Parc Montsouris et ses environs, Cité Internationale Universitaire, Parc Georges Brassens, La Ruche de Montparnasse.

<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation hellénique. En 1926, André Honnorat invita le gouvernement hellénique à édifier un foyer national à la Cité internationale. Mais les finances de l’État grec avaient été malmenées par dix ans de guerre contre l’empire Ottoman. La Fondation hellénique a donc vu le jour grâce à une souscription panhellénique qui a réunit des Grecs de Grèce et de la diaspora grecque. La mobilisation des milieux francophiles et de l’ambassadeur de Grèce en France, Nicolaos Politis, a été décisive pour lever les fonds nécessaires. La construction de la fondation a démarré en 1931. Signé par l’architecte Nikolaos Zahos, le bâtiment rend hommage aux architectures de la Grèce antique. A l’extérieur bien sûr, avec son portique évoquant l’Acropole et ses façades ornées de frises. Mais aussi à l’intérieur, avec son magnifique hall à colonnes, pavé de mosaïque et baigné de lumière blanche. La maison a été inaugurée le 23 décembre 1932.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation hellénique. En 1926, André Honnorat invita le gouvernement hellénique à édifier un foyer national à la Cité internationale. Mais les finances de l’État grec avaient été malmenées par dix ans de guerre contre l’empire Ottoman. La Fondation hellénique a donc vu le jour grâce à une souscription panhellénique qui a réunit des Grecs de Grèce et de la diaspora grecque. La mobilisation des milieux francophiles et de l’ambassadeur de Grèce en France, Nicolaos Politis, a été décisive pour lever les fonds nécessaires. La construction de la fondation a démarré en 1931. Signé par l’architecte Nikolaos Zahos, le bâtiment rend hommage aux architectures de la Grèce antique. A l’extérieur bien sûr, avec son portique évoquant l’Acropole et ses façades ornées de frises. Mais aussi à l’intérieur, avec son magnifique hall à colonnes, pavé de mosaïque et baigné de lumière blanche. La maison a été inaugurée le 23 décembre 1932.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation Lucien Paye. La Résidence Lucien PAYE a été inaugurée en 1951, sous le nom de Maison de la France d’Outre-Mer. Sa vocation initiale était d’accueillir à Paris les étudiants originaires des territoires français d’outre-mer. En 1972, elle a été rebaptisée Lucien PAYE. Cet universitaire, ministre de l’Éducation Nationale en 1961 et ancien haut responsable de la France au Sénégal, a joué un rôle important dans la création des universités africaines. La résidence, de style résolument africain, a été conçue par trois architectes : Jean Vernon et Bruno Philippe, qui ont signé ensuite la Maison du Maroc et la Maison du Liban, et Albert Laprade, créateur du musée des Arts d’Afrique et d’Océanie à Paris, qui avait été l’auteur, vingt ans auparavant, de la Fondation Rosa ABREU DE GRANCHER. Plusieurs artistes ont collaboré à la création de la maison : Pierre Meauzé, qui réalisa les piliers sculptés de l’entrée, Anna QUINQUAUD, auteur des bas-reliefs de la façade, et Roger BÉZOMBES qui signa les tapisseries monumentales de salle des fêtes, exécutées dans les ateliers d’Aubusson.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation Lucien Paye. La Résidence Lucien PAYE a été inaugurée en 1951, sous le nom de Maison de la France d’Outre-Mer. Sa vocation initiale était d’accueillir à Paris les étudiants originaires des territoires français d’outre-mer. En 1972, elle a été rebaptisée Lucien PAYE. Cet universitaire, ministre de l’Éducation Nationale en 1961 et ancien haut responsable de la France au Sénégal, a joué un rôle important dans la création des universités africaines. La résidence, de style résolument africain, a été conçue par trois architectes : Jean Vernon et Bruno Philippe, qui ont signé ensuite la Maison du Maroc et la Maison du Liban, et Albert Laprade, créateur du musée des Arts d’Afrique et d’Océanie à Paris, qui avait été l’auteur, vingt ans auparavant, de la Fondation Rosa ABREU DE GRANCHER. Plusieurs artistes ont collaboré à la création de la maison : Pierre Meauzé, qui réalisa les piliers sculptés de l’entrée, Anna QUINQUAUD, auteur des bas-reliefs de la façade, et Roger BÉZOMBES qui signa les tapisseries monumentales de salle des fêtes, exécutées dans les ateliers d’Aubusson.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation Deutsch de la Meurthe. Elle a été la première à voir le jour à La Cité internationale. Elle est le fruit d’une initiative privée : celle d’Émile Deutsch de la Meurthe, entrepreneur fortuné créateur avec son frère, Henry, des Pétroles Jupiter, qui deviendront le groupe Shell. Issu d’une grande famille de mécènes, Émile Deutsch de la Meurthe a financé avec son épouse, Louise, la construction des sept pavillons de la Fondation. Les travaux ont débuté en mai 1923. L’architecte, Lucien Bechmann, a adopté un style régionaliste pittoresque inspiré de collèges anglais comme Oxford. Les bâtiments ont été inaugurés au printemps 1925.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation Deutsch de la Meurthe. Elle a été la première à voir le jour à La Cité internationale. Elle est le fruit d’une initiative privée : celle d’Émile Deutsch de la Meurthe, entrepreneur fortuné créateur avec son frère, Henry, des Pétroles Jupiter, qui deviendront le groupe Shell. Issu d’une grande famille de mécènes, Émile Deutsch de la Meurthe a financé avec son épouse, Louise, la construction des sept pavillons de la Fondation. Les travaux ont débuté en mai 1923. L’architecte, Lucien Bechmann, a adopté un style régionaliste pittoresque inspiré de collèges anglais comme Oxford. Les bâtiments ont été inaugurés au printemps 1925.
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Cité internationale universitaire de Paris. <center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation Deutsch de la Meurthe. Elle regroupe, autour de son pavillon central, de son beffroi et de son horloge, six bâtiments d'habitation qui portent des noms d'universitaires ayant occupé de hautes fonctions administratives ou de savants ayant honoré l'université de Paris.
Cité internationale universitaire de Paris.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation Deutsch de la Meurthe. Elle regroupe, autour de son pavillon central, de son beffroi et de son horloge, six bâtiments d'habitation qui portent des noms d'universitaires ayant occupé de hautes fonctions administratives ou de savants ayant honoré l'université de Paris.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation Deutsch de la Meurthe.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation Deutsch de la Meurthe.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation Deutsch de la Meurthe.
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Fondation Deutsch de la Meurthe.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center>
Cité internationale universitaire de Paris.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation Deutsch de la Meurthe. Vestige du bastion 82 des anciennes fortifications.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation Deutsch de la Meurthe. Vestige du bastion 82 des anciennes fortifications.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Clocher de l'église de Gentilly.
Cité internationale universitaire de Paris.
Clocher de l'église de Gentilly.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Maison du Mexique. Dans les années 1920, le gouvernement français invita le Mexique à participer au projet de construction de la Cité internationale. Dès 1925, un emplacement était réservé sur le site pour une résidence destinée à accueillir les universitaires mexicains. Toutefois, la Maison du Mexique ne fut inaugurée que le 8 octobre 1953. Sa construction a été financée par le gouvernement mexicain et par des particuliers notamment des familles appartenant à la colonie française établie au Mexique. La Maison du Mexique a été imaginée par l’architecte Jorge L. MEDELLIN. Celui-ci fut assisté lors de sa construction par son frère, l’ingénieur Roberto E. MEDELLIN. Il créa un bâtiment à l’allure moderne, constitué de deux barres parallèles reliées par un bâtiment de forme plus libre. Une barre était à l’origine réservée aux étudiants, l’autre aux étudiantes. L’ensemble est complété par un patio aux allures de jardin. A l’intérieur, l’équipement mobilier a été conçu par les designers Charlotte PERRIAND et Jean PROUVE.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison du Mexique. Dans les années 1920, le gouvernement français invita le Mexique à participer au projet de construction de la Cité internationale. Dès 1925, un emplacement était réservé sur le site pour une résidence destinée à accueillir les universitaires mexicains. Toutefois, la Maison du Mexique ne fut inaugurée que le 8 octobre 1953. Sa construction a été financée par le gouvernement mexicain et par des particuliers notamment des familles appartenant à la colonie française établie au Mexique. La Maison du Mexique a été imaginée par l’architecte Jorge L. MEDELLIN. Celui-ci fut assisté lors de sa construction par son frère, l’ingénieur Roberto E. MEDELLIN. Il créa un bâtiment à l’allure moderne, constitué de deux barres parallèles reliées par un bâtiment de forme plus libre. Une barre était à l’origine réservée aux étudiants, l’autre aux étudiantes. L’ensemble est complété par un patio aux allures de jardin. A l’intérieur, l’équipement mobilier a été conçu par les designers Charlotte PERRIAND et Jean PROUVE.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Collège Franco-Britannique. Le Collège Franco-Britannique a été créé après la Première Guerre Mondiale pour témoigner de l’amitié entre la France et la Grande-Bretagne. A l’origine, il devait accueillir un nombre égal d’étudiants français et anglais. Un comité fut constitué en 1927 pour récolter les fonds nécessaires à sa construction. Parmi les donateurs figurent l’État français et un couple franco-britannique, Edward et Helen Nathan. Le bâtiment fut inauguré  le 16 juillet 1937, en présence notamment d’Albert Lebrun, président de la République française, de Jean ZAY, ministre français de l’Éducation Nationale, de Sir Éric PHIPPS, ambassadeur de Grande-Bretagne en France et d’une vingtaine de représentants des universités britanniques.
Cité internationale universitaire de Paris.
Collège Franco-Britannique. Le Collège Franco-Britannique a été créé après la Première Guerre Mondiale pour témoigner de l’amitié entre la France et la Grande-Bretagne. A l’origine, il devait accueillir un nombre égal d’étudiants français et anglais. Un comité fut constitué en 1927 pour récolter les fonds nécessaires à sa construction. Parmi les donateurs figurent l’État français et un couple franco-britannique, Edward et Helen Nathan. Le bâtiment fut inauguré le 16 juillet 1937, en présence notamment d’Albert Lebrun, président de la République française, de Jean ZAY, ministre français de l’Éducation Nationale, de Sir Éric PHIPPS, ambassadeur de Grande-Bretagne en France et d’une vingtaine de représentants des universités britanniques.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center>Collège Franco-Britannique.
Cité internationale universitaire de Paris.
Collège Franco-Britannique.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Collège Franco-Britannique. Le Collège Franco-Britannique a été créé par Pierre Martin et Maurice Vieu, deux architectes qui furent aussi les auteurs de la Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est. Ils imaginèrent un bâtiment sobre et harmonieux dont le style (briques rouges, bow-windows, tourelles, hautes souches de cheminées…)  est inspiré des collèges d’Outre-Manche.
