. »
Église Saint-Roch.
Chapelle Saint François de Sales. Les deux « toiles marouflées » (1847) sont d'Henry Scheffer. Saint François de Sales secourant un voyageur alors qu'il traversait les Alpes. Henry Scheffer possède un remarquable sens de la composition, et de l'utilisation de l'espace. Entre 1846 et 1847, il forma, dans son atelier le jeune Pierre Puvis de Chavannes ; celui-ci se reconnut, d'ailleurs, toujours son élève et ne manqua jamais de faire son éloge. Saint-François de Sales, évêque chassé de Genève, séjournait à Annecy. Il visitait souvent ses diocésains montagnards. Il sauva l'un d'eux, lors d'une tempête de neige, au bord d'une crevasse. Il est l'un des premiers grands auteurs spirituels de langue française En 1877, trente ans après cette toile il fut reconnu « docteur de l'Église. »
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Saint Charles Borromée. Chemin de croix : Jésus est flagellé. Plâtre de Louis Pierre Deseine. (1805)
Église Saint-Roch.
Chapelle Saint Charles Borromée. Chemin de croix : Jésus est flagellé. Plâtre de Louis Pierre Deseine. (1805)
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Saint Charles Borromée. Les deux ‘toiles marouflées’ (1856) sont de Raymond Balze (1818-1909). Saint Charles Borromée assistant son oncle le pape Pie IV au moment de sa mort en 1565. Depuis toujours, on attribue à Raymond Balze ce tableau alors qu'il l'a peint avec Paul son frère, comme la signature l'atteste. Le Pape Pie IV meurt le 8 novembre 1565. Cette représentation de la coupole au second plan nous enseigne qu'à la mort de Pie IV, la basilique, commencée par Bramante en 1506, n'est en rien achevée, les détails des travaux en cours sur la coupole l'attestent. Il faudra attendre encore 101 ans pour l’achèvement des travaux. Saint Charles Borromée fut l'un des grands artisans du renouveau de l'Église après le Concile de Trente.
Église Saint-Roch.
Chapelle Saint Charles Borromée. Les deux ‘toiles marouflées’ (1856) sont de Raymond Balze (1818-1909). Saint Charles Borromée assistant son oncle le pape Pie IV au moment de sa mort en 1565. Depuis toujours, on attribue à Raymond Balze ce tableau alors qu'il l'a peint avec Paul son frère, comme la signature l'atteste. Le Pape Pie IV meurt le 8 novembre 1565. Cette représentation de la coupole au second plan nous enseigne qu'à la mort de Pie IV, la basilique, commencée par Bramante en 1506, n'est en rien achevée, les détails des travaux en cours sur la coupole l'attestent. Il faudra attendre encore 101 ans pour l’achèvement des travaux. Saint Charles Borromée fut l'un des grands artisans du renouveau de l'Église après le Concile de Trente.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Saint Charles Borromée. Saint Charles Borromée soignant les pestiférés de Milan lors de la grande peste de 1576. Archevêque de Milan, issu d'une noble famille milanaise, ce neveu de Pie IV est « créé » cardinal à vingt-deux ans. Il se dévoua sans compter durant l’épidémie de peste (1576). On le voit ici donnant la communion à un mourant, devant « il Duomo » la cathédrale de Milan » qu'il consacra en 1577 et où se trouvent ses reliques. Il mourut en 1584 et fut canonisé en 1610. Il reste le modèle de l’évêque soucieux de la formation des prêtres et convaincu de la priorité des tâches pastorales, en particulier envers les pauvres.
Église Saint-Roch.
Chapelle Saint Charles Borromée. Saint Charles Borromée soignant les pestiférés de Milan lors de la grande peste de 1576. Archevêque de Milan, issu d'une noble famille milanaise, ce neveu de Pie IV est « créé » cardinal à vingt-deux ans. Il se dévoua sans compter durant l’épidémie de peste (1576). On le voit ici donnant la communion à un mourant, devant « il Duomo » la cathédrale de Milan » qu'il consacra en 1577 et où se trouvent ses reliques. Il mourut en 1584 et fut canonisé en 1610. Il reste le modèle de l’évêque soucieux de la formation des prêtres et convaincu de la priorité des tâches pastorales, en particulier envers les pauvres.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Le retour de l'enfant prodigue. Jean Germain Drouais. 1763-1788.
