Elle se situe dans le XIIe, 1 Rue Cannebière. Sous l’impulsion du cardinal Jean Verdier (l’évêque aux cent églises), l’église fut conçue par l’architecte Paul Tournon, qui commanda la décoration de l'édifice à des artistes membres d'associations d'art sacré comme L'Arche, les Ateliers d'art sacré. La construction commença en 1928, et la crypte fut ouverte au culte en 1929. Le plan de l'édifice s'inspire de celui de Sainte-Sophie à Istanbul. Il est réalisé en béton armé sur les plans de l'entreprise de François Hennebique, avec un revêtement de briques rouges de Bourgogne pour lui donner l'apparat de la tradition byzantine.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Le clocher culmine à 75 mètres. Sur le toit, les statues sont des oeuvres de Sarrabezolles, Martin, etc.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Le narthex et ses fresques en camaïeu gris
des époux Untersteller.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Fresques des trois facultés de l'âme : Intelligence, volonté, sensibilité. Complétées par des fresques illustrant les quatre éléments : eau, air, terre et feu.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Fresques des trois facultés de l'âme : Intelligence, volonté, sensibilité. Complétées par des fresques illustrant les quatre éléments : eau, air, terre et feu.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Fresques des trois facultés de l'âme : Intelligence, volonté, sensibilité. Complétées par des fresques illustrant les quatre éléments : eau, air, terre et feu.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
La genèse : premier jour.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Sixième jour.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Septième jour, avec l'alpha et l'omega.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Statue rendant hommage au cardinal Verdier, créateur des «Chantiers du Cardinal» en 1931.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
L’église possède une nef carrée surmontée par une coupole mesurant 22 mètres de diamètre pour 33 mètres de hauteur, fortement inspirée par la célèbre coupole de Sainte-Sophie d’Istanbul. A gauche, la chaire à prêcher de Roger Prat. Elle présente une belle décoration stylisée sur le dosseret.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Pour l'église du Saint-Esprit, les nombreuses fresques sont toutes rattachées à une idée unique : la diffusion de l'Esprit-Saint dans l'histoire humaine. Elles relatent les grandes étapes de l'Histoire de l'Église depuis la Pentecôte jusqu'au XXe siècle, divisée en deux grands thèmes : l'Histoire de l'Église militante et l'Histoire de l'Église triomphante.
À noter que, pour assurer l'unité de la décoration, l'architecte Paul Tournon a imposé une taille unique pour tous les personnages et la couleur rouge comme coloris de fond.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
On remarque la présence de grandes fresques derrière les colonnes qui séparent le vaisseau central du bas-côté.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
L'église est coiffée d'une grande coupole centrale en ciment encadrée de quatre demi-coupoles, chacune d'elles étant contrebutée par trois petites coupoles.
Ce dispositif s'inspire de la basilique Sainte-Sophie de Constantinople, modèle de l'architecte qui évoque en ces termes la conception de son ouvrage : «Lorsqu'on me fit savoir que l'église projetée serait sous le vocable du Saint-Esprit, j'eus l'impression immédiate de la vaste coupole, image humaine de l'univers, avec l'Esprit-Saint au zénith».
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L’Eglise du Saint-Esprit.
La coupole centrale.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Dans les demi-coupoles, les douze apôtres : st Jacques, st Pierre, st André
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L’Eglise du Saint-Esprit.
st Mathias, st Thaddée, st Simon
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L’Eglise du Saint-Esprit.
st Barthélémy, st Philippe, st Jean
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L’Eglise du Saint-Esprit.
st Jacques, st Thomas, st Matthieu.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Dans les pendentifs, les symboles des quatre évangélistes et une scène importante de l'évangile en mosaïque argentée : l'Homme de st Matthieu et la Vierge à l'Enfant,
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L’Eglise du Saint-Esprit.
