L'Eglise de Saint Giniez, la Chapelle des Trinitaires, la Synagogue.

<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Connu dès le Ve siècle sur les bords marécageux de la plaine del'Huveaune, le hameau de Sain Giniez grandit autour d'un prieuré fondé par les moines Cassianites. Tombée en ruine, la chapelle est rebâtie au milieu du XIe siècle par Isarn, abbé de Saint-Victor. Au XVIIe siècle est construite d'une égliseaccolée avec la chapelle qui est transformée en sacristie. En 1870, la nef est allongée et surélevée.
Eglise de Saint Giniez.
Connu dès le Ve siècle sur les bords marécageux de la plaine del'Huveaune, le hameau de Sain Giniez grandit autour d'un prieuré fondé par les moines Cassianites. Tombée en ruine, la chapelle est rebâtie au milieu du XIe siècle par Isarn, abbé de Saint-Victor. Au XVIIe siècle est construite d'une égliseaccolée avec la chapelle qui est transformée en sacristie. En 1870, la nef est allongée et surélevée.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Le colatéral, à gauche, est l'ancienne chapelle d'Isarn. L'église, datant de 1638, a été consacrée en 1889. Le crucifix, au-dessus du monument aux morts, a été supprimé.
Eglise de Saint Giniez.
Le colatéral, à gauche, est l'ancienne chapelle d'Isarn. L'église, datant de 1638, a été consacrée en 1889. Le crucifix, au-dessus du monument aux morts, a été supprimé.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center>
Eglise de Saint Giniez.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> La façade est restée inachevée.
Eglise de Saint Giniez.
La façade est restée inachevée.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Le tympan a été sculpté en 2003.
Eglise de Saint Giniez.
Le tympan a été sculpté en 2003.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Entrée latérale.
Eglise de Saint Giniez.
Entrée latérale.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Le chevet plat. Le clocher avec ses volutes baroques.
Eglise de Saint Giniez.
Le chevet plat. Le clocher avec ses volutes baroques.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> La nef.
Eglise de Saint Giniez.
La nef.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> La nef. En 1937, quatre grandes ouvertures ogivales furent ouvertes afin de transformer l'ancienne chapelle d'Isarn en collatéral gauche.
Eglise de Saint Giniez.
La nef. En 1937, quatre grandes ouvertures ogivales furent ouvertes afin de transformer l'ancienne chapelle d'Isarn en collatéral gauche.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Voûte à croisée d'ogives de la nef.
Eglise de Saint Giniez.
Voûte à croisée d'ogives de la nef.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Deux clefs de voûte.
Eglise de Saint Giniez.
Deux clefs de voûte.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Les croisées d'ogives retombent sur des piliers aux chapiteaux décorés et peints.
Eglise de Saint Giniez.
Les croisées d'ogives retombent sur des piliers aux chapiteaux décorés et peints.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center>
Eglise de Saint Giniez.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center>  En 1937, quatre grandes ouvertures ogivales furent ouvertes afin de transformer l'ancienne chapelle d'Isarn en collatéral gauche.
Eglise de Saint Giniez.
En 1937, quatre grandes ouvertures ogivales furent ouvertes afin de transformer l'ancienne chapelle d'Isarn en collatéral gauche.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Côté droit de la nef, avec des panneaux peints de la forme des ouvertures de gauche.
Eglise de Saint Giniez.
Côté droit de la nef, avec des panneaux peints de la forme des ouvertures de gauche.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center>  Le choeur.
Eglise de Saint Giniez.
Le choeur.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Autel en bois du XVIIIème siècle, auparavant dédié à la Vierge, avec des têtes de chérubins aux deux angles de devant.
Eglise de Saint Giniez.
Autel en bois du XVIIIème siècle, auparavant dédié à la Vierge, avec des têtes de chérubins aux deux angles de devant.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Au dessus de l'autel, un crucifix du XVIIIe siècle suspendu.
Eglise de Saint Giniez.
Au dessus de l'autel, un crucifix du XVIIIe siècle suspendu.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Le crucifix du XVIIIe siècle.
Eglise de Saint Giniez.
Le crucifix du XVIIIe siècle.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Statue du Sacré-Coeur avec la petite rosace représentant le Saint-Esprit.
Eglise de Saint Giniez.
Statue du Sacré-Coeur avec la petite rosace représentant le Saint-Esprit.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> La colombe du Saint-Esprit.
Eglise de Saint Giniez.
La colombe du Saint-Esprit.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center>
Eglise de Saint Giniez.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center>
Eglise de Saint Giniez.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> L'ambon est moderne, orné d'un aigle sculpté, symbole de saint Jean l'évangéliste.
Eglise de Saint Giniez.
L'ambon est moderne, orné d'un aigle sculpté, symbole de saint Jean l'évangéliste.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> La Sainte Face du Christ.
Eglise de Saint Giniez.
La Sainte Face du Christ.
25
<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Peinture sur verre représentant la Vierge à l'Enfant. En bas, deux anges musiciens encadrent une Nativité. Au milieu, Marie et l'ange Gabriel pour l'Annonciation. Tout en haut, le couronnement de la Vierge.
Eglise de Saint Giniez.
Peinture sur verre représentant la Vierge à l'Enfant. En bas, deux anges musiciens encadrent une Nativité. Au milieu, Marie et l'ange Gabriel pour l'Annonciation. Tout en haut, le couronnement de la Vierge.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Statue en plâtre de Saint Giniez. Le nom de Giniez vient de Génésius dont la traduction ordinaire est Genès. Genès est né à Arles au IIIème siècle. Trés jeune il exerce la profession de greffier auprés du tribunal romain. En 3O3, lors des persécutions ordonnées par l’empereur Dioclétien, genès refusa de transcrire un édit prescrivant l’exécution des chrétiens. Il fut alors condamné à mort, réussit à s’échapper mais fut rattrapé et décapité par les romains dans le quartier d’Arles qui porte son nom.
Eglise de Saint Giniez.
Statue en plâtre de Saint Giniez. Le nom de Giniez vient de Génésius dont la traduction ordinaire est Genès. Genès est né à Arles au IIIème siècle. Trés jeune il exerce la profession de greffier auprés du tribunal romain. En 3O3, lors des persécutions ordonnées par l’empereur Dioclétien, genès refusa de transcrire un édit prescrivant l’exécution des chrétiens. Il fut alors condamné à mort, réussit à s’échapper mais fut rattrapé et décapité par les romains dans le quartier d’Arles qui porte son nom.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Statue de la Vierge, en carton pierre, décorant le chevet du colatéral de gauche.
Eglise de Saint Giniez.
Statue de la Vierge, en carton pierre, décorant le chevet du colatéral de gauche.
28
<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Statue du XXème siècle représentant Saint Joseph tenant l'enfant Jésus.
Eglise de Saint Giniez.
Statue du XXème siècle représentant Saint Joseph tenant l'enfant Jésus.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Statue de Saint Isarn, le célèbre abbé de St Victor, dans le colatéral de gauche, son ancienne chapelle.
Eglise de Saint Giniez.
Statue de Saint Isarn, le célèbre abbé de St Victor, dans le colatéral de gauche, son ancienne chapelle.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Statue du curé d'Ars.
Eglise de Saint Giniez.
Statue du curé d'Ars.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Vitraux du XIXe. Sainte Agnès avec l'agneau.
Eglise de Saint Giniez.
Vitraux du XIXe. Sainte Agnès avec l'agneau.
32
<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Saint Blaise avec deux bougies.
Eglise de Saint Giniez.
Saint Blaise avec deux bougies.
33
<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Saint Roch, montrant son bubon, avec le chien et le boudon de pélerin.
Eglise de Saint Giniez.
Saint Roch, montrant son bubon, avec le chien et le bourdon de pélerin.
34
<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Sainte Claire, avec un ostensoir.
Eglise de Saint Giniez.
Sainte Claire, avec un ostensoir.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Saint Pierre, avec les clefs.
Eglise de Saint Giniez.
Saint Pierre, avec les clefs.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Saint Paul, avec le glaive et un volumen.
Eglise de Saint Giniez.
Saint Paul, avec le glaive et un volumen.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Sainte Madeleine, avec la tête de mort.
Eglise de Saint Giniez.