Cité internationale universitaire de Paris.
Collège Franco-Britannique. Le Collège Franco-Britannique a été créé par Pierre Martin et Maurice Vieu, deux architectes qui furent aussi les auteurs de la Maison des Étudiants de l’Asie du Sud-Est. Ils imaginèrent un bâtiment sobre et harmonieux dont le style (briques rouges, bow-windows, tourelles, hautes souches de cheminées…) est inspiré des collèges d’Outre-Manche.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Collège Franco-Britannique.
Cité internationale universitaire de Paris.
Collège Franco-Britannique.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Collège Franco-Britannique.
Cité internationale universitaire de Paris.
Collège Franco-Britannique.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation BIERMANS-LAPÔTRE. Elle est l’une des plus anciennes maisons de la Cité internationale. Elle a été bâtie grâce à Jean-Hubert BIERMANS, homme d’affaires qui avait fait fortune au Canada dans la fabrication de la pâte à papier. Très engagé dans les œuvres philanthropiques, il décida de soutenir l’œuvre d’André HONNORAT, l’un des pères fondateurs de la Cité internationale. En 1924, avec son épouse Berthe LAPÔTRE, il fit don à l’université de Paris d’un important capital. Objectif : financer la construction sur le site d’une maison destinée à loger à Paris les étudiants belges et luxembourgeois. La première pierre de la Fondation fut posée en 1924.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation BIERMANS-LAPÔTRE. Elle est l’une des plus anciennes maisons de la Cité internationale. Elle a été bâtie grâce à Jean-Hubert BIERMANS, homme d’affaires qui avait fait fortune au Canada dans la fabrication de la pâte à papier. Très engagé dans les œuvres philanthropiques, il décida de soutenir l’œuvre d’André HONNORAT, l’un des pères fondateurs de la Cité internationale. En 1924, avec son épouse Berthe LAPÔTRE, il fit don à l’université de Paris d’un important capital. Objectif : financer la construction sur le site d’une maison destinée à loger à Paris les étudiants belges et luxembourgeois. La première pierre de la Fondation fut posée en 1924.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation BIERMANS-LAPÔTRE. ’est Armand GUÉRITTE, architecte en chef du gouvernement français, qui a conçu la Fondation BIERMANS-LAPÔTRE. Ce bâtiment monumental évoque les architectures traditionnelles flamande (par ses tourelles d’angle par exemple) et wallonne (par l’utilisation conjuguée de la pierre de taille, la brique et l’ardoise bleue).
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation BIERMANS-LAPÔTRE. ’est Armand GUÉRITTE, architecte en chef du gouvernement français, qui a conçu la Fondation BIERMANS-LAPÔTRE. Ce bâtiment monumental évoque les architectures traditionnelles flamande (par ses tourelles d’angle par exemple) et wallonne (par l’utilisation conjuguée de la pierre de taille, la brique et l’ardoise bleue).
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Maison du Japon. Le 9 février 1927, Jirohachi SATSUMA, petit-fils d’un riche commerçant japonais de filage, s’est engagé auprès de l’Université de Paris à financer la construction d’un bâtiment à la Cité internationale. La première pierre a été posée en 1927 en présence du Prince Ri, beau-frère de l’empereur Hirohito. Jirohachi SATSUMA a confié la création de la Maison du Japon à son ami Pierre SARDOU, architecte en chef des monuments historiques. L’étroitesse du terrain a imposé la construction d’un édifice tout en hauteur, inspiré des constructions nipponnes. Le décor, nuancé et raffiné,  reflète lui aussi la tradition architecturale japonaise. Le porche d’entrée est orné d’un panneau de bois sculpté par Henri NAVARRE qui représente le soleil levant.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison du Japon. Le 9 février 1927, Jirohachi SATSUMA, petit-fils d’un riche commerçant japonais de filage, s’est engagé auprès de l’Université de Paris à financer la construction d’un bâtiment à la Cité internationale. La première pierre a été posée en 1927 en présence du Prince Ri, beau-frère de l’empereur Hirohito. Jirohachi SATSUMA a confié la création de la Maison du Japon à son ami Pierre SARDOU, architecte en chef des monuments historiques. L’étroitesse du terrain a imposé la construction d’un édifice tout en hauteur, inspiré des constructions nipponnes. Le décor, nuancé et raffiné, reflète lui aussi la tradition architecturale japonaise. Le porche d’entrée est orné d’un panneau de bois sculpté par Henri NAVARRE qui représente le soleil levant.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Maison des étudiants suédois. La Maison des Étudiants Suédois a été créée grâce à l’action de l’association « L’Amitié Franco-Suédoise ». L’association a contribué à son financement, aux côtés du gouvernement suédois et d’autres donnateurs.  Le bâtiment a été dessiné par les architectes Peder CLASON et Germain DEBRE. Il évoque un manoir  du XVIIIe siècle, auxquels certains éléments comme les fenêtres aux volets bleus placées à la mode suédoise donnent une touche « nordique ». La maison fut inaugurée en 1931, en présence du Président de la République Française Paul DOUMER et du futur roi Gustave VI Adolphe de Suède.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison des étudiants suédois. La Maison des Étudiants Suédois a été créée grâce à l’action de l’association « L’Amitié Franco-Suédoise ». L’association a contribué à son financement, aux côtés du gouvernement suédois et d’autres donnateurs. Le bâtiment a été dessiné par les architectes Peder CLASON et Germain DEBRE. Il évoque un manoir du XVIIIe siècle, auxquels certains éléments comme les fenêtres aux volets bleus placées à la mode suédoise donnent une touche « nordique ». La maison fut inaugurée en 1931, en présence du Président de la République Française Paul DOUMER et du futur roi Gustave VI Adolphe de Suède.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation danoise. La construction de la Fondation Danoise a été financée par des moyens privé et publics. En 1928, le Comité pour la Fondation Danoise a été créé par un groupe de personnalités visionnaires dont Benny DESSAU, grand industriel danois, et Helge WAMBERG, attaché des Affaires Culturelles auprès l’Ambassade du Danemark à Paris, avec le but de récolter des fonds. La première pierre a pu être posée dès 1929 et l’inauguration eut lieu en 1932, en présence du prince héritier Frederik, futur roi Fredrik IX et le président français Paul DOUMER. ’architecte de la Maison, le professeur et inspecteur des bâtiments royaux Kaj GOTTLOBB (1997-1976) était l’un des architectes les plus brillants de sa génération. Le style de la Maison exprime aussi bien le classicisme dont GOTTLOBB s’était inspiré dans sa jeunesse que le fonctionnalisme nordique de l’entre-deux-guerres. A la fois sobre, strict et accueillant.