L'Institut de France. Trois jours avant sa mort, en mars 1661, Mazarin fondait un collège nouveau, destiné à assurer l’éducation gratuite de soixante jeunes gens originaires de quatre provinces qu’avaient réunies à la France les traités de Wesphalie en 1648 et le traité des Pyrénées en 1659. C’étaient l’Artois, l’Alsace, une petite partie de la Savoie, le Roussillon et la Cerdagne. On appela cette nouvelle institution le Collège des Quatre-Nations.
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L'Institut de France.
L’homme de confiance de Mazarin, Colbert, désigna l’architecte : Louis Le Vau, déjà architecte des agrandissements du Louvre. Il sera le principal architecte de Versailles. Le site choisi était prestigieux : sur l’emplacement de la porte de Nesles, face au Louvre. Le bâtiment sera une véritable scénographie urbaine : deux pavillons carrés encadrant la chapelle et sa coupole, le tout réuni en une vaste courbe.
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L'Institut de France.
Un des pavillons carrés.
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L'Institut de France.
La Coupole sous laquelle se tiennent les cérémonies solennelles des cinq académies. À la mort de Le Vau en 1670, François d’Orbay lui succède. C’est lui qui conçoit cette coupole haute de 44 mètres, une coupole circulaire à l’extérieur et en ellipse à l’intérieur.
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L'Institut de France.
À l’entrée du Palais, deux symboles surmontent l’inscription « Institut de France » : un faisceau des lumières, choisi pour représenter l’unité de l’Institut, et l’effigie de Minerve, déesse romaine de la Sagesse et de l’Intelligence.
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L'Institut de France.
On entre dans une cour où, à gauche, se trouvele bâtiment de la bibliothèque Mazarine.
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L'Institut de France.
A droite, le bâtiment de l'Institut. Créé par la loi du 3 brumaire an IV (25 octobre 1795) sur l’organisation de l’instruction publique, l’Institut de France est placé depuis le 1er janvier 2006 sous la responsabilité du chancelier Gabriel de Broglie. Il est le regroupement de cinq académies : l’Académie française
(fondée en 1635) ;
l’Académie des inscriptions et belles-lettres
(fondée en 1663) ; l’Académie des sciences
(fondée en 1666) ; l’Académie des beaux-arts
(créée en 1816 par la réunion de l’Académie de peinture et de sculpture, fondée en 1648, de l’Académie de musique, fondée en 1669 et de l’Académie d’architecture, fondée en 1671) ; l’Académie des sciences morales et politiques
(fondée en 1795, supprimée en 1803 et rétablie en 1832). Au-dessus des entrées, des faisceaux de licteur, avec l'étoile de Mazarin.
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L'Institut de France.
Le cadran solaire du matin.
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L'Institut de France.
Côté bibliothèque Mazarine, le cadran solaire de l'après-midi. Ces deux cadrans ont été réalisés par Barthélémy en 1676, tailleur de pierre.
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L'Institut de France.
Derrière la cour principale, les cours avec les salles de classes et les logements.
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L'Institut de France.
La seconde cour est elle aussi ornée d’un cadran solaire, un cadran double vertical déclinant, qui date probablement de la même époque que ceux de la cour principale.
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L'Institut de France.
La seconde cour.
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L'Institut de France.
Faisceaux de licteur.
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L'Institut de France.
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L'Institut de France.
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L'Institut de France.
Statue de Montyon.
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L'Institut de France.
Statue de Volney (1757-1820). Constantin-François Chassebœuf de La Giraudais, comte Volney, dit Volney, né le 3 février 1757 à Craon en Anjou et mort le 25 avril 1820 à Paris, est un philosophe et orientaliste français. Il fut nommé par le Directoire le 6 décembre 1795 membre de l'Institut dans la classe des Sciences morales et politiques.
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L'Institut de France.
Plaque de la porte.
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L'Institut de France.
La voûte en berceau du couloir d'entrée possède aussi sa coupole.
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L'Institut de France.
Le cénotaphe du cardinal Mazarin par Antoine Coysevox (XVIIe siècle).
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L'Institut de France.
Le cénotaphe du cardinal Mazarin par Antoine Coysevox (XVIIe siècle)
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L'Institut de France.
Partie supérieure du cénotaphe de Mazarin (réalisée par Antoine Coysevox).
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L'Institut de France.
Sur le couronnement, encadrant les armes de Mazarin, allégories de la Religion et de la Charité.
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L'Institut de France.
Allégorie de la Prudence (attribuée à Le Hongre). On reconnaît, dans la main gauche, le miroir et le serpent, attributs de la Prudence.
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Allégorie de la Paix (attribuée à Le Hongre).
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L'Institut de France.
Allégorie de la Fidélité (attribuée à Tuby).
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L'Institut de France.
Allégorie de la Fidélité (attribuée à Tuby).
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L'Institut de France.
Buste du duc d'Aumale de Paul Dubois.
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L'Institut de France.
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L'Institut de France.
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L'Institut de France.
Napoléon Ier de Philippe Laurent Roland.
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L'Institut de France.
Statue de Fénelon de Félix Lecomte..
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L'Institut de France.
Statue de Sully de Louis Philippe Mouchy.
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L'Institut de France.
Statue de Bossuet, évêque de Meaux, d'Augustin Pajou.
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L'Institut de France.
Statue de René Descartes (1777), par Pajou Régis.
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L'Institut de France.
C'est là, sous la Coupole que se tiennent les séances solennelles.
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L'Institut de France.
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L'Institut de France.
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L'Institut de France.
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L'Institut de France.
La célèbre coupole de l'Institut de France.
Elle est elliptique à l’intérieur et circulaire à l’extérieur.
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L'Institut de France.
La célèbre coupole de l'Institut de France.
Elle est elliptique à l’intérieur et circulaire à l’extérieur.
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L'Institut de France.
Citation du prophète Ezéchiel : ""il siégera sous son ombre au milieu des nations".
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L'Institut de France.
Citation du prophète Ezéchiel : ""il siégera sous son ombre au milieu des nations".
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L'Institut de France.
Citation du prophète Ezéchiel : ""il siégera sous son ombre au milieu des nations".
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L'Institut de France.
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L'Institut de France.
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L'Institut de France.
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L'Institut de France.
Le décor est fait des médaillons des douze apôtres.
St Thomas, St Jacques le mineur, st Philippe.
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L'Institut de France.
St Bartholomée, st Matthieu, st Simon.
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L'Institut de France.
St Thadée, st Matthias, st André.
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L'Institut de France.
St Pierre, St Jacques le majeur, st Jean.
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L'Institut de France.
Petite tribune du XIXe.
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L'Institut de France.
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L'Institut de France.
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L'Institut de France.
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L'Institut de France.
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La bibliothèque Mazarine.
Les origines de la Bibliothèque Mazarine sont liées aux collections personnelles du cardinal Mazarin (1602-1661), successeur de Richelieu et principal ministre de la minorité de Louis XIV entre 1643 à 1661. Ouverte aux savants dès 1643 dans l’hôtel particulier de Mazarin (qui deviendra par la suite le site historique de la Bibliothèque nationale de France), c’est la plus ancienne bibliothèque publique de France. Amputée en 1668 de ses manuscrits à la faveur d'un échange avec la bibliothèque du Roi, la collection fut transportée dans le palais conçu par Louis Le Vau pour le Collège des Quatre-Nations. Rouverte en 1689, la Bibliothèque Mazarine fut maintenue en activité sous la Révolution en raison de son caractère public, tandis que le collège était supprimé. Au-dessus des entrées, des faisceaux de licteur, avec l'étoile de Mazarin.
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La bibliothèque Mazarine.
Les armoiries du cardinal Mazarin, avec le chapeau de cardinal, le faisceau de licteur et les trois étoiles. À gauche, allégorie de la Prudence, