Eglise des Dominicains et Basilique du Sacré-Coeur.

<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> Dominique de Guzmán, plus connu aujourd'hui sous le nom de saint Dominique, était chanoine d'Osma en Espagne. Son évêque, Diègue d'Osma, essaya de convertir les cathares avec pour seule arme l'Évangile, abandonnant toutes ses affaires. Son modèle est la prédication itinérante de Jésus. Il laissa à Dominique la charge de continuer la prédication itinérante que lui-même avait initiée. Saint Dominique continua sans relâche cette œuvre, rencontra des amis prêts à le suivre, s'établit avec eux le 25 avril 1215 dans la maison Seilhan à Toulouse, où il fonda l'Ordre des frères prêcheurs.
Couvent et Eglise des Dominicains.
Dominique de Guzmán, plus connu aujourd'hui sous le nom de saint Dominique, était chanoine d'Osma en Espagne. Son évêque, Diègue d'Osma, essaya de convertir les cathares avec pour seule arme l'Évangile, abandonnant toutes ses affaires. Son modèle est la prédication itinérante de Jésus. Il laissa à Dominique la charge de continuer la prédication itinérante que lui-même avait initiée. Saint Dominique continua sans relâche cette œuvre, rencontra des amis prêts à le suivre, s'établit avec eux le 25 avril 1215 dans la maison Seilhan à Toulouse, où il fonda l'Ordre des frères prêcheurs.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> L'ordre des frères prêcheurs est approuvé en 1215 par le pape Innocent III avec pour mission de prêcher et de convertir les hérétiques. Il appartient, comme l'ordre des Frères mineurs ou franciscains, à la catégorie des ordres mendiants. Les dominicains sont des religieux mais pas des moines. Ils vivent dans des couvents et non dans des abbayes. Leur vocation étant de prêcher, leurs couvents sont souvent dans de grandes villes.
Couvent et Eglise des Dominicains.
L'ordre des frères prêcheurs est approuvé en 1215 par le pape Innocent III avec pour mission de prêcher et de convertir les hérétiques. Il appartient, comme l'ordre des Frères mineurs ou franciscains, à la catégorie des ordres mendiants. Les dominicains sont des religieux mais pas des moines. Ils vivent dans des couvents et non dans des abbayes. Leur vocation étant de prêcher, leurs couvents sont souvent dans de grandes villes.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> Le chien des Dominicains. Selon la légende, la mère de Dominique aurait vu en songe, pendant sa grossesse, un chien tenant une torche allumée dans la gueule, pour éclairer le monde. Ce songe résume la vie du futur saint, avec un jeu de mot en latin sur les futurs qui ont pour vocation d'« aboyer contre les hérésies » et d'être les chiens du Seigneur surveillant le troupeau de brebis.
Couvent et Eglise des Dominicains.
Le chien des Dominicains. Selon la légende, la mère de Dominique aurait vu en songe, pendant sa grossesse, un chien tenant une torche allumée dans la gueule, pour éclairer le monde. Ce songe résume la vie du futur saint, avec un jeu de mot en latin sur les futurs qui ont pour vocation d'« aboyer contre les hérésies » et d'être les chiens du Seigneur surveillant le troupeau de brebis.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center>
Couvent et Eglise des Dominicains.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center>
Couvent et Eglise des Dominicains.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> L’histoire des Dominicains à Marseille remonte à l’an 1225, neuf ans après la fondation de l’Ordre des Prêcheurs par saint Dominique. A leur arrivée à Marseille, les premiers frères s’installèrent, pendant une quinzaine d’années, dans une maison qui leur avait été donnée, à l’emplacement actuel du lycée Thiers.
En 1240, les frères vont s’installer près du Vieux-Port, entre la rue Saint-Ferréol et la rue de Rome. Ils y resteront jusqu’en 1525. Le couvent est alors rasé pour des raisons militaires, comme toute cette partie des faubourgs de Marseille. Un nouveau couvent est construit à l’intérieur des murs de la ville, vers la butte des Carmes, près du palais épiscopal.
Couvent et Eglise des Dominicains.
L’histoire des Dominicains à Marseille remonte à l’an 1225, neuf ans après la fondation de l’Ordre des Prêcheurs par saint Dominique. A leur arrivée à Marseille, les premiers frères s’installèrent, pendant une quinzaine d’années, dans une maison qui leur avait été donnée, à l’emplacement actuel du lycée Thiers. En 1240, les frères vont s’installer près du Vieux-Port, entre la rue Saint-Ferréol et la rue de Rome. Ils y resteront jusqu’en 1525. Le couvent est alors rasé pour des raisons militaires, comme toute cette partie des faubourgs de Marseille. Un nouveau couvent est construit à l’intérieur des murs de la ville, vers la butte des Carmes, près du palais épiscopal.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> C’est en 1619 que l’église des Prêcheurs est consacrée sous le titre de l’Annonciation de la Sainte Vierge. Elle deviendra paroisse en 1803 et recevra le titre de Saint-Cannat. C’est aujourd’hui la paroisse Saint-Cannat-Les Prêcheurs.
