Parcours Molière, la Presse, les Cabarets, Quartier ND de Lorette.

<center> Les cabarets. </center> Restaurant les Trois Baudets, immeuble Arts Déco.
Les cabarets.
Restaurant les Trois Baudets, immeuble Arts Déco.
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<center> Les cabarets. </center> Restaurant les Trois Baudets, immeuble Arts Déco.
Les cabarets.
Restaurant les Trois Baudets, immeuble Arts Déco.
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<center> Les cabarets. </center> Villa des Platanes, architecte Deleuvre.
Les cabarets.
Villa des Platanes, architecte Deleuvre.
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<center> Les cabarets. </center> Villa des Platanes, architecte Deloeuvre. Ce fut une opération immobilière.
Les cabarets.
Villa des Platanes, architecte Deloeuvre. Ce fut une opération immobilière.
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<center> Les cabarets. </center> Villa des Platanes, architecte Deloeuvre. Ce fut une opération immobilière.
Les cabarets.
Villa des Platanes, architecte Deloeuvre. Ce fut une opération immobilière.
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<center> Les cabarets. </center> Villa des Platanes, architecte Deloeuvre. Ce fut une opération immobilière.
Les cabarets.
Villa des Platanes, architecte Deloeuvre. Ce fut une opération immobilière.
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<center> Les cabarets. </center> Cité du Midi.
Les cabarets.
Cité du Midi.
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<center> Les cabarets. </center> Cité du Midi. Douches Pigalle.
Les cabarets.
Cité du Midi. Douches Pigalle.
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<center> Les cabarets. </center> Cité du Midi. Ancien atelier d'artiste.
Les cabarets.
Cité du Midi. Ancien atelier d'artiste.
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<center> Les cabarets. </center> Place Pigalle.
Les cabarets.
Place Pigalle.
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<center> Les cabarets. </center> Place Pigalle. De 1812 à 1862, se tenait le marché aux modèles : les grisettes (car elles portaient des blouses grises) s'arrêtaient à la fontaine.
Les cabarets.
Place Pigalle. De 1812 à 1862, se tenait le marché aux modèles : les grisettes (car elles portaient des blouses grises) s'arrêtaient à la fontaine.
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<center> Les cabarets. </center> Ici se trouvait, en 1862, le cabaret du Rat Mort avec sa verrière. Juste à côté, au 7 avenue Frochot, dans le Montmartre de son enfance, JEAN RENOIR 1894 - 1979 cinéaste, écrivain, vécut de 1937 à 1969, quand il ne séjournait pas aux Etats-Unis. Ce lieu fut un foyer de rencontres et de création, tant pour ses frères et ses neveux que pour les cinéastes des nouvelles générations.
Les cabarets.
Ici se trouvait, en 1862, le cabaret du Rat Mort avec sa verrière. Juste à côté, au 7 avenue Frochot, dans le Montmartre de son enfance, JEAN RENOIR 1894 - 1979 cinéaste, écrivain, vécut de 1937 à 1969, quand il ne séjournait pas aux Etats-Unis. Ce lieu fut un foyer de rencontres et de création, tant pour ses frères et ses neveux que pour les cinéastes des nouvelles générations.
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<center> Les cabarets. </center> D'abord villégiature
Les cabarets.
D'abord villégiature "au grand air" construite en 1837 pour de riches bourgeois parisiens, cet hôtel particulier sera en 1920 converti en cabaret, le "Shanghai". C'est à cette époque que sera installé ce magnifique vitrail arts déco, inspiré du peintre japonais Hokusai, où l'on aperçoit le mont Fuji assailli par les eaux.ris, l'immense vitrail japonisant de l'ancien cabaret "le Shangai".
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<center> Les cabarets. </center> Le Chat noir a été fondé en novembre 1881 par Rodolphe Salis sur le bd Rochechouart. Rodolphe Salis, effrayé par les voyous du quartier, abandonne le cabaret du boulevard Rochechouart en 1885, pour installer le Chat noir rue Victor Massé  dans un immeuble de trois étages. Il y créa, avec l'aide d'Henri Rivière, un théâtre d'ombres.
Les cabarets.