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation danoise. La construction de la Fondation Danoise a été financée par des moyens privé et publics. En 1928, le Comité pour la Fondation Danoise a été créé par un groupe de personnalités visionnaires dont Benny DESSAU, grand industriel danois, et Helge WAMBERG, attaché des Affaires Culturelles auprès l’Ambassade du Danemark à Paris, avec le but de récolter des fonds. La première pierre a pu être posée dès 1929 et l’inauguration eut lieu en 1932, en présence du prince héritier Frederik, futur roi Fredrik IX et le président français Paul DOUMER. ’architecte de la Maison, le professeur et inspecteur des bâtiments royaux Kaj GOTTLOBB (1997-1976) était l’un des architectes les plus brillants de sa génération. Le style de la Maison exprime aussi bien le classicisme dont GOTTLOBB s’était inspiré dans sa jeunesse que le fonctionnalisme nordique de l’entre-deux-guerres. A la fois sobre, strict et accueillant.
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Cité internationale universitaire de Paris. <center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Maison de Norvège. En 1927, l’ambassadeur de Norvège à Paris, Fritz Wedel Jarlsberg, prit les premières initiatives officielles pour susciter l’intérêt du public et du gouvernement norvégiens pour construire une Maison de Norvège. Le projet commença à se concrétiser dans les années trente quand la principale industrie norvégienne de l’époque, Norsk Hydro, se rallia au projet. Après la guerre, en 1947, sous l’égide de l’ambassadeur de Norvège, fut enfin constitué un comité franco-norvégien ayant pour but de réunir tous les fonds nécessaires. Le 13 juin 1951, la Princesse Ragnhild de Norvège posa la première pierre de l’édifice, qui fut inauguré un peu moins de trois ans plus tard, le 30 mars 1954, en présence du Président de la République française René Coty. Œuvre de l’architecte norvégien Reidar Winge LUND, le bâtiment est représentatif du modernisme norvégien. Son style scandinave se distingue par ses façades en briques rouges importées de Norvège et ses espaces intérieurs en bois clair.
Cité internationale universitaire de Paris.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison de Norvège. En 1927, l’ambassadeur de Norvège à Paris, Fritz Wedel Jarlsberg, prit les premières initiatives officielles pour susciter l’intérêt du public et du gouvernement norvégiens pour construire une Maison de Norvège. Le projet commença à se concrétiser dans les années trente quand la principale industrie norvégienne de l’époque, Norsk Hydro, se rallia au projet. Après la guerre, en 1947, sous l’égide de l’ambassadeur de Norvège, fut enfin constitué un comité franco-norvégien ayant pour but de réunir tous les fonds nécessaires. Le 13 juin 1951, la Princesse Ragnhild de Norvège posa la première pierre de l’édifice, qui fut inauguré un peu moins de trois ans plus tard, le 30 mars 1954, en présence du Président de la République française René Coty. Œuvre de l’architecte norvégien Reidar Winge LUND, le bâtiment est représentatif du modernisme norvégien. Son style scandinave se distingue par ses façades en briques rouges importées de Norvège et ses espaces intérieurs en bois clair.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation suisse. La Fondation suisse est l’une des réalisations les plus marquantes de la Cité internationale universitaire de Paris dans l’entre deux guerres. Elle a vu le jour grâce au mathématicien Rudolf FUETER, recteur de l’Université de Zürich. Ce dernier constitua un consortium représentant l’université helvétique pour réaliser un lieu d’hébergement à la Cité internationale. Rudolf FUETER sollicita l’architecte visionnaire Charles-Edouard JEANNERET, plus communément connu sous le nom de LE CORBUSIER qui, après quelques hésitations, accepta d’y travailler en collaboration avec son cousin Pierre JEANNERET.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse. La Fondation suisse est l’une des réalisations les plus marquantes de la Cité internationale universitaire de Paris dans l’entre deux guerres. Elle a vu le jour grâce au mathématicien Rudolf FUETER, recteur de l’Université de Zürich. Ce dernier constitua un consortium représentant l’université helvétique pour réaliser un lieu d’hébergement à la Cité internationale. Rudolf FUETER sollicita l’architecte visionnaire Charles-Edouard JEANNERET, plus communément connu sous le nom de LE CORBUSIER qui, après quelques hésitations, accepta d’y travailler en collaboration avec son cousin Pierre JEANNERET.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation suisse. La Fondation suisse a été inaugurée le 7 juillet 1933. Deux ans de travaux furent nécessaires pour la construire. Elle illustre bien les « cinq points d’une architecture moderne » selon LE CORBUSIER : double rangée de pilotis dégageant le rez-de-chaussée, plan libre pour l’accueil, façade libre en mur rideau, fenêtres en longueur et toit terrasse. C’est le premier édifice moderne construit à la Cité Universitaire, véritable « machine à habiter » selon LE CORBUSIER.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse. La Fondation suisse a été inaugurée le 7 juillet 1933. Deux ans de travaux furent nécessaires pour la construire. Elle illustre bien les « cinq points d’une architecture moderne » selon LE CORBUSIER : double rangée de pilotis dégageant le rez-de-chaussée, plan libre pour l’accueil, façade libre en mur rideau, fenêtres en longueur et toit terrasse. C’est le premier édifice moderne construit à la Cité Universitaire, véritable « machine à habiter » selon LE CORBUSIER.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center>Fondation suisse.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center>Fondation suisse.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center>Fondation suisse.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center>Fondation suisse.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse.