Absents de 1794 à 1862, où un premier groupe de frères s’installe rue Sylvabelle, les Dominicains arrivent, en 1869, rue Montaux, qui deviendra la rue Edmond Rostand.
En 1903, les religieux sont expulsés et leurs biens confisqués : l’église et le couvent sont vendus aux enchères en 1906. Les frères n’y reviendront qu’après la première guerre mondiale, en 1922.
Couvent et Eglise des Dominicains.
C’est en 1619 que l’église des Prêcheurs est consacrée sous le titre de l’Annonciation de la Sainte Vierge. Elle deviendra paroisse en 1803 et recevra le titre de Saint-Cannat. C’est aujourd’hui la paroisse Saint-Cannat-Les Prêcheurs. Absents de 1794 à 1862, où un premier groupe de frères s’installe rue Sylvabelle, les Dominicains arrivent, en 1869, rue Montaux, qui deviendra la rue Edmond Rostand. En 1903, les religieux sont expulsés et leurs biens confisqués : l’église et le couvent sont vendus aux enchères en 1906. Les frères n’y reviendront qu’après la première guerre mondiale, en 1922.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> de bas en haut : l'Annonciation, la Visitation, la Nativité, la Présentation au Temple, Jésus parmi les Docteurs.
Couvent et Eglise des Dominicains.
de bas en haut : l'Annonciation, la Visitation, la Nativité, la Présentation au Temple, Jésus parmi les Docteurs.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> Jésus au jardin des oliviers, la Flagellation, le Couronnement d'épines, le portage de la Croix aidé par Simon de Cyrène, la Crucifixion.
Couvent et Eglise des Dominicains.
Jésus au jardin des oliviers, la Flagellation, le Couronnement d'épines, le portage de la Croix aidé par Simon de Cyrène, la Crucifixion.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center>
Couvent et Eglise des Dominicains.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> Le chien portant le flambeau, symbole des dominicains, le livre, le globe, le rosaire, la palme et le lys et l'étoile.
Couvent et Eglise des Dominicains.
Le chien portant le flambeau, symbole des dominicains, le livre, le globe, le rosaire, la palme et le lys et l'étoile.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> Les importants travaux de rénovation et de réhabilitation ont eu pour but de moderniser les outils apostoliques et culturels des dominicains : avoir une salle de conférences moderne de 160 places, ouvrir leur bibliothèque au public. Doté d’environ 30 000 ouvrages, le fond de la bibliothèque des dominicains est un des plus importants de Marseille, surtout dans les domaines qui leurs sont spécifiques, à savoir la bible, la théologie, la philosophie, l’histoire (en particulier de l’Eglise) et les chrétientés moyen-orientales.
Couvent et Eglise des Dominicains.
Les importants travaux de rénovation et de réhabilitation ont eu pour but de moderniser les outils apostoliques et culturels des dominicains : avoir une salle de conférences moderne de 160 places, ouvrir leur bibliothèque au public. Doté d’environ 30 000 ouvrages, le fond de la bibliothèque des dominicains est un des plus importants de Marseille, surtout dans les domaines qui leurs sont spécifiques, à savoir la bible, la théologie, la philosophie, l’histoire (en particulier de l’Eglise) et les chrétientés moyen-orientales.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> Depuis 1991, le couvent Saint-Lazare abrite le Noviciat de la Province de Toulouse. 
La construction de l’église et du couvent est due à l’initiative du Bienheureux Hyacinthe-Marie Cormier, prieur conventuel ou prieur provincial de 1865 à 1880, période durant laquelle il vécut à Marseille. En 1867, il fait appel au grand architecte Pierre Bossan, maître d’œuvre de la basilique Notre-Dame de Fourvière à Lyon. Après sa rencontre avec le curé d’Ars, il se consacra aux édifices religieux. Les travaux peuvent être menés à bien grâce à la générosité de Madame Noilly-Prat..
Couvent et Eglise des Dominicains.
Depuis 1991, le couvent Saint-Lazare abrite le Noviciat de la Province de Toulouse. La construction de l’église et du couvent est due à l’initiative du Bienheureux Hyacinthe-Marie Cormier, prieur conventuel ou prieur provincial de 1865 à 1880, période durant laquelle il vécut à Marseille. En 1867, il fait appel au grand architecte Pierre Bossan, maître d’œuvre de la basilique Notre-Dame de Fourvière à Lyon. Après sa rencontre avec le curé d’Ars, il se consacra aux édifices religieux. Les travaux peuvent être menés à bien grâce à la générosité de Madame Noilly-Prat..