Le Chat noir a été fondé en novembre 1881 par Rodolphe Salis sur le bd Rochechouart. Rodolphe Salis, effrayé par les voyous du quartier, abandonne le cabaret du boulevard Rochechouart en 1885, pour installer le Chat noir rue Victor Massé dans un immeuble de trois étages. Il y créa, avec l'aide d'Henri Rivière, un théâtre d'ombres.
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<center> Les cabarets. </center> Il déménagea peu après pour s'installer au 68, boulevard de Clichy. Le Chat noir représentait, pour ses clients (des dames de la société, des touristes, des banquiers, des médecins, des artistes, des journalistes, etc.) un lieu où ils pouvaient s'échapper de leur travail. Mais il dut fermer ses portes en 1897, car l'amusement commençait à sembler vulgaire et en raison de la mauvaise situation de l'économie.  Dans le premier Chat Noir se produisait Aristide Bruant en vareuse de velours côtelé noir avec culotte assortie, enfoncée dans de grosses bottes noires, chemise et cache-nez écarlates, en guise de manteau une immense cape noire et, comme couvre-chef, un feutre noir à larges bords. Mais Salist ne le paye pas et se contente de l'autoriser à vendre des sortes de petits formats dans la salle, ce qui ne lui rapporte que de maigres revenus. Quand Salis déménage rue Massé, Bruant s'installe dans un local déserté qu'il baptise le Mirlitond. Par opposition au style affecté de Rodolphe Salis, gentilhomme d'opérette, il choisit la grossièreté. Avec la gloire, la fortune récompensa ses efforts ; aux bénéfices du Mirliton vinrent s'ajouter de confortables droits d'auteur et de gros cachets. Ainsi, après une dizaine d'années, il put s'offrir un château à Courtenay.
Les cabarets.
Il déménagea peu après pour s'installer au 68, boulevard de Clichy. Le Chat noir représentait, pour ses clients (des dames de la société, des touristes, des banquiers, des médecins, des artistes, des journalistes, etc.) un lieu où ils pouvaient s'échapper de leur travail. Mais il dut fermer ses portes en 1897, car l'amusement commençait à sembler vulgaire et en raison de la mauvaise situation de l'économie. Dans le premier Chat Noir se produisait Aristide Bruant en vareuse de velours côtelé noir avec culotte assortie, enfoncée dans de grosses bottes noires, chemise et cache-nez écarlates, en guise de manteau une immense cape noire et, comme couvre-chef, un feutre noir à larges bords. Mais Salist ne le paye pas et se contente de l'autoriser à vendre des sortes de petits formats dans la salle, ce qui ne lui rapporte que de maigres revenus. Quand Salis déménage rue Massé, Bruant s'installe dans un local déserté qu'il baptise le Mirlitond. Par opposition au style affecté de Rodolphe Salis, gentilhomme d'opérette, il choisit la grossièreté. Avec la gloire, la fortune récompensa ses efforts ; aux bénéfices du Mirliton vinrent s'ajouter de confortables droits d'auteur et de gros cachets. Ainsi, après une dizaine d'années, il put s'offrir un château à Courtenay.
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<center>Galeries Lafayette. </center> Le dôme.
Galeries Lafayette.
Le dôme.
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<center>Galeries Lafayette. </center> Le dôme.
Galeries Lafayette.
Le dôme.
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<center>Galeries Lafayette. </center>
Galeries Lafayette.
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<center>Boulevard de la Madeleine. </center>WC de 1905.
Boulevard de la Madeleine.
WC de 1905.
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<center>Boulevard de la Madeleine. </center> Ancien siège d'une compagnie maritime.
Boulevard de la Madeleine.
Ancien siège d'une compagnie maritime.
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<center>Boulevard de la Madeleine. </center> Ancien siège d'une compagnie maritime.
Boulevard de la Madeleine.
Ancien siège d'une compagnie maritime.
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<center>Boulevard de la Madeleine. </center> Ancien siège d'une compagnie maritime.
Boulevard de la Madeleine.
Ancien siège d'une compagnie maritime.
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<center>Boulevard de la Madeleine. </center>
Boulevard de la Madeleine.