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Cité internationale universitaire de Paris. <center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation suisse.  Le Salon du Pavillon suisse comporte une fresque peinte par LE CORBUSIER en 1948, en remplacement d’un mural photographique de 1933.
Cité internationale universitaire de Paris.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse. Le Salon du Pavillon suisse comporte une fresque peinte par LE CORBUSIER en 1948, en remplacement d’un mural photographique de 1933.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation suisse.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation suisse.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation suisse.
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Fondation suisse.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation suisse.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation suisse. Portes des chambres.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse. Portes des chambres.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center>> Fondation suisse. Une chambre historique ouverte au public permet d’apprécier la dimension privative de l’édifice et le mobilier de Charlotte PERRIAND.
Cité internationale universitaire de Paris.
> Fondation suisse. Une chambre historique ouverte au public permet d’apprécier la dimension privative de l’édifice et le mobilier de Charlotte PERRIAND.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation suisse.
Cité internationale universitaire de Paris.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Fondation suisse.
Cité internationale universitaire de Paris.
Fondation suisse.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Collège d’Espagne. Le Colegio de España est une institution rattachée au Gouvernement espagnol  dépendant du Ministère de l’Education à travers le Secrétariat Général aux Universités. L’acte de donation fut signé en 1927 par le roi Alphonse XIII. La maison a été conçue par l’architecte espagnole Modesto López Otero -un des architectes de la Ciudad Universitaria de Madrid, créée à la même époque- en collaboration avec les architectes français E. Body et J.-N. Warin. Son style classique est inspiré du Palais de Monterrey à Salamanque qui appartenait au Duc de Alba. L’inauguration de la résidence était prévue pour 1932 mais elle fut retardée en raison des troubles politiques qui agitaient l’Espagne. La maison n’ouvrit ses portes qu’en 1935.
Cité internationale universitaire de Paris.
Collège d’Espagne. Le Colegio de España est une institution rattachée au Gouvernement espagnol dépendant du Ministère de l’Education à travers le Secrétariat Général aux Universités. L’acte de donation fut signé en 1927 par le roi Alphonse XIII. La maison a été conçue par l’architecte espagnole Modesto López Otero -un des architectes de la Ciudad Universitaria de Madrid, créée à la même époque- en collaboration avec les architectes français E. Body et J.-N. Warin. Son style classique est inspiré du Palais de Monterrey à Salamanque qui appartenait au Duc de Alba. L’inauguration de la résidence était prévue pour 1932 mais elle fut retardée en raison des troubles politiques qui agitaient l’Espagne. La maison n’ouvrit ses portes qu’en 1935.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Maison du Cambodge. La Maison du Cambodge a été construite grâce à une donation du gouvernement royal du Cambodge faite en 1950. Elle a été inaugurée en 1957, après l’indépendance du Cambodge, en présence du président René COTY et du Prince Norodom SIHANOUK. Elle a été dessinée par l’architecte français Alfred AUDOUL. Ce dernier a opté pour un édifice en forme de U, de forme classique enrichie d’éléments décoratifs Khmers. L’Asie est par exemple évoquée par un soubassement strié de bandes horizontales, qui rappelle les temples d’Angkor, et des sculptures en granit représentant deux singes
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison du Cambodge. La Maison du Cambodge a été construite grâce à une donation du gouvernement royal du Cambodge faite en 1950. Elle a été inaugurée en 1957, après l’indépendance du Cambodge, en présence du président René COTY et du Prince Norodom SIHANOUK. Elle a été dessinée par l’architecte français Alfred AUDOUL. Ce dernier a opté pour un édifice en forme de U, de forme classique enrichie d’éléments décoratifs Khmers. L’Asie est par exemple évoquée par un soubassement strié de bandes horizontales, qui rappelle les temples d’Angkor, et des sculptures en granit représentant deux singes
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> Maison Heinrich HEINE. Fondation de l’Allemagne. Comme ce fut le cas de la Maison de l’Italie, la Maison de l’Allemagne a tardé à s’ouvrir à la Cité internationale, en raison du contexte politique de l’entre-deux-guerres, puis de la Seconde Guerre Mondiale.  Des contacts furent pourtant établis dès 1927. Mais il fallut attendre les années 1950 pour que le projet voie le jour, grâce à des universitaires qui constituèrent un comité de soutien. L’acte de donation fut signé en 1953. La maison fut inaugurée en 1956, en présence de René Coty, Président de la République française. Ce fut la première représentation officielle de l’Allemagne en France. August RUCKER, de l’université de Munich, lança un concours pour sélectionner l’architecte à qui serait confié le projet de Maison de l’Allemagne. Johannes KRAHN, auteur de plusieurs équipements publics et de monuments religieux, fut choisi à l’unanimité par le jury. Il conçut l’une des réalisations les plus modernes de son époque en associant le béton, l’acier et le verre. En 1967, la maison fut rebaptisée « Maison Heinrich HEINE », du nom du célèbre poète et écrivain allemand du XIXe siècle, dont l’œuvre illustre la richesse des échanges intellectuels entre la France et l’Allemagne.