L'Homme de st Matthieu et la Vierge à l'Enfant.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
l'Aigle de st Jean et le baptême de Jésus,
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L’Eglise du Saint-Esprit.
l'Aigle de st Jean et le baptême de Jésus,
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L’Eglise du Saint-Esprit.
le Lion de st Marc et la Transfiguration : sur le mont Tabor, aux pieds de Jésus, entouré de Moïse et Elie, Pierre, Jacques et Jean sont prosternés.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
le Lion de st Marc et la Transfiguration ; sur le mont Tabor, aux pieds de Jésus, entouré de Moïse et Elie, Pierre, Jacques et Jean sont prosternés,
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L’Eglise du Saint-Esprit.
le Taureau de st Luc et l'Annonciation.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
le Taureau de st Luc et l'Annonciation.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Bas-côté droit.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Le ciborium est couvert d'une cloche octogonale qui évoque la Résurrection. Croix trinitaire de Jean Dunand.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Fresque «La Pentecôte» de Maurice Denis.
Ce dessin en aplat est composé de trois registres superposés. En haut : les apôtres, disposés autour de Marie, reçoivent le don de l'Esprit Saint tout en haut. Au centre : saint Paul, entouré des Pères des Églises d'Orient et d'Occident, bénissent les fidèles. A gauche, saint Pierre à Rome, à droite sainte Sophie à Constantinople. Le registre inférieur illustre les sacrements et l'Église de 1930. A gauche, Paul Tournon en bleu et Petit, le cardinal Verdier, les filles et le fils de Denis, Denis en noir, Georges Desvallières et sa file, les soeurs de St Vincent de Paul. A droite, les colonies. Les jésuites et les dominicains entourant Lavigerie. Au centre, Saint Pierre libéré par un ange. Ajoutons que l'idée de Maurice Denis de choisir comme cadre l'arène d'un cirque romain (qui épouse la forme de l'abside) est tout à fait troublante.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
La Sainte Trinité.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Chemin de Croix, en toile marouflée de Georges Desvallières. Jésus est condamné à mort. Nous voyons, en parallèle, les deux "Majestés", celle de Pilate, apparente, celle de Jésus, cachée, mais percevable par l'auréole. On entr'aperçoit, à sa droite, l'arche d'un pont.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Chapelle absidiale gauche «des Martyrs»
Fresques : à gauche, «Saint Pierre et saint Paul» (Henri de Maistre) ; à droite, «Les actes des Apôtres» (Pauline Peugniez). A droite, en bas, la barque des saintes. Au-dessus st Etienne. En Haut, st Pierre et st Jean. Au centre, Irénée et Ignace d'Antioche. En bas, ste Thècle.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
St Pierre.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Sainte Thècle.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
St Jean. En haut, Clément de Rome qui fut décapité en 95.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Les saintes, Lazare et Maximin dans la barque, au-dessus st Etienne, à gauche Irénée et Ignace d'Antioche.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Des vitraux séparent en deux ou trois
les grandes fresques des bas-côtés. La qualité des vitraux n'est pas ce qui compte
le plus dans l'église du Saint-Esprit. A droite, de bas en haut, Catherine avec la roue, Cécile, Valérien, Tiburce, Maxime, Laurent avec le gril, Christophe, Denis sans sa tête, Cyprien. Au centre, en bas, Jérôme l'ermite, l'édit de Milan ou édit de Constantin (édit de tolérance) tenu par Constantin et la vision de la Croix, Grégoire, Basile, Hilaire, Athanase. A gauche, Etiene, Sébastien, st Pancrace, st Georges, st Ambroise et Théodose, st Pacome, Maurice et ses compagnons.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
A droite, Radegonde, Boniface. A gauche, st Eloi, st Boniface.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Gerbert d"Auvergne, pape sous le nom de Sylvestre II de 999 à 1003. A gauche, la chevalerie et st Honorat.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
«L'Évangélisation de l'Ancien Monde» d'Henri Marret et Louis Bouquet
Premier niveau : «Grégoire VII» et «Charlemagne» (Marret) ; deuxième niveau : «Le Concile d'Éphèse» (Bouquet).