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> L'église est spacieuse car c'est une vaste salle de réunion pour bien entendre le prédicateur. Elle est consacrée à Notre dame du Rosaire. Littéralement, le chapelet est le « petit chapeau », au sens de couronne. Le mot a ainsi une origine analogue à celle du mot rosaire : l’un et l’autre viennent de l’usage, au Moyen Age, de couronner de roses les statues de la Vierge, chaque rose symbolisant une prière. Le chapelet comporte cinq séries de dix grains, chaque série étant suivie d’un grain séparé. Un rosaire correspond à la récitation de trois chapelets.
Couvent et Eglise des Dominicains.
L'église est spacieuse car c'est une vaste salle de réunion pour bien entendre le prédicateur. Elle est consacrée à Notre dame du Rosaire. Littéralement, le chapelet est le « petit chapeau », au sens de couronne. Le mot a ainsi une origine analogue à celle du mot rosaire : l’un et l’autre viennent de l’usage, au Moyen Age, de couronner de roses les statues de la Vierge, chaque rose symbolisant une prière. Le chapelet comporte cinq séries de dix grains, chaque série étant suivie d’un grain séparé. Un rosaire correspond à la récitation de trois chapelets.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> En récitant chaque dizaine du rosaire, il convient de méditer sur un mystère (soit de la vie de Jésus, soit de celle de Marie).On reconnait traditionnellement trois catégories de mystères : les mystères joyeux (l’Annonciation, la Visitation, la Nativité de Jésus, la présentation de Jésus au Temple, le recouvrement de Jésus au Temple), les mystères douloureux (l’agonie de Jésus au jardin des oliviers, la flagellation, le couronnement d’épines, le portement de croix, la mort de Jésus sur la croix) et les mystères glorieux (la Résurrection de Jésus, l’Ascension de Jésus, la Pentecôte, l’Assomption de Marie, le Couronnement de Marie). Chaque catégorie comprend cinq mystères, correspondant aux cinq dizaines du chapelet.
Couvent et Eglise des Dominicains.
En récitant chaque dizaine du rosaire, il convient de méditer sur un mystère (soit de la vie de Jésus, soit de celle de Marie).On reconnait traditionnellement trois catégories de mystères : les mystères joyeux (l’Annonciation, la Visitation, la Nativité de Jésus, la présentation de Jésus au Temple, le recouvrement de Jésus au Temple), les mystères douloureux (l’agonie de Jésus au jardin des oliviers, la flagellation, le couronnement d’épines, le portement de croix, la mort de Jésus sur la croix) et les mystères glorieux (la Résurrection de Jésus, l’Ascension de Jésus, la Pentecôte, l’Assomption de Marie, le Couronnement de Marie). Chaque catégorie comprend cinq mystères, correspondant aux cinq dizaines du chapelet.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> Les colonnes sont en granit du centre de la France, comme des arbres,
Couvent et Eglise des Dominicains.
Les colonnes sont en granit du centre de la France, comme des arbres,
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> avec à leur base des étoiles car l'église est placée sous le vocable de Notre Dame du Rosaire, et l’étoile est un des symboles de la Vierge : on dit qu'elle est l’étoile de la mer et l’étoile du matin.
Couvent et Eglise des Dominicains.
avec à leur base des étoiles car l'église est placée sous le vocable de Notre Dame du Rosaire, et l’étoile est un des symboles de la Vierge : on dit qu'elle est l’étoile de la mer et l’étoile du matin.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center>
Couvent et Eglise des Dominicains.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> Chapiteaux en marbre de Carrare,avec des têtes de chien. Selon la légende, la mère de Dominique (Dominicus en latin, ce qui signifie celui qui appartient au Seigneur) aurait vu en songe, pendant sa grossesse, un chien tenant une torche allumée dans la gueule, pour éclairer le monde. Ce songe résume la vie du futur saint, avec un jeu de mot en latin sur les futurs dominicains, dominicanes (les chiens du Seigneurs) qui ont pour vocation d'« aboyer contre les hérésies » et d'être les chiens du Seigneur surveillant le troupeau de brebis.
Couvent et Eglise des Dominicains.
Chapiteaux en marbre de Carrare,avec des têtes de chien. Selon la légende, la mère de Dominique (Dominicus en latin, ce qui signifie celui qui appartient au Seigneur) aurait vu en songe, pendant sa grossesse, un chien tenant une torche allumée dans la gueule, pour éclairer le monde. Ce songe résume la vie du futur saint, avec un jeu de mot en latin sur les futurs dominicains, dominicanes (les chiens du Seigneurs) qui ont pour vocation d'« aboyer contre les hérésies » et d'être les chiens du Seigneur surveillant le troupeau de brebis.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> Le maître-autel est du XIXe siècle.
Couvent et Eglise des Dominicains.
Le maître-autel est du XIXe siècle.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> Vierge à l’enfant du XIII siècle, avec à ses pieds, à gauche St Dominique et à droite la Dominicaine la plus célèbre St Catherine de Sienne, tous les deux  agenouillés. Ils représentent la branche féminine et la branche masculine de l’ordre.
Couvent et Eglise des Dominicains.
Vierge à l’enfant du XIII siècle, avec à ses pieds, à gauche St Dominique et à droite la Dominicaine la plus célèbre St Catherine de Sienne, tous les deux agenouillés. Ils représentent la branche féminine et la branche masculine de l’ordre.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center>
Couvent et Eglise des Dominicains.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> Chapelle de Saint Joseph. Sur la face avant xde l'autel, la mort de Saint Joseph.
Couvent et Eglise des Dominicains.
Chapelle de Saint Joseph. Sur la face avant xde l'autel, la mort de Saint Joseph.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> Chapelle du Sacré Coeur.
Couvent et Eglise des Dominicains.
Chapelle du Sacré Coeur.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> les vitraux sont du peintre-verrier lyonnais Jean-Baptiste Barrelon. Jésus et Marie Madeleine, St Dominique et sa mère Jeanne d'Aza, Marguerite de Savoie et Elisabeth du Portugal, Sainte Cécile et Sainte Catherine.
Couvent et Eglise des Dominicains.
les vitraux sont du peintre-verrier lyonnais Jean-Baptiste Barrelon. Jésus et Marie Madeleine, St Dominique et sa mère Jeanne d'Aza, Marguerite de Savoie et Elisabeth du Portugal, Sainte Cécile et Sainte Catherine.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> Martyre de St Pierre de Vérone, martyre de B. Sadoc et de ses compagnons, Saint Pons et St Jean de Cologne, martyrs d'Avignonet.
Couvent et Eglise des Dominicains.
Martyre de St Pierre de Vérone, martyre de B. Sadoc et de ses compagnons, Saint Pons et St Jean de Cologne, martyrs d'Avignonet.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> Ste Catherine de Ricci et Bienheureuse Imelda, ste Agnés et ste Rose de Lima, ste Osanne et ste Luce la Chaste, Jésus et ste Catherine de Sienne.
Couvent et Eglise des Dominicains.
Ste Catherine de Ricci et Bienheureuse Imelda, ste Agnés et ste Rose de Lima, ste Osanne et ste Luce la Chaste, Jésus et ste Catherine de Sienne.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> st Augustin de Lucernes et st Pie V, st Jean Dominique et st Antonin, st Benoit XI et st Barthélémy de Bragance, Innocent V et st Jacques de Voragine.
Couvent et Eglise des Dominicains.
st Augustin de Lucernes et st Pie V, st Jean Dominique et st Antonin, st Benoit XI et st Barthélémy de Bragance, Innocent V et st Jacques de Voragine.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> Bienheureux André Abel Lon et Bertrand de Garrigue, Bienheureux Romée Catalan et saint-Louis-Bertrand, st Gonzagues de Telme et st Hyacinthe, st Dominique et st François d'Assise.
Couvent et Eglise des Dominicains.
Bienheureux André Abel Lon et Bertrand de Garrigue, Bienheureux Romée Catalan et saint-Louis-Bertrand, st Gonzagues de Telme et st Hyacinthe, st Dominique et st François d'Assise.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center> La vierge et st Reginald, st Raymond de Pennafort et st Hugues Bescher, st Albert le Grand et st Thomas d'Aquin, Bienheureux H Svzo et st Vincent Ferrier.
Couvent et Eglise des Dominicains.
La vierge et st Reginald, st Raymond de Pennafort et st Hugues Bescher, st Albert le Grand et st Thomas d'Aquin, Bienheureux H Svzo et st Vincent Ferrier.
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<center>Couvent et Eglise des Dominicains. </center>
Couvent et Eglise des Dominicains.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Le premier projet de façade de Théophile Dupoux envisageait un clocher-porche : Son fils Édouard doit le modifier en 1933, la réalisation d'un clocher-porche étant trop onéreuse. Une haute tour-campanile isolée est alors prévue à l'angle du Prado et de la rue Saint Adrien. Lorsque Gaston Palangue reprend le chantier, il élabore une façade plus simple comportant une grande rosace.
Basilique du Sacré-Cœur.
Le premier projet de façade de Théophile Dupoux envisageait un clocher-porche : Son fils Édouard doit le modifier en 1933, la réalisation d'un clocher-porche étant trop onéreuse. Une haute tour-campanile isolée est alors prévue à l'angle du Prado et de la rue Saint Adrien. Lorsque Gaston Palangue reprend le chantier, il élabore une façade plus simple comportant une grande rosace.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Une première église, Saint-Adrien - Saint-Hermès, fut: édifiée en 1861-1865. En 1919, elle fut démolie et les plans de la nouvelle église furent établis par Théophile Dupoux. En 1917 l'abbé Paul Dejean fut nommé curé de Saint-Adrien et Saint-Hermès. Il sera le maître d'œuvre de la construction de la nouvelle paroisse du Prado dédiée au Sacré-Cœur. Théophile Dupoux, étant mort en 1924, c'est à son fils, Edouard Dupoux, que l'on doit la construction de la majeure partie de l'édifice. Après son décès  en 1937, Gaston Palangue reprendra le chantier à partir de mars 1938. Le 5 mai l'église fut consacrée par Mgr Delay.
Basilique du Sacré-Cœur.
Une première église, Saint-Adrien - Saint-Hermès, fut: édifiée en 1861-1865. En 1919, elle fut démolie et les plans de la nouvelle église furent établis par Théophile Dupoux. En 1917 l'abbé Paul Dejean fut nommé curé de Saint-Adrien et Saint-Hermès. Il sera le maître d'œuvre de la construction de la nouvelle paroisse du Prado dédiée au Sacré-Cœur. Théophile Dupoux, étant mort en 1924, c'est à son fils, Edouard Dupoux, que l'on doit la construction de la majeure partie de l'édifice. Après son décès en 1937, Gaston Palangue reprendra le chantier à partir de mars 1938. Le 5 mai l'église fut consacrée par Mgr Delay.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  L'église est bâtie suivant un plan basilical : une grande nef centrale, flanquée de deux collatéraux comportant des chapelles latérales. Des colonnes colossales supportent les murs de la nef, donnant un aspect monumental à l'intérieur de l'édifice.
Basilique du Sacré-Cœur.
L'église est bâtie suivant un plan basilical : une grande nef centrale, flanquée de deux collatéraux comportant des chapelles latérales. Des colonnes colossales supportent les murs de la nef, donnant un aspect monumental à l'intérieur de l'édifice.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>
Basilique du Sacré-Cœur.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center> Bas-côté gauche. Statue du Sacré-Cœur. Apparition du Sacré-Cœur de Jésus à Sainte Marguerite Marie à Paray-le-Monial en 1672.
Basilique du Sacré-Cœur.
Bas-côté gauche. Statue du Sacré-Cœur. Apparition du Sacré-Cœur de Jésus à Sainte Marguerite Marie à Paray-le-Monial en 1672.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Bas-côté gauche. Statue du Sacré-Cœur. C'est un tirage en plâtre d'une sculpture de Jules Aurèle Lhommeau.
Basilique du Sacré-Cœur.
Bas-côté gauche. Statue du Sacré-Cœur. C'est un tirage en plâtre d'une sculpture de Jules Aurèle Lhommeau.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Statue de Saint Jean Eudes, réalisée par Fabienne Bérengier dans les années 1960.
Basilique du Sacré-Cœur.
Statue de Saint Jean Eudes, réalisée par Fabienne Bérengier dans les années 1960.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Saint Joseph et l'Enfant Jésus apprenti, réalisé par Louis Botinelly.
Basilique du Sacré-Cœur.
Saint Joseph et l'Enfant Jésus apprenti, réalisé par Louis Botinelly.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center> Bas-côté droit. Statue de la Vierge à l'Enfant. La vénérable Anne-Madeleine Rémuzat inspire à Mgr de Belsunce en 1720 de consacrer Marseille au Sacré-Cœur.
Basilique du Sacré-Cœur.
Bas-côté droit. Statue de la Vierge à l'Enfant. La vénérable Anne-Madeleine Rémuzat inspire à Mgr de Belsunce en 1720 de consacrer Marseille au Sacré-Cœur.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Bas-côté droit. Statue de la Vierge à l'Enfant, datée du début du XVIIIème siècle
Basilique du Sacré-Cœur.
Bas-côté droit. Statue de la Vierge à l'Enfant, datée du début du XVIIIème siècle
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Statue de José Maria Escrivà, par Balaguer.
Basilique du Sacré-Cœur.
Statue de José Maria Escrivà, par Balaguer.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Buste de Monseigneur Henri de Belsunce, évêque de marseille (1710-1755).
Basilique du Sacré-Cœur.
Buste de Monseigneur Henri de Belsunce, évêque de marseille (1710-1755).
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Statue de Saint Antoine.
Basilique du Sacré-Cœur.
Statue de Saint Antoine.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Statue de Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, par Georges Serraz.
Basilique du Sacré-Cœur.
Statue de Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, par Georges Serraz.
45
<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Le chemin de croix, réalisé par Henri Pinta, sur un fond imitant un décor de mosaïque.
Basilique du Sacré-Cœur.
Le chemin de croix, réalisé par Henri Pinta, sur un fond imitant un décor de mosaïque.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Sainte Rita de Cascia.
Basilique du Sacré-Cœur.
Sainte Rita de Cascia.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Les cartons de l'ensemble des verrières du déambulatoire et des chapelles sont également l'œuvre de Henri Pinta. Ils furent exécutés en 1931 par le maître verrier Jacques Charles Champigneulle (Paris). Les six grandes verrières des chapelles latérales de l'église décrivent les étapes historiques du culte du Sacré Cœur de Jésus.
Basilique du Sacré-Cœur.
Les cartons de l'ensemble des verrières du déambulatoire et des chapelles sont également l'œuvre de Henri Pinta. Ils furent exécutés en 1931 par le maître verrier Jacques Charles Champigneulle (Paris). Les six grandes verrières des chapelles latérales de l'église décrivent les étapes historiques du culte du Sacré Cœur de Jésus.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Vitrail N° 1 - Après la mort de Notre-Seigneur Jésus Christ le soldat Longin transperce le cœur du Sauveur avec sa lance et se convertit. La dévotion au Sacré-Cœur commence au calvaire où le cœur du Christ est percé par la lance de Longin, laissant échapper du sang et de l'eau, l'eau pour laver, le sang pour racheter les hommes. (Jean 19, 34 et encore 20, 27). Une légende issue des évangiles apocryphes veut qu'il se soit appelé Longin et se serait converti et deviendra le premier évêque de Césarée de Cappadoce.
Basilique du Sacré-Cœur.
Vitrail N° 1 - Après la mort de Notre-Seigneur Jésus Christ le soldat Longin transperce le cœur du Sauveur avec sa lance et se convertit. La dévotion au Sacré-Cœur commence au calvaire où le cœur du Christ est percé par la lance de Longin, laissant échapper du sang et de l'eau, l'eau pour laver, le sang pour racheter les hommes. (Jean 19, 34 et encore 20, 27). Une légende issue des évangiles apocryphes veut qu'il se soit appelé Longin et se serait converti et deviendra le premier évêque de Césarée de Cappadoce.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Vitrail N° II - Saint-Jean-Eudes célèbre pour la première fois l'office du Sacré-Cœur le 20 octobre 1672 à Caen. Les deux principaux promoteurs du culte du Sacré-Cœur ont été Saint Jean Eudes (1601-1680), fondateur de la congrégation missionnaire de Jésus et Marie (Eudistes) et surtout Sainte Marguerite Marie Alacoque, visitandine de Paray-le-Monial (1647-1690). Jean Eudes compose, en 1648, un office du cœur de Marie puis célèbre, en 1672, l'office du Cœur de Jésus.
Basilique du Sacré-Cœur.
Vitrail N° II - Saint-Jean-Eudes célèbre pour la première fois l'office du Sacré-Cœur le 20 octobre 1672 à Caen. Les deux principaux promoteurs du culte du Sacré-Cœur ont été Saint Jean Eudes (1601-1680), fondateur de la congrégation missionnaire de Jésus et Marie (Eudistes) et surtout Sainte Marguerite Marie Alacoque, visitandine de Paray-le-Monial (1647-1690). Jean Eudes compose, en 1648, un office du cœur de Marie puis célèbre, en 1672, l'office du Cœur de Jésus.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Vitrail N° III - Apparition du Sacré-Cœur de Jésus à Sainte Marguerite Marie à Paray-le-Monial en 1672. Marguerite Marie Alacoque est entrée à la Visitation de Paray-le-Monial en Bourgogne comme postulante le 20 juin 1671. Elle est ici représentée lors de l'une de ses révélations, le Sacré-Cœur lui apparaissant en 1674. A l'arrière-plan, des anges portent les instruments de la Passion. Dans le côté droit de la composition, il faut remarquer le père de la Colombière en prière. Le jésuite Claude de la Colombière, envoyé à Paray le Monial, est le directeur spirituel de Marguerite Marie lors de la troisième grande apparition, entre le 13 et le 20 juin 1675.
Basilique du Sacré-Cœur.
Vitrail N° III - Apparition du Sacré-Cœur de Jésus à Sainte Marguerite Marie à Paray-le-Monial en 1672. Marguerite Marie Alacoque est entrée à la Visitation de Paray-le-Monial en Bourgogne comme postulante le 20 juin 1671. Elle est ici représentée lors de l'une de ses révélations, le Sacré-Cœur lui apparaissant en 1674. A l'arrière-plan, des anges portent les instruments de la Passion. Dans le côté droit de la composition, il faut remarquer le père de la Colombière en prière. Le jésuite Claude de la Colombière, envoyé à Paray le Monial, est le directeur spirituel de Marguerite Marie lors de la troisième grande apparition, entre le 13 et le 20 juin 1675.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Vitrail n° IV - La vénérable Anne-Madeleine Rémuzat inspire à Mgr de Belsunce en 1720 de consacrer Marseille au Sacré-Cœur pour obtenir la cessation de la peste. La peste sévissant dans la ville, Mgr de Belsunce demande conseil à Anne Madeleine Rémuzat, religieuse du monastère de la Visitation. Celle-ci propose d'établir la fête du Sacré-Cœur dans son diocèse et de consacrer la Ville, le ler novembre 1720, au Sacré-Cœur de Jésus, au cours d'une cérémonie expiatoire célébrée sur le Cours.
