Succédant à une église élevée sans doute dans la première moitié du Ve s. par saint Hilaire et dédiée à Saint Étienne, une nouvelle église est construite à la fin du Xe ou au début du XIe. A nouveau reconstruite à la fin du XIe s. et au début du XIIe s., on lui donne le nom de St Trophime en 1152.
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Eglise de St Trophime
Durant le troisième quart du XII est ajouté le portail, placé en haut d'un escalier pour accentuer son caractère majestueux. Il est formé d'une grande baie divisée en deux par un trumeau et surmontée d'un tympan.
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Eglise de St Trophime
Le fronton est bordé d'une corniche, ornée d'un rang de feuilles d'acanthe, soutenue par des consoles certaines à décor végétal, deux à droite, d'autres représentant des avant-corps d'animaux, un aigle, la cinquième à gauche, un ange au centre et un atlante, la deuxième à gauche. Dans le tympan, on peut voir le Christ bénissant dans une mandorle, entouré par les symboles ailés des quatre évangélistes : l'Homme pour Mattieu, l'aigle pour Jean, le taureau pour Luc et le lion pou Marc.
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Eglise de St Trophime
Le Christ en majesté, assis sur un trône, tenant dans sa main gauche un livre fermé parce que c’est la fin des temps, la main droite bénissante, est entourée par les quatre attributs des évangélistes : l'Homme pour Matthieu, l'aigle pour Jean, le taureau pour Luc et le lion pou Marc, ces deux derniers ne regardent pas le Christ car ces évangélistes ne l'ont pas connu. Sur le linteau en marbre de Carrare, les douze apôtres parmi lesquels a pris place St Paul à coté de St Pierre pour remplacer Judas ou l’épisodique Mathias. A gauche, un patriarche avec deux enfants sur ses genoux, symbolisant les âmes des damnés. A droite, le triomphe de la générosité sur l’avarice.
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Eglise de St Trophime
Les anges du paradis adorent le Christ les mains écartées en position de prière. Au sommet sont figurés les trois anges du Jugement dernier, soufflant dans des trompettes pour appeler les vivants et les morts. Sur le piédroit central, quatre anges.
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Eglise de St Trophime
Au sommet sont figurés les trois anges du Jugement dernier, soufflant dans des trompettes pour appeler les vivants et les morts.
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Eglise de St Trophime
Base du pilier central.
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Eglise de St Trophime
Base du pilier central.
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Eglise de St Trophime
Base du pilier central.
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Eglise de St Trophime
Base du pilier central.
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Eglise de St Trophime
Le péché originel, c’est celui d’Adam et Eve. Les arbres du Paradis. St Michel qui pèse les âmes et un personnage vu de dos emportant la tête en bas duex petits bonhommes. Ce personnage a été assimilé à Hercule qui lors d’un de ses douze travaux s’était fait voler ses armes par les Cercopes. Au-dessous, Hercule allongé revêtu de la peau du taureau de Crête, de sa main gauche il devait tenir une massue pour tuer les lions, on a donc christianisé Hercule.
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Eglise de St Trophime
Le péché originel, c’est celui d’Adam et Eve, encadrant l'arbre de la Science et du Bien et du Mal, autour duquel s'enroule le serpent tentateur. En-dessous, les arbres du Paradis.
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St Michel qui pèse les âmes, deux petits bonhommes sont dans les plateaux de la balance et ceux qui ont une âme légère sont attirés vers le haut et vont au Paradis. Un peu plus bas , un personnage vu de dos, qui porte un bonnet phrygien, symbole du paganisme, emporte la tête en bas un petit bonhomme dans chaque main, ces petits bonshommes se bouchent les oreilles, ils n’ont pas écouté la parole divine, ils iront en enfer. Ce personnage a été assimilé à Hercule qui lors d’un de ses douze travaux s’était fait voler ses armes par les Cercopes, les neufs voleurs, et dont il s’est débarrassé comme cela en les envoyant en enfer.
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Eglise de St Trophime
Hercule allongé revêtu de la peau du taureau de Crête, de sa main gauche il devait tenir une massue pour tuer les lions, on a donc christianisé Hercule.
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Eglise de St Trophime
Les lions de Némée.
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De haut en bas : le cortège des élus ; une frise représentant le massacre des innocents et la fuite en Egypte ; St Trophime, un des patrons de l’église d’Arles avec la crosse et la mitre que deux anges lui place sur la tête et deux têtes de clercs apparraissant au-dessus de ses épaules, St Jacques le majeur (St Jacques de Compostelle) et St Barthélémy. Sous la colonne de droite, Samson et Dalila. A côté, une lionne allongée, avec deux lionceaux.
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Eglise de St Trophime
En haut, le cortège des élus, avec quatre femmes voilées à la fin. En-dessous, une frise représente, de droite à gauche, le départ des rois mages sur leurs chevaux, le massacre des innocents et la fuite en Egypte.
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Samson par sa force vainc le lion, donc le mal.
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Mais ensuite il a tout perdu par la faute de Dalila. On le voit, , la tête sur les genoux de Dalila, une servante en train de lui couper les cheveux. C'est l'exemple à ne pas suivre.
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Eglise de St Trophime
Masque de lion.
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De haut en bas. A l'appel des trois anges, les élus s'avancent en procession, rangés dans l'ordre hiérarchique : des hommes représentés de trois quarts, chaussés et vêtus d'une longue tunique, la main posée sur l’épaule de celui qui le précède, deux femmes voilées, des prêtre aux aubes brodés et des prélats mitrés, les mains voilées, symbole de respect. Sur la colonne du portail, le songe de Joseph voyant l’ange lui révélant la maternité de Marie. En-dessous du cortège, une frise représente le départ des rois mages sur leurs chevaux.
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Eglise de St Trophime
Au dessous des patriarches, les rois mages s’en vont à cheval après la visite chez Hérode. St Jean l’évangéliste et st Pierre.
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Les deux femmes voilées.0 En tête du cortège, un ange aux ailes déployées présente l’âme des justes représentée sous la forme d’un enfant. Ces enfants sont posées sur les genoux des trois patriarches, Abraham, Isaac et Jacob, afin de passer l’éternité au Paradis. En-dessous, les rois mages s’en vont à cheval après la visite chez Hérode et l’adoration de l’enfant. Sur la colonne du portail, l’Annonciation faite à Marie et le songe de Joseph voyant l’ange lui révélant la maternité de Marie.
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La visite des Mages à Hérode, tenant un énorme sabre. Quatre de ses soldats ont dégainé le leur. Les mages lui offrent des présents. Un serviteur, portant une malle, les suit. Sur la colonne du portail, l’Annonciation faite à Marie, tenant le globe, par un ange portant le bâton des hérauts. Le songe de Joseph, endormi sur sa main droite, voyant l’ange lui révélant la maternité de Marie.
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Au dessous des patriarches, les rois mages s’en vont à cheval après la visite chez Hérode et l’adoration de l’enfant. Sous les pieds de st Pierre, un lion mangeur d'hommes, symbole du mal, St Jean l’évangéliste,.
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Eglise de St Trophime
Saint Jean l'évangéliste , avec, sous ses pieds, la lionne qui dévore un bouc. Saint Pierre, avec sous ses pieds, un lion mangeur d'hommes, symbole du mal. Entre les deux lions, un quadrupède assis, sans doute un âne ithyphallique, symbole de la luxure.
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De l'autre coté du portail, le cortège des damnés a essayé de s’approcher de la porte du Paradis qui s’est refermée, l’archange saint Michel a claqué la porte. Au dessous, l'adoration des Mages. Saint Paul et saint André. Sur la colonne du portail, le bain de l’enfant Jésus, la nativité.
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Sur la colonne du portail, le bain de l’enfant Jésus, la nativité. Au-dessus, le triomphe de la Générosité sur l’Avarice, allusion à l'histoire de Lazare et du mauvais riche.
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L’ange au glaive de feu, portant dans sa main gauche une haute canne à pommeau monte la garde devant la porte du paradis, au-dessus de laquelle apparait la main de Dieu. Rejetés à l'extérieur, deux prélats se lamentent. Au dessous, l'adoration des Mages, sous cinq arcatures. Jésus, déja enfant, tient le globe dans sa main gauche, et de la droite, bénit les mages. Le premier, agenouillé, offre son présent, les deux autres, debouts, le tiennent dans leurs mains voilées. Sous la cinquième arcature, leurs chevaux les attendent. Sur la colonne du portail le bain de l’enfant Jésus, la nativité.
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Eglise de St Trophime
Sous les pieds de st Paul, à gauche, un lion mangeur d'hommes, comme à droite, sous les pieds de st André. Entre les deux lions, un monstre à têtes de lion et à queue de serpent dévore un petit quadrupède. St Pierre et st Paul occupent donc la place la plus importante, la plus près du Christ, de chaque côté du portail
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Derrière les deux prélats qui se lamentent, d'autres personnages attendent, navrés. Un couple se tient par la main. Leur tournant le dos, le cortège des damnés partent vers l'Enfer, nus, marchant dans les flammes, enchaînés par la taille, la chaîne étant tenue par un démon avec le bonnet phrygien. En-dessous, après avoir adoré Jésus, les Mages sont endormis, un ange vient les avertir de ne pas retourner chez Hérode.
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Eglise de St Trophime
Frise représentant l'annonciation aux bergers gardant leur troupeau. Les Mages endormis et l'ange. En-dessous, la Lapidation de St Etienne : le saint est agenouillé, les bourreaux lui lancent des pierres et son âme s’échappe et monte au ciel, des anges l’attrapent pour lui enfiler la robe blanche des élus, entre les ailes des anges la main du Christ qui se tend pour attraper l’âme. St Jacques le Mineur (évêque de Jérusalem) et St Philippe. Sous la colonne de gauche, Daniel dans la fosse aux lions.
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Eglise de St Trophime
Daniel dans la fosse aux lions : par sa résistance au péché, par sa force physique et morale, il a résisté et vaincu le mal, c'est donc l'exemple à suivre. Habaquq lui apporte, dans une besace, le repas préparé pour ses moissonneurs. Il est suivi de l'archange Gabriel.
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Daniel dans la fosse aux lions : par sa résistance au péché, par sa force physique et morale, il a résisté et vaincu le mal, c'est donc l'exemple à suivre.
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Masque de lion.
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Eglise de St Trophime
Des lions s'attaquent à un bouc au-dessus du cadavre d'un autre bouc.
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Des lions s'attaquent à un bouc au-dessus du cadavre d'un autre bouc. Le bouc représente la chétien qui lutte contre le péché.
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Les damnés vont être précipités en enfer, poussés par un démon muni d'une fourche. Au-dessous, début de la frise de l’enfance du Christ, avec des béliers aux cornes enroulées et un berger. En dessous, Belzébuth, le roi des enfers, qui emporte des damnés la tête en bas, la luxure est représentée par une femme. Au-dessous un sagittaire qui va transpercer un lion.
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Eglise de St Trophime
Les damnés vont être précipités en enfer, poussés par un démon, à droite, muni d'une fourche. Au-dessous, début de la frise de l’enfance du Christ, avec des béliers aux cornes enroulées et un berger, vêtu du cucullus, avec son bâton que son chien tient dans sa gueule.
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Belzébuth, le roi des enfers, qui emporte des damnés la tête en bas, la luxure est représentée par une femme.
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Un sagittaire s'apprête à transpercer un lion.
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Eglise de St Trophime
La nef : c'est le plus haut vaisseau que nous ait laissé la Provence (20 m de hauteur). Elle est divisée en cinq travées. Elle est couverte d’une voûte en berceau brisé dont l’insertion sur les murs latéraux est décorée d’une imposte ornée de feuilles d'acanthe.
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Cette voûte repose sur des doubleaux à ressaut dont les piédroits sont décorés de colonnettes cannelées ou torses, terminés par des chapiteaux corinthiens.
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Eglise de St Trophime
Doubleaux à ressaut dont les piédroits sont décorés de colonnettes cannelées, terminés par des chapiteaux corinthiens.
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Doubleaux à ressaut dont les piédroits sont décorés de colonnettes torses, terminés par des chapiteaux corinthiens.
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L'arc triomphal est surmonté d'un tableau de Finsonius (1614) : la Lapidation de saint Etienne.
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La Lapidation de saint Etienne. Au sommet Dieu le père est représenté vêtu d’une robe pourpre, assis sur un nuage avec auprès de lui Jésus-Christ, la Vierge et deux groupes d’anges. En bas saint Étienne est à genoux au milieu de ses bourreaux ; une femme en bas à droite du tableau apporte des pierres dans son tablier.
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Le Christ mourant sur la Croix.
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Le tableau non signé représente Notre-Seigneur glorieux se montrant à deux de ses disciples, saint Pierre, et saint Jacques, le Juste, premier évêque de Jérusalem.
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Saint François de Sales.
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Sainte Jeanne de Chantal
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Plaque commémorative de Jacques De La Tour.
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Le chœur gothique commencé en 1454 par le cardinal archevêque Pierre de Foix est terminé en 1464. Il comprend deux travées droites, une abside à cinq pans et un déambulatoire ouvrant sur huit chapelles dont cinq latérales (trois au nord et deux au sud) et trois rayonnantes, ces dernières à cinq pans
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Inscription latine de la 5ème travée du collatéral nord:
TRO(PHIMVS) GAL(LIARVM) APO(STOLVS) Trophime Apôtre des Gaules,
Comme une rosée fut envoyé de Rome...
Traduction de l’inscription qui rappelle l'origine apostolique de la mission de saint Trophime : De Rome, maîtresse de la terre, de sa double lumière,
La rosée envoyée sera toujours présente, Comme jadis Joseph en terre étrangère, la distribua,
Après qu'il eut vaincu la mort infernale"
Les dégradations de l’inscription datent du XVIIème siècle : on remarque l'emplacement de deux ouvertures servant d'accès à une tribune où se trouvaient logées les orgues
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Les vitraux. A gauche, Saint Virgile et Saint Étienne
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Au centre, la Sainte Vierge et Saint Trophime
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A droite Saint Honorat et Saint Genès.
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Fauteuil du Bienheureux Jean-Marie du Lau, archevêque d'Arles (1775 – 1792). Mort martyr dans la chapelle des Carmes à Paris. Aujourd'hui, siège (cathèdre) de l'archevêque d'Aix-en-Provence et d'Arles.
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Saint Trophime n'a plus d'orgue de tribune depuis 1870. En attendant un instrument digne de la Primatiale, on se contente encore d'un orgue d'accompagnment placé dans le choeur : il a 1 clavier, 8 jeux, un pédalier. Il est sorti de l'atelier de Cavaillé Coll (1874), agrandi par Convers en 1925.
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Stalles du XVIIe s.
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Tombeau du consul Balbi qui se trouve à l'entrée.
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Chapelle Saint Etienne.
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Chapelle Saint Etienne. Saint François de Sale ?
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Chapelle Saint Etienne. Sainte Jeanne de Chantal ?
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Chapelle Saint Etienne.
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Chapelle Saint Etienne.
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Chapelle Saint Etienne.
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Chapelle des rois, bâtie dans le style flamboyant en plein XVIIe s. (1620-1627). L'archevêque Gaspard du Laurens est le fondateur de cette chapelle. Il fait abattre et démolir deux petites chapelles contiguës datant du XIVe siècle et consacrées aux saintes Maries Jacobé et Salomé (par Mgr Rostang II de Capra) et à celle de Tous les Saints (par Mgr Guasbert de Laval) pour bâtir de 1620 à 1627 la « Chapelle des Rois » Il dédie cette chapelle de style flamboyant à saint Trophime et à saint Césaire, et en finance la décoration.
Le roi Louis XIII viendra se recueillir, dans cette chapelle, le jour de la Toussaint 1622. Située sur la paroi méridionale à gauche de la chaire, cette plaque témoigne de la consécration de la chapelle en 1622 par Gaspard du Laurens et atteste que le maître-autel contient la dépouille mortelle de l'archevêque Rostang II de Capra.
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Chapelle des rois. Gaspard du Laurens orne l'autel d'un retable en bois doré et plâtre (colonnes en bois doré, cannelées et chargées de pampres) portant ses armoiries. Chaque niche placée de chaque côté du retable contient une statue en bois doré du XVIIe siècle. Sur l'autel, l'Adoration des Mages, par Finsonius (1614). Cette toile a été commandée par l’archevêque Gaspard du Laurens pour être placée dans cette chapelle qu’il venait de faire construire. Cette peinture est à l'origine du nom de la chapelle. L’archevêque prêterait ses traits au roi Gaspard, le plus proche de la Vierge, avec sur sa poitrine les armoiries de sa famille. Le tableau est inspiré de l’évangile selon saint Mathieu.
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Chapelle des rois. Sur l'autel, l'Adoration des Mages, par Finsonius (1614). Cette toile a été commandée par l’archevêque Gaspard du Laurens pour être placée dans cette chapelle qu’il venait de faire construire. Cette peinture est à l'origine du nom de la chapelle. L’archevêque prêterait ses traits au roi Gaspard, le plus proche de la Vierge, avec sur sa poitrine les armoiries de sa famille. Le tableau est inspiré de l’évangile selon saint Mathieu.
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Dalle sur le sol devant l'autel.
Orientée est-ouest cette dalle de marbre porte les armoiries du Chapitre. Elle recouvre la sépulture des chanoines qui, jusqu'au XVIIe, étaient inhumés dans le cloître. L'aigle gravé sur le marbre symbolise la devise du Chapitre « volant super omnes » : ils volent au-dessus de tous.
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Chapelle des rois. II existe encore d'importants décors peints sur toutes les parois et les voûtes de la chapelle des Rois. Ils sont aujourd'hui difficilement lisibles. Côté ouest, occupant tout le mur, la peinture a été en partie cachée lors de la pose du tombeau de Gaspard de Laurens. De plus, au moment de la Révolution, un nouveau décor a modifié sa partie supérieure.
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Chapelle des rois. Tombeau (1677) de l'archevêque Gaspard de Laurens (+ 1630) par le sculpteur arlésien Jean Dedieu. Ce monument remarquable, de style baroque, a été commandité par le Chapitre de Saint-Trophime à la mémoire de l'archevêque arlésien mort le 12 juillet 1630 au château de l'Empéri, (appartenant au domaine temporel des archevêques arlésiens). Il sera transporté à Arles et inhumé avec ses parents et son frère Richard dans la chapelle Saint- Félix du couvent des Capucins. En 1677 il sera placé dans le tombeau de la chapelle des Rois jusqu'à la Révolution.
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Chapelle des rois. L'ange de la résurrection soulève le couvercle du tombeau, d'où semble se relever le prélat sculpté d'après nature. À droite, assise au pied du tombeau, une mère allaitant un enfant et abritant un autre sous son manteau, figure l'image de la Charité. Au-dessus sont groupés trois anges déployant l'écusson du prélat : laurier de sinople, au chef d'azur chargé de trois étoiles d'or, et l'épitaphe de l'archevêque.
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Plaque de consécration de la chapelle.
Située sur la paroi méridionale, à gauche de la chaire, cette plaque témoigne de la consécration de la chapelle en 1622 par Gaspard du Laurens et atteste que le maître-autel contient la dépouille mortelle de l'archevêque Rostang II de Capra. Du côté sud, deux angelots entourent la plaque de consécration. Puis, à droite, on devine une Assomption,
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La Circoncision, une Vierge allaitant, enfin la présentation de Jésus au Temple.
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Chapelle des rois. Sur le mur nord se distingue une Nativité et, à droite, une tiare.
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La chapelle est ornée en son centre de fonts baptismaux en marbre des Pyrénées, inaugurés en juin 2001. Entre la vasque et le pied est insérée une pierre blanche, offerte par le recteur de la cathédrale de Canterbury en souvenir de saint Augustin, consacré évêque à Arles en 597, avant de partir évangéliser l'Angleterre. Sur cette pierre est gravé le chrisme (monogramme du Christ) représenté sur la boucle de la ceinture de Saint Césaire.
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Chapelle des rois. Chaire à prêcher en marbre polychrome commandée par le dernier archevêque d'Arles, Mgr Jean-Marie Du Lau (victime du massacre des Carmes à Paris en 1792), au sculpteur lisbonnais Emmanuel Carvalho en 1780, qui se trouvait autrefois dans la nef et qui fut remplacée en 1897 par celle visible de nos jours. L'Ange et l'Aigle supportaient l'abat-voix en bois doré; le boeuf et le lion, la vasque.
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Statue de Saint Jean Paul II.
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Reliquaire de Saint Jean Paul II
Le cardinal-archevêque de Cracovie a donné à la Primatiale saint Trophime d’Arles pour la vénération des fidèles, un reliquaire contenant quelques gouttes de sang de saint Jean Paul II, pape de 1978 à 2005.
Ce reliquaire a été exposé pour la première fois le 3 avril 2016 en la fête du dimanche de la Divine Miséricorde, jubilé de l'année sainte de la Miséricorde voulue par le pape François.
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Chapelle des rois. Les éléments d'une voûte nervurée Au centre, la clé de voûte d'où partent quatre liernes perpendiculaires et qui vont rejoindre deux tiercerons. Par la clé passent deux ogives qui s'yn croisent d'où le terme voûte sur croisée d'ogives. Parfois il n'y a pas de tierceron et les liernes vont jusqu'à l'arc que l'on voit derrière et qui s'appelle un doubleau ou si cet arc est en deux parties, un formeret.
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Sur un poind'appui de la voûte arrivent : deux doubleaux (ou deux formerets), deux tiercerons et une ogive. Un ogive relie deux points d'appui diamétralement opposés.
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Saint Trophime, peinture de Fouque, avec une vue d'Arles antique. On aperçoit l'abbaye de Montmajour sur la gauche.
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Martyre de Sainte Agathe.
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L'Immaculée Conception par Philippe Sauvan.
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Épitaphe de l'archevêque Raymonde Bollène (mort en 1182).
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Concile provincial placé sous le patronage de la Vierge Marie avec l’enfant Jésus et de saint Étienne placés au centre pour juger l’évêque de Riez, le sixième à partir de la gauche, qui avait dilapidé l’argent de l’église. Panneau sur bois de la fin du XVIe siècle par un artiste anonyme.
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Contre le pilier S.-E. de la croisée du transept est scellée la pierre tombale en marbre blanc, sciée dans le fût d'une colonne antique, du cardinal Aleman.
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Le déambulatoire est à trois vastes chapelles rayonnantes et cinq chapelles latérales. La voûte du déambulatoire présente un réseau de nervures complexe.
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St Etienne, le premier martyr chrétien.
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Lapidation de saint Étienne.
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La transfiguration, d'après Raphaël. Jésus, rendu sur une montagne avec ses disciples Pierre, Jacques et Jean, se trouve métamorphosé : l'aspect de son visage change et ses vêtements deviennent d'une blancheur éclatante. Le lieu traditionnel de la transfiguration est le mont Thabor près du lac de Tibériade.
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Chapelle Saint Roch.
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Chapelle Saint Roch. Saint-Antoine faisant l'aumône, de Parrocel.
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Chapelle Saint Roch. Rédemption des Captifs. (Naples, 1612).
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Chapelle Saint Roch.
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Chapelle Saint Roch.
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Eglise de St Trophime
Chapelle du Saint-Sépulcre, autel formé par un sarcophage chrétien (400 env.), qui servit de tombeau à Geminus, fonctionnaire transféré de Cologne à Arles : il représente le Christ entre saint Pierre et saint Paul ; au-dessus, Mise au tombeau, beau groupe en pierre de la fin du XVe s. provenant de l'église des Dominicains.
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Chapelle du Saint-Sépulcre, autel formé par un sarcophage chrétien (400 env.), qui servit de tombeau à Geminus, fonctionnaire transféré de Cologne à Arles : il représente le Christ entre saint Pierre et saint Paul ; au-dessus, Mise au tombeau, beau groupe en pierre de la fin du XVe s. provenant de l'église des Dominicains.
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Eglise de St Trophime
Au premier plan, le cadavre du Christ étendu sur un linceul est entouré par Joseph d’Arimathie et Nicomède ; derrière eux la vierge Marie entourée de Marie Salomé et Marie épouse de Cléophas ; à droite sainte Marie Madeleine porte un vase à parfum et à gauche saint Jean tient la couronne d’épines ; deux anges portant les instruments de la passion encadrent le groupe.
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Eglise de St Trophime
A gauche un tombeau avec un gisant du cardinal Pierre de Foix (1386-1464).
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Eglise de St Trophime
A droite le tombeau de Robert de Montcalm de Saint-Véran (1542-1585), président du Parlement de Provence, avec la devise « L’innocence est ma forteresse » et quatre niches dans lesquelles se trouvaient de jolies statuettes représentant la foi, l’espérance, la charité et la justice.
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Eglise de St Trophime
Chapelle de la vierge. Une magnifique statue en marbre blanc de la Vierge, commandée en 1619 au sculpteur génois Leonardo Mirano, orne la chapelle qui lui est dédiée à l’extrémité est du chœur. Elle était primitivement placée dans l’église Saint-Honorat-des-Alyscamps. Elle est vénérée sous le nom de Notre Dame des Grâces.
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Chapelle de la vierge. Une magnifique statue en marbre blanc de la Vierge, commandée en 1619 au sculpteur génois Leonardo Mirano.
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Eglise de St Trophime
Chapelle de la vierge. Descente de Croix, avec personnages costumés à la mode espagnole du XVIe siècle.
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Chapelle de la vierge. Marthe et Marie.
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Chapelle de la vierge. L'Annonciation.
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Chapelle de la vierge. Présentation de Marie au temple.
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Eglise de St Trophime
Vue de la nef.
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Le déambulatoire.
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Chapelle des reliques. La plupart des reliquaires datent du début du XIXe siècle.
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Eglise de St Trophime
Chapelle de Saint Antoine du Désert.
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Eglise de St Trophime
Chapelle de Saint Antoine du Désert.
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Eglise de St Trophime
Chapelle de Saint Antoine du Désert.
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Eglise de St Trophime
L'Annonciation (Finson).
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Eglise de St Trophime
L'Assomption par Trophime Bigot, signée et datée de 1635.
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Chapelle Saint-Genès.
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Chapelle Saint-Genès. Bas-relief en marbre représentant l’Assomption.
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Chapelle Saint-Genès. Sarcophage représentant la traversée de la mer rouge.
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Cette chapelle renferme aussi le tombeau des archevêques François (+ 1689) et J.-B. de Grignan (+ 1697).
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Apparition de Marie avec Jésus à un prêtre prisonnier pour la foi.
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Chapelle des âmes du purgatoire. Tableau du Purgatoire.
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Chapelle de Saint Antoine de Padoue.
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Chapelle de Saint Antoine de Padoue. Au retable, saint Dominique.
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Saint François d'Assise, fondateur de l'ordre des frères mineurs..
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Saint Antoine de Padoue.
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Chapelle de Saint Antoine de Padoue. Une Annonciation.
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Chapelle de Saint Antoine de Padoue.
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Le sarcophage date du milieu du IVème siècle, provenant de Saint HONORAT des ALYSCAMPS où il servit de maître-autel jusqu'à la fin du XVIIIème, il fut transporté ensuite à la Cathédrale, et servit au XVIIIème de Font Baptismaux, lorsque celle-ci devint Eglise Paroissiale. Il est surmonté de deux colonnes antiques en basalte.
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Des colonnes torsadées supportent des frontons triangulaires ou des arcs surbaissés et isolent diverses scènes ou personnages.
Dans le registre supérieur :
Au centre, le Christ, accompagné d'un coq, annonce à Pierre (à droite) son reniement. A l'extrême gauche, la multiplication des pains.
A l'extrême droite, Daniel empoisonne le dragon des Babylonien. A côté, la guérison de l'aveugle-né.
Dans le registre inferieur :
Au centre l'Orante.
A l'extrême gauche, la source que fait jaillir Moïse (ou Pierre).
A droite, les Noces de Cana, puis le Christ et, un apôtre et la guérison de l'Hémoroïsse.
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Dans le petit côté droit : En hauts, l'adoration des mages et en bas, l'entrée triomphale du Christ à Jérusalem.
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Dans le petit côté gauche : en haut, l'offrande de Caïn et d'Abel à Dieu et à droite, le Christ devant le Figuier stérile. En bas, les trois Hébreux refusant d'adorer l'idole de Nabuchodonosor.
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Chaire dessinée par Henri Révoil et sculptée par Jules Cantini. Le dorsal et rabat-voix, très-beau travail de sculpture sur bois, sont sortis des ateliers de M. Dumas, ébéniste arlésien» (Forum, 16 oct. 1897). Son style rappelle le XIIe siècle.
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A droite. Plusieurs tapisseries d'Aubusson (fin du XVIIe s.) représentant des scènes de la vie de la Vierge sont accrochées dans les parties hautes. A gauche, l'Immaculée Conception et à droite le couronnement.
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A droite. La dormition.
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A droite. La Déploration ou Stabat Mater.
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A droite. Jésus au milieu des docteurs de la loi.
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À droite. Les noces de Cana.
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A gauche. À gauche l'Annonciation et à droite la Visitation.
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A gauche. La Nativité avec les bergers.
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A gauche. La présentation de Jésus au Temple.
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A gauche. L'Adoration des Rois Mages.
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Cour de l'archevêché. Au-dessus de la toiture du bas-côté sur le mur de la nef des contreforts plats épaulent la poussée des doubleaux de la voûte. Entre s'ouvrent les fenêtres hautes en plein cintre, à double rouleau. On peut voir aussi des trous de boulins. Au-dessus, une corniche à denticules marque le rebord du toit
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Cour de l'archevêché. Le clocher s'élève sur la croisée du transept.
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À la croisée du transept s’élève une coupole surmontée d’un robuste clocher roman, haut de 42 m et de section carrée. Cette tour comprend trois étages en retrait les uns sur les autres et un quatrième étage très court. Les deux premiers étages sont ornés de bandes lombardes dont les arcatures retombent sur de petites consoles, le troisième de pilastres à chapiteaux corinthiens.
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Dans une salle située au nord du cloître sont exposées sept tapisseries de la fin du XVIIe siècle, une seule représentant la naissance de Marie est une tapisserie d'Aubusson car sa bordure est bleue. Elle porte également l'initiale de la ville et la fleur de lys, attribut de la manufacture royale. Le décor est d'inspiration maniériste qui se caractérise notamment par le raffinement et l'élégance des personnages. La tapisserie porte les armoiries des Combet, famille noble arlésienne, figurées dans la scène et celles du couvent de la Visitation, visibles dans la bordure. A l'origine, cette tapisserie a été commandée par des religieuses de la Visitation.
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Six de ces tapisseries ont une bordure brune, ce qui permet d'affirmer qu’elles ont été créées dans les ateliers de la ville de Felletin. Elles représentent l'histoire de Godefroy de Bouillon conduisant la première croisade. Cette bataille retrace le combat épique entre Tancrède, le chrétien, et Argant, le sarrasin.
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A gauche, Godefroy de Bouillon est représenté agenouillé devant sa tente. Il écoute l'ange Gabriel venu lui révéler la volonté de Dieu. A droite, les chevaliers les plus fidèles, Bouillon en tête, se tiennent devant le cercueil du valeureux chevalier Dudon, mort au combat.
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Godefroy de Bouillon est représenté assis, blessé par une flèche, tirée par Clorinde. Touché grièvement. Bouillon ne doit son salut qu'à une intervention divine.
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Cette tapisserie met en scène le combat entre Tancrède et Argant. Sur une autre tapisserie est traité le même sujet. Il était fréquent que les acheteurs fassent reproduire une tapisserie vue dans une autre maison.
Ici la bordure est composée à chaque angle d'animaux, également de soleils qui peuvent être interprétés comme un rappel du symbole de Louis XIV. Les armes qui l'ornent nous indiquent que cette tapisserie a été commandée par un militaire et certainement un maréchal.
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Au centre Clorinde, venue de Perse pour combattre les chrétiens, est émue par le sort réservé aux fiancés, Olinde et Sophronie, accusés injustement de vol et condamnés au bûcher. Croyant à l'innocence des amants, elle s'adresse au roi Aladin et implore sa clémence. Aladin se laissera convaincre et fera de Clorinde le commandant de ses armées pour lutter contre les chrétiens.
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François Lemoyne (Paris 1688-1737}
Charles-Joseph Natoire (Nîmes 1700, Castel Gandolfo 1777)
La Guérison de l'aveugle-né. Huile sur toile. 1738
Commencé par François Lemoyne, le tableau fut achevé, après la disparition tragique du peintre, par Charles-Joseph Natoire qui avait été son plus fidèle élève.
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L’édification du cloître débute peu après 1150 avec la construction de la galerie nord qui sera suivie de peu par celle de la galerie orientale. Il faudra attendre la fin du XIVe siècle pour voir l’achèvement du cloître avec les constructions de la galerie ouest puis de la galerie sud qui sera terminée sous l’épiscopat de Jean de Rochechouart (1390-1398). Il résulte de ces différentes périodes de construction, deux styles différents pour les galeries : le roman pour les galeries nord et est, et le gothique pour les galeries ouest et sud.
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A gauche, galerie Ouest gothique ; à droite, galerie Nord, romane. Les trous rectangulaires du parapet serventy à faire écouler l'eau des toitures dans une corniche qui est en réalité un chéneau en pente pour la conduire à la citerne.
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A gauche, galerie Est romane ; à droite, galerie Sud, gothique. Les deux gouttières arrivent au coin où se trouve la citerne.