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Fresque : «L'Évangélisation de l'Ancien Monde» d'Henri Marret (1878-1964)
Partie gauche : «Grégroire VII», Hildebrand, futur Grégoire VII, quitte Cluny, au-dessus du vitrail, l'abbaye de Cluny.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
«L'Évangélisation de l'Ancien Monde» d'Henri Marret (1878-1964)
Partie droite : «Charlemagne» avec la fondation des écoles
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Le baptême de Clovis.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
St Leon le Grand, pape de 440 à461, arrête Attila.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Chemin de Croix, en toile marouflée de Georges Desvallières. Jésus rencontre sa Très Sainte Mère. À droite, un groupe ne faisant qu'un avec la Croix : Jésus porte sa Croix; à sa suite, l'Église, en procession et une femme, unie à Jésus par le regard, portant un de ses trois enfants sur son épaule comme Jésus porte sa Croix.
À gauche, un second groupe : Marie, soutenue par une autre femme, les yeux vers Jésus. Derrière, les communiantes. Au centre, sur une ligne, unique, verticale : une communiante, le prêtre, l'Hostie lumineuse, la Croix.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Chemin de Croix, en toile marouflée de Georges Desvallières. Jésus est descendu de la Croix.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Fresque dans la chapelle des Confesseurs
«Le Concordat de Worms» (Mle Roisin). Fresque «L'Église étend ses bienfaits à toute l'Europe» de Marguerite Hanin. Louis VII et Suger.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Fresque dans la chapelle des Confesseurs
«Le Concordat de Worms» (Mle Roisin), st Benoit sur Loire, st Bernard fonde Clairvaux (Marguerite Hanin), les pélerinages du XIIe
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Fresque«L'Église étend ses bienfaits à toute l'Europe» de Marguerite Hanin. St Benoit prêche la 2ème croisade à Vézelay (en haut, à droite le Christ de Vézelay), les Hospitaliers, Louis VII avec Suger.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Fresque de la chapelle des Confesseurs
«Saint François et saint Dominique» (Raymond Virac). A droite, sainte Claire.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Sainte Claire.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Fresque «Saint Louis» dans la chapelle des Confesseurs de Robert-Albert Génicot
«Bénis soient tous les pacifiques». En haut, la cathédrale de Reims.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Chemin de Croix, en toile marouflée de Georges Desvallières. Une pieuse femme essuie la face de Jésus. travers le visage de Jésus, au centre, les ténèbres de droite se changent en lumière à gauche. Le visage du Christ sur le voile de Véronique est transfiguré.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Chemin de Croix, en toile marouflée de Georges Desvallières. Jésus tombe pour la deuxième fois. Le pont traverse de part en part cette toile. La couleur verte nous pousse à l'espérance au cœur de cette chute. Le Christ est à terre, mais n'est pas écrasé. Son regard est implorant.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Chemin de croix «Jésus console les filles d'Israël». Les "filles de Jérusalem", femmes de tous les temps; ici avec "renards" et chapeaux de 1930. (Toile marouflée de Georges Desvallières)
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Fresque de Couturat.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Fresque «Sainte Catherine de Sienne» (Marthe Flandrin, 1904-1987). Au fond, Avignon.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Fresque «Sainte Catherine de Sienne» (Marthe Flandrin, 1904-1987)
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Fresque «Sainte Catherine de Sienne» (Marthe Flandrin, 1904-1987)
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Dante et Giotto. Jeanne d'Arc à Domrémy et à Chinon.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Dante et Giotto.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Jeanne d'Arc à Domrémy, St Michel entouré de Catherine et Marguerite.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Jeanne d'Arc à Chinon, concile de Florence en 1439, Eugène IV et Jean Paleologue. En haut, la sainte Trinité.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Chemin de Croix, en toile marouflée de Georges Desvallières. Jésus tombe pour la troisième fois. Jésus est anéanti. La nature entière est sombre, en deuil... Pourtant une éclaircie aboutit, à gauche, à la silhouette du Sacré Cœur de Montmartre.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Paul Tournon, Dessin d’une dalle funéraire en hommage à un maçon mort pendant le chantier.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Fresque de Jean Dupas dans le bas-côté droit «Christophe Colomb, Concile de Trente et Renaissance». En haut, à gauche la caravelle Santa Maria de Colomb.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
En haut, allongée, E. Branly, la femme de Tournon symbolisant la Religion et la Foi.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
A droite, Champaigne, Corneille, Molière, Raphael, Michel ange, Bramante, Bach et Poussin.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
A gauche, Fénelon, Bossuet, Mansard, Rubens, Descartes, Pascal.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Les Apparitions, Ste Bernadette, Pie IX, Vatican I, les ordres, les missions (André-Hubert Lemaître).
