Palais de la Porte Dorée, Mairie du XIIe, Promenade Plantée.

<center>La porte Dorée.</center>L a porte Dorée ou porte de Picpus est l'une des 17 portes percées dans l'enceinte de Thiers (construite au milieu du XIXe siècle pour protéger Paris). Statue d’Athéna devant la fontaine de la Porte-Dorée réalisée par Louis Madeline..
La porte Dorée.
L a porte Dorée ou porte de Picpus est l'une des 17 portes percées dans l'enceinte de Thiers (construite au milieu du XIXe siècle pour protéger Paris). Statue d’Athéna devant la fontaine de la Porte-Dorée réalisée par Louis Madeline..
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<center>La porte Dorée.</center>Statue de bronze doré, d’une dizaine de mètres de hauteur.  Elle représente la guerrière Athéna, avec une lance, dominant un bassin à plusieurs niveaux et se trouvait sur les marches du musée permanent des Colonies lors de l’inauguration de l’Exposition coloniale, 1931. Cette statue de Léon-Ernest Drivier représente La France apportant la paix et la prospérité aux colonies. Après l'exposition, la statue a été placée sur la place Édouard-Renard.
La porte Dorée.
Statue de bronze doré, d’une dizaine de mètres de hauteur. Elle représente la guerrière Athéna, avec une lance, dominant un bassin à plusieurs niveaux et se trouvait sur les marches du musée permanent des Colonies lors de l’inauguration de l’Exposition coloniale, 1931. Cette statue de Léon-Ernest Drivier représente La France apportant la paix et la prospérité aux colonies. Après l'exposition, la statue a été placée sur la place Édouard-Renard.
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<center>La porte Dorée.</center>Du 6 mai au 15 novembre 1931, l'Exposition coloniale internationale de Paris s’est tenue à l'orée du bois de Vincennes. Dans la tradition des expositions universelles instaurées au XIXème siècle, elle était conçue comme une synthèse du monde contemporain et un spectacle à la gloire des nations impériales alliées.<br>
Autour du lac Daumesnil, le visiteur pouvait  découvrir les pavillons des possessions françaises mais aussi, entre autres, des possessions coloniales de l'Italie, des Pays-Bas, de la Belgique et des États-Unis. Outre ces constructions éphémères de styles indigènes, de nombreux spectacles et attractions offraient une vision parfois folklorisante, parfois respectueuse des coutumes et cultures coloniales.
La porte Dorée.
Du 6 mai au 15 novembre 1931, l'Exposition coloniale internationale de Paris s’est tenue à l'orée du bois de Vincennes. Dans la tradition des expositions universelles instaurées au XIXème siècle, elle était conçue comme une synthèse du monde contemporain et un spectacle à la gloire des nations impériales alliées.
Autour du lac Daumesnil, le visiteur pouvait découvrir les pavillons des possessions françaises mais aussi, entre autres, des possessions coloniales de l'Italie, des Pays-Bas, de la Belgique et des États-Unis. Outre ces constructions éphémères de styles indigènes, de nombreux spectacles et attractions offraient une vision parfois folklorisante, parfois respectueuse des coutumes et cultures coloniales.
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<center>La porte Dorée.</center>En face du Palais, le monument au commandant Marchand, chef de la mission Congo-Nil. Le monument prend la forme d'un mur de pierre d'environ 10 m de long. L'une des faces du mur est sculptée d'un bas-relief décrivant le corps expéditionnaire de Jean-Baptiste Marchand, stylisé par 6 militaires français, en costume colonial, et 6 tirailleurs sénégalais. Les personnages évoluent de gauche à droite. Derrière eux, un fond de carte décrit les étapes successives de leur expédition : Loango, départ de l'expédition en juin 1896, Brazzaville, le Congo français, Bangui, l'Oubangui-Chari, Bangassou, Tambura, le Bahr el-Ghazal et finalement Fachoda, fin de l'expédition le 10 juillet 1898. Djibouti, zone de repli de l'expédition après son évacuation en mai 1899, est mentionné à l'extrême-droite de l'expédition.
Sur la droite du monument, un bouclier de bronze recense les membres de l'expédition : Marchand, les 14 autres militaires français — expressément nommés — et les 152 tirailleurs sénégalais.
Sous le bouclier, gravés dans la pierre, sont mentionnées les participations militaires de Marchand : Sénégal, Soudan, Côte d'Ivoire, Congo, Nil), Chine et Première Guerre mondiale.
La porte Dorée.
En face du Palais, le monument au commandant Marchand, chef de la mission Congo-Nil. Le monument prend la forme d'un mur de pierre d'environ 10 m de long. L'une des faces du mur est sculptée d'un bas-relief décrivant le corps expéditionnaire de Jean-Baptiste Marchand, stylisé par 6 militaires français, en costume colonial, et 6 tirailleurs sénégalais. Les personnages évoluent de gauche à droite. Derrière eux, un fond de carte décrit les étapes successives de leur expédition : Loango, départ de l'expédition en juin 1896, Brazzaville, le Congo français, Bangui, l'Oubangui-Chari, Bangassou, Tambura, le Bahr el-Ghazal et finalement Fachoda, fin de l'expédition le 10 juillet 1898. Djibouti, zone de repli de l'expédition après son évacuation en mai 1899, est mentionné à l'extrême-droite de l'expédition. Sur la droite du monument, un bouclier de bronze recense les membres de l'expédition : Marchand, les 14 autres militaires français — expressément nommés — et les 152 tirailleurs sénégalais. Sous le bouclier, gravés dans la pierre, sont mentionnées les participations militaires de Marchand : Sénégal, Soudan, Côte d'Ivoire, Congo, Nil), Chine et Première Guerre mondiale.
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<center>La porte Dorée.</center>Au fond, le clocher et le dôme de l'église du Saint Esprit.
La porte Dorée.
Au fond, le clocher et le dôme de l'église du Saint Esprit.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Construit pour l'Exposition coloniale internationale de 1931, ce palais était voué à accueillir le musée permanent des Colonies, à retracer l'histoire des conquêtes françaises et à célébrer l'Empire colonial, ainsi que son incidence sur les arts.
Depuis 1931, le palais a accueilli quatre institutions, suivant ainsi le cours de l'histoire, de la décolonisation et l'évolution des mentalités : musée des colonies (1931 – 1935), musée de la France d’outre-mer (1935 – 1959), musée des arts d'Afrique et d'Océanie (1961-2003) et Cité nationale de l'histoire de l'immigration en 2007. La façade majestueuse du Palais de la Porte Dorée, au décor de pierre animé, est un témoignage d’une tendance de l’esthétique Art déco qui se nourrit d’exotisme. Elle s’inscrit dans le programme iconographique commandé aux artistes dans le cadre de l’Exposition coloniale de 1931, avec une fonction idéologique très claire : éveiller la conscience coloniale des Français et montrer la richesse et la diversité des peuples, de la faune, de la flore et des produits des Colonies. Elle fut réalisée en moins de deux ans par Alfred Auguste Janniot, sculpteur spécialisé dans les décors monumentaux.
Palais de la Porte Dorée.
Construit pour l'Exposition coloniale internationale de 1931, ce palais était voué à accueillir le musée permanent des Colonies, à retracer l'histoire des conquêtes françaises et à célébrer l'Empire colonial, ainsi que son incidence sur les arts. Depuis 1931, le palais a accueilli quatre institutions, suivant ainsi le cours de l'histoire, de la décolonisation et l'évolution des mentalités : musée des colonies (1931 – 1935), musée de la France d’outre-mer (1935 – 1959), musée des arts d'Afrique et d'Océanie (1961-2003) et Cité nationale de l'histoire de l'immigration en 2007. La façade majestueuse du Palais de la Porte Dorée, au décor de pierre animé, est un témoignage d’une tendance de l’esthétique Art déco qui se nourrit d’exotisme. Elle s’inscrit dans le programme iconographique commandé aux artistes dans le cadre de l’Exposition coloniale de 1931, avec une fonction idéologique très claire : éveiller la conscience coloniale des Français et montrer la richesse et la diversité des peuples, de la faune, de la flore et des produits des Colonies. Elle fut réalisée en moins de deux ans par Alfred Auguste Janniot, sculpteur spécialisé dans les décors monumentaux.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Lionnes de la porte d'entrée. Albert Laprade imagine une synthèse du style Art déco contemporain, de l’architecture classique française, et d’éléments librement inspirés de l’art des colonies.
Pour la façade, il renoue avec la monumentalité classique de la colonnade du Louvre ainsi qu'avec l’ordre ionique des temples antiques et abrite une frise sculptée d’ampleur exceptionnelle. Il reprend le plan symétrique des palais marocains construits autour d’un grand patio central encadré de galeries. Les lignes géométriques et épurées du bâtiment, typiques du style Art déco, sont animées par un décor figurant les colonies. Tout l’Empire est convié dans ce palais-musée, car contrairement aux différents pavillons de l’Exposition coloniale, aucun style architectural ne domine ou n’est clairement identifiable.
Palais de la Porte Dorée.
Lionnes de la porte d'entrée. Albert Laprade imagine une synthèse du style Art déco contemporain, de l’architecture classique française, et d’éléments librement inspirés de l’art des colonies. Pour la façade, il renoue avec la monumentalité classique de la colonnade du Louvre ainsi qu'avec l’ordre ionique des temples antiques et abrite une frise sculptée d’ampleur exceptionnelle. Il reprend le plan symétrique des palais marocains construits autour d’un grand patio central encadré de galeries. Les lignes géométriques et épurées du bâtiment, typiques du style Art déco, sont animées par un décor figurant les colonies. Tout l’Empire est convié dans ce palais-musée, car contrairement aux différents pavillons de l’Exposition coloniale, aucun style architectural ne domine ou n’est clairement identifiable.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> «… Dans le bonheur », Diadji Diop, 2009, sculpture en résine époxy. Un homme, les yeux clos, esquissant un sourire, nage avec grâce et quiétude. Ne sont visibles que certaines parties de son corps, d’un rouge éclatant, émergées de la nature qui l’accueille. L’œuvre engage le spectateur à imaginer les formes enfouies du personnage et à interpréter la couleur inhabituelle de sa peau. Si ce dernier peut faire penser, de prime abord, à ces migrants qui risquent leur vie sur des pirogues pour venir en Europe, la couleur rouge évoque le sang “comme pour mieux rendre apparent l’invisible : ce qui unit les êtres entre eux, par-delà les variantes d’épiderme.
Palais de la Porte Dorée.
«… Dans le bonheur », Diadji Diop, 2009, sculpture en résine époxy. Un homme, les yeux clos, esquissant un sourire, nage avec grâce et quiétude. Ne sont visibles que certaines parties de son corps, d’un rouge éclatant, émergées de la nature qui l’accueille. L’œuvre engage le spectateur à imaginer les formes enfouies du personnage et à interpréter la couleur inhabituelle de sa peau. Si ce dernier peut faire penser, de prime abord, à ces migrants qui risquent leur vie sur des pirogues pour venir en Europe, la couleur rouge évoque le sang “comme pour mieux rendre apparent l’invisible : ce qui unit les êtres entre eux, par-delà les variantes d’épiderme.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Liste des noms des personnages ayant contribué à la conquête coloniale inscrite sur le mur ouest du bâtiment. Cette liste remonte au temps des Croisades et donne une vision rétrospective de l'histoire très idéologique qui avait fait débat, déjà, à l'époque.
Palais de la Porte Dorée.
Liste des noms des personnages ayant contribué à la conquête coloniale inscrite sur le mur ouest du bâtiment. Cette liste remonte au temps des Croisades et donne une vision rétrospective de l'histoire très idéologique qui avait fait débat, déjà, à l'époque.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center>
Palais de la Porte Dorée.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Sur ce même coté, les colonies d'Amériques à gauche : Martinique, Guadeloupe, Saint Pierre et Miquelon. Madagascar à droite.
Palais de la Porte Dorée.
Sur ce même coté, les colonies d'Amériques à gauche : Martinique, Guadeloupe, Saint Pierre et Miquelon. Madagascar à droite.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Le bas-relief est construit autour d’un axe central. Trônant au-dessus de la porte, la France est représentée sous les traits d’une figure allégorique symbolisant l’Abondance vers laquelle tout converge. À partir de cette figure centrale, les colonies sont réparties, de part et d’autre, selon une logique géographique et symétrique.
Palais de la Porte Dorée.
Le bas-relief est construit autour d’un axe central. Trônant au-dessus de la porte, la France est représentée sous les traits d’une figure allégorique symbolisant l’Abondance vers laquelle tout converge. À partir de cette figure centrale, les colonies sont réparties, de part et d’autre, selon une logique géographique et symétrique.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> L’allégorie de la France symbolisant l’Abondance. A gauche, la Paix, à droite, la Liberté. Au-dessous, Cérés et Pomone.
Palais de la Porte Dorée.
L’allégorie de la France symbolisant l’Abondance. A gauche, la Paix, à droite, la Liberté. Au-dessous, Cérés et Pomone.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center>
Palais de la Porte Dorée.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> L’aéroport du Bourget inauguré en 1919.
Palais de la Porte Dorée.