Église Saint-Roch.
Le retour de l'enfant prodigue. Jean Germain Drouais. 1763-1788.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Sainte Marie-Madeleine. Chemin de croix : Jésus portant sa croix. Plâtre de Pierre Deseine (1805)
Église Saint-Roch.
Chapelle Sainte Marie-Madeleine. Chemin de croix : Jésus portant sa croix. Plâtre de Pierre Deseine (1805)
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Sainte Marie-Madeleine. La mort de sainte Marie-Madeleine.  Marie-Madeleine fut convertie par le pardon de Jésus qui lui révéla ainsi la miséricorde et l'amour de Dieu (Luc 7,47). Au matin de Pâques, elle fut la première à rencontrer Jésus ressuscité au jardin du tombeau. Elle est fêtée le 22 juillet.
Les deux ‘toiles marouflées ’(1851) sont de Pierre-Nicolas Brisset (1810-1890). Pierre-Nicolas Brisset, 2ème Prix de Rome en 1837, peint à 41 ans cette admirable mort de Marie-Madeleine. De ce corps, dont l'esprit s'élevait si souvent au ciel grâce aux anges que nous voyons en haut de la toile, se dégage la pureté d'une sensualité admirable. La lumière est zénithale dans ce désert. Ses bras et ses épaules dessinent l'esquisse d'un cœur pour celle qui aima le Christ de la plus pure des ferveurs. La main gauche repose sur le sol, tournée vers le ciel,  proche de la croix où elle se trouvait quand mourut le Christ.
Église Saint-Roch.
Chapelle Sainte Marie-Madeleine. La mort de sainte Marie-Madeleine. Marie-Madeleine fut convertie par le pardon de Jésus qui lui révéla ainsi la miséricorde et l'amour de Dieu (Luc 7,47). Au matin de Pâques, elle fut la première à rencontrer Jésus ressuscité au jardin du tombeau. Elle est fêtée le 22 juillet. Les deux ‘toiles marouflées ’(1851) sont de Pierre-Nicolas Brisset (1810-1890). Pierre-Nicolas Brisset, 2ème Prix de Rome en 1837, peint à 41 ans cette admirable mort de Marie-Madeleine. De ce corps, dont l'esprit s'élevait si souvent au ciel grâce aux anges que nous voyons en haut de la toile, se dégage la pureté d'une sensualité admirable. La lumière est zénithale dans ce désert. Ses bras et ses épaules dessinent l'esquisse d'un cœur pour celle qui aima le Christ de la plus pure des ferveurs. La main gauche repose sur le sol, tournée vers le ciel, proche de la croix où elle se trouvait quand mourut le Christ.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Sainte Marie-Madeleine. Marie-Madeleine écoutant Jésus. Marie-Madeleine est pensive. Elle n'a pas encore pris la décision de le suivre. Elle est la seule à lui tourner le dos, la foule, elle, est captivée par l'Orateur. Pa l'attitude de ses jambes croisées et l'expression même de son visage, Pierre-Nicolas Brisset n'a-t-il pas voulut traduire son hésitation à suivre Jésus en ces instants qui précèdent sa démarche. La composition pyramidale de l'œuvre ajoute à l'efficacité de la circulation du regard, cela « fonctionne bien».
Église Saint-Roch.
Chapelle Sainte Marie-Madeleine. Marie-Madeleine écoutant Jésus. Marie-Madeleine est pensive. Elle n'a pas encore pris la décision de le suivre. Elle est la seule à lui tourner le dos, la foule, elle, est captivée par l'Orateur. Pa l'attitude de ses jambes croisées et l'expression même de son visage, Pierre-Nicolas Brisset n'a-t-il pas voulut traduire son hésitation à suivre Jésus en ces instants qui précèdent sa démarche. La composition pyramidale de l'œuvre ajoute à l'efficacité de la circulation du regard, cela « fonctionne bien».
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Sainte Catherine. Chapelle Saint Antoine de Padoue. Chemin de croix : Jésus condamné à mort. Plâtre de Constant Delaperche (1811)
Église Saint-Roch.