Cité internationale universitaire de Paris.
Maison Heinrich HEINE. Fondation de l’Allemagne. Comme ce fut le cas de la Maison de l’Italie, la Maison de l’Allemagne a tardé à s’ouvrir à la Cité internationale, en raison du contexte politique de l’entre-deux-guerres, puis de la Seconde Guerre Mondiale. Des contacts furent pourtant établis dès 1927. Mais il fallut attendre les années 1950 pour que le projet voie le jour, grâce à des universitaires qui constituèrent un comité de soutien. L’acte de donation fut signé en 1953. La maison fut inaugurée en 1956, en présence de René Coty, Président de la République française. Ce fut la première représentation officielle de l’Allemagne en France. August RUCKER, de l’université de Munich, lança un concours pour sélectionner l’architecte à qui serait confié le projet de Maison de l’Allemagne. Johannes KRAHN, auteur de plusieurs équipements publics et de monuments religieux, fut choisi à l’unanimité par le jury. Il conçut l’une des réalisations les plus modernes de son époque en associant le béton, l’acier et le verre. En 1967, la maison fut rebaptisée « Maison Heinrich HEINE », du nom du célèbre poète et écrivain allemand du XIXe siècle, dont l’œuvre illustre la richesse des échanges intellectuels entre la France et l’Allemagne.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> L/OBLIQUE est le lieu de la Cité internationale dédié à la connaissance de son patrimoine. Organisé autour d’un espace d’exposition permanent, Implanté au rez-de-chaussée de la Fondation AVICENNE, il propose toute l’année au public des événements pour découvrir l’évolution urbaine, architecturale, paysagère ou encore artistique de ce site unique au monde. Equipé d’un centre de documentation, il favorise les rencontres et l’échange culturel. La Fondation AVICENNE, ex Maison de l’Iran, est la dernière résidence ouverte à la Cité internationale à l’issue de la période de construction qui suivit la seconde guerre mondiale. Elle a été inaugurée en 1969. Le projet associe Claude PARENT, André BLOC, fondateur de la revue Architecture d’Aujourd’hui, ainsi que deux architectes iraniens, Hedar GHIAI et Mossem FOROUGHI. Lors de son ouverture, la Fondation AVICENNE apparut comme un bâtiment véritablement expérimental ! Sa structure est formée de trois portiques d’acier de quelque 38 mètres de haut, auxquels sont suspendus des caissons de quatre étages formant deux blocs d’habitation. La résidence est entièrement fermée sur trois côtés par des façades aveugles.
Cité internationale universitaire de Paris.
L/OBLIQUE est le lieu de la Cité internationale dédié à la connaissance de son patrimoine. Organisé autour d’un espace d’exposition permanent, Implanté au rez-de-chaussée de la Fondation AVICENNE, il propose toute l’année au public des événements pour découvrir l’évolution urbaine, architecturale, paysagère ou encore artistique de ce site unique au monde. Equipé d’un centre de documentation, il favorise les rencontres et l’échange culturel. La Fondation AVICENNE, ex Maison de l’Iran, est la dernière résidence ouverte à la Cité internationale à l’issue de la période de construction qui suivit la seconde guerre mondiale. Elle a été inaugurée en 1969. Le projet associe Claude PARENT, André BLOC, fondateur de la revue Architecture d’Aujourd’hui, ainsi que deux architectes iraniens, Hedar GHIAI et Mossem FOROUGHI. Lors de son ouverture, la Fondation AVICENNE apparut comme un bâtiment véritablement expérimental ! Sa structure est formée de trois portiques d’acier de quelque 38 mètres de haut, auxquels sont suspendus des caissons de quatre étages formant deux blocs d’habitation. La résidence est entièrement fermée sur trois côtés par des façades aveugles.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> La Maison Internationale. La Maison internationale a été construite dans les années 1930. C’était la quatrième du nom à voir le jour après celle de New York (1924), Berkeley (1930) et Chicago (1932). Elle a été financée grâce à une donation du philanthrope américain John D. ROCKEFELLER Jr. Après avoir consacré une partie de sa fortune à la restauration des châteaux de Fontainebleau et de Versailles, il s’est intéressé à la Cité internationale. L’idée était d’y bâtir un espace commun à l’ensemble des maisons pour favoriser les rencontres et le brassage.
Cité internationale universitaire de Paris.
