La façade Renaissance est ornée de quatre pilastres surmontés d'un fronton triangulaire de chaque côté duquel se trouvent deux pots à feu. Au-dessus de la grande porte une statue de la Sainte Vierge est placée dans une niche. De chaque côté, mais un peu en dessous, se trouvent deux statues : à droite celle de saint Louis tenant la couronne d'épines et à gauche celle Saint Louis d’Anjou, évêque de Toulous ou de saint Théodore). Le portail est de fin XVIII. Le cloître était à droite.
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Eglise Saint Théodore.
Au-dessus de la grande porte une statue de la Sainte Vierge est placée dans une niche. De chaque côté, mais un peu en dessous, se trouvent deux statues : à droite celle de saint Louis tenant la couronne d'épines et à gauche celle de Saint Louis d’Anjou, évêque de Toulouse (ou St Théodore bénissant la ville de Bagnasco). Ces trois statues datent de 1857 et sont des œuvres du sculpteur italien Bagnasco ; elles remplacent les statues d’origine sculptées par Garavasque et détruites en 1794.
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Eglise Saint Théodore.
Satue de la Vierge.
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Eglise Saint Théodore.
Statue celle de saint Louis tenant la couronne d'épines.
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Eglise Saint Théodore.
Statue de Saint Louis d’Anjou, évêque de Toulouse (ou St Théodore bénissant la ville de Bagnasco).
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Eglise Saint Théodore.
L'église de plan traditionnel se compose d'une nef de cinq travées avec des bas-côtés mais sans transept. L'église des Récollets Saint-Théodore est la chapelle du couvent des Récollets (Franciscains Réformés) fondé en 1633. Ce sanctuaire, placé sous le vocable du Roi de France Saint-Louis puis de Saint-Antoine de Padoue, est totalement reconstruit dans la première moitié du XVIIIe s. Après la Révolution, l'église devient paroissiale sous le vocable de Saint-Théodore, ancien évêque de Marseille.
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Eglise Saint Théodore.
Bas-côté droit, avec au fond, la chapelle du Sacré-coeur.
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Eglise Saint Théodore.
Bas-côté gauche, avec au fond, la chapelle de la Vierge.
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Eglise Saint Théodore.
L'église Saint-Théodore est tout ce qui reste d'un important couvent de moines de Saint-François qui désiraient revenir aux règles initiales de leur institution et formèrent un nouvel ordre connu sous le nom de l'observance. Les plus stricts d'entre eux se réunirent pour vivre dans des maisons de recueillement ou récollection, d'où leur nom de Récollets ou de l'étroite observance.
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Eglise Saint Théodore.
Ces moines Récollets s'établirent d'abord en 1619 dans le prieuré de Notre-Dame du Rouet, puis s'installèrent vers 1633 sur un terrain nommé le Coulet de Saint-Jérôme situé à cette époque à l'extérieur des remparts médiévaux et compris entre les rues d'Aix, des Dominicaines, des petites Maries, Bernard Dubois et de La Fare où ils construisent un des plus importants couvents de leur ordre. L'église connue à l'époque sous le vocable de saint Louis roi de France et de saint Antoine de Padoue est consacrée le 21 octobre 1648 par Mgr Étienne de Puget, évêque de Marseille. Autour de l'église se développent les cloîtres du couvent et les annexes.
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Eglise Saint Théodore.
Pendant la Révolution le cloître des Récollets devient l'arsenal de la garde nationale après le retour de l'expédition qui avait été dirigée par les Marseillais, sous la conduite de Barbaroux et de Rebecquv, contre la ville d'Arles : des canons et des munitions sont entreposés dans les salles basses du couvent. Le dimanche 28 avril 1792 des gardes nationaux se servent de boulets pour jouer : le choc des projectiles sur les dalles produisit des étincelles qui entraînèrent une explosion qui fit trente-huit morts et de nombreux blessés. Le couvent à l'exclusion de l'église, est mis en vente et acheté le 9 juin 1792 par le citoyen Gastinel.