Sainte Madeleine, avec la tête de mort.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Saint François en habit de moine.
Eglise de Saint Giniez.
Saint François en habit de moine.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Saint Aloys.
Eglise de Saint Giniez.
Saint Aloys.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Sainte Philomène, avec la palme du martyr et l'ancre pour l'espérance.
Eglise de Saint Giniez.
Sainte Philomène, avec la palme du martyr et l'ancre pour l'espérance.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Sur la tribune l'orgue de la maison Mutin-Cavaillé-Coll, construit en 1912, et dont le buffet est en chêne massif de l'atelier Blanqui à Marseille..
Eglise de Saint Giniez.
Sur la tribune l'orgue de la maison Mutin-Cavaillé-Coll, construit en 1912, et dont le buffet est en chêne massif de l'atelier Blanqui à Marseille..
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> La grande rosace de la façade.
Eglise de Saint Giniez.
La grande rosace de la façade.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Dans la chapelle des fonts baptismaux, l'autel de Notre-Dame de l'Huveaune, avec la petite statue en bois doré de Notre-Dame de l'Huveaune.
Eglise de Saint Giniez.
Dans la chapelle des fonts baptismaux, l'autel de Notre-Dame de l'Huveaune, avec la petite statue en bois doré de Notre-Dame de l'Huveaune.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Autel de Notre-Dame de l'Huveaune, avec la petite statue en bois doré de Notre-Dame de l'Huveaune.
Eglise de Saint Giniez.
Autel de Notre-Dame de l'Huveaune, avec la petite statue en bois doré de Notre-Dame de l'Huveaune.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Le tabernacle de l'autel de Notre-Dame de l'Huveaune, avec l'agneau saint et le chrisme sur le fanion.
Eglise de Saint Giniez.
Le tabernacle de l'autel de Notre-Dame de l'Huveaune, avec l'agneau saint et le chrisme sur le fanion.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> La petite statue en bois doré de Notre-Dame de l'Huveaune. La tradition ferait remonter cette statue au temps du monastère médiéval de Notre-Dame de l'Huveaune, mais elle serait plutôt du XVIe siècle.
Eglise de Saint Giniez.
La petite statue en bois doré de Notre-Dame de l'Huveaune. La tradition ferait remonter cette statue au temps du monastère médiéval de Notre-Dame de l'Huveaune, mais elle serait plutôt du XVIe siècle.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> La petite statue en bois doré de Notre-Dame de l'Huveaune.
Eglise de Saint Giniez.
La petite statue en bois doré de Notre-Dame de l'Huveaune.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> La petite statue en bois doré de Notre-Dame de l'Huveaune.
Eglise de Saint Giniez.
La petite statue en bois doré de Notre-Dame de l'Huveaune.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Saint Blaise, statue en plâtre.
Eglise de Saint Giniez.
Saint Blaise, statue en plâtre.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Saint Antoine de Padoue, statue en plâtre.
Eglise de Saint Giniez.
Saint Antoine de Padoue, statue en plâtre.
51
<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Vierge en majesté, tableau du XVIIème siècle. La Vierge, debout sur un croissant de lune et le globe terrestre, foule aux pieds le serpent du mal.
Eglise de Saint Giniez.
Vierge en majesté, tableau du XVIIème siècle. La Vierge, debout sur un croissant de lune et le globe terrestre, foule aux pieds le serpent du mal.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Les fonts baptismaux.
Eglise de Saint Giniez.
Les fonts baptismaux.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Le plafond de la chapelle.
Eglise de Saint Giniez.
Le plafond de la chapelle.
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<center>Eglise de Saint Giniez. </center> Le baptême de Jésus.
Eglise de Saint Giniez.
Le baptême de Jésus.
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<center>Chapelle des Trinitaires</center> Portail, avec sur les piliers et les battants la croix des Trinitaires. Le bâtiment abrite aujoud'hui l'ehpad Regain.
Chapelle des Trinitaires
Portail, avec sur les piliers et les battants la croix des Trinitaires. Le bâtiment abrite aujoud'hui l'ehpad Regain.