Chapelle Sainte Catherine. Chapelle Saint Antoine de Padoue. Chemin de croix : Jésus condamné à mort. Plâtre de Constant Delaperche (1811)
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Sainte Catherine. Chapelle Saint Antoine de Padoue. Sainte Catherine d’Alexandrie (IVème siècle), martyre, est fêtée le 25 novembre. Sainte Thérèse d’Avila (1525-1582), mystique espagnole et réformatrice, elle rendit toute sa vitalité à l'Ordre des religieuses Carmélites. Elle est fêtée le 15 octobre. Sainte Thérèse en extase de Guermann von Bohn (1849). Statue de saint Antoine de Padoue (1195-1231) : par sa prédication, il fut un grand théologien au service de la Parole de Dieu. Fête le 13 juin.
Église Saint-Roch.
Chapelle Sainte Catherine. Chapelle Saint Antoine de Padoue. Sainte Catherine d’Alexandrie (IVème siècle), martyre, est fêtée le 25 novembre. Sainte Thérèse d’Avila (1525-1582), mystique espagnole et réformatrice, elle rendit toute sa vitalité à l'Ordre des religieuses Carmélites. Elle est fêtée le 15 octobre. Sainte Thérèse en extase de Guermann von Bohn (1849). Statue de saint Antoine de Padoue (1195-1231) : par sa prédication, il fut un grand théologien au service de la Parole de Dieu. Fête le 13 juin.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Sainte Catherine. Chapelle Saint Antoine de Padoue. Les deux ‘toiles marouflées’(1850) sont d’Adolphe Brune. Le martyre de sainte Catherine, condamnée par l’empereur Maximien. Subjugué par la beauté de Catherine, l'empereur Maximin voulut la forcer à se donner à lui, alors qu'elle voulait se consacrer à Dieu. Elle préféra offrir son cou à la brutalité du bourreau plutôt qu'aux tendresses de l'empereur.
Adolphe Brune fait de Catherine un modèle de foi n'ayant en rien peur du passage vers l'au-delà pour rejoindre son Divin Maître. Éclairée par la lumière divine, elle porte déjà en elle son élévation, par son regard vers le ciel.
Selon la tradition, elle tint tête aux philosophes, d’où la présence des livres qui l’entourant.
Église Saint-Roch.
Chapelle Sainte Catherine. Chapelle Saint Antoine de Padoue. Les deux ‘toiles marouflées’(1850) sont d’Adolphe Brune. Le martyre de sainte Catherine, condamnée par l’empereur Maximien. Subjugué par la beauté de Catherine, l'empereur Maximin voulut la forcer à se donner à lui, alors qu'elle voulait se consacrer à Dieu. Elle préféra offrir son cou à la brutalité du bourreau plutôt qu'aux tendresses de l'empereur. Adolphe Brune fait de Catherine un modèle de foi n'ayant en rien peur du passage vers l'au-delà pour rejoindre son Divin Maître. Éclairée par la lumière divine, elle porte déjà en elle son élévation, par son regard vers le ciel. Selon la tradition, elle tint tête aux philosophes, d’où la présence des livres qui l’entourant.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Sainte Thérèse . Chapelle Sainte Anne. Chemin de croix : “Ecce Homo
Église Saint-Roch.
Chapelle Sainte Thérèse . Chapelle Sainte Anne. Chemin de croix : “Ecce Homo" : Pilate présenté Jésus à ceux qui veulent le condamner. “Jésus sortit donc dehors, portant la couronne d'épines et le manteau de pourpre et Pilate leur dit : Voici l’homme”. (Jean 19,5). Plâtre de Constant Delaperche (1811)
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Sainte Thérèse. Chapelle Sainte Anne. La glorification de Sainte Catherine d'Alexandrie d'Adolphe Brune, vers 1850
L'érudit au premier plan de la toile avec ses livres» sa mappemonde et son compas, rappelle l'École d'Alexandrie » en Égypte, alors la plus grande de tout l'Orient, haut-lieu de la connaissance et de la science. Sainte Catherine qui y étudia, préféra la connaissance de la lumière divine à tout savoir humain. Statue de sainte Anne. Grand-mère de Jésus, elle sût accompagner dans sa réponse à la grâce, la Vierge Marie qui devint la Mère de Dieu. Fête le 26 juillet.
Église Saint-Roch.