La Maison Internationale. La Maison internationale a été construite dans les années 1930. C’était la quatrième du nom à voir le jour après celle de New York (1924), Berkeley (1930) et Chicago (1932). Elle a été financée grâce à une donation du philanthrope américain John D. ROCKEFELLER Jr. Après avoir consacré une partie de sa fortune à la restauration des châteaux de Fontainebleau et de Versailles, il s’est intéressé à la Cité internationale. L’idée était d’y bâtir un espace commun à l’ensemble des maisons pour favoriser les rencontres et le brassage.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> La Maison Internationale. La conception de la Maison internationale a été confiée en avril 1933 à l’architecte américain Jean-Frédéric LARSON. Ce dernier s’est inspiré de l’architecture française classique, en particulier du château de Fontainebleau, pour créer un bâtiment de style « néo-Louis XIII ». La Maison internationale a été inaugurée en 1936. Elle forme un ensemble monumental de 22 000 m2 composé de deux pavillons d’entrée symétriques, d’une cour d’honneur et d’un corps central de bâtiment flanqué de deux ailes.
Cité internationale universitaire de Paris.
La Maison Internationale. La conception de la Maison internationale a été confiée en avril 1933 à l’architecte américain Jean-Frédéric LARSON. Ce dernier s’est inspiré de l’architecture française classique, en particulier du château de Fontainebleau, pour créer un bâtiment de style « néo-Louis XIII ». La Maison internationale a été inaugurée en 1936. Elle forme un ensemble monumental de 22 000 m2 composé de deux pavillons d’entrée symétriques, d’une cour d’honneur et d’un corps central de bâtiment flanqué de deux ailes.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> La Maison Internationale.
Cité internationale universitaire de Paris.
La Maison Internationale.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> La Maison Internationale.
Cité internationale universitaire de Paris.
La Maison Internationale.
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<center>Cité internationale universitaire de Paris. </center> La Maison Internationale.
Cité internationale universitaire de Paris.
La Maison Internationale.
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<center>Le parc Georges-Brassens. </center> Le parc Georges-Brassens se trouve sur l'emplacement des anciens abattoirs de Vaugirard. Ouvert en 1985, il couvre une superficie de 8,7 hectares sur un terrain en dénivelé qui abritait au XVIIIe siècle le vignoble de Périchaux, relayés par des cultures maraîchères au siècle suivant. De 1894 à 1974, les cultures laissent place aux abattoirs. En 1975, les abattoirs ont été fermés et certains éléments architecturaux ont été installés en référence à l'activité : les sculptures représentant les taureaux d'Isidore Bonheur, le porteur de viande, etc.
Le parc Georges-Brassens.
Le parc Georges-Brassens se trouve sur l'emplacement des anciens abattoirs de Vaugirard. Ouvert en 1985, il couvre une superficie de 8,7 hectares sur un terrain en dénivelé qui abritait au XVIIIe siècle le vignoble de Périchaux, relayés par des cultures maraîchères au siècle suivant. De 1894 à 1974, les cultures laissent place aux abattoirs. En 1975, les abattoirs ont été fermés et certains éléments architecturaux ont été installés en référence à l'activité : les sculptures représentant les taureaux d'Isidore Bonheur, le porteur de viande, etc.
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<center>Le parc Georges-Brassens. </center> Totalement repensé dans les années 1980 par les architectes Alexandre Ghiulamila et Jean-Michel Milliex avec le paysagiste Daniel Collin, le parc a été ouvert au public en 1985. S'il porte le nom de « parc Georges-Brassens », c'est en hommage à Georges Brassens qui a vécu l'essentiel de sa vie parisienne à quelques centaines de mètres du lieu, au 9, impasse Florimont (14e), puis au 42, rue Santos-Dumont (15e).
Le parc Georges-Brassens.
Totalement repensé dans les années 1980 par les architectes Alexandre Ghiulamila et Jean-Michel Milliex avec le paysagiste Daniel Collin, le parc a été ouvert au public en 1985. S'il porte le nom de « parc Georges-Brassens », c'est en hommage à Georges Brassens qui a vécu l'essentiel de sa vie parisienne à quelques centaines de mètres du lieu, au 9, impasse Florimont (14e), puis au 42, rue Santos-Dumont (15e).
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<center>Le parc Georges-Brassens. </center> Certaines structures architecturales des abattoirs sont encore visibles aujourd'hui, ici,  le beffroi du marché à la criée.
Le parc Georges-Brassens.
Certaines structures architecturales des abattoirs sont encore visibles aujourd'hui, ici, le beffroi du marché à la criée.
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<center>Le parc Georges-Brassens. </center>
Le parc Georges-Brassens.
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Le parc Georges-Brassens.
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<center>Le parc Georges-Brassens. </center> Voie ferrée de ceinture.
Le parc Georges-Brassens.
Voie ferrée de ceinture.
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<center>Le parc Georges-Brassens. </center> Jardin pédagogique pour les élèves des écoles alentour. Jardin pédagogique pour les élèves des écoles alentour.
Le parc Georges-Brassens.
Jardin pédagogique pour les élèves des écoles alentour. Jardin pédagogique pour les élèves des écoles alentour.
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<center>Le parc Georges-Brassens. </center>
Le parc Georges-Brassens.
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<center>Le parc Georges-Brassens. </center> Le porteur de viande d'Albert Bouquillon.
Le parc Georges-Brassens.
Le porteur de viande d'Albert Bouquillon.
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<center>Le parc Georges-Brassens. </center> G. Just et E. Denis, architectes, 1907.
Le parc Georges-Brassens.
G. Just et E. Denis, architectes, 1907.
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<center>Le parc Georges-Brassens. </center>
Le parc Georges-Brassens.