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<center>Chapelle des Trinitaires</center> Les Trinitaires est un  ordre religieux dit rédempteur fondé en 1194 par le Français saint Jean de Matha et Félix de Valois, à l'origine pour racheter les chrétiens prisonniers des
Chapelle des Trinitaires
Les Trinitaires est un ordre religieux dit rédempteur fondé en 1194 par le Français saint Jean de Matha et Félix de Valois, à l'origine pour racheter les chrétiens prisonniers des "infidèles", qui aujourd'hui aide les captifs de toutes sortes, visitent les prisonniers et les malades.
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<center>Chapelle des Trinitaires</center> Sur la porte du tabernacle, unpélican nourrit ses trois petits
Chapelle des Trinitaires
Sur la porte du tabernacle, unpélican nourrit ses trois petits
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<center>Chapelle des Trinitaires</center> Une Vierge à l'Enfant, et au-dessus, le triangle de la Trinité.
Chapelle des Trinitaires
Une Vierge à l'Enfant, et au-dessus, le triangle de la Trinité.
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<center>Chapelle des Trinitaires</center> La croix pattée des trinitaires.
Chapelle des Trinitaires
La croix pattée des trinitaires.
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<center>Chapelle des Trinitaires</center>
Chapelle des Trinitaires
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<center>Chapelle des Trinitaires</center>
Chapelle des Trinitaires
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<center>Chapelle des Trinitaires</center> Un crucifix, Saint Antoine de Padoue et Jeanne d'Arc.
Chapelle des Trinitaires
Un crucifix, Saint Antoine de Padoue et Jeanne d'Arc.
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<center>Chapelle des Trinitaires</center> Saint Joseph et l'enfant Jésus, une Virege.
Chapelle des Trinitaires
Saint Joseph et l'enfant Jésus, une Vierge.
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<center>Chapelle des Trinitaires</center> Une Vierge en majesté.
Chapelle des Trinitaires
Une Vierge en majesté.
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<center>Chapelle des Trinitaires</center> Dans la chapelle se trouve la reproduction des blasons de différents évêques de marseille.
Chapelle des Trinitaires
Dans la chapelle se trouve la reproduction des blasons de différents évêques de marseille.
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<center>Chapelle des Trinitaires</center>
Chapelle des Trinitaires
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<center>Chapelle des Trinitaires</center>
Chapelle des Trinitaires
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<center>Chapelle des Trinitaires</center>
Chapelle des Trinitaires
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<center>Chapelle des Trinitaires</center>
Chapelle des Trinitaires
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<center>Chapelle des Trinitaires</center> Félix de Valois, fondateur avec saint Jean de Matha de l’Ordre des Trintaires, est souvent reorésenté à côté d'un cerf.
Chapelle des Trinitaires
Félix de Valois, fondateur avec saint Jean de Matha de l’Ordre des Trintaires, est souvent représenté à côté d'un cerf.
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<center>Chapelle des Trinitaires</center> Le blason de Monseigneur Patrice François Cruice.
Chapelle des Trinitaires
Le blason de Monseigneur Patrice François Cruice.
72
<center>Chapelle des Trinitaires</center> La croix pattée est la primitive, toujours utilisée par les sœurs,  et la croix droite qui est l'actuelle, adoptée par les trinitaires déchaussés à la fin du XVIe siècle.
Chapelle des Trinitaires
La croix pattée est la primitive, toujours utilisée par les sœurs, et la croix droite qui est l'actuelle, adoptée par les trinitaires déchaussés à la fin du XVIe siècle.
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<center>Chapelle des Trinitaires</center> Blason du papePie IX.
Chapelle des Trinitaires
Blason du pape Pie IX.
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<center>Chapelle des Trinitaires</center>
Chapelle des Trinitaires
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<center>Chapelle des Trinitaires</center> Sainte Thérèse de Lisieux.
Chapelle des Trinitaires
Sainte Thérèse de Lisieux.
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<center>Chapelle des Trinitaires</center> Le Sacré-Coeur.
Chapelle des Trinitaires
Le Sacré-Coeur.
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<center>Chapelle des Trinitaires</center> L'Annonciation.
Chapelle des Trinitaires
L'Annonciation.
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<center>Chapelle des Trinitaires</center>
Chapelle des Trinitaires
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<center>Chapelle des Trinitaires</center>
Chapelle des Trinitaires
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<center>Chapelle des Trinitaires</center> L'Enfant Jésus de Prague. La statuette  représente l'Enfant-Jésus levant la main droite en signe de bénédiction tandis qu'il soutient le globe terrestre de sa main gauche. La statuette est également coiffée d'une couronne.
Chapelle des Trinitaires
L'Enfant Jésus de Prague. La statuette représente l'Enfant-Jésus levant la main droite en signe de bénédiction tandis qu'il soutient le globe terrestre de sa main gauche. La statuette est également coiffée d'une couronne.
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<center>Chapelle des Trinitaires</center>
Chapelle des Trinitaires
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<center>Chapelle des Trinitaires</center>
Chapelle des Trinitaires
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<center>Synagogue. </center> La synagogue, appelée encore le grand temple, a été construite dans le quartier de Castellane entre la rue de Breteuil et la ruelle du Dragon. Edifice bâti sous le Second Empire, le temple de la rue de Grignan se trouvant dans un état de délabrement avancé et trop étroit. Une souscription est lancée en 1855 par le consistoire pour la construction du nouveau temple. Les plans de Nathan Salomon sont adoptés par le consistoire et le ministère des cultes en 1860. L'inauguration a lieu en 1864.
Synagogue.
La synagogue, appelée encore le grand temple, a été construite dans le quartier de Castellane entre la rue de Breteuil et la ruelle du Dragon. Edifice bâti sous le Second Empire, le temple de la rue de Grignan se trouvant dans un état de délabrement avancé et trop étroit. Une souscription est lancée en 1855 par le consistoire pour la construction du nouveau temple. Les plans de Nathan Salomon sont adoptés par le consistoire et le ministère des cultes en 1860. L'inauguration a lieu en 1864.
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<center>Synagogue. </center> Une façade monumentale est flanquée de deux pavillons, séparant les fonctions de culte, de l'enseignement et de l'administration. Elle est dominée par les Tables de la Loi et ornée d'une rosace centrale s'inspirant des façades romanes.  Le modèle est sans doute la synagogue de la rue de Nazareth (Paris 3ème) construite en 1852 dans un style romano-byzantin.
Synagogue.
Une façade monumentale est flanquée de deux pavillons, séparant les fonctions de culte, de l'enseignement et de l'administration. Elle est dominée par les Tables de la Loi et ornée d'une rosace centrale s'inspirant des façades romanes. Le modèle est sans doute la synagogue de la rue de Nazareth (Paris 3ème) construite en 1852 dans un style romano-byzantin.
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<center>Synagogue. </center> L'entrée se fait par deux grandes portes massives en bois.l'entrée se fait par deux grandes portes massives en bois.
Synagogue.
L'entrée se fait par deux grandes portes massives en bois.l'entrée se fait par deux grandes portes massives en bois.
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<center>Synagogue. </center> Le plan choisi est basilical, avec des tribunes réservées aux femmes. A l'intérieur se mêlent les matériaux et les références stylistiques d'Orient et d'Occident, le goût du décorum est marqué par la présence d’une chaire et d’un orgue. Elle contient 1200 places assises, 800 au rez-de-chaussée, et 400 à l'étage. Un second étage comporte des salles autrefois utilisées pour l'enseignement religieux.
Synagogue.
Le plan choisi est basilical, avec des tribunes réservées aux femmes. A l'intérieur se mêlent les matériaux et les références stylistiques d'Orient et d'Occident, le goût du décorum est marqué par la présence d’une chaire et d’un orgue. Elle contient 1200 places assises, 800 au rez-de-chaussée, et 400 à l'étage. Un second étage comporte des salles autrefois utilisées pour l'enseignement religieux.
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<center>Synagogue. </center> Le sol est marbré et guide le fidèle depuis l'entrée jusqu'à l'arche sainte.
Synagogue.
Le sol est marbré et guide le fidèle depuis l'entrée jusqu'à l'arche sainte.
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<center>Synagogue. </center> Au centre du rez-de-chaussée se trouve l'estrade centrale en bois, cadeau du Président du Consistoire central israélite de France Naquet en 1889 pour le 100e anniversaire de la révolution française. C'est à partir de cette estrade que sont réalisés les offices et les lectures publiques, l’acoustique de la Grande synagogue étant exceptionnelle de par sa hauteur.