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Eglise Saint Théodore.
Après le rétablissement définitif du culte en 1801, un sacrilège est commis dans cette église durant la nuit du 9 au 10 mars 1829 par des voleurs qui dérobent des vases sacrés et les hosties. Des processions et des cérémonies expiatoires sont organisées ; l’émotion est d'autant plus vive que cinq jours plus tard le recteur de Saint-Théodore meurt d'apoplexie.
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Eglise Saint Théodore.
Très curieusement, ce furent les Récollets, bâtisseurs de cette église, qui, répondant à l'appel de Mgr de Belsunce en 1720, luttèrent contre la peste et lui abandonnèrent la moitié de leurs effectifs. C'est lui qui la consacra en 1732. L'église fut la première de Marseille réouverte officiellement au culte après la Révolution et devint une paroisse. C'est alors que, ne pouvant maintenir le vocable de Saint Louis, elle adopta St Théodore pour patron.
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Eglise Saint Théodore.
En 1863, Antoine Sublet peint les voûtes sur le thème de la profanation du tabernacle intervenue en 1829. La thématique de la voûte est le Saint Sacrement : institution de l’eucharistie, Saint Sacrement en gloire entouré d’anges, etc
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Eglise Saint Théodore.
Porte d'entrée de l'église, avec un bénitier de Fossati.
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Eglise Saint Théodore.
Bénitier ancien régime, de Fossati. Les deux bras sont un des symboles des Franciscains : le bras de saint François d’Assise croise celui du Christ. Les deux bénitiers sont de Dominique Fossati.
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Eglise Saint Théodore.
Bénitier ancien régime, de Fossati. Les deux bras sont un des symboles des Franciscains : le bras de saint François d’Assise croise celui du Christ. Les deux bénitiers sont de Dominique Fossati.
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Eglise Saint Théodore.
Une belle coupole éclaire le chœur ; elle occupe la troisième travée en partant du mur d'abside et a la forme d'une ellipse dont le grand axe est perpendiculaire à la direction de la nef. Elle possède huit fenêtres.
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La Vierge, le Sacré-Coeur et st François d'Assise, avec les Stigmates ?
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Saint Louis, avec la couronne d'épines.
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Saint Antoine de Padoue, un roi.
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Saint Antoine de Padoue, un roi et Saint Joseph.
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Saint Théodore ? la Vierge, le Sacré-coeur.
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Entre 1660 et 1710, l'église est agrandie et reconstruite. On commence par le chœur où se trouvaient 60 stalles en deux rangées. Le chœur était fermé par des grilles du XVIIIe qui furent déplacées après la révolution. Après la peste (1722) et jusqu’à la révolution, on reconstruit tout le reste.
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Eglise Saint Théodore.
Le maître autel, orné au centre de l'agneau pascal, est de Fossati.
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Le tabernacle est surmonté de têtes d'anges, sa porte dorée est encadrée par deux anges en marbre.
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Eglise Saint Théodore.
Derrière le maître autel un grand tableau de Jacques-Antoine Beaufort, un des fondateurs de l'Académie de peinture de Marseille, représente l'embarquement de saint Louis, à Aigues-Mortes, pour la croisade : le roi de grandeur nature, habillé en guerrier et entouré de ses soldats, reçoit un bouclier que lui présente un ange.
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Eglise Saint Théodore.
Derrière le maître autel un grand tableau de Jacques-Antoine Beaufort, un des fondateurs de l'Académie de peinture de Marseille, représente l'embarquement de saint Louis, à Aigues-Mortes, pour la croisade : le roi de grandeur nature, habillé en guerrier et entouré de ses soldats, reçoit un bouclier que lui présente un ange.
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Eglise Saint Théodore.
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Eglise Saint Théodore.
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Eglise Saint Théodore.
Le choeur. Les stalles.
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Le choeur. Les stalles.
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Eglise Saint Théodore.
Le choeur. Les stalles.
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Eglise Saint Théodore.
Le choeur.
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Eglise Saint Théodore.
Le choeur.
