Eglises Saint Joseph intra muros et Saint Nicolas de Myre.
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Saint Joseph intra muros.
C'est l'une des 40 églises construites ou agrandies par Monseigneur de Mazenod après le rétablissement du diocèse en 1823. Ellet fut construite en 1833, dans ce quartier où résidaient les grandes familles de négociants et d'armateurs. C'est l'oeuvre de Pascal Coste (1787-1879), sur un plan basilical, en référence aux basiliques paléochrétiennes de Ravenne et à celles de Brunelleschi à Florence. La direction des travaux fut prise par Vincent Barral, architecte du département. Les travaux, interrompus, reprirent en 1842 sous la direction de l'architecte Decanis. Elle fut consacrée en 1855. La façade néo-classique est achevée par l'architecte Ferrié en 1864.
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La façade, confiée à l'architecte Ferrié (sur les plans de Coste), fut achevée en 1864. Un portique élevé de cinq marches est constitué de six colonnes cannelées à chapiteaux corinthiens, supportant un fronton triangulaire. A ses extrémités, deux pilastres carrés.
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La large nef, de 40 m de longueur et de 16,50 m de hauteur, est bordée de bas-côtés; chacun de ceux-ci est séparé de la nef par des arcades reposant sur huit colonnes corinthiennes cannelées.
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Le plafond en caissons est l'oeuvre de Henry Espérandieu. Chaque caisson est orné d'une fleur dorée. Les tableaux sont du peintre Orsi, ici l'Assomption et la Présentation au temple de la Vierge.
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L'Assomption.
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L'Annonciation.
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La nef se termine par un sanctuaire de 15 m de long, en forme d'hémicycle.
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Le maître-autel .Don de Mme Noilly Prat, marbres de Jules Cantini, plans de l'architecte lyonnais Louis Jean Sainte Marie Perrin. Le baldaquin est en fortme d'arc de triomphe. Les colonnes sont en marbre rouge de Numidie, avec des chapiteaux dorés. A son sommet, un fronton interrompu abrite une statue de Saint Joseph tenant dans ses bras l'enfant Jésus. Cette statue est l'œuvre de Millefaut.
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L'autel de célébration, orné par pietà, encadrée par deux anges.
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Le maître-autel. La porte du tabernacle est en argent ciselé, provenant de la Maison Caillat, de Lyon. le tombeau est orné
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Derrière le maître-autel on remarque un orgue de chœur construit en 1896 par François Mader.
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Les stalles.
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Les stalles d'honneur. Chimères sculptées par les ateliers de l'Oratoire Don Bosco.
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Abside. Portraits en médaillon du Christ, de la Vierge et de Saint Joseph par le peintre marseillais Michelon.
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Abside. Croix de style byzantin avec des simulations de grosses pierres précieuses.
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Abside. Derrière le maître-autel.
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La chaire. Inaugurée le ler avril 1846, elle est en marbre blanc .
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La chaire. Elle est soutenue par trois grandes statues en carton pierre représentant les vertus théologales : la Foi portant un calice, l'Espérance devant une ancre, la Charité tenant un nourrisson et protégeant un enfant.
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La chaire. L'abat-voix est porté par deux anges aux ailes déployées. Au-dessus, un ange ailé montre l'Évangile ouvert.
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La chaire. Jésus devant les docteurs.
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La chaire. l'Adoration des Mages
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La chaire. la Donation des clefs
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Bas-côté gauche. Les peintures ornementales de la nef datent de 1924 et ont été exécutées par la Maison Paul Aquatella
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Bas-côté droit. Les 16 médaillons figurent les symboles bibliques.
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Orgue du facteur Aristide Cavaillé-Coll, inauguré en 1868, restauré en 1988. Il remplace un orgue installé en 1847 par Joseph Callinet, de Rouffach (68). La console, séparée et retournée face à la nef, comporte trois claviers manuels (grand orgue, 16 jeux ; positif expressif, 9 jeux ; récit expressif, 10 jeux) et un pédalier (10 jeux).
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L'orgue est installé sur une tribune dessinée par l'architecte Espérandieu.
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Tribune de l'orgue.
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Bas-côté gauche. La chapelle des âmes du Purgatoire. Marbre noir et rouge foncé.
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Chapelle de Jeanne d'Arc. Auparavant consacrée aux Morts de la Guerre. Elle est l'œuvre de l'architecte Théophile Dupoux. La statue, représentée offrant son épée à Dieu, est du sculpteur Auguste Cornu, l'autel de l'entrepreneur Pierre Brun, les décors de bronze sortent de la maison Rebuffat et Olive et de la maison Pironi, les blasons représentant la paroisse, les armes de Jeanne d'Arc et une croix de Lorraine de la maison Patrizio, l'ornementation peinte de l'arc de M. Bertrand.
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Le Pharisien et le Publicain , fresque de Varade et Sari de 1925
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Statue de Sainte Anne et la Vierge .
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L'Arche de Noé et la colombe.
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Le bon samaritain , fresque de Varade et Sari de 1925
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Le bon samaritain, fresque de Varade et Sari de 1925
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Autel du Sacré-Cœur de Jésus. Don de Mme Noilly Prat.
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La parabole de la drachme perdue.
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Abside du bas-côté gauche. L'autel de la Vierge. Don de Mme Noilly Prat. Dans le cul-de-four de l'abside, une fresque illustrant la Trinité.
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Saint Joseph intra muros.
Abside du bas-côté droit. L'autel de Saint Joseph. La statue date de la première moitié du XXème siècle. Le décor de la chapelle est dû à un don de Mme Noilly Prat datant de 1868-1869.
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Saint Joseph intra muros.
L'agneau mystique et les quatre fleuves du paradis
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Statue du curé d'Ars en plâtre
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Saint Joseph intra muros.
Le retour du fils prodigue. Varade et Sari, 1925.
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Autel de St Thérèse d'Avila. Statue du sculpteur Auguste Cornu.
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Chapelle de St Thérèse d'Avila. Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, de Mathilde Hugueniot 1928.
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Saint Joseph intra muros.
Monument funéraire du fondateur de l'église, l'abbé Antoine Marie Joseph Abbat. A la base sont situées quatre urnes en bronze, chacune à un angle.
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Monument funéraire du fondateur de l'église, l'abbé Antoine Marie Joseph Abbat. Un ange à genoux, au sommet du monument, porte le portrait en médaillon de l'abbé Abbat (1831-1866).
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Le chrisme.
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Chapelle des fonts baptismaux. Au fond de la chapelle, un fronton soutenu par des pilastres en marbre de Carrare forme un retable. Dans le fronton, l'arche de Noé et la colombe.
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Exécutés en 1931 par la Grande Marbrerie du Midi d'après les dessins de Charles Varade. Les portes du temple en cuivre servent à la réserve des saintes huiles.
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La cuve baptismale en marbre sculptée (godrons et feuilles d'acanthe, rinceaux et tête de lion à chaque angle) est sur un pied à 3 branches avec 3 poissons sculptés qui représentent des baleines (symbole de Jonas). Nous retrouvons également cette représentation sur le couvercle en bronze doré sur une croix dans un cercle. Le poisson symbolisant également le Christ dans son écriture grecque.
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Saint Joseph intra muros.
Chapelle des fonts baptismaux. Moïse faisant jaillir l'eau du Miracle du rocher d'Horeb. La colombe est le symbole du St Esprit indissociable du sacrement du baptême.
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Saint Joseph intra muros.
Le pauvre Lazare et le mauvais riche. Un homme malade mendie devant une porte, des chiens viennent lui lécher les jambes, c'est le pauvre Lazare. Dans le fond, un homme festoie et ignore totalement Lazare, c'est le mauvais riche.
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Saint Joseph intra muros.
A côté des entrées latérales se trouvent, à gauche un tableau présentant la Prédication de Saint François Xavier
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et à droite, l'Eucharistie et la Sainte Vierge, de Bronzet aîné.
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Saint Joseph intra muros.
La sacristie. Messire Marie Joseph Abbat, fondateur de la paroisse en 1831, 1er curé de la paroisse, peint par N. G. Lagier en 1883.0
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La sacristie. Messire Gaspard Clément Guiol 2ème curé de la paroisse 1866-1893, œuvre de L. Espinos
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La sacristie. Messire Louis Ambroise Mendre 3ème curé de la paroisse, toile anonyme de la fin du XIXème siècle
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La sacristie.
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La sacristie. Le chapier.