Chapelle Sainte Thérèse. Chapelle Sainte Anne. La glorification de Sainte Catherine d'Alexandrie d'Adolphe Brune, vers 1850 L'érudit au premier plan de la toile avec ses livres» sa mappemonde et son compas, rappelle l'École d'Alexandrie » en Égypte, alors la plus grande de tout l'Orient, haut-lieu de la connaissance et de la science. Sainte Catherine qui y étudia, préféra la connaissance de la lumière divine à tout savoir humain. Statue de sainte Anne. Grand-mère de Jésus, elle sût accompagner dans sa réponse à la grâce, la Vierge Marie qui devint la Mère de Dieu. Fête le 26 juillet.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Sainte Thérèse . Chapelle Sainte Anne. La glorification de sainte Thérèse de Guermann von Bohn. (1849).
Église Saint-Roch.
Chapelle Sainte Thérèse . Chapelle Sainte Anne. La glorification de sainte Thérèse de Guermann von Bohn. (1849).
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Sainte-Clotilde. Jésus couronné d'épines.
Église Saint-Roch.
Chapelle Sainte-Clotilde. Jésus couronné d'épines.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Sainte-Clotilde. Saint Roch.
Église Saint-Roch.
Chapelle Sainte-Clotilde. Saint Roch.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Sainte-Clotilde
Toile «La Glorification de sainte Clotilde» d'Achille Devéria (vers 1850)
Église Saint-Roch.
Chapelle Sainte-Clotilde Toile «La Glorification de sainte Clotilde» d'Achille Devéria (vers 1850)
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Sainte-Clotilde. Saint Roch.
Église Saint-Roch.
Chapelle Sainte-Clotilde. Saint Roch.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Croisillon droit. Statue Saint Grégoire le Grand, pierre, Simon Challe (1766)
Église Saint-Roch.
Croisillon droit. Statue Saint Grégoire le Grand, pierre, Simon Challe (1766)
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<center>Église Saint-Roch. </center> Croisillon droit
Église Saint-Roch.
Croisillon droit
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<center>Église Saint-Roch. </center> La chapelle de l'Annonciation.
Église Saint-Roch.
La chapelle de l'Annonciation.
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<center>Église Saint-Roch. </center> La chapelle de l'Annonciation.
Église Saint-Roch.
La chapelle de l'Annonciation.
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<center>Église Saint-Roch. </center> La chapelle de l'Annonciation. En bas, «Quo vadis», anonyme (vers 1860).
Église Saint-Roch.
La chapelle de l'Annonciation. En bas, «Quo vadis», anonyme (vers 1860).
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<center>Église Saint-Roch. </center> «Les âmes délivrées» par Louis Boulanger, vers 1855. 
L'Extrême-Onction et les funérailles par Auguste Charpentier, 1850.
Voici deux petites toiles absolument merveilleuses dans le patrimoine de Saint-Roch. L'accent dramatique est rendu dans les deux peintures avec une magni¬fique précision. Le bambin montre dans les deux scènes la même insouciance, symbole de la vie qui continue au-delà de la mort. Le très grand savoir-faire du drapé chez Chrétien ajoute à la beauté de ces deux réalisations, dans les draps blancs du premier et la robe de deuil du second.
Église Saint-Roch.
«Les âmes délivrées» par Louis Boulanger, vers 1855. L'Extrême-Onction et les funérailles par Auguste Charpentier, 1850. Voici deux petites toiles absolument merveilleuses dans le patrimoine de Saint-Roch. L'accent dramatique est rendu dans les deux peintures avec une magni¬fique précision. Le bambin montre dans les deux scènes la même insouciance, symbole de la vie qui continue au-delà de la mort. Le très grand savoir-faire du drapé chez Chrétien ajoute à la beauté de ces deux réalisations, dans les draps blancs du premier et la robe de deuil du second.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Les âmes dans le purgatoire par Louis Boulanger, vers 1855. 
Louis Boulanger était le grand ami de Victor Hugo qu'il rencontre à 18 ans II commence sa vie artistique par la poésie, mais se tourne très vite vers la peinture Il rentre aux Beaux-Arts et sera l'élève de Guillon-Lethière . Cette « prière en grand » de la chapelle des âmes du purgatoire, démontre son talent d'illustrateur, mais aussi sa grande compréhension de ce qu'est la prière. Au centre, toile de Chrétien : «La Religion et les âmes du purgatoire»
Église Saint-Roch.