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C’est le Père Marc-Antoine Auber qui, en 1732, prit l’initiative d’installer un orgue. Toutefois, les constitutions de l’ordre des Récollets prohibant les orgues dans les chapelles conventuelles, il fallut, sur la demande de l’évêque, que le pape Benoît XIV en autorise l’établissement par une bulle du 21 juillet 1742. L’instrument aurait été porté « à sa perfection » sous le supériorat du Père Roch Balestrier, de 1748 à 1750.
A la même époque, un religieux récollet du couvent de Marseille, le Père Lactance, est mentionné comme facteur d’orgues pour l’établissement d’un devis à Pernes-les-Fontaines, dans le Vaucluse, en 1750. Il pourrait être l’auteur des travaux sur l’instrument marseillais.
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Le somptueux buffet d'orgue, construit vers 1735, classé Monument Historique, demeure (avec celui de Saint-Cannat) le témoignage de la facture du XVIIIe.s. Schéma global très parisien, très Louis XIV.
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Eglise Saint Théodore.
La console est sculptée d'instruments de musique.
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Eglise Saint Théodore.
Il faudra attendre 1890 pour que le curé, l’abbé Scelle, décide de doter son église d’un orgue moderne. C’est le facteur marseillais François Mader (marié en cette paroisse le 2 juillet 1857) qui est chargé de construire un instrument neuf (26 jeux sur deux claviers/pédalier) conservant toutefois les anciennes boiseries, celle du Positif de dos ne comportant plus de tuyauterie. Un relevage est entrepris à partir de 1997, à l’initiative des chevaliers du Saint-Sépulcre et avec l’aide de la municipalité. Les travaux sont réalisés par Thierry Lestrez : le buffet retrouve son aspect d’origine. L’inauguration eut lieu le 23 juin 2000 avec le concours du nouveau titulaire, Jean-Paul Serra, et la participation de l’ensemble Baroques Graff
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Eglise Saint Théodore.
De chaque côté, à l'entrée du choeur, se trouvent deux portes.
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Eglise Saint Théodore.
De chaque côté, à l'entrée du choeur, se trouvent deux portes.
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Eglise Saint Théodore.
Les deux dessus de portes sont différents.
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Eglise Saint Théodore.
Les deux dessus de portes sont différents.
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Eglise Saint Théodore.
Grilles qui ont été déplacées de l'entrée du choeur.
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Grilles déplacées de l'entrée du choeur.
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Eglise Saint Théodore.
Le baptistère est situé à droite en entrant.
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Le baptême de Jésus par Saint Jean-Baptiste.
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La composition du baptistère évoque une fontaine jaillissante. La cuve baptismale fait partie d'un ensemble joliment sculpté en marbre polychrome (XVIIIe s.). Les murs, très abîmés par les remontées d'humidité, présentent un e peinture en faux appareillage de pierre.
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L'ensemble est composé d'un portique à coquille, le fond en cul de four, cintré, dont la clef est surmontée de têtes d'angelots, entourées de pots à feu.
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Le portique reçoit une urne monumentale ornée du blason d'une famille locale. La cuve elle-même est en forme de coquille, lisse.
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La statue de St Antoine de Padoue (XVII) a été longtemps l'objet d'une procession. Elle le représente avec l'Enfant Jésus tenant lire la bible avec lui.
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Les deux bas-reliefs témoignent de sa spiritualité et de son éloquence, jointes à la tendresse qu'il portait, comme St François d'Assise, aux animaux.
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Eglise Saint Théodore.
Ainsi voit-on une mule s'agenouiller au passage du Saint Sacrement d’une part,
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d'autre part, Mgr de Sully et les fidèles de Bourges subjugués.
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Chapelle de saint Antoine de Padoue.
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St Jérôme pénitent, attribué à l'espagnol Francisco de Zurbaran (1598-1664).