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La sacristie.
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La sacristie.
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La sacristie.
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La sacristie.
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Salle du catéchisme. La sanctification de Saint Joseph par Pierre Jean (1890).
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Saint Joseph intra muros.
Salle du catéchisme. Le Mariage de la Vierge par Emile Lagier.
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Salle du catéchisme. L'Adoration des bergers, anonyme.
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Salle du catéchisme. La mort de Saint-Joseph Pierre Jean (1890).
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Salle du catéchisme. La Fuite en Egypte de L. Maistre (1890)
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Saint Joseph intra muros.
Salle du catéchisme. L'Atelier de Nazareth par Emile Lagier.
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St Nicolas de Myre.
En 1798, après la défaite de Saint Jean d'Acre, les troupes révolutionnaires françaises quittent l'Egypte emmenant avec elles une centaine de chrétiens ralliés à la France. Installés à Marseille, ils constituent alors la première communauté orientale chrétienne importante de France. Alimentée par l'arrivée massive au début du XIXéme siècle de réfugiés grecs catholiques syriens, cette communauté s'est progressivement étendue et demanda aux autorités religieuses et politiques le droit d'édifier son propre lieu de culte. En 1820, l'archevêque de Myre, Maximos Mazloum, arrive à Marseille et entreprend les démarches nécessaires avec l'aide de notables orientaux comme les familles Sakakini et Homsy. La même année, un édit du roi de France Louis XVIII donne la permission de construire la première église grecque catholique de France et d'Europe. En 1821, Monseigneur Ferdinand de Beausset, archevêque d’Aix et d’Embrun inaugure l’église en présence du Marquis de Montgrand, Maire de Marseille.
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St Nicolas de Myre.
L'originalité de cette paroisse apparaît d'abord à travers la date de sa fondation et son fondateur. Construite bien avant que les Grecs Catholiques aient obtenu légalement le droit de construire leur propre lieu de culte en Orient, elle est en ce sens, bien plus ancienne que la plus ancienne église grecque catholique du Proche Orient. Son édification rapide et précoce résulte de la volonté et du courage d'un archevêque hors du commun qui devint par la suite le Patriarche, Maximos Mazloum. Sa perspicacité et sa finesse d'esprit étaient tels qu'il ne se contenta pas de créer une église mais qu'il lui prépare volontairement et involontairement un avenir et un rôle déterminant dans l'histoire de Marseille : en accord avec l'évêque du lieu, il fit du bi-ritualisme une condition fondamentale. La célébration par alternance des offices de rites byzantin (pour les catholiques d'orient) et latin (pour les catholiques d'occident) dans un même lieu permettait ainsi un « brassage », un mélange entre les paroissiens français et levantins facilitant leur intégration
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St Nicolas de Myre.
La grille en fer forgé, due aux établissements Louis Trichard, a été installée pour le centenaire en 1921, ainsi que les verrières.
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Les Grecs Catholiques sont des catholiques de rite byzantin issus des trois patriarcats d'Antioche, Jérusalem et Alexandrie. Le terme de "Melkite" vient du syriaque "Malko" qui signifie "empereur". Apparu en 451 ap. J.C, ce nom fut attribué par les Monophysites aux Chrétiens d'Orient ayant accepté les décisions du Concile de Chalcédoine et restés fidèles aux principes de l'Eglise Universelle. 451- Concile de Chalcédoine. Première division des chrétiens d'Orient en deux tendances : les Melkites (partisans du Concile, fidèles à l'Eglise Universelle) et les Monophysites (opposants au Concile).
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St Nicolas de Myre.
1054- Séparation des Eglises d'Orient et d'Occident : suite à une querelle entre les patriarches de Rome et de Constantinople, la chrétienté se divise en deux : l'Eglise orthodoxe dont l'influence s'étend sur là partie orientale de l'ancien empire romain et l'Eglise Catholique dont l'autorité s'étend sur la partie occidentale de ce même empire. Les Melkites choisissent de rester fidèles à l'Eglise d'Orient. 1724- Division des Melkites : une querelle concernant l'élection d'un patriarche divise les Melkites en deux tendances : les Grecs Orthodoxes ou Melkites Orthodoxes et les Grecs Catholiques ou Melkites Catholiques rattachés à Rome.