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<center>La Ruche.</center> La Ruche est née en 1900 de la générosité du sculpteur Alfred Boucher (1850-1934), passé d’une condition modeste au statut d’artiste devenu célèbre et fortuné. La Ruche a été créée pour aider de jeunes artistes sans ressources. En  1900, il acquiert un terrain de 5000m2 passage Dantzig puis, l’Exposition Universelle de 1900 achevée, il achète aux enchères le pavillon des vins de Gironde conçu par Gustave Eiffel. La Ruche a été de tout temps financée par un mécénat privé et des aides publiques. Aujourd’hui, la Fondation La Ruche-Seydoux, créée en 1985 grâce à la donation de Geneviève Seydoux et reconnue d’utilité publique en 1985, en assure la gestion et l’entretien.
La Ruche.
La Ruche est née en 1900 de la générosité du sculpteur Alfred Boucher (1850-1934), passé d’une condition modeste au statut d’artiste devenu célèbre et fortuné. La Ruche a été créée pour aider de jeunes artistes sans ressources. En 1900, il acquiert un terrain de 5000m2 passage Dantzig puis, l’Exposition Universelle de 1900 achevée, il achète aux enchères le pavillon des vins de Gironde conçu par Gustave Eiffel. La Ruche a été de tout temps financée par un mécénat privé et des aides publiques. Aujourd’hui, la Fondation La Ruche-Seydoux, créée en 1985 grâce à la donation de Geneviève Seydoux et reconnue d’utilité publique en 1985, en assure la gestion et l’entretien.
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<center>La Ruche.</center> Les cariatides de la Rotonde proviennet du pavillon de l'Indonésie. Parmi ses occupants historiques : Fernand Léger, Chaïm Soutine, Zadkine, Archipenko, Marc Chagall, Michel Kikoïne, Jacques Chapiro, Jacques Lipchitz, Henri Laurens, Blaise Cendrars… et bien sûr Alfred Boucher.
La Ruche.
Les cariatides de la Rotonde proviennet du pavillon de l'Indonésie. Parmi ses occupants historiques : Fernand Léger, Chaïm Soutine, Zadkine, Archipenko, Marc Chagall, Michel Kikoïne, Jacques Chapiro, Jacques Lipchitz, Henri Laurens, Blaise Cendrars… et bien sûr Alfred Boucher.
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<center>La Ruche.</center> Le pavillon des vins, de forme octogonale, occupe le centre de la propriété. S'élevant sur trois étages, il est composé de nombreux petits ateliers d'une trentaine de mètres carrés. Les façades et toitures du bâtiment sont inscrites aux monuments historiques par un arrêté du 19 janvier 1972.
La Ruche.
Le pavillon des vins, de forme octogonale, occupe le centre de la propriété. S'élevant sur trois étages, il est composé de nombreux petits ateliers d'une trentaine de mètres carrés. Les façades et toitures du bâtiment sont inscrites aux monuments historiques par un arrêté du 19 janvier 1972.
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<center>La Ruche.</center> Actuellement, la Ruche compte une soixantaine d'ateliers de toutes tailles, où résident encore de nombreux artistes, tous locataires et qui, pour la plupart, y restent toute leur vie.
La Ruche.
Actuellement, la Ruche compte une soixantaine d'ateliers de toutes tailles, où résident encore de nombreux artistes, tous locataires et qui, pour la plupart, y restent toute leur vie.
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<center>La Ruche.</center> Surnommée La Ruche par le sculpteur Alfred Boucher, cette cité doit son nom à la disposition particulière des ateliers en alvéoles autour de l'escalier central du bâtiment principal octogonal. Ancien pavillon de l'Alimentation et des Vins de la ville de Bordeaux lors de l'Exposition Universelle de 1900, acquis à moindre coût aux enchères, celui-ci est remonté sur un terrain vague de Vaugirard.
La Ruche.
Surnommée La Ruche par le sculpteur Alfred Boucher, cette cité doit son nom à la disposition particulière des ateliers en alvéoles autour de l'escalier central du bâtiment principal octogonal. Ancien pavillon de l'Alimentation et des Vins de la ville de Bordeaux lors de l'Exposition Universelle de 1900, acquis à moindre coût aux enchères, celui-ci est remonté sur un terrain vague de Vaugirard.
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<center>Rue Santos -Dumont, maisons ouvrières. </center>
Rue Santos -Dumont, maisons ouvrières.
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<center>Rue Santos -Dumont, maisons ouvrières. </center>Au 42 vécut Georges Brassens.
Rue Santos -Dumont, maisons ouvrières.
Au 42 vécut Georges Brassens.
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<center>Rue Santos -Dumont, maisons ouvrières. </center>L'entrée de la villa Santos-Dumont.
Rue Santos -Dumont, maisons ouvrières.
L'entrée de la villa Santos-Dumont.
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<center>La villa Santos-Dumont. </center> C'est une voie privée située dans le 15e arrondissement de Paris. Elle compte des maisons indépendantes avec jardins ainsi que des lofts d’artistes avec verrière.  Les 25 maisons de cette voie datent du début des années 1920.
La villa Santos-Dumont.
C'est une voie privée située dans le 15e arrondissement de Paris. Elle compte des maisons indépendantes avec jardins ainsi que des lofts d’artistes avec verrière. Les 25 maisons de cette voie datent du début des années 1920.
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<center>La villa Santos-Dumont. </center>
La villa Santos-Dumont.
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