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Chapelle St Théodore. Saint Théodore a été évêque de Marseille pendant au moins vingt ans, de l’an 575 à l’an 595. Marseille, après avoir enregistré avec peine la chute de l'empire romain (476), subit l'occupation des ostrogotes (chrétiens relevant de l'arianisme). Elle se trouva à partir de 536 sous la coupe des descendants de Clovis : Goutran, son petit-fils, qui occupe la ville basse et dispose d'un gouverneur civil et Childebert II, son arrière-petit-fils (fils de Sigebert et de la fameuse reine Brunehaut), qui gouverne la ville haute, dans laquelle se trouve l’évêché.
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Théodore est fidèle a Childebert et encourt de ce fait, le courroux de Gontran, attisé par son gouverneur civil, Dinamius. Le conflit s’envenime du fait que Childebert est assez favorable à la reconstitution de l'empire latino-grec sous la houlette de l'empereur Maurice, en qui Gontran ne voit qu'un étranger prêt à fondre sur ses biens.
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Eglise Saint Théodore.
À Marseille, alors que Théodore s’efforçait de restaurer la discipline ecclésiastique, il fut condamné par le roi Gontran et trois fois envoyé en exil. Reconnu innocent chaque fois, il rentre dans sa ville en liesse au son des cloches.
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Autel de saint Théodore.
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Autel de saint Théodore.
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Eglise Saint Théodore.
A Constantinople, l'empereur Justinien, couronné en 527 avec son épouse, Théodora, essaie bravement de recomposer l'unité de t'empire. Après sa mort en 565, ses successeurs poursuivent le même rêve mais l'Italie sera occupée par les Lombards et Rome, quasi abandonnée, ne trouvera le secours que dans l'énergie du pape : Grégoire I le Grand (540-590-604). Aministrateur de talent et habile politique, il imposa Constantinople, au grand dam de l'empereur Maurice. C'est dans ce contexte que Théodore (ce qui signifie en grec soldat de Dieu) devint évêque de Marseille. Marseille, est une ville an vif éclat intellectuel, son port est animé. L'Église, particulièrement formée au siècle précédent par Jean Cassien et Salvien, tous deux moines et le prêtre Gennade, remplit parfaitement sa mission. Son premier pasteur, l’évêque, dispose d'une cathédrale et du plus grand baptistère de la chrétienté (vestiges sous le transept droit de la cathédrale).
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Pierre tombale de l'évêque Jean-Baptiste Gault.
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Sainte Thérèse de Lisieux (Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus).
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Eglise Saint Théodore.
Sainte Thérèse de Lisieux (Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus).
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Autel du Sacré-Cœur.
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Autel du Sacré-Cœur.
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Autel du Sacré-Cœur.
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Tableau du jugement de sainte Barbe (François Puget).
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Autel de la Vierge.
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Autel de la Vierge.
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Reliquaire de Saint Théodore.
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Eglise Saint Théodore.
Reliquaire de Saint Théodore.
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Autel de saint Joseph.
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Autel de saint Joseph.
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Eglise Saint Théodore.
Autel de saint Joseph. En bas, les symboles des trois vertus théologales : la foi (croix), l'espérance (ancre) et la charité (coeur enflammé).
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Eglise Saint Théodore.
Autel de saint Joseph. Sur le bouclier le chrisme, l'épée et la palme.
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Eglise Saint Théodore.
Autel de saint Joseph. L'agneau et les sept sceaux de l’Apocalyps. Selon la Bible, l’Agneau Jésus Christ reçut les destinées du monde sous la forme d’un livre scellé par sept sceaux.
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Eglise Saint Théodore.
Statue de St Joseph de Cupertin. C'est un moine franciscain italien célèbre pour les récits de ses lévitations et ses miracles.
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Eglise Saint Théodore.
Statue de St Joseph de Cupertin. La première lévitation de Joseph Desa se serait produite à Copertino, le 4 octobre 1630, lors de la procession en l'honneur de saint François d'Assise. Il était en train d'assister à la procession lorsqu'il se serait tout à coup élevé dans le ciel en poussant un grand cri et serait resté à flotter au-dessus de la foule.
