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Les arènes.
La feria.
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Les arènes.
La feria.
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Arelate.
A la fin du mois d'août, a lieu le festival « Arelate, journées romaines d'Arles ». En aprticulier, parmi d'autres animations et reconstitution, on peut admirer des manœuvres de légionnaires.
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Arelate.
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Arelate.
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Arelate.
Formation de la tortue.
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Arelate.
Formation de la tortue.
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Le théâtre.
Il pouvait semble-t-il accueillir plus de 12 000 spectateurs. Les débris antiques qui y ont été retrouvés, qu'ils soient maintenant au musée lapidaire d'art païen ou, pour bon nombre d'entre eux, visibles clans les ruines même, montrent une somptuosité décorative qui contraste avec les monuments semblables de Rome et de l'Italie sans doute les sculpteurs sont-ils davantage allés chercher leurs modèles dans l'art de la Grèce hellénistique; sans doute est-ce aussi un des effets de la munificence augustéenne à l'égard de la Gaule narbonnaise.
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Le théâtre.
Le théâtre romain d’Arles mesure 102 m de diamètre. Ses 33 gradins, dont une grande partie a aujourd’hui disparue, s’appuyaient sur une enceinte extérieure composée de trois étages. Les cinq premiers rangs de gradins sont d'origine, les autres ont été ajoutés.
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Le théâtre.
L'orchestra, où prenaient place les musiciens, a conservé son dallage de pierre, il est séparé de la scène par un large passage réunissant les deux grandes entrées du théâtre dont le diamètre, hors oeuvre, est de 102 m. En avant, il ne subsiste que la trace du pulpitum, ce mur bas qui précédait la scène ; il était percé de niches ornées de diverses sculptures .
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Le théâtre.
Le mur de scène était très décoré. Il comportait trois étages de colonnes et une importante statuaire, dont la statue colossale d’Auguste, qui est conservée actuellement au musée départemental Arles antique. La fameuse statue de la « Vénus d’Arles » est conservée au Louvre. Au milieu du mur se trouvait la porte royale que bordaient de chaque côté deux colonnes ; celles d’un seul côté se voit aujourd’hui en place. Au fond, le clocher de St Trophime.
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Le théâtre.
La scène, profonde de 6 m, conserve deux très belles colonnes corinthiennes avec leur entablement, l'une en brèche africaine, l'autre en marbre jaune de Sienne, qui flanquaient jadis la porte Royale.
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Le théâtre.
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Le théâtre.
Le fossé du rideau de scène, au pied de la scène, immédiatement derrière le pulpitum.
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Le théâtre.
La tour dite de Roland, édifiée au début du Moyen Âge. C'est la seule travée restante de la cavea qui était portée par tout un système de voûtes, d'arcades et de galeries, appuyé sur de forts murs rayonnants car ici il n'y avait pas de butte sur laquelle on aurait pu construire les gradins, comme à Orange.
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Le théâtre.
La tour de Roland vue de l'extérieur. On voit ici les arcades en plein cintre du mur extérieur de la cavea.
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Le théâtre.
La tour de Roland vue de l'extérieur.
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Le théâtre.
La tour de Roland vue de l'extérieur.
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Le Théâtre.
Les colonnes et la flèche gothique de l'ancien couvent des Cordeliers.
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Frises extérieures du théâtre.
Dans la frise dorique, on voit les triglyphes et les métopes à ornements circulaires qui alternent avec des avants corps de taureaux pour honorer la sixième légion de César dont l'enseigne était un taureau ou la famille d’Auguste qui était originaire d’une partie du Palatin qui s’appelait les têtes de bœufs. Au-dessus une corniche à caissons.
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Frises extérieures du théâtre.
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Frises extérieures du théâtre.
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Rue de la calade.
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Sous-préfecture.
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Sous-préfecture.
Hôtel Courtois de Langlade, aujourd’hui siège de la sous-préfecture d'Arles. Au tournant du XVIIIe siècle, l’édifice se distingue de la plupart des ouvrages de la période classique par sa décoration de style "rocaille". Les ornements de la façade en constituent, notamment, un exemple raffiné, avec des sculptures de style rocaille (courbes et contrecourbes inspirées des volutes de coquillage), des petites corbeilles ou des têtes placées au sommet des arc des fenêtres. Remarquable, également, est le fronton du premier étage, décoré d’une coquille et de cornes d’abondance. La famille dont il porte le nom n’en fut en fait propriétaire qu’au XIXe siècle.
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Rue du cloitre.
Cet arc du XVIIIe est une des deux portes qui fermaient l'enclos du quartier canonial.
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Rue du cloitre.
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Rue du cloitre.
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L'arrière de l'archevêché.
Le quartier canonial était situé entre la cathédrale, le palais archiépiscopal et les ruines du théâtre, à l’intérieur du rempart de ville qui longeait l’actuelle rue du Cloître.
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L'arrière de l'archevêché.
Derrière ce portail gothique, dit des chanoines, se trouve le cloître Saint-Trophime.
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L'arrière de l'archevêché.
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L'arrière de l'archevêché.
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L'arrière de l'archevêché.
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L'arrière de l'archevêché.
Baies à croisée du réfectoire.
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Hôtel de Luppé.
Escalier de l'entrée.
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Hôtel de Luppé.
Face à la tour ouest de l’amphithéâtre, l’hôtel de Luppé dresse son étonnante façade aux allures de palais florentin. Ses propriétaires successifs évoquent le passé de plusieurs grandes familles arlésiennes et témoignent de leur contribution majeure à l’architecture domestique arlésienne. Bien que datant du XVIIe siècle, seule demeure visible de l’extérieur la façade érigée au début du XXe siècle par Gaston de Luppé, artiste et érudit, passionné d’Italie.
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Hôtel de Luppé.
L’édifice date du XVIIe siècle et a appartenu à une très ancienne famille arlésienne, les Romieu. Celle-ci, connue pour de nombreux faits d’armes, donna à la ville vingt-deux consuls et compta plusieurs érudits. Dès le XVIe siècle, Lantelme de Romieu, lui-même collectionneur, fut l’auteur d’une Histoire des antiquités d’Arles publiée en 1574. Au XVIIIe siècle Charles-Joseph de Romieu avait l’habitude d’ouvrir sa maison aux artistes et d’y donner des réceptions réputées. Après la Révolution, l’hôtel connut plusieurs propriétaires successifs. En 1905, presque en ruine, il fut racheté par Gaston de Luppé qui y installa un de ses ateliers. C’est à ce dernier que l’on doit la façade visible aujourd’hui, dont les travaux s’achevèrent en 1920.
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Hôtel de Luppé.
Oeuvre de Ségoffin, 1905-1907. Gaston Luppé était un collectionneur éclairé comme en témoignent certaines œuvres de Ségoffin et de Bouny sculpteurs consacrés qu’on retrouve dans le palais au milieu des œuvres en plâtre pierre ou bronze sorties de son atelier. On retrouve dans celles-ci la puissance de Rodin qu’il admirait, alliée à beaucoup d’élégance et de finesse.
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Hôtel de Luppé.
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Hôtel de Luppé.
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Hôtel de Luppé.
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Hôtel de Luppé.
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Hôtel de Luppé.
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Hôtel de Luppé.
Le toit de la loggia.
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Rue des arènes.
Hôtel de Nicolay. La tour hexagonale abritant l'escalier à vis desservant les étages.
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Rue des arènes.
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Rue des arènes.
L'hôtel particulier de Forbin-Soliers, au 31 rue des Arènes.
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Rue des arènes.
Porche d'entrée de l'hôtel particulier de Forbin-Soliers, au 31 rue des Arènes.
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Dans les rues d'Arles.
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Dans les rues d'Arles.
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Dans les rues d'Arles.
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Dans les rues d'Arles.
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Rue de Grille.
Hôtel de Grille. On le doit à une famille d’origine génoise, enrichie par le commerce et particulièrement entreprenante. Construit à la fin du XVIIe siècle, il est l’un des plus représentatifs de la grande architecture classique de style Louis XIV. La façade sud date du siècle suivant.
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Rue des arènes.
Pots à feu et blason de la famille de Grille.
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Hôtel Blain.
L’hôtel Blain, au 18 rue de la Calade, est un exemple typique des hôtels particuliers qui ont fleuri au XVIIe siècle. Il eut, comme bon nombre d'hôtels particuliers arlésiens, différents propriétaires et fut reconstruit plusieurs fois. La surprise se trouve à l'intérieur, où juste après un vestibule assez ample, on trouve l'un des plus beaux escaliers d'Arles.
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Hôtel Blain.
Il fut d’abord la propriété de la famille de Donines, dont on connaît un hôtel rue de la Bastille, puis de la famille des Alberts. C’est au XVIIe siècle qu’il est racheté par la famille Blain, famille de juristes, et le remarquable escalier intérieur porte sur un de ses arcs la date de 1687.
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Hôtel Blain.
Cet escalier monumental, occupant tout le centre de l’immeuble, dessert quatre niveaux et comporte des volées droites à balustres, s’articulant sur quatre noyaux.
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Passage des Ursulines.
Porte de l'ancien couvent.
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Passage des Ursulines.
Blason sculpté de la famille de Grille à gauche et à droite, celui de Castillon, deux des grandes familles qui contribuèrent à l'établissement.
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Passage des Ursulines.
Sont encore visibles l'entrée du monastère, ainsi que quelques arcs et fenêtres à meneaux des XVe et XVIe siècle.
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Passage des Ursulines.
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Dans les rues d'Arles.
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Dans les rues d'Arles.
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Dans les rues d'Arles.
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Dans les rues d'Arles.
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