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Lacordaire, Dom Gueranger, Ozanam, les misson, Perboyre est un prêtre lazariste, martyrisé en Chine au XIX siècle, Chanel martyrisé en Océanie.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Chapelle absidiale droite dite «du Travail»(ou de la Sainte Famille) avec sa fresque «La Sainte Famille» d'Henri Charlier et son haut-relief dû à Jacques Martin.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Chapelle absidiale droite dite «du Travail»
Splendide haut-relief représentant la mort de saint Joseph. Œuvre du sculpteur Jacques Martin (1885-1976).
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Années 30, les nouveaux martyrs. A gauche, agenouillée, Marguerite Marie, la révélation du Sacré Coeur. A droite, le cardinal Mercier, Charles de Foucault, Kizito, Lwanga et Mukasa martyrs en Ouganda. A gauche, Paul le Bao Tinh martyr au Tonkin.
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L’Eglise du Saint-Esprit.
Chemin de Croix, en toile marouflée de Georges Desvallières. Jésus est mis au tombeau. Dans le linceul, on ne voit que le visage de Jésus. Marie semble l'envelopper avec amour, comme elle devait s'occuper de Jésus enfant, endormi. La première communiante est là, écartant son voile, et illuminée déjà par les premiers éclats de la Résurrection.
Un couple, à gauche, semble attiré vers le tombeau lumneux.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
L'église Notre-Dame du Raincy est une œuvre majeure de l'architecte Auguste Perret. Le 17 juin 1923, elle est inaugurée, après seulement treize mois de chantier. C'est la première église entièrement en béton armé où ce matériau, considéré par l'architecte comme aussi noble que la pierre, a systématiquement été laissée à l'état brut.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Le clocher (haut de quarante-cinq mètres, il est inspiré des tours-lanterne médiévales) est au-dessus du porche sur la largeur de la nef. La façade occidentale, rompant avec l'économie constructive de Perret, est chargée et peu lisible, l'architecte ayant voulu dissimuler la difficulté du raccord entre le plan basilical et la puissante tour, par des volumes saillants.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Ses façades sont constituées de claustras en béton où sont inséré des milliers de panneaux de vitrail. Elle mérite donc son appellation : « la Sainte-Chapelle du béton armé ».
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L'église Notre-Dame du Raincy.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Le chevet. Auguste Perret remplace les murs extérieurs de l'édifice par des claustras, sorte de résilles de béton où s'inscrivent les vitraux, les transformant en murs de lumière.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Le bas-relief en bronze qui orne le tympan d'entrée conçu par le sculpteur Antoine Bourdelle. C''est une pietà qui a été mise en place et inaugurée le 19 septembre 1999.