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<center>Boulevard des Capucines. </center> Hôtel Radix de Sainte-Foix. Sur des terrains autrefois propriété des religieux Mathurins, le fermier général Charles Marin-Delahayet fit construire 28 hôtel, à la fin du XVIIIe siècle, par l'architecte Aubert. Ici vécurent en 1780 le financier à Radix de Sainte-Foix, et Mirabeau en 1789. Un jardin terrasse orné de treillage, de pyramides, d'arcs de triomphe et de fausses ruines destinées à cacher les cheminées occupaient le toit jusqu'au XIXe siècle. De petits ponts chinois enjambaient un ruisselet qui distribuaient l'eau dans la salle à manger et, depuis la terrasse, dans les salles de bains de l'immeuble.
Boulevard des Capucines.
Hôtel Radix de Sainte-Foix. Sur des terrains autrefois propriété des religieux Mathurins, le fermier général Charles Marin-Delahayet fit construire 28 hôtel, à la fin du XVIIIe siècle, par l'architecte Aubert. Ici vécurent en 1780 le financier à Radix de Sainte-Foix, et Mirabeau en 1789. Un jardin terrasse orné de treillage, de pyramides, d'arcs de triomphe et de fausses ruines destinées à cacher les cheminées occupaient le toit jusqu'au XIXe siècle. De petits ponts chinois enjambaient un ruisselet qui distribuaient l'eau dans la salle à manger et, depuis la terrasse, dans les salles de bains de l'immeuble.
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<center>Boulevard des Capucines. </center> En face, au numéro deux, l'hôtel d'Aumont présente la même façade en rotonde. Cet autre vestige de l'énorme opération immobilière de Marin-Delahaye fut habité, à partir de 1785 par le Maréchal D'Aumont, duc et pair de France, qui rallia la révolution avec enthousiasme est reçu en récompense le commandement de la garde nationale.
Boulevard des Capucines.
En face, au numéro deux, l'hôtel d'Aumont présente la même façade en rotonde. Cet autre vestige de l'énorme opération immobilière de Marin-Delahaye fut habité, à partir de 1785 par le Maréchal D'Aumont, duc et pair de France, qui rallia la révolution avec enthousiasme est reçu en récompense le commandement de la garde nationale.
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<center>Boulevard des Capucines. </center>
Boulevard des Capucines.
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<center>Rue Edouard VII. </center>
Rue Edouard VII.
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<center>Boulevard des Capucines. </center> Dans le
Boulevard des Capucines.
Dans le "salon indien" du grand café eut lieu la première projection des frères Lumière le 28 décembnre 1895.
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<center>Boulevard des Capucines. </center>
Boulevard des Capucines.
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<center>Boulevard des Capucines. </center>
Boulevard des Capucines.
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<center>Boulevard des Capucines. </center>Le Grand Hôtel.
Boulevard des Capucines.
Le Grand Hôtel.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center> Maison,  rue de Châteaudun.
Quartier de ND de Lorette.
Maison, rue de Châteaudun.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Maison,  rue de Châteaudun.
Quartier de ND de Lorette.
Maison, rue de Châteaudun.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Maison,  rue de Châteaudun.
Quartier de ND de Lorette.
Maison, rue de Châteaudun.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Maison,  rue de Châteaudun.
Quartier de ND de Lorette.
Maison, rue de Châteaudun.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>
Quartier de ND de Lorette.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>
Quartier de ND de Lorette.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>
Quartier de ND de Lorette.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Le terme lorette (grisette) désignait une courtisane débutante, à l'inverse du terme lionne qui désignait une courtisane confirmée comme la Païva. En effet, dans la paroisse de l'église, on dénombrait beaucoup de « petites maisons » au XIXe siècle.
Quartier de ND de Lorette.
Le terme lorette (grisette) désignait une courtisane débutante, à l'inverse du terme lionne qui désignait une courtisane confirmée comme la Païva. En effet, dans la paroisse de l'église, on dénombrait beaucoup de « petites maisons » au XIXe siècle.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center> Rue Saint Georges.
Quartier de ND de Lorette.
Rue Saint Georges.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>
Quartier de ND de Lorette.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Médaillon renaissance.
Quartier de ND de Lorette.