Synagogue.
Au centre du rez-de-chaussée se trouve l'estrade centrale en bois, cadeau du Président du Consistoire central israélite de France Naquet en 1889 pour le 100e anniversaire de la révolution française. C'est à partir de cette estrade que sont réalisés les offices et les lectures publiques, l’acoustique de la Grande synagogue étant exceptionnelle de par sa hauteur.
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<center>Synagogue. </center> Au second étage se trouve un orgue, datant de 1900, et qui est toujours en état de fonctionnement.
Synagogue.
Au second étage se trouve un orgue, datant de 1900, et qui est toujours en état de fonctionnement.
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<center>Synagogue. </center> Le plafond à caissons
Synagogue.
Le plafond à caissons
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<center>Synagogue. </center> La Communauté juive de Marseille
est l’une des plus importantes numériquement parmi les communautés juives françaises. La présence de juifs y est très ancienne. Déjà, aux Ve et VIe siècles, l’évêque de Marseille avait tenté de les convertir. II fut pour cela réprimandé par le Pape Grégoire le Grand. Benjamin de Tudèle dénombra, au milieu du XIIe siècle, 300 familles juives à Marseille.
Le comte de Provence, roi de Sicile, Robert, les protégea pendant la meurtrière croisade des Pastoureaux, en 1320. Ils jouirent de certains privilèges sous Louis II. La communauté médiévale vivait dans une “carrière” (nom provençal du ghetto). Aux XIIe et XIIIe siècles, le Judaïsme marseillais comptait quelques illustres talmudistes. Au XIVe siècle, les juifs de Marseille devinrent commerçants et médecins. Il y avait 34 médecins juifs au XVe siècle.
La fabrication du savon, qui fit en partie la fortune de Marseille, y fut introduite par le juif Crescas Davin, entre 1371 et 1401.
Synagogue.
La Communauté juive de Marseille est l’une des plus importantes numériquement parmi les communautés juives françaises. La présence de juifs y est très ancienne. Déjà, aux Ve et VIe siècles, l’évêque de Marseille avait tenté de les convertir. II fut pour cela réprimandé par le Pape Grégoire le Grand. Benjamin de Tudèle dénombra, au milieu du XIIe siècle, 300 familles juives à Marseille. Le comte de Provence, roi de Sicile, Robert, les protégea pendant la meurtrière croisade des Pastoureaux, en 1320. Ils jouirent de certains privilèges sous Louis II. La communauté médiévale vivait dans une “carrière” (nom provençal du ghetto). Aux XIIe et XIIIe siècles, le Judaïsme marseillais comptait quelques illustres talmudistes. Au XIVe siècle, les juifs de Marseille devinrent commerçants et médecins. Il y avait 34 médecins juifs au XVe siècle. La fabrication du savon, qui fit en partie la fortune de Marseille, y fut introduite par le juif Crescas Davin, entre 1371 et 1401.
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<center>Synagogue. </center>Le dévouement des médecins juifs leur attira la bienveillance du Roi René. Bonnel de Lattès, du nom d’une célèbre famille de médecins et de talmudistes, devint le médecin du Pape Alexandre VII. Expulsés de Provence en 1501, les Juifs sont encore au XVIIIe siècle l'objet des mêmes interdits à Marseille. Quelques-uns y vivent pourtant en semi-clandestinité jusqu'à leur reconnaissance officielle lors de la Révolution. Un culte juif est attesté rue de Rome dès 1770, une synagogue, rue du Pont, en 1790, puis une autre, inaugurée rue Grignan le 3 juin 1814, qui va servir de lieu de culte et d'instruction à la communauté juive pendant 50 ans. A la fin du XVIIIe siècle, la ville abritait une communauté de 200 familles. Durant l’Occupation, de nombreuses œuvres juives eurent leur siège à Marseille. Depuis l’arrivée des juifs d’Afrique du Nord, on compte plus de 100.000 juifs à Marseille.
Synagogue.