Les âmes dans le purgatoire par Louis Boulanger, vers 1855. Louis Boulanger était le grand ami de Victor Hugo qu'il rencontre à 18 ans II commence sa vie artistique par la poésie, mais se tourne très vite vers la peinture Il rentre aux Beaux-Arts et sera l'élève de Guillon-Lethière . Cette « prière en grand » de la chapelle des âmes du purgatoire, démontre son talent d'illustrateur, mais aussi sa grande compréhension de ce qu'est la prière. Au centre, toile de Chrétien : «La Religion et les âmes du purgatoire»
76
<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Saint-Etienne, «Monument de la famille de Créqui»
Marbre de Louis Hurtelle et Charles Mazeline (1688)
Église Saint-Roch.
Chapelle Saint-Etienne, «Monument de la famille de Créqui» Marbre de Louis Hurtelle et Charles Mazeline (1688)
77
<center>Église Saint-Roch. </center> Le martyre de Saint Étienne, de Louis Roux, 1859. Saint Étienne fut le premier martyr de la communauté chrétienne. Pendant la lapidation, il regarde le ciel et pense à ce qu'il vient de dire devant le sanhédrin. Plus haut à gauche en rouge nous apercevons Saul qui assiste à la scène ; il deviendra Saint-Paul quand il sera aveuglé sur le chemin de Damas avant de se convertir au Christ et en devenir l'un de ses plus ardents apôtres
Église Saint-Roch.
Le martyre de Saint Étienne, de Louis Roux, 1859. Saint Étienne fut le premier martyr de la communauté chrétienne. Pendant la lapidation, il regarde le ciel et pense à ce qu'il vient de dire devant le sanhédrin. Plus haut à gauche en rouge nous apercevons Saul qui assiste à la scène ; il deviendra Saint-Paul quand il sera aveuglé sur le chemin de Damas avant de se convertir au Christ et en devenir l'un de ses plus ardents apôtres
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle Saint-Etienne.
Église Saint-Roch.
Chapelle Saint-Etienne.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle des monuments
«Le cardinal Dubois»
Marbre de Guillaume Ier Coustou (1725) Monument à Maupertuis.
Église Saint-Roch.
Chapelle des monuments «Le cardinal Dubois» Marbre de Guillaume Ier Coustou (1725) Monument à Maupertuis.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle des Monuments
«Monument du comte Henri de Lorraine, comte d'Harcourt»
Marbre de Nicolas Renard (1693)
Église Saint-Roch.
Chapelle des Monuments «Monument du comte Henri de Lorraine, comte d'Harcourt» Marbre de Nicolas Renard (1693)
81
<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle des Monuments.
Église Saint-Roch.
Chapelle des Monuments.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle des Monuments. «Les Saintes femmes au tombeau» d'Auguste Charpentier (vers 1850)
Église Saint-Roch.
Chapelle des Monuments. «Les Saintes femmes au tombeau» d'Auguste Charpentier (vers 1850)
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<center>Église Saint-Roch. </center> «Saint François d'Assise faisant l'aumône» d'Édouard-Alexandre Odier (1842).
Église Saint-Roch.
«Saint François d'Assise faisant l'aumône» d'Édouard-Alexandre Odier (1842).
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<center>Église Saint-Roch. </center> Le départ de l'enfant prodigue de Jules Quentin, 1853. La parabole de l'enfant prodigue nous enseigne que seule l'expérience vécue porte ses fruits et que le retour à la raison, à la foi, à Dieu est une joie infinie. Dans la présentation du départ, Jules Quentin sait nous montrer la résignation du père devant la détermination de son fils aîné à partir courir le monde avec sa part de l'héritage. Il est fier et cela se voit.
Église Saint-Roch.
Le départ de l'enfant prodigue de Jules Quentin, 1853. La parabole de l'enfant prodigue nous enseigne que seule l'expérience vécue porte ses fruits et que le retour à la raison, à la foi, à Dieu est une joie infinie. Dans la présentation du départ, Jules Quentin sait nous montrer la résignation du père devant la détermination de son fils aîné à partir courir le monde avec sa part de l'héritage. Il est fier et cela se voit.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Le retour de l'enfant prodigue de Jules Quentin, 1853. Au retour il est en guenilles et plein d'humilité. Les couleurs « orientales » ajoutent de l'exotisme à la parabole de Jésus.