Ce bronze avait été commandé pendant les années 1920 par le chanoine Nègre à Bourdelle, mais faute de crédits l'artiste ne réalisa qu'une esquisse conservée au musée Bourdelle. Il a fallu attendre soixante-dix ans pour voir le bronze coulé et installé à l'initiative de l'association RESTAURER l'église Notre-Dame du Raincy.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
La légèreté des colonnes élancées et la lumière des grandes verrières aux variations chromatiques subtiles définissent une esthétique nouvelle, empreinte d'un grand classicisme : le plan rectangulaire est divisé en trois vaisseaux communiquant entre eux et bordés de claustras (une nef centrale flanquée d'un collatéral de chaque côté), l'édifice adoptant ainsi une combinaison entre le formule du plan type d'une église-halle (vaisseaux de même hauteur) au plan basilical (collatéraux deux fois moins larges)
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Quatre rangée de sept fines colonnes galbées et cannelées, de de 11 m de haut sur 43 cm de diamètre (cette finesse des colonnes comparées à des « jambes de girafe » a valu à celle église d'être qualifiée d'architecture d'allumettes), soutiennent de légères voûtes surbaissées (constituées de minces voiles de béton de 3 cm d’épaisseur, Perret comparait leur finesse à une « coquille d’œuf »)), renforcées par des nervures qui évitent le recours à tout système de contrefort, au demeurant incommode en raison de la présence d'un mitoyen ; les deux rangées périphériques sont détachées de la paroi afin d'accentuer l'impression de monumentalité. Le berceau longitudinal de la nef centrale est contrebuté par les berceaux transversaux des collatéraux, chacun de ces éléments étant issu du même moule de coffrage que l'agence Perret avait déjà utilisé, peut-être à Montataire pour les ateliers Marinoni.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Le chœur surélevé et clôturé est encadré par deux escaliers qui mènent aux autels secondaires, de part et d'autre de la chapelle de la Vierge, tous trois placés face au mur du fond, incurvé en son centre.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Les volumes saillants du clocher forment au revers de la façade des cavités que Perret comble par un orgue central et, de part et d'autre, deux chapelles couvertes d'un belvédère octogonal. L'orgue actuel a été conçu par le facteur d'orgue John Abbey en 1875-1876, pour l'église Saint-Louis du Raincy. Il a été transféré à l'église Notre-Dame lors de sa construction en 1923, et restauré en 1957 par Beuchet-Debierre. Il a une certaine valeur historique puisque c'est sur lui que pour la première fois John Abbey a inauguré sa technique du frein harmonique. Malheureusement, la restauration de 1957 a supprimé toute trace de ce procédé et remanié considérablement la composition de l'instrument. L'orgue restauré a été inauguré par Pierre Pincemaille le 17 octobre 2010.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Chapelle baptismale avec son baptistère en béton.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Les vitraux sont un élément indispensable de l'église Notre-Dame du Raincy. Une montée chromatique permet de passer d'un bleu froid et vert tendre à l'entrée au bleu marial soutenu de rouge du sanctuaire. Les façades nord et sud, traitées en tons chauds, présentent des variations de jaunes, roses et ocres, avec des touches de vert et de bleu.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Les parties figuratives des vitraux de Notre-Dame du Raincy sont l'œuvre du peintre Maurice Denis. Cofondateur, à 18 ans, du groupe des « Nabis » (les « Prophètes » en hébreux) en compagnie de Pierre Bonnard, Edouard Vuillard, Félix Vallotton et Paul Sérusier, Maurice Denis se consacre également aux arts décoratifs et devient le théoricien du groupe. Il prône une peinture aux contours nettement définis (voire cernés) et aux couleurs plates (sans effet de relief ou de profondeur) : une simplification figurative, primitiviste et décorative issue de Gauguin.
Lié aux milieux littéraires symbolistes, Maurice Denis s'oriente vers une idéalisation de scènes quotidiennes, finit par se consacrer à une peinture murale imprégnée d'un catholicisme très littéraire et fonde avec Georges Lavallières (l'auteur des peintures de Notre-Dame-des-Missions du-Cygne-d'Enghien à Epinay) « l'Atelier d'art sacré ».