Médaillon renaissance.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Maison où a habité, de 1835 à 1848, le général San Martin, libérateur de l'Argentine, du Chili et du Pérou.
Quartier de ND de Lorette.
Maison où a habité, de 1835 à 1848, le général San Martin, libérateur de l'Argentine, du Chili et du Pérou.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Au n° 35 de la rue Saint Georges se trouvait l'atelier de Renoir de 1873 à 1876 et son logement jusqu'en 1884.
Quartier de ND de Lorette.
Au n° 35 de la rue Saint Georges se trouvait l'atelier de Renoir de 1873 à 1876 et son logement jusqu'en 1884.
128
<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Enseigne, style troubadour.
Quartier de ND de Lorette.
Enseigne, style troubadour.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Au n°41 habita Suzanne Valadon
Quartier de ND de Lorette.
Au n°41 habita Suzanne Valadon
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Atelier de musique de Sax.
Quartier de ND de Lorette.
Atelier de musique de Sax.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Le quartier Saint-Georges fut loti de 1821 en 1824 par une société financière présidée par M. Dosne, futur beau-père de Thiers.
Quartier de ND de Lorette.
Le quartier Saint-Georges fut loti de 1821 en 1824 par une société financière présidée par M. Dosne, futur beau-père de Thiers.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>La fontaine centrale de la place Saint Georges date de 1824, elle servit d'abord d'abreuvoir à chevaux, fut tari en 1906 par la construction du métro Nord-Sud et remise en eau le 10 mai 1995. Le buste de Gavarni, peintre des « lorettes », surmonte la fontaine de depuis 1911, il est l'œuvre de Puech et Guillaume.
Quartier de ND de Lorette.
La fontaine centrale de la place Saint Georges date de 1824, elle servit d'abord d'abreuvoir à chevaux, fut tari en 1906 par la construction du métro Nord-Sud et remise en eau le 10 mai 1995. Le buste de Gavarni, peintre des « lorettes », surmonte la fontaine de depuis 1911, il est l'œuvre de Puech et Guillaume.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Sur le piédestal, un peintre et des
Quartier de ND de Lorette.
Sur le piédestal, un peintre et des "lorettes".
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>
Quartier de ND de Lorette.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>C'est en 1840 que l'architecte Renaud construisit cet immeuble dans un style gothique et renaissance. Thérèse Lachmann, demi-mondaines en vue qui venait d'épouser le marquis Païva y Arunjo, vint y habiter en 1851, puis elle fit construire un nouvel hôtel aux Champs-Élysées. Elle devint une courtisane adulée sous le second empire, sous le nom de « la Païva ».
Quartier de ND de Lorette.
C'est en 1840 que l'architecte Renaud construisit cet immeuble dans un style gothique et renaissance. Thérèse Lachmann, demi-mondaines en vue qui venait d'épouser le marquis Païva y Arunjo, vint y habiter en 1851, puis elle fit construire un nouvel hôtel aux Champs-Élysées. Elle devint une courtisane adulée sous le second empire, sous le nom de « la Païva ».
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Ce square porte le nom d’Alex Biscarre, conseiller de Paris en 1959. Il a été créé sur une partie du jardin de l’hôtel particulier acquis par Alexis Dosne, agent de change, en 1832.
Adolphe Thiers épouse sa fille en 1833 et s’installe dans ces lieux à partir de 1840.
Quartier de ND de Lorette.
Ce square porte le nom d’Alex Biscarre, conseiller de Paris en 1959. Il a été créé sur une partie du jardin de l’hôtel particulier acquis par Alexis Dosne, agent de change, en 1832. Adolphe Thiers épouse sa fille en 1833 et s’installe dans ces lieux à partir de 1840.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>C’est ici qu’Adolphe Thiers rédige sa monumentale Histoire du Consulat et de l’Empirer. Détruit pendant la Commune, l’hôtel particulier est reconstruit entre 1873 et 1875, par l’architecte Alfred Aldrophe (1834-1895).
Quartier de ND de Lorette.
C’est ici qu’Adolphe Thiers rédige sa monumentale Histoire du Consulat et de l’Empirer. Détruit pendant la Commune, l’hôtel particulier est reconstruit entre 1873 et 1875, par l’architecte Alfred Aldrophe (1834-1895).