Église Saint-Roch.
Le retour de l'enfant prodigue de Jules Quentin, 1853. Au retour il est en guenilles et plein d'humilité. Les couleurs « orientales » ajoutent de l'exotisme à la parabole de Jésus.
86
<center>Église Saint-Roch. </center> «La Déposition de Croix» d'Alexis-Nicolas Pérignon (1843)
Église Saint-Roch.
«La Déposition de Croix» d'Alexis-Nicolas Pérignon (1843)
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<center>Église Saint-Roch. </center>
Église Saint-Roch.
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<center>Église Saint-Roch. </center>
Église Saint-Roch.
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<center>Église Saint-Roch. </center>
Église Saint-Roch.
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<center>Église Saint-Roch. </center> «Apparition de la Vierge à Antoine Botta» de Paolo Brusco (1817).
Église Saint-Roch.
«Apparition de la Vierge à Antoine Botta» de Paolo Brusco (1817).
91
<center>Église Saint-Roch. </center> «Jésus ressuscitant la fille de Jaïre» de Pierre-Claude-François Delorme (1817)
Église Saint-Roch.
«Jésus ressuscitant la fille de Jaïre» de Pierre-Claude-François Delorme (1817)
92
<center>Église Saint-Roch. </center> La Chapelle de la Communion fut construite sur des fonds provenant des libéralités de Law, en 1717. L'arche d'alliance, réalisée en 1754, faisait l'admiration de Diderot, paroissien de Saint-Roch. Elle était le tabernacle de la chapelle de Communion. Le Saint-Sacrement est la nouvelle alliance scellée dans la mort du Christ. C'est pourquoi le curé Claude-Marie Marduel
Église Saint-Roch.
La Chapelle de la Communion fut construite sur des fonds provenant des libéralités de Law, en 1717. L'arche d'alliance, réalisée en 1754, faisait l'admiration de Diderot, paroissien de Saint-Roch. Elle était le tabernacle de la chapelle de Communion. Le Saint-Sacrement est la nouvelle alliance scellée dans la mort du Christ. C'est pourquoi le curé Claude-Marie Marduel
93
<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle de la Communion. Mgr Denis Affre, archevêque de Paris de 1840 à 1848.
Église Saint-Roch.
Chapelle de la Communion. Mgr Denis Affre, archevêque de Paris de 1840 à 1848.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle de la Communion. Saint Denis l'aeropagite, évêque d'Athènes.
Église Saint-Roch.
Chapelle de la Communion. Saint Denis l'aeropagite, évêque d'Athènes.
95
<center>Église Saint-Roch. </center> Le Christ Chassant les marchands du temple, d'Antoine Jean-Baptiste Thomas, 1822
A.J.B. Thomas ,1791 -1833, reçoit en 1816, le premier grand prix de peinture et, grâce à cela, séjourne à Rome pendant deux ans C'est donc un artiste reconnu qui peint ce magnifique épisode de l'évangile en 1822. C'est l'une de ses œuvres les plus importantes. Il mourra malheureusement trop jeune, à 42 ans. Sa composition magistrale donne la priorité à l'instantané et aussi au mouvement ; il suffit pour s'en convaincre de regarder les pièces de monnaie encore suspendues entre poche et sol ! Nous sommes peut-être là, en présence de la première œuvre d'un «peintre- reporter » : c'est saisissant.
Église Saint-Roch.
Le Christ Chassant les marchands du temple, d'Antoine Jean-Baptiste Thomas, 1822 A.J.B. Thomas ,1791 -1833, reçoit en 1816, le premier grand prix de peinture et, grâce à cela, séjourne à Rome pendant deux ans C'est donc un artiste reconnu qui peint ce magnifique épisode de l'évangile en 1822. C'est l'une de ses œuvres les plus importantes. Il mourra malheureusement trop jeune, à 42 ans. Sa composition magistrale donne la priorité à l'instantané et aussi au mouvement ; il suffit pour s'en convaincre de regarder les pièces de monnaie encore suspendues entre poche et sol ! Nous sommes peut-être là, en présence de la première œuvre d'un «peintre- reporter » : c'est saisissant.