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Bannière de procession : Saint Georges terrassant le dragon. Saint Georges terrasse d'un coup de sabre le dragon mordant la croupe de son cheval. Il est couronné par deux anges descendant des nuées, où se tient un Christ Pantocrator. A gauche, quatre figures couronnées s'animent autour d'un petit édifice.
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Bannière de procession : Saint Nicolas. Dans un médaillon ovale entouré d'une inscription en grec, le saint apparaît bénissant, avec les trois "enfants" sauvés dans leur baquet. Le paysage autour de lui est oriental, avec de grands palmiers.
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St Nicolas de Myre.
Les points communs aux quaytr médaillons: Les nuages représentent l'Orient (le pays du levant) avec les souffrances endurées par les fidèles. Les couleurs : le bleu foncé représente la mer par laquelle les chrétiens d'Orient sont venus jusqu'à Marseille. (Le bleu dans l’icône représente l'humanité). Le bleu ciel représente le ciel de Marseille, toujours bleu, semblables aux cieux de l’orient. Le jaune, représente le coucher du soleil, l'Occident, on vient de l’orient en Occident. Les anges : deux anges sont présents dans les quatre médaillons. Les anges manifestent la présence du seigneur auprès de son peuple.
Médaillon de « la foi ». Le motif ajouté est la Croix qui est célébrée solennellement comme signe de victoire. Pour les chrétiens orientaux La Croix à une place importante dans le calendrier liturgique et dans la vie quotidienne
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Médaillon de « l'espérance ». Le motif ajouté est l'ancre : poussé par l'espérance on quitte sa terre et ses souffrances à la recherche d'une vie meilleure.
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Médaillon de « la charité » : deux enfants portés par un ange qui représente cette communauté dépouillée de ses traditions, de sa culture, de sa langue, de ses terres et de ses biens. Le deuxième ange porte à sa ceinture un panier de paix. Souvent destiné aux nombreux soldats et à leurs familles qui avaient quitté l’Orient à la suite des guerres qu'ils avaient vécues et qui avaient provoqué leur départ. Et de sa main droite l’ange distribue de l'argent à ces familles, selon le grade de chaque soldat.
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St Nicolas de Myre.
Médaillon de « la récompense ». Deux anges sont représentés, l'un des deux évoque l'archevêque Maximos Mazloum qui de passage à Marseille, a désiré visiter la communauté. En voyant ses souffrances et sa misère il décida de fonder cette belle et magnifique église pour la communauté qui était comme un troupeau sans pasteur.
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St Nicolas de Myre.
Chaire à prêcher. Cuve hexagonale à panneaux marquetés séparés de colonnes accolées ; culot mouluré ; dosseret marqueté encadré de pilastres ; abat-voix hexagonal en forme d'entablement, couronné d'un dais formé de six montants chantournés.
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St Nicolas de Myre.
Les verrières sont dues à Pomez.
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Autel de st Joseph.
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St Nicolas de Myre.
Autel des trépassés. Un ange tire une âme du purgatoire, sous l'oeil bienveillant de la Vierge et de Jésus.
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Autel de st Anne. A droite, Reliquaire-calendrier liturgique. Au centre, un tableau-reliquaire renferme plus de 360 reliques ordonnées de manière à former un temple à l'Antique. .Chaque relique est portée par une fleur découpée dans un ruban sur lequel se trouve le nom du saint de chaque jour de l'année. Ce tableau est pris dans un meuble d'ébénisterie marqueté de bois précieux, de nacre et d'ivoire, qui forme cadre, console et entablement couronné de deux vases et d'un fronton surmonté d'une croix.
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St Nicolas de Myre.
Autel de st Anne.
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Autel de st Nicolas de Myre.
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St Nicolas de Myre.
Baptême du Christ. Le Baptiste et le Christ se tiennent au centre de la composition, dans les eaux du Jourdan, auréolés de nuées masquant la dorure du fond. De part et d'autre, deux anges agenouillés. Le style de l'œuvre, qui fait encore penser au 18e siècle, corrobore une date précoce dans le siècle. Il est impossible de dire, à ce stade, s'il s'agit d'une oeuvre réalisée en Méditerranée orientale, en Italie ou même à Marseille. Elle témoigne en tout cas de l'évolution de l'icône sous l'influence de l'art occidental.
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