L’aéroport du Bourget inauguré en 1919.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Différents noms de ports français par lesquels transitaient les produits rapportés d’outre-mer sont mentionnés. Ici, Marseille avec ses monuments : la cathédrale, le fort St Jean, St Victor, ND de la Garde.
Palais de la Porte Dorée.
Différents noms de ports français par lesquels transitaient les produits rapportés d’outre-mer sont mentionnés. Ici, Marseille avec ses monuments : la cathédrale, le fort St Jean, St Victor, ND de la Garde.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Le Havre, Bordeaux, en bas, avec Ste Croix, St André et le palais Calhau.
Palais de la Porte Dorée.
Le Havre, Bordeaux, en bas, avec Ste Croix, St André et le palais Calhau.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Les colonies d’Afrique du Nord et d’Afrique subsaharienne sont évoquées à gauche.<br> Dans un foisonnement de corps à demi-nus, de plantes tropicales et d'animaux exotiques, les sculptures du bas-relief sont un catalogue des richesses agricoles et minières de l'Empire, récoltées par les populations indigènes telles que voulait les représenter le discours colonial.
Palais de la Porte Dorée.
Les colonies d’Afrique du Nord et d’Afrique subsaharienne sont évoquées à gauche.
Dans un foisonnement de corps à demi-nus, de plantes tropicales et d'animaux exotiques, les sculptures du bas-relief sont un catalogue des richesses agricoles et minières de l'Empire, récoltées par les populations indigènes telles que voulait les représenter le discours colonial.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Maroc avec les phosphates, céréales et laine, Sénégal et Soudan avec l'arachide, le café.
Palais de la Porte Dorée.
Maroc avec les phosphates, céréales et laine, Sénégal et Soudan avec l'arachide, le café.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Côte-d'Ivoire et Dahomey avec le bois, huile de palme. Les personnages sont sculptés de profil avec les épaules de face, rappelant l’art égyptien, sauf la France accueillant symboliquement le visiteur avec un visage de face.
Palais de la Porte Dorée.
Côte-d'Ivoire et Dahomey avec le bois, huile de palme. Les personnages sont sculptés de profil avec les épaules de face, rappelant l’art égyptien, sauf la France accueillant symboliquement le visiteur avec un visage de face.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Algérie, Oubangui-Chari.
Palais de la Porte Dorée.
Algérie, Oubangui-Chari.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Tunisie
Palais de la Porte Dorée.
Tunisie
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Les colonies d’Asie sont évoquées à droite.
Palais de la Porte Dorée.
Les colonies d’Asie sont évoquées à droite.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Cochinchine avec le riz, le café, le maïs.
Palais de la Porte Dorée.
Cochinchine avec le riz, le café, le maïs.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Cambodge avec la soie, le coton, le paddy
Palais de la Porte Dorée.
Cambodge avec la soie, le coton, le paddy
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Le thé, le riz, l'huile, les arts.
Palais de la Porte Dorée.
Le thé, le riz, l'huile, les arts.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Sur le côté Est, apparaissent les colonies d’Océanie. Nouvelle-Calédonie avec ses richesses minières, les Marquises, les îles de la Société.
Palais de la Porte Dorée.
Sur le côté Est, apparaissent les colonies d’Océanie. Nouvelle-Calédonie avec ses richesses minières, les Marquises, les îles de la Société.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center>
Palais de la Porte Dorée.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center>
Palais de la Porte Dorée.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center>
Palais de la Porte Dorée.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center>
Palais de la Porte Dorée.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Laprade reprend le plan symétrique des palais marocains construits autour d’un grand patio central encadré de galeries. Les lignes géométriques et épurées du bâtiment, typiques du style Art déco, sont animées par un décor figurant les colonies.
Palais de la Porte Dorée.
Laprade reprend le plan symétrique des palais marocains construits autour d’un grand patio central encadré de galeries. Les lignes géométriques et épurées du bâtiment, typiques du style Art déco, sont animées par un décor figurant les colonies.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> A droite, les luminaires du hall d'accueil, de  Raymond Subes (1891-1970).
Palais de la Porte Dorée.
A droite, les luminaires du hall d'accueil, de Raymond Subes (1891-1970).
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center>
Palais de la Porte Dorée.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center>Le salon ovale du maréchal Lyautey. Dès 1931, deux salons sont aménagés de part et d'autre du hall d'accueil : deux joyaux architecturaux alliant fresques et mobilier de style Art déco. Portes en bois de palmier du Gabon dit “patawa”,
Palais de la Porte Dorée.
Le salon ovale du maréchal Lyautey. Dès 1931, deux salons sont aménagés de part et d'autre du hall d'accueil : deux joyaux architecturaux alliant fresques et mobilier de style Art déco. Portes en bois de palmier du Gabon dit “patawa”,
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Le salon ovale du maréchal Lyautey. La décoration du salon, l’habillage et une partie du mobilier, est commandée à l’ébéniste Eugène Printz (1889-1948). Il fournit deux grandes portes en bois de palmier du Gabon dit “patawa”, une plinthe entourant la pièce, deux meubles à trois portes intégrés dans la fresque et un parquet en marqueterie de bois coloniaux de trois essences différentes dont l’acajou. Il crée spécialement pour ce bureau les sièges en bois laqué et en velours et construit des lampes dont la forme rappelle celle des lampadaires qui se trouvent dans le hall d’honneur du Palais.
Palais de la Porte Dorée.
Le salon ovale du maréchal Lyautey. La décoration du salon, l’habillage et une partie du mobilier, est commandée à l’ébéniste Eugène Printz (1889-1948). Il fournit deux grandes portes en bois de palmier du Gabon dit “patawa”, une plinthe entourant la pièce, deux meubles à trois portes intégrés dans la fresque et un parquet en marqueterie de bois coloniaux de trois essences différentes dont l’acajou. Il crée spécialement pour ce bureau les sièges en bois laqué et en velours et construit des lampes dont la forme rappelle celle des lampadaires qui se trouvent dans le hall d’honneur du Palais.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Le salon ovale du maréchal Lyautey. Dans le salon destiné aux réceptions officielles du maréchal Lyautey, commissaire général de l'Exposition coloniale internationale, le programme décoratif mis en place rend hommage à l'Asie et plus particulièrement aux richesses culturelles des colonies asiatiques. Les fresques peintes par André et Ivanna Lemaître décrivent un monde spirituel et prospère, traité de manière décorative et inspiré des littératures religieuses hindoues, bouddhiques, ou de la pensée confucéenne.
Palais de la Porte Dorée.
Le salon ovale du maréchal Lyautey. Dans le salon destiné aux réceptions officielles du maréchal Lyautey, commissaire général de l'Exposition coloniale internationale, le programme décoratif mis en place rend hommage à l'Asie et plus particulièrement aux richesses culturelles des colonies asiatiques. Les fresques peintes par André et Ivanna Lemaître décrivent un monde spirituel et prospère, traité de manière décorative et inspiré des littératures religieuses hindoues, bouddhiques, ou de la pensée confucéenne.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Le salon ovale du maréchal Lyautey. La plus grande partie des motifs est inspirée des littératures religieuses hindoues, bouddhiques, ou de la pensée confucéenne. Le panneau principal rassemble ainsi les trois grandes religions asiatiques : le dieu hindou Krishna  jouant de la flûte dans la forêt, une représentation de Bouddha en méditation contemplative et le maitre Confucius enseignant à ses disciples. La plus grande partie des motifs est inspirée des littératures religieuses hindoues, bouddhiques, ou de la pensée confucéenne. Le panneau principal rassemble ainsi les trois grandes religions asiatiques : le dieu hindou Krishna  jouant de la flûte dans la forêt, une représentation de Bouddha en méditation contemplative et le maitre Confucius enseignant à ses disciples.
Palais de la Porte Dorée.
Le salon ovale du maréchal Lyautey. La plus grande partie des motifs est inspirée des littératures religieuses hindoues, bouddhiques, ou de la pensée confucéenne. Le panneau principal rassemble ainsi les trois grandes religions asiatiques : le dieu hindou Krishna jouant de la flûte dans la forêt, une représentation de Bouddha en méditation contemplative et le maitre Confucius enseignant à ses disciples. La plus grande partie des motifs est inspirée des littératures religieuses hindoues, bouddhiques, ou de la pensée confucéenne. Le panneau principal rassemble ainsi les trois grandes religions asiatiques : le dieu hindou Krishna jouant de la flûte dans la forêt, une représentation de Bouddha en méditation contemplative et le maitre Confucius enseignant à ses disciples.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Les représentations adjacentes des Arts (danse, musique, sculpture),
Palais de la Porte Dorée.
Les représentations adjacentes des Arts (danse, musique, sculpture),
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Des éléments naturels (Terre, Feu et Eau) et de la mère des arts Koanam naissant d'une fleur de lotus encadrent une famille paisible, figurée en arrière du bureau.
Palais de la Porte Dorée.
Des éléments naturels (Terre, Feu et Eau) et de la mère des arts Koanam naissant d'une fleur de lotus encadrent une famille paisible, figurée en arrière du bureau.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center>
Palais de la Porte Dorée.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Poignée de porte.
Palais de la Porte Dorée.
Poignée de porte.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center>Bureau de Paul Reynaud.  Pendant symétrique du salon du maréchal Lyautey consacré à l'Asie, ce salon était conçu pour abriter les réceptions du ministre des Colonies Reynaud durant l'Exposition coloniale de 1931. Son décor rend hommage à l'Afrique et à ses richesses culturelles. Les fresques du salon furent réalisées par le peintre Louis Bouquet (1885-1952) et évoquent les apports de l’Afrique sub-saharienne et l’Afrique du Nord à la France. Les choix esthétiques de l’artiste se nourrissent de la vision stéréotypée en vogue dans les années 1930 qui associe l’Afrique dite “noire” au corps, à la nudité et à la danse.
Palais de la Porte Dorée.
Bureau de Paul Reynaud. Pendant symétrique du salon du maréchal Lyautey consacré à l'Asie, ce salon était conçu pour abriter les réceptions du ministre des Colonies Reynaud durant l'Exposition coloniale de 1931. Son décor rend hommage à l'Afrique et à ses richesses culturelles. Les fresques du salon furent réalisées par le peintre Louis Bouquet (1885-1952) et évoquent les apports de l’Afrique sub-saharienne et l’Afrique du Nord à la France. Les choix esthétiques de l’artiste se nourrissent de la vision stéréotypée en vogue dans les années 1930 qui associe l’Afrique dite “noire” au corps, à la nudité et à la danse.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Le caractère fastueux du lieu est souligné par le mobilier et l'habillage du salon confiés au décorateur Jacques-Emile Ruhlmann (1879-1933). Les bustes en bronze présentés dans les vitrines ou sur les socles furent réalisés par des artistes tels qu’Anna Quinquaud ou Gaston Broquet et témoignent de la production des artistes académiques coloniaux de l’époque.
Palais de la Porte Dorée.
Le caractère fastueux du lieu est souligné par le mobilier et l'habillage du salon confiés au décorateur Jacques-Emile Ruhlmann (1879-1933). Les bustes en bronze présentés dans les vitrines ou sur les socles furent réalisés par des artistes tels qu’Anna Quinquaud ou Gaston Broquet et témoignent de la production des artistes académiques coloniaux de l’époque.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Le peintre Louis Bouquet (1885-1952) propose une vision de l'Afrique «noire», à la fois fantasmée et réductrice, particulièrement en vogue dans les années 1930 : une image sauvage, magique et inspirante.
Palais de la Porte Dorée.
Le peintre Louis Bouquet (1885-1952) propose une vision de l'Afrique «noire», à la fois fantasmée et réductrice, particulièrement en vogue dans les années 1930 : une image sauvage, magique et inspirante.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Sur fond d'architecture mauresque sont représentés la philosophie, les mathématiques, la médecine, l’astronomie, l’architecture, la musique et la calligraphie.
Palais de la Porte Dorée.
Sur fond d'architecture mauresque sont représentés la philosophie, les mathématiques, la médecine, l’astronomie, l’architecture, la musique et la calligraphie.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> L'Afrique du Nord est, quant à elle, essentiellement présentée selon l'angle de la religion et des sciences : philosophie, histoire, astronomie, architecture, musique et valeurs de l'islam s'incarnent en différentes allégories et se déploient dans des scènes narratives.
Palais de la Porte Dorée.
L'Afrique du Nord est, quant à elle, essentiellement présentée selon l'angle de la religion et des sciences : philosophie, histoire, astronomie, architecture, musique et valeurs de l'islam s'incarnent en différentes allégories et se déploient dans des scènes narratives.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center>
Palais de la Porte Dorée.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Mahomet terrassant le Démon.
Palais de la Porte Dorée.
Mahomet terrassant le Démon.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Les bustes en bronze présentés dans les vitrines ou sur les socles furent réalisés par des artistes tels qu’Anna Quinquaud ou Gaston Broquet et témoignent de la production des artistes académiques coloniaux de l’époque.
Palais de la Porte Dorée.
Les bustes en bronze présentés dans les vitrines ou sur les socles furent réalisés par des artistes tels qu’Anna Quinquaud ou Gaston Broquet et témoignent de la production des artistes académiques coloniaux de l’époque.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Émile Ruhlmann intégra des fauteuils dits “éléphants” aux formes amples et généreuses en maroquin brun et ébène. Parquet,en ébène de Macassar.
Palais de la Porte Dorée.
Émile Ruhlmann intégra des fauteuils dits “éléphants” aux formes amples et généreuses en maroquin brun et ébène. Parquet,en ébène de Macassar.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Le bureau du ministre mêle, quant à lui, l’ébène au galuchat, peau de poisson utilisée comme du cuir, avec des incrustations de filets d’ivoire au niveau du plateau. Émile Ruhlmann intégra un modèle inédit de chaises tripodes en ébène de macassar et maroquin brun.
Palais de la Porte Dorée.
Le bureau du ministre mêle, quant à lui, l’ébène au galuchat, peau de poisson utilisée comme du cuir, avec des incrustations de filets d’ivoire au niveau du plateau. Émile Ruhlmann intégra un modèle inédit de chaises tripodes en ébène de macassar et maroquin brun.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> D’allure monumentale et solennelle, Le Forum, ancienne Salle des fêtes, constitue le cœur du bâtiment. D’une hauteur de plafond de 27 mètres et d’une superficie de 900 mètres carrés, elle était pendant l'exposition internationale un lieu de célébration de la politique coloniale, de réceptions officielles et de spectacles.
S’inspirant de l’architecture des palais du Maghreb, Albert Laprade a conçu une salle carrée, entourée d’une galerie. L’espace central est actuellement recouvert d’un plancher de bois, mais à l’origine, il fallait descendre quelques marches pour arriver sur un sol de mosaïques aux dessins plus sobres reprenant des motifs dogons ou indien comme la Svastika, symbole solaire récupéré plus tard par le régime nazi qui en fit son emblème.
Palais de la Porte Dorée.
D’allure monumentale et solennelle, Le Forum, ancienne Salle des fêtes, constitue le cœur du bâtiment. D’une hauteur de plafond de 27 mètres et d’une superficie de 900 mètres carrés, elle était pendant l'exposition internationale un lieu de célébration de la politique coloniale, de réceptions officielles et de spectacles. S’inspirant de l’architecture des palais du Maghreb, Albert Laprade a conçu une salle carrée, entourée d’une galerie. L’espace central est actuellement recouvert d’un plancher de bois, mais à l’origine, il fallait descendre quelques marches pour arriver sur un sol de mosaïques aux dessins plus sobres reprenant des motifs dogons ou indien comme la Svastika, symbole solaire récupéré plus tard par le régime nazi qui en fit son emblème.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Un magnifique plafond à gradins filtre la lumière sans en révéler l’origine. Cette structure, inspirée de l’architecture des pagodes asiatiques, est la seule source de lumière naturelle.
Palais de la Porte Dorée.
Un magnifique plafond à gradins filtre la lumière sans en révéler l’origine. Cette structure, inspirée de l’architecture des pagodes asiatiques, est la seule source de lumière naturelle.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Les murs de la salle ont été entièrement décorés de fresques réalisées par Pierre Ducos de la Haille (1886-1972) et ses élèves de l’école des Beaux-Arts. Spécialisé dans l’art monumental, cet artiste a conçu un ensemble iconographique illustrant le rayonnement de la France dans le monde. Celui-ci répondait aux bas-reliefs extérieurs de Janniot, consacrés aux apports économiques des colonies à la France. Chacun des apports de la Ftrance est représenté à la fois par une allégorie et par des scènes de la vie quotidienne qui l’illustrent. A droite l’art, la paix, le travail et le commerce.
Palais de la Porte Dorée.
Les murs de la salle ont été entièrement décorés de fresques réalisées par Pierre Ducos de la Haille (1886-1972) et ses élèves de l’école des Beaux-Arts. Spécialisé dans l’art monumental, cet artiste a conçu un ensemble iconographique illustrant le rayonnement de la France dans le monde. Celui-ci répondait aux bas-reliefs extérieurs de Janniot, consacrés aux apports économiques des colonies à la France. Chacun des apports de la Ftrance est représenté à la fois par une allégorie et par des scènes de la vie quotidienne qui l’illustrent. A droite l’art, la paix, le travail et le commerce.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Utilisant des tons chauds ainsi qu’une profusion d’éléments végétaux et de caravelles - détail qui lui fut reproché car soulignant trop l’aspect économique de l’entreprise coloniale -, Pierre Ducos de la Haille a réalisé un ensemble de figures aux corps allongés, aux musculatures sculpturales, en harmonie avec le style des fresques monumentales en plein essor dans les années 30. A gauche l’industrie, la liberté, la justice et la science.
Palais de la Porte Dorée.
Utilisant des tons chauds ainsi qu’une profusion d’éléments végétaux et de caravelles - détail qui lui fut reproché car soulignant trop l’aspect économique de l’entreprise coloniale -, Pierre Ducos de la Haille a réalisé un ensemble de figures aux corps allongés, aux musculatures sculpturales, en harmonie avec le style des fresques monumentales en plein essor dans les années 30. A gauche l’industrie, la liberté, la justice et la science.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Allégorie du commerce. Différentes scènes évoquent les bienfaits de la colonisation au travers des figures du missionnaire, du médecin, ou de l’ingénieur, mais rien n’est dit de la violence, des exactions commises ou du travail forcé, l’idée étant alors de justifier et de promouvoir la politique coloniale française, en donnant une image idéalisée et lisse de l’action menée Outre-mer.
Palais de la Porte Dorée.
Allégorie du commerce. Différentes scènes évoquent les bienfaits de la colonisation au travers des figures du missionnaire, du médecin, ou de l’ingénieur, mais rien n’est dit de la violence, des exactions commises ou du travail forcé, l’idée étant alors de justifier et de promouvoir la politique coloniale française, en donnant une image idéalisée et lisse de l’action menée Outre-mer.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center>
Palais de la Porte Dorée.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Allégorie du commerce.
Palais de la Porte Dorée.
Allégorie du commerce.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Allégorie du travail.
Palais de la Porte Dorée.
Allégorie du travail.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Allégorie de la paix.
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Allégorie de la paix.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Allégorie de l'art.
Palais de la Porte Dorée.
Allégorie de l'art.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Allégorie de l'art.
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Allégorie de l'art.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center>
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center>
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> L'architecture.
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L'architecture.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Au fond de la salle des fêtes, le panneau central, de 8 mètres de haut et de 10 mètres de large, représente le rayonnement de la France sur les cinq continents. Là encore, nous sommes confrontés à des représentations censées diffuser l’idéologie de l’époque coloniale.
Drapée d’une toge rouge doublée d’hermine, la France, représentée par la femme placée au centre de la fresque, tient dans sa main droite l’Europe et, dans sa main gauche, une colombe, symbole de la paix. Derrière elle, le chêne exprime sa force et le laurier son passé glorieux. Les voiles blanches, que l’on retrouve aussi au-dessus des portes centrales de la salle, symbolisent la colonisation outre-mer.
Palais de la Porte Dorée.
Au fond de la salle des fêtes, le panneau central, de 8 mètres de haut et de 10 mètres de large, représente le rayonnement de la France sur les cinq continents. Là encore, nous sommes confrontés à des représentations censées diffuser l’idéologie de l’époque coloniale. Drapée d’une toge rouge doublée d’hermine, la France, représentée par la femme placée au centre de la fresque, tient dans sa main droite l’Europe et, dans sa main gauche, une colombe, symbole de la paix. Derrière elle, le chêne exprime sa force et le laurier son passé glorieux. Les voiles blanches, que l’on retrouve aussi au-dessus des portes centrales de la salle, symbolisent la colonisation outre-mer.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Tout autour de la France sont représentées les figures allégoriques de quatre continents. On constate que la géographie de la fresque est inversée par rapport au bas-relief extérieur d'Alfred-Auguste Janniot. À gauche, l’Asie représentée par la divinité indienne Vishnou sur un éléphant blanc ; en vis-à-vis, l’Afrique, représentée par une femme sur un éléphant gris ; en bas de la fresque, deux chevaux marins portent les figures de l’Océanie, à gauche, et de l’Amérique à droite. En choisissant de représenter l’Amérique accompagnée d’un gratte-ciel, Ducos de la Haille s’attira les foudres de l’architecte Albert Laprade. En effet, ce pays n’est pas une colonie française, ce que laisserait sous-entendre la fresque.
Palais de la Porte Dorée.
Tout autour de la France sont représentées les figures allégoriques de quatre continents. On constate que la géographie de la fresque est inversée par rapport au bas-relief extérieur d'Alfred-Auguste Janniot. À gauche, l’Asie représentée par la divinité indienne Vishnou sur un éléphant blanc ; en vis-à-vis, l’Afrique, représentée par une femme sur un éléphant gris ; en bas de la fresque, deux chevaux marins portent les figures de l’Océanie, à gauche, et de l’Amérique à droite. En choisissant de représenter l’Amérique accompagnée d’un gratte-ciel, Ducos de la Haille s’attira les foudres de l’architecte Albert Laprade. En effet, ce pays n’est pas une colonie française, ce que laisserait sous-entendre la fresque.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> La science est représentée sur la partie du mur à côté de la fresque centrale, où l’on voit la construction d’un chemin de fer et du téléphone. Il s’agissait ici d’exprimer l’idée que la France, en amenant aux colonies la médecine et la technologie des transports et de l’information, accomplissait une œuvre civilisatrice.
Palais de la Porte Dorée.
La science est représentée sur la partie du mur à côté de la fresque centrale, où l’on voit la construction d’un chemin de fer et du téléphone. Il s’agissait ici d’exprimer l’idée que la France, en amenant aux colonies la médecine et la technologie des transports et de l’information, accomplissait une œuvre civilisatrice.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Deux scènes illustratives précèdent, dans l’angle gauche de la salle, l’allégorie de la science. Au premier plan de la plus grande scène, on voit une religieuse qui soigne un enfant asiatique, avec à côté d’elle du matériel médical. Derrière, un autre colon encadre le transport par brancard d’un indigène malade. À l’arrière-plan, se déroule une scène de vaccination de masse en extérieur : des colons vaccinent des asiatiques passant un par un devant eux.
Palais de la Porte Dorée.
Deux scènes illustratives précèdent, dans l’angle gauche de la salle, l’allégorie de la science. Au premier plan de la plus grande scène, on voit une religieuse qui soigne un enfant asiatique, avec à côté d’elle du matériel médical. Derrière, un autre colon encadre le transport par brancard d’un indigène malade. À l’arrière-plan, se déroule une scène de vaccination de masse en extérieur : des colons vaccinent des asiatiques passant un par un devant eux.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Allégorie de la science.
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Allégorie de la science.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center>
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Allégorie de la justice. La Justice est représentée sous les traits d’une figure féminine aux yeux bandés. Cette représentation répond à une iconographie traditionnelle et exprime l’impartialité : la justice est aveugle et ne fait donc pas de différence entre les personnes jugées. Albert Laprade, conscient de devoir répondre aux critiques formulées à l’encontre des excès de la colonisation, demanda, sans résultat, à Ducos de la Haille qu’il supprime le bandeau sur ses yeux.
Palais de la Porte Dorée.
Allégorie de la justice. La Justice est représentée sous les traits d’une figure féminine aux yeux bandés. Cette représentation répond à une iconographie traditionnelle et exprime l’impartialité : la justice est aveugle et ne fait donc pas de différence entre les personnes jugées. Albert Laprade, conscient de devoir répondre aux critiques formulées à l’encontre des excès de la colonisation, demanda, sans résultat, à Ducos de la Haille qu’il supprime le bandeau sur ses yeux.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Allégorie de la liberté.
Palais de la Porte Dorée.
Allégorie de la liberté.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Allégorie de l'industrie.
Palais de la Porte Dorée.
Allégorie de l'industrie.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Au premier plan à gauche, un groupe d’Africains cueille et conditionne des fruits dans des paniers. À droite, un père blanc, missionnaire, libère un jeune Africain de ses chaînes d’un geste rappelant le baptême. À l’arrière-plan, on distingue une scène de chasse et de pêche. Le message, ici, est clair : c’est une vision fortement idéologique de l’abolition de l’esclavage puisque c’est un religieux qui libère des esclaves qui lui rendent grâce à la manière de l’imagerie pieuse.
Palais de la Porte Dorée.
Au premier plan à gauche, un groupe d’Africains cueille et conditionne des fruits dans des paniers. À droite, un père blanc, missionnaire, libère un jeune Africain de ses chaînes d’un geste rappelant le baptême. À l’arrière-plan, on distingue une scène de chasse et de pêche. Le message, ici, est clair : c’est une vision fortement idéologique de l’abolition de l’esclavage puisque c’est un religieux qui libère des esclaves qui lui rendent grâce à la manière de l’imagerie pieuse.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Allégorie de l'industrie.
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Allégorie de l'industrie.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center>
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Les arrières-plans, sur lesquels on peut distinguer des caravelles et des colombes de la Paix, assurent l’unité de l’ensemble.
Palais de la Porte Dorée.
Les arrières-plans, sur lesquels on peut distinguer des caravelles et des colombes de la Paix, assurent l’unité de l’ensemble.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center>
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Les mosaïques du sol de la galerie entourant la salle ont été réalisées dans la lignée de céramistes tels qu'Emile Muller et Alexandre Bigot qui s'étaient illustrés lors des Expositions universelles de 1889 et 1890 et sur les façades d'immeubles parisiens.
Palais de la Porte Dorée.
Les mosaïques du sol de la galerie entourant la salle ont été réalisées dans la lignée de céramistes tels qu'Emile Muller et Alexandre Bigot qui s'étaient illustrés lors des Expositions universelles de 1889 et 1890 et sur les façades d'immeubles parisiens.
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<center>Palais de la Porte Dorée. </center> Les thèmes de ces motifs sont empruntés à la mythologie de l’Afrique et de l’Asie : silhouettes dansantes de guerriers casqués, éléphants bouddhiques, dragon-serpent, cercles de feu de Vishnu, signes de longévités, dragons et paons qui décorent les tapis de l'Annam.
Palais de la Porte Dorée.
Les thèmes de ces motifs sont empruntés à la mythologie de l’Afrique et de l’Asie : silhouettes dansantes de guerriers casqués, éléphants bouddhiques, dragon-serpent, cercles de feu de Vishnu, signes de longévités, dragons et paons qui décorent les tapis de l'Annam.
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center> Le bâtiment a été conçu par l'architecte Antoine-Julien Hénard, inventeur du rond-point, et construit en 1876.
Mairie du 12e arrondissement de Paris.
Le bâtiment a été conçu par l'architecte Antoine-Julien Hénard, inventeur du rond-point, et construit en 1876.
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center> Le pavillon central est orné d'une Tête de femme sculptée représentant La Ville de Paris, par Eugène-André Oudiné, sur la clef-de-voûte. Au premier étage de la façade, les niches abritent deux sculptures évoquant l'activité économique de l'arrondissement : L'ébéniste d'Henri Honoré Plé, et Le vigneron d'Alexandre-Victor Lequien.
Mairie du 12e arrondissement de Paris.
Le pavillon central est orné d'une Tête de femme sculptée représentant La Ville de Paris, par Eugène-André Oudiné, sur la clef-de-voûte. Au premier étage de la façade, les niches abritent deux sculptures évoquant l'activité économique de l'arrondissement : L'ébéniste d'Henri Honoré Plé, et Le vigneron d'Alexandre-Victor Lequien.
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center> Sur les pilastres, les noms quartiers : Bel-Air, Picpus, Bercy et XV-Vingts.
Mairie du 12e arrondissement de Paris.
Sur les pilastres, les noms quartiers : Bel-Air, Picpus, Bercy et XV-Vingts.
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center> L'ébéniste d'Henri Honoré Plé.
Mairie du 12e arrondissement de Paris.
L'ébéniste d'Henri Honoré Plé.
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center> Le vigneron d'Alexandre-Victor Lequien.
Mairie du 12e arrondissement de Paris.
Le vigneron d'Alexandre-Victor Lequien.
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center> Armoiries dessinées par R Louis, héraldiste. Le lion pour la gare, la fleur de lys pour les XV-Vingts entourée de grappes de raisins pour les métiers de la vigne  et les ronds sont des arbres pour rappeler les métiers du bois.
Mairie du 12e arrondissement de Paris.
Armoiries dessinées par R Louis, héraldiste. Le lion pour la gare, la fleur de lys pour les XV-Vingts entourée de grappes de raisins pour les métiers de la vigne et les ronds sont des arbres pour rappeler les métiers du bois.
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center> Dans le hall d'entrée, 4 médaillons portent les numéros des quartiers : 45 à 48.
Mairie du 12e arrondissement de Paris.
Dans le hall d'entrée, 4 médaillons portent les numéros des quartiers : 45 à 48.
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center>
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center>
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center>
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center>
Mairie du 12e arrondissement de Paris.
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center> Toile d'Eugène Thirion, 1881. Elle représente la ville de Paris, en bleu, entourée des activités du 12e. Le port avec les voiles, les usines, le vin, l'enseignement avec un professeur tenant une globe terrestre et une institutrice, les hôpitaux avec le malade allongé, les tonneliers.
Mairie du 12e arrondissement de Paris.
Toile d'Eugène Thirion, 1881. Elle représente la ville de Paris, en bleu, entourée des activités du 12e. Le port avec les voiles, les usines, le vin, l'enseignement avec un professeur tenant une globe terrestre et une institutrice, les hôpitaux avec le malade allongé, les tonneliers.
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center> Le 1er étage avec l'entrée du salon d'honneur.
Mairie du 12e arrondissement de Paris.
Le 1er étage avec l'entrée du salon d'honneur.
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center> La salle des mariages.
Mairie du 12e arrondissement de Paris.
La salle des mariages.
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center> La salle des mariages. Mariane.
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La salle des mariages. Mariane.
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center> La salle des mariages.
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La salle des mariages.
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center> Hall du salon d'honneur. Toiles de Louis Jean Beaupuy.
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Hall du salon d'honneur. Toiles de Louis Jean Beaupuy.
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center> Hall du salon d'honneur. Toiles de Louis Jean Beaupuy.
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Hall du salon d'honneur. Toiles de Louis Jean Beaupuy.
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center> Hall du salon d'honneur. Toiles de R Durieux.
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Hall du salon d'honneur. Toiles de R Durieux.
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center> Hall du salon d'honneur. Toiles de R Durieux.
Mairie du 12e arrondissement de Paris.
Hall du salon d'honneur. Toiles de R Durieux.
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center> Hall du salon d'honneur. Toiles de R Durieux.
Mairie du 12e arrondissement de Paris.
Hall du salon d'honneur. Toiles de R Durieux.
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<center>Mairie du 12e arrondissement de Paris. </center> Ler salon d'honneur. Vitraux représentant les métiers du 12e.
Mairie du 12e arrondissement de Paris.
Ler salon d'honneur. Vitraux représentant les métiers du 12e.
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<center>Jardin de Reuilly-Paul-Pernin. </center> 1992. Le nom de ce jardin rend hommage au député de Paris, Paul Pemin (1914-2006). Élu conseiller de Paris dans le 12e arron-dissement en 1977, réélu en 1983 et 1989, il fut également maire de l'arrondissement de 1983 à 1995.
Jardin de Reuilly-Paul-Pernin.
1992. Le nom de ce jardin rend hommage au député de Paris, Paul Pemin (1914-2006). Élu conseiller de Paris dans le 12e arron-dissement en 1977, réélu en 1983 et 1989, il fut également maire de l'arrondissement de 1983 à 1995.
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<center>Jardin de Reuilly-Paul-Pernin. </center> Aux XVIIe et XVIIIe siècles, le hameau de Rully, dont le nom apparaît dès le Moyen-Âge, est entouré de couvents et d'hôtels particuliers, dont la folie Rambouillet (1663). Son jardin, dit «de Reuilly», descend jusqu'à la Seine.
Jardin de Reuilly-Paul-Pernin.
Aux XVIIe et XVIIIe siècles, le hameau de Rully, dont le nom apparaît dès le Moyen-Âge, est entouré de couvents et d'hôtels particuliers, dont la folie Rambouillet (1663). Son jardin, dit «de Reuilly», descend jusqu'à la Seine.
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<center>Jardin de Reuilly-Paul-Pernin. </center> Créé sur l'ancienne gare de marchandises de Reuilly, la pelouse circulaire du jardin actuel évoque le souvenir de cette folie. Agrémenté de statues de femmes, il est composé de plusieurs petits jardins à thème. La conceptionde ce jardin est l'œuvre de Pierre Colboc, architecte et Thierry Louf paysagiste (agence Paysages).
Jardin de Reuilly-Paul-Pernin.
Créé sur l'ancienne gare de marchandises de Reuilly, la pelouse circulaire du jardin actuel évoque le souvenir de cette folie. Agrémenté de statues de femmes, il est composé de plusieurs petits jardins à thème. La conceptionde ce jardin est l'œuvre de Pierre Colboc, architecte et Thierry Louf paysagiste (agence Paysages).
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<center>Jardin de Reuilly-Paul-Pernin. </center> Créé sur l'ancienne gare de marchandises de Reuilly, la pelouse circulaire du jardin actuel évoque le souvenir de cette folie. Agrémenté de statues de femmes, il est composé de plusieurs petits jardins à thème.
Jardin de Reuilly-Paul-Pernin.
Créé sur l'ancienne gare de marchandises de Reuilly, la pelouse circulaire du jardin actuel évoque le souvenir de cette folie. Agrémenté de statues de femmes, il est composé de plusieurs petits jardins à thème.
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<center>Jardin de Reuilly-Paul-Pernin. </center> La passerelle BZ/12 surplombant le jardin de Reuilly. La Promenade plantée emprunte le tracé parisien de l'ancienne ligne de Vincennes, qui relie à partir de 1859 la gare de la Bastille à Verneuil-l'Étang en passant par Vincennes. Débutant au niveau de l'opéra Bastille au début du viaduc des Arts, elle suit une bande de terrain de 4,7 km de long jusqu'au boulevard périphérique au niveau de la porte de Montempoivre. Elle est créée à partir de 1988 par le paysagiste Jacques Vergely et l'architecte Philippe Mathieux ; elle est inaugurée en 1993.
Jardin de Reuilly-Paul-Pernin.
La passerelle BZ/12 surplombant le jardin de Reuilly. La Promenade plantée emprunte le tracé parisien de l'ancienne ligne de Vincennes, qui relie à partir de 1859 la gare de la Bastille à Verneuil-l'Étang en passant par Vincennes. Débutant au niveau de l'opéra Bastille au début du viaduc des Arts, elle suit une bande de terrain de 4,7 km de long jusqu'au boulevard périphérique au niveau de la porte de Montempoivre. Elle est créée à partir de 1988 par le paysagiste Jacques Vergely et l'architecte Philippe Mathieux ; elle est inaugurée en 1993.
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<center>La Promenade plantée. </center>Le mail de l'allée Vivaldi évoque les deux voies du chemin de fer.
La Promenade plantée.
Le mail de l'allée Vivaldi évoque les deux voies du chemin de fer.
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<center>La Sablière. </center> Architecte Denis Honegger, élève d'Auguste Perret.
La Sablière.
Architecte Denis Honegger, élève d'Auguste Perret.
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<center>Ancienne gare de Reuilly. </center> En 1853, une concession est accordée à la société de chemin de fer Paris – Strasbourg pour créer et exploiter la ligne Vincennes Bastille qui fut ouverte au public le 22 septembre 1859. À son ouverture, la ligne ne comptait comme unique gare celle de la Bastille. Une autre station, la gare de Reuilly, a été créé en 1897, de style Mansart.
Après la désaffection de la ligne 1970, le bâtiment voyageurs de l’ancienne gare de Reuilly a été conservé et réhabilité. Il abrite depuis l’été 2007 le carrefour des associations parisiennes et la maison des associations du 12e arrondissement.
Ancienne gare de Reuilly.
En 1853, une concession est accordée à la société de chemin de fer Paris – Strasbourg pour créer et exploiter la ligne Vincennes Bastille qui fut ouverte au public le 22 septembre 1859. À son ouverture, la ligne ne comptait comme unique gare celle de la Bastille. Une autre station, la gare de Reuilly, a été créé en 1897, de style Mansart. Après la désaffection de la ligne 1970, le bâtiment voyageurs de l’ancienne gare de Reuilly a été conservé et réhabilité. Il abrite depuis l’été 2007 le carrefour des associations parisiennes et la maison des associations du 12e arrondissement.
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<cventer>Promenade Plantée. </center> La Promenade plantée est un long espace vert qui suit le tracé de l'ancienne voie ferroviaire de la ligne de Vincennes. Débutant au niveau de l'opéra Bastille  au début du viaduc des arts, elle suit une bande de terrain de 4,7 km de long jusqu'au boulevard périphérique au niveau de la porte de Montempoivre .
Promenade Plantée.
La Promenade plantée est un long espace vert qui suit le tracé de l'ancienne voie ferroviaire de la ligne de Vincennes. Débutant au niveau de l'opéra Bastille au début du viaduc des arts, elle suit une bande de terrain de 4,7 km de long jusqu'au boulevard périphérique au niveau de la porte de Montempoivre .
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<cventer>Promenade Plantée. </center>
Promenade Plantée.
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<cventer>Promenade Plantée. </center> Ce curieux immeuble, couronné de nombreuses statues géantes, date des années 1930. Il fut converti en commissariat dans le début des années 1990. Ces sculptures sont des copies de Captif, célèbre esclave mourant de Michel-Ange, marbre exécuté entre 1513 et 1515.
Promenade Plantée.
Ce curieux immeuble, couronné de nombreuses statues géantes, date des années 1930. Il fut converti en commissariat dans le début des années 1990. Ces sculptures sont des copies de Captif, célèbre esclave mourant de Michel-Ange, marbre exécuté entre 1513 et 1515.
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<cventer>Promenade Plantée. </center>
Promenade Plantée.
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