96
<center>Église Saint-Roch. </center> Le  Christ et les enfants.de Jean Victor Schnetz, 1830
Jean Victor Schnetz élève de David, ami de Géricault consacra une grande partie de sa vie à l'Académie des Beaux-Arts où il fut élu en 1837. Il succéda à Ingres au poste de directeur de l'Académie de France à Rome. Il est réputé pour traiter de manière classique les sujets tirés de la vie quotidienne des paysans.
Église Saint-Roch.
Le Christ et les enfants.de Jean Victor Schnetz, 1830 Jean Victor Schnetz élève de David, ami de Géricault consacra une grande partie de sa vie à l'Académie des Beaux-Arts où il fut élu en 1837. Il succéda à Ingres au poste de directeur de l'Académie de France à Rome. Il est réputé pour traiter de manière classique les sujets tirés de la vie quotidienne des paysans.
97
<center>Église Saint-Roch. </center> La chapelle de la Vierge construite par Jules Hardouin-Mansart (1706-1710) prolonge le chœur vers le nord.
Église Saint-Roch.
La chapelle de la Vierge construite par Jules Hardouin-Mansart (1706-1710) prolonge le chœur vers le nord.
98
<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle de la Vierge, «La Nativité» de Michel Auguier (1612 ou 1614-1686)
Elle est entourée des statues XVIIIe siècle de saint Jérôme et de sainte Barbe
Église Saint-Roch.
Chapelle de la Vierge, «La Nativité» de Michel Auguier (1612 ou 1614-1686) Elle est entourée des statues XVIIIe siècle de saint Jérôme et de sainte Barbe
99
<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle de la Vierge. La coupole ovale peinte par Jean-Baptiste Pierre (1714-1789)  : «L'Assomption».
Église Saint-Roch.
Chapelle de la Vierge. La coupole ovale peinte par Jean-Baptiste Pierre (1714-1789) : «L'Assomption».
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle de la Vierge. Vitrail à motifs baroques.
Église Saint-Roch.
Chapelle de la Vierge. Vitrail à motifs baroques.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle de la Vierge. Vitrail à motifs baroques.
Église Saint-Roch.
Chapelle de la Vierge. Vitrail à motifs baroques.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle de la Vierge. Vitrail à motifs baroques.
Église Saint-Roch.
Chapelle de la Vierge. Vitrail à motifs baroques.
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle de la Vierge. Statue de sainte Barbe
Marbre, anonyme (1700)
Église Saint-Roch.
Chapelle de la Vierge. Statue de sainte Barbe Marbre, anonyme (1700)
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle de la Vierge. Statue de saint Jérôme
Marbre de Lambert-Sigisbert Adam (1752)
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Chapelle de la Vierge. Statue de saint Jérôme Marbre de Lambert-Sigisbert Adam (1752)
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<center>Église Saint-Roch. </center> La chapelle du Calvaire est bâtie en 1754, d'après le dessin de Falconet, à l'emplacement de l'ancien cimetière. La chapelle de Marie dans la chapelle du Calvaire.
Église Saint-Roch.
La chapelle du Calvaire est bâtie en 1754, d'après le dessin de Falconet, à l'emplacement de l'ancien cimetière. La chapelle de Marie dans la chapelle du Calvaire.
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<center>Église Saint-Roch. </center>
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<center>Église Saint-Roch. </center>
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<center>Église Saint-Roch. </center> «Calvaire»
La statue du Christ est un marbre de Michel Anguier (1684)
Église Saint-Roch.
«Calvaire» La statue du Christ est un marbre de Michel Anguier (1684)
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<center>Église Saint-Roch. </center> «Mise en croix»
Plâtre de Jean Duseigneur (1857)
Église Saint-Roch.
«Mise en croix» Plâtre de Jean Duseigneur (1857)
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<center>Église Saint-Roch. </center> «Mise au tombeau»
Plâtre de Louis-Pierre Deseine (1807)
Église Saint-Roch.
«Mise au tombeau» Plâtre de Louis-Pierre Deseine (1807)
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<center>Église Saint-Roch. </center> Chapelle du Calvaire
Vitrail «La Mort de saint Joseph», ateliers Lorin (vers 1880).
Église Saint-Roch.
Chapelle du Calvaire Vitrail «La Mort de saint Joseph», ateliers Lorin (vers 1880).
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<center>Église Saint-Roch. </center>
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