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Marguerite Huré, peintre verrier, a réalisé ces verrières ainsi que les vitraux à motifs géométriques du chœur et de la façade latérale sud. Le célèbre peintre Maurice Denis a dessiné les dix grandes verrières figuratives sur le thème de la vie de la Vierge Marie. Ces vitraux sont sur une trame carrée (10 × 10 cm) qui s'interrompt pour les éléments importants du dessin, à savoir les visages et les mains. Le choix de ce parti, inspiré par les vitraux de l'église Saint-Eustache revient à Marguerite Huré, Maurice Denis, en lui remettant les cartons, n'avait donné aucune indication quant à la coupe des verres.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Les claustra de la grande verrière du Raincy s'accommodaient difficilement de vitraux historiés, si bien que le maître d'ouvrage a confié le programme iconographique des dix grandes verrières au maître-verrier Marguerite Huré, qui a réalisé pour un budget limité en un peu plus d'un an (1922-1923) l'ensemble des motifs géométriques, cette artiste ayant introduit l'art abstrait dans le vitrail religieux. Les vitraux sont peints au vernis à froid sur verre blanc, mais ce procédé excluant la cuisson ne pouvant être que provisoire, il sera repris quelques années plus tard en façade nord par une mise au plomb, sur la façade sud un parti de dessin à la grisaille couchée sur verre antique de couleur sera adopté. Pour faire ressortir chaque élément vitré et l'isoler de son cadre, Marguerite Huré crée un filet de perles blanches périphérique qui filtre la lumière et qui contribue à l'unité d'ensemble. La tradition fortement ancrée des vitraux historiés a incité le maître d'ouvrage à faire entourer les dessins abstraits de Marguerite Huré de baies figuratives plus grandes exécutées sur des cartons de Maurice Denis (pour les parties figurées)
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L'église Notre-Dame du Raincy.
La première verrière à gauche commémore la victoire de la bataille de la Marne en septembre 1914, conformément au vœu d'un généreux donateur.
A MARIE SOUVENIR DE LA VICTOIRE DE L'OURCQ
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L'église Notre-Dame du Raincy.
« Souvenir de la victoire de l'Ourcq en 1914 », ce vitrail (parfois appelé La Vierge aux Taxis) représente des taxis, des « poilus » et des généraux (Foch, Gallieni et Maunoury, dont le poste de commandement était à la mairie du Raincy), en souvenir du départ du Raincy, en septembre 1914, d'une des colonnes des taxis de la Marne.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Première verrière à droite. L'Annonciation.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Première verrière à droite. L'Annonciation.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Première verrière à droite. L'Annonciation.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Deuxième verrière à gauche. L'Assomption.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Deuxième verrière à gauche. L'Assomption.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Deuxième verrière à droite. La Visitation
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Deuxième verrière à droite. La Visitation
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Troisième verrière à gauche. Marie le jour de la Pentecôte
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Troisième verrière à gauche. Marie le jour de la Pentecôte
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Troisième verrière à droite. La Nativité de Jésus
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Troisième verrière à droite. La Nativité de Jésus
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Quatrième verrière à gauche. La communion de Marie
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Quatrième verrière à gauche. La communion de Marie
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Quatrième verrière à droite. Les noces de Cana », Auguste Perret figure parmi les convives
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Quatrième verrière à droite. Les noces de Cana », Auguste Perret figure parmi les convives
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Cinquième verrière à gauche. Marie au pied de la croix.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Cinquième verrière à gauche. Marie au pied de la croix.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Cinquième verrière à droite. Marie rencontre Jésus portant sa croix.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Cinquième verrière à droite. Marie rencontre Jésus portant sa croix.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Chapelle saint François d'Assise.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Chapelle saint François d'Assise.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Chapelle centrale du Sacré Coeur.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Chapelle centrale du Sacré Coeur.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Chapelle centrale du Sacré Coeur.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Chapelle centrale du Sacré Coeur.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Chapelle de gauche.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Chapelle de gauche.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Saint Antoine de Padoue.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Saint Antoine de Padoue.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Saint Expedit.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Sainte Bernadette.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Verre peint.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Verre teinté dans la masse
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Le chemin de croix.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Vitrail au-dessus de l'entrée de la crypte.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
La crypte. Faute d'espace, Perret crée en rez-de-jardin sous le maître-autel une crypte abritant calorifère, sacristie, bureaux, magasin pour le matériel eucharistique, toilettes et salle de catéchisme.
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L'église Notre-Dame du Raincy.
Faute d'espace, Perret crée en rez-de-jardin sous le maître-autel une crypte abritant calorifère, sacristie, bureaux, magasin pour le matériel eucharistique, toilettes et salle de catéchisme.