Le dévouement des médecins juifs leur attira la bienveillance du Roi René. Bonnel de Lattès, du nom d’une célèbre famille de médecins et de talmudistes, devint le médecin du Pape Alexandre VII. Expulsés de Provence en 1501, les Juifs sont encore au XVIIIe siècle l'objet des mêmes interdits à Marseille. Quelques-uns y vivent pourtant en semi-clandestinité jusqu'à leur reconnaissance officielle lors de la Révolution. Un culte juif est attesté rue de Rome dès 1770, une synagogue, rue du Pont, en 1790, puis une autre, inaugurée rue Grignan le 3 juin 1814, qui va servir de lieu de culte et d'instruction à la communauté juive pendant 50 ans. A la fin du XVIIIe siècle, la ville abritait une communauté de 200 familles. Durant l’Occupation, de nombreuses œuvres juives eurent leur siège à Marseille. Depuis l’arrivée des juifs d’Afrique du Nord, on compte plus de 100.000 juifs à Marseille.
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<center>Synagogue. </center>L'arche sainte où sont déposés les livres de Torah (une vingtaine au total) qui servent aux offices rituels.
Synagogue.
L'arche sainte où sont déposés les livres de Torah (une vingtaine au total) qui servent aux offices rituels.
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<center>Synagogue. </center>L'arche sainte où sont déposés les livres de Torah (une vingtaine au total) qui servent aux offices rituels.
Synagogue.
L'arche sainte où sont déposés les livres de Torah (une vingtaine au total) qui servent aux offices rituels.
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<center>Synagogue. </center> La Menorah est un chandelier à sept branches utilisé par les Juifs à partir du VIIIe siècle.
Synagogue.
La Menorah est un chandelier à sept branches utilisé par les Juifs à partir du VIIIe siècle.
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<center>Synagogue. </center>
Synagogue.
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<center>Synagogue. </center>
Synagogue.
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<center>Synagogue. </center>
Synagogue.
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Synagogue.
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<center>Synagogue. </center>
Synagogue.
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<center>Synagogue. </center> La rosace de la façade. Au second étage se trouve un orgue, datant de 1900, et qui est toujours en état de fonctionnement.
Synagogue.
La rosace de la façade. Au second étage se trouve un orgue, datant de 1900, et qui est toujours en état de fonctionnement.
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<center>Synagogue. </center> Au second étage se trouve un orgue, datant de 1900, et qui est toujours en état de fonctionnement.
Synagogue.
Au second étage se trouve un orgue, datant de 1900, et qui est toujours en état de fonctionnement.
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<center>Synagogue. </center> Une Chaire  en bois existe également, symbole de l'influence chrétienne au moment de la construction de la synagogue mais elle n'est jamais utilisée.
Synagogue.
Une Chaire en bois existe également, symbole de l'influence chrétienne au moment de la construction de la synagogue mais elle n'est jamais utilisée.
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<center>Synagogue. </center> Une Chaire  en bois existe également, symbole de l'influence chrétienne au moment de la construction de la synagogue mais elle n'est jamais utilisée.
Synagogue.
Une Chaire en bois existe également, symbole de l'influence chrétienne au moment de la construction de la synagogue mais elle n'est jamais utilisée.
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<center>Synagogue. </center> Dans la cour basse de la Grande Synagogue est installé le Mur des Noms, lieu de commémoration des nombreux juifs déportés pendant la Seconde Guerre Mondiale.  Ce mémorial a été réalisé par l'architecte Claude Nadjari, le plasticien Jean Louis Boudet, la ferronerie de Provence
Synagogue.
Dans la cour basse de la Grande Synagogue est installé le Mur des Noms, lieu de commémoration des nombreux juifs déportés pendant la Seconde Guerre Mondiale. Ce mémorial a été réalisé par l'architecte Claude Nadjari, le plasticien Jean Louis Boudet, la ferronerie de Provence
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<center>Synagogue. </center> Dans la cour basse de la Grande Synagogue est installé le Mur des Noms, lieu de commémoration des nombreux juifs déportés pendant la Seconde Guerre Mondiale.
Synagogue.
Dans la cour basse de la Grande Synagogue est installé le Mur des Noms, lieu de commémoration des nombreux juifs déportés pendant la Seconde Guerre Mondiale.
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