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St François d’Assise, fondateur de l’ordre, statue de 1820 en bois recouvert d’un tissu empesé. La partie basse est du XVIIIe.
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Eglise Saint Théodore.
St François d’Assise, statue de 1820 en bois recouvert d’un tissu empesé.
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Eglise Saint Théodore.
A gauche, St François d’Assise est représenté en prière.
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Eglise Saint Théodore.
A droite, il reçoit les stigmates.
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Eglise Saint Théodore.
En haut, dans la gloire, les deux bras croisés des Franciscains, entourés de la couronne d'épines.
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Eglise Saint Théodore.
Croix de 1873.
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Eglise Saint Théodore.
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Eglise Saint Théodore.
Le chemin de Croix. 4ème station.
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Le chemin de Croix. 5ème station.
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Le chemin de Croix. 11ème station.
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Le chemin de Croix. 12ème station.
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Arc de la nef.
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Arc de la nef.
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Eglise Saint Théodore.
Vitraux de la nef, à gauche. Le pélican symbolise le sacrifice du Christ, qui verse son sang pour le salut du genre humain.
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Vitraux de la nef, à gauche. La croix et la vigne.
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Vitraux de la nef, à gauche. La rose.
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Vitraux de la nef, à gauche. La tiare.
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Eglise Saint Théodore.
Vitraux de la nef, à gauche. Les Tables de la Loi.
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Vitraux de la nef, à droite. L'hostie.
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Eglise Saint Théodore.
Vitraux de la nef, à droite. Le Sacré-Coeur.
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Eglise Saint Théodore.
Vitraux de la nef, à droite. Les deux bras et la croix.
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Eglise Saint Théodore.
Vitraux de la nef, à droite. Le Chrisme, l'épée, la palme et la couronne d'épines.
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Eglise Saint Théodore.
Vitraux de la nef, à droite. L'agneau et les sept sceaux.
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Eglise Saint Théodore.
Vitraux du choeur. Le Sacré-Coeur.
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Eglise Saint Théodore.
Vitraux du choeur. La mitre, la crosse de l'évêque et la croix tréflée.
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Eglise Saint Théodore.
Vitraux du choeur. L'hostie
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Eglise Saint Théodore.
Sacristie : les boiseries d’origine ont disparu.
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Eglise Saint Théodore.
Les stucs sont d’époque Louis XV, du XVIIIe. On peut voir des médaillons avec les bras croisés, dans les angles des encensoirs desquels s’échappe de la fumée
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Eglise Saint Théodore.
Médaillon avec les cinq plaies, deuxième symbole de l’ordre.
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Eglise Saint Théodore.
Sacristie
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Au plafond, une toile du XVIIIe représente une coupole en trompe l’œil. Parmi les belles pièces, ciboire en vermeil, de 1830 par l'orfèvre Jean Baptiste Chadulin qui a réalisé la statue en argent du maître-autel de ND de la Garde.
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Eglise Saint Théodore.
Toile de la sacristie.
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Eglise Saint Théodore.
Toile de la sacristie. La Crucifixion.
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Toile de la sacristie.
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Eglise Saint Théodore.
Toile de la sacristie.
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Eglise Saint Théodore.
Toile de la sacristie.
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Eglise Saint Théodore.
Toile de la sacristie. Le deuxième personnage en partant de la droite, est sans douite Moïse, reconnaissable par les deux "cornes".
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Toile de la sacristie. Le sacrifice d'Abraham.
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Toile de la sacristie.
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Eglise Saint Théodore.
Toile de la sacristie. Le buisson ardent ?
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Eglise Saint Théodore.
Médaillon avec les bras croisés, un des symboles des Franciscains : bras du Christ et bras de saint François d'Assise.
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Eglise Saint Théodore.
Médaillon avec les cinq plaies, deuxième symbole de l’ordre.
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Eglise Saint Théodore.
Dans les angles, on peut voir des encensoirs desquels s’échappe de la fumée
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Eglise Saint Théodore.
Objets liturgiques : encensoir, missel, étole, bannière et ostensoir.