Basilique du Sacré-Cœur.
Vitrail n° IV - La vénérable Anne-Madeleine Rémuzat inspire à Mgr de Belsunce en 1720 de consacrer Marseille au Sacré-Cœur pour obtenir la cessation de la peste. La peste sévissant dans la ville, Mgr de Belsunce demande conseil à Anne Madeleine Rémuzat, religieuse du monastère de la Visitation. Celle-ci propose d'établir la fête du Sacré-Cœur dans son diocèse et de consacrer la Ville, le ler novembre 1720, au Sacré-Cœur de Jésus, au cours d'une cérémonie expiatoire célébrée sur le Cours.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Vitrail n° V - Le 28 mai 1722, les échevins de Marseille font vœu d'assister à perpétuité à la messe le jour de la fête du Sacré Cœur. Ce vitrail est directement inspiré d'un tableau d'Antoine Dominique Magaud (1817-1899), peint sous le Second Empire pour le Cercle religieux de Marseille (actuellement au musée des Beaux-Arts) représentant la réunion des échevins de Marseille en 1722, durant laquelle la fête votive dédiée au Sacré-Cœur fut entérinée. On remarquera le chevalier Roze (qui joua un rôle important dans la lutte contre la peste) debout derrière la table où sont assis les dignitaires de la ville.
Basilique du Sacré-Cœur.
Vitrail n° V - Le 28 mai 1722, les échevins de Marseille font vœu d'assister à perpétuité à la messe le jour de la fête du Sacré Cœur. Ce vitrail est directement inspiré d'un tableau d'Antoine Dominique Magaud (1817-1899), peint sous le Second Empire pour le Cercle religieux de Marseille (actuellement au musée des Beaux-Arts) représentant la réunion des échevins de Marseille en 1722, durant laquelle la fête votive dédiée au Sacré-Cœur fut entérinée. On remarquera le chevalier Roze (qui joua un rôle important dans la lutte contre la peste) debout derrière la table où sont assis les dignitaires de la ville.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  - Vitrail N° VI - Basilique du Vœu national au Sacré-Cœur bâtie à Montmartre à Paris. Ce vitrail représente, dans sa partie gauche, la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre construite à partir de 1875, par vœu national suite à la défaite de la France face à l'Allemagne lors de la guerre de 1870. De style romano-byzantin, le monument fut consacré en 1919. Dans la partie droite, sont illustrés divers personnages, acteurs de cette construction dont Alexandre Legentil, chrétien fervent, initiateur du «vœu national au Sacré Cœur» prononcé à Poitiers en 1871. Il est représenté sur le vitrail, à droite, à genoux. Derrière lui se tient son beau-frère et conseiller Hubert Rohault de Fleury. Tous deux s'étaient engagés à ériger un temple national au Sacré-Cœur à Paris.
Basilique du Sacré-Cœur.
- Vitrail N° VI - Basilique du Vœu national au Sacré-Cœur bâtie à Montmartre à Paris. Ce vitrail représente, dans sa partie gauche, la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre construite à partir de 1875, par vœu national suite à la défaite de la France face à l'Allemagne lors de la guerre de 1870. De style romano-byzantin, le monument fut consacré en 1919. Dans la partie droite, sont illustrés divers personnages, acteurs de cette construction dont Alexandre Legentil, chrétien fervent, initiateur du «vœu national au Sacré Cœur» prononcé à Poitiers en 1871. Il est représenté sur le vitrail, à droite, à genoux. Derrière lui se tient son beau-frère et conseiller Hubert Rohault de Fleury. Tous deux s'étaient engagés à ériger un temple national au Sacré-Cœur à Paris.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  La mosaïque établie d'après les cartons d'Henri Pinta et réalisée par l'atelier de Charles Lorin, représente un Christ pentocrator.
Basilique du Sacré-Cœur.
La mosaïque établie d'après les cartons d'Henri Pinta et réalisée par l'atelier de Charles Lorin, représente un Christ pentocrator.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Sous le Christ est  représené la consécration, le 11 novembre 1720 par Mgr de Belsunce, de la Ville et du diocèse au Sacré-Cœur au cours d'une messe célébrée sur le cours qui porte aujourd'hui son nom. A droite, Mgr Fabre présente la maquette de l'église ; à gauche, Mgr de Mazenod tient le plan du terrain où a été bâtie l'église précédente Saint-Adrien -Saint-Hermès.
Basilique du Sacré-Cœur.
Sous le Christ est représené la consécration, le 11 novembre 1720 par Mgr de Belsunce, de la Ville et du diocèse au Sacré-Cœur au cours d'une messe célébrée sur le cours qui porte aujourd'hui son nom. A droite, Mgr Fabre présente la maquette de l'église ; à gauche, Mgr de Mazenod tient le plan du terrain où a été bâtie l'église précédente Saint-Adrien -Saint-Hermès.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center> A droite, Mgr Fabre présente la maquette de l'église ; à gauche, Mgr de Mazenod tient le plan du terrain où a été bâtie l'église précédente Saint-Adrien -Saint-Hermès.
Basilique du Sacré-Cœur.
A droite, Mgr Fabre présente la maquette de l'église ; à gauche, Mgr de Mazenod tient le plan du terrain où a été bâtie l'église précédente Saint-Adrien -Saint-Hermès.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Mosaïque du parterre, par Pinta.
Basilique du Sacré-Cœur.
Mosaïque du parterre, par Pinta.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>
Basilique du Sacré-Cœur.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center> La chaire,, avec les statues des quatre évangélistes.
Basilique du Sacré-Cœur.
La chaire,, avec les statues des quatre évangélistes.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Vitraux du déambulatoire : ils présentent des Victoires ailées exposant des attributs guerriers (épée, lance, bouclier) ou funéraires (couronne, chaîne brisée). Chaque verrière se compose de deux baies montrant ces allégories au-dessous desquelles se trouvent les portraits des soldats morts pour la patrie, et le nom des donateurs (souvent la famille, des soldats).
Basilique du Sacré-Cœur.
Vitraux du déambulatoire : ils présentent des Victoires ailées exposant des attributs guerriers (épée, lance, bouclier) ou funéraires (couronne, chaîne brisée). Chaque verrière se compose de deux baies montrant ces allégories au-dessous desquelles se trouvent les portraits des soldats morts pour la patrie, et le nom des donateurs (souvent la famille, des soldats).
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Vitraux du déambulatoire : ils présentent des Victoires ailées exposant des attributs guerriers (épée, lance, bouclier) ou funéraires (couronne, chaîne brisée). Chaque verrière se compose de deux baies montrant ces allégories au-dessous desquelles se trouvent les portraits des soldats morts pour la patrie, et le nom des donateurs (souvent la famille, des soldats). Août-septembre 1914.
Basilique du Sacré-Cœur.
Vitraux du déambulatoire : ils présentent des Victoires ailées exposant des attributs guerriers (épée, lance, bouclier) ou funéraires (couronne, chaîne brisée). Chaque verrière se compose de deux baies montrant ces allégories au-dessous desquelles se trouvent les portraits des soldats morts pour la patrie, et le nom des donateurs (souvent la famille, des soldats). Août-septembre 1914.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Septembre-octobre-novembre 1914.
Basilique du Sacré-Cœur.
Septembre-octobre-novembre 1914.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  1915-1916..
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1915-1916..
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  1917-1918.
Basilique du Sacré-Cœur.
1917-1918.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  14 juillet - 11 novembre 1918.
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14 juillet - 11 novembre 1918.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Après 1918.
Basilique du Sacré-Cœur.
Après 1918.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Le chœur, cerné d'un déambulatoire, se prolonge par une chapelle axiale.
Basilique du Sacré-Cœur.
Le chœur, cerné d'un déambulatoire, se prolonge par une chapelle axiale.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Dans la chapelle de Notre-Dame de Pitié, inaugurée le 11 novembre 1948, se trouve une piéta de Louis Botinelly.
Basilique du Sacré-Cœur.
Dans la chapelle de Notre-Dame de Pitié, inaugurée le 11 novembre 1948, se trouve une piéta de Louis Botinelly.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Elle représente le moment où Marie prend conscience de la mort de son fils.
Basilique du Sacré-Cœur.
Elle représente le moment où Marie prend conscience de la mort de son fils.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Le maître-autel, une simple table de pierre, fut consacré en 1947.
Basilique du Sacré-Cœur.
Le maître-autel, une simple table de pierre, fut consacré en 1947.
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Orgue reconstruit en 1988 par Laval-Thivolle, réutilisant les éléments de l'orgue de Saint-Charles d'Alger (datant de  1936).
Basilique du Sacré-Cœur.
Orgue reconstruit en 1988 par Laval-Thivolle, réutilisant les éléments de l'orgue de Saint-Charles d'Alger (datant de 1936).
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<center>Basilique du Sacré-Cœur. </center>  Derrière l'orgue, la grande rosace de la façade, avec le Sacré-Coeur au centre.
Basilique du Sacré-Cœur.
Derrière l'orgue, la grande rosace de la façade, avec le Sacré-Coeur au centre.
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