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>En 1905, Félicie Dosne, belle-sœur de Thiers, en fait don à l’Institut de France « pour qu’il soit affecté à la création d’une bibliothèque moderne et plus particulièrement d’histoire de France ». Comme l’hôtel particulier, le jardin appartient toujours à l’Institut de France qui le met à la disposition du public, dans le cadre d’une convention avec la Ville de Paris.
Quartier de ND de Lorette.
En 1905, Félicie Dosne, belle-sœur de Thiers, en fait don à l’Institut de France « pour qu’il soit affecté à la création d’une bibliothèque moderne et plus particulièrement d’histoire de France ». Comme l’hôtel particulier, le jardin appartient toujours à l’Institut de France qui le met à la disposition du public, dans le cadre d’une convention avec la Ville de Paris.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>
Quartier de ND de Lorette.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>
Quartier de ND de Lorette.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Rue H. Monnier.
Quartier de ND de Lorette.
Rue H. Monnier.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Place G. Toudouze. Une fontaine Wallace. En 1857, les kiosques à journaux de la ville de Paris ont été conçus par l'architecte français Gabriel Davioud. En 2016, la maire de Paris Anne Hidalgo propose de les remplacer par de nouveaux modèles plus modernes et fonctionnels.
Quartier de ND de Lorette.
Place G. Toudouze. Une fontaine Wallace. En 1857, les kiosques à journaux de la ville de Paris ont été conçus par l'architecte français Gabriel Davioud. En 2016, la maire de Paris Anne Hidalgo propose de les remplacer par de nouveaux modèles plus modernes et fonctionnels.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>
Quartier de ND de Lorette.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Au n° 7 de la rue H. Monnier, vécut une lorette.
Quartier de ND de Lorette.
Au n° 7 de la rue H. Monnier, vécut une lorette.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Au n°9 de la rue des martyrs, superposition de styles.
Quartier de ND de Lorette.
Au n°9 de la rue des martyrs, superposition de styles.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Maison de Pissarro et de Géricault.
Quartier de ND de Lorette.
Maison de Pissarro et de Géricault.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Maison de Pissarro.
Quartier de ND de Lorette.
Maison de Pissarro.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Maison de Gauguin.
Quartier de ND de Lorette.
Maison de Gauguin.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Au fond, maison où se retrouvaient Victor Hugo et Juliette Drouet.
Quartier de ND de Lorette.
Au fond, maison où se retrouvaient Victor Hugo et Juliette Drouet.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Au 37 rue Victor Massé vécut Degas.
Quartier de ND de Lorette.
Au 37 rue Victor Massé vécut Degas.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Au n°25 de la rue Victor Massé, Berthe Weill ouvrit au rez de chaussée une galerie d'art où elle exposa Derain, Vlaminck Matisse... Elle est la première femme  galeriste à Paris et c'est elle qui fait connaître les Fauves. C'est encore elle qui consacre à Modigliani la seule exposition qu'a connue ce peintre avant 1907 ! Elle est la première à avoir pressenti le génie de Picasso et c'est elle qui organisa l'exposition de Diego Rivera à Paris.
Quartier de ND de Lorette.
Au n°25 de la rue Victor Massé, Berthe Weill ouvrit au rez de chaussée une galerie d'art où elle exposa Derain, Vlaminck Matisse... Elle est la première femme galeriste à Paris et c'est elle qui fait connaître les Fauves. C'est encore elle qui consacre à Modigliani la seule exposition qu'a connue ce peintre avant 1907 ! Elle est la première à avoir pressenti le génie de Picasso et c'est elle qui organisa l'exposition de Diego Rivera à Paris.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>
Quartier de ND de Lorette.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Maison où vécut Paul Eudel.
Quartier de ND de Lorette.
Maison où vécut Paul Eudel.
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Quartier de ND de Lorette.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Place Lino-Ventura.
Quartier de ND de Lorette.
Place Lino-Ventura.
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<center>Quartier de ND de Lorette. </center>Rue des Mazrtyrs. Lieu où vécut Géricault.
Quartier de ND de Lorette.
Rue des Martyrs. Lieu où vécut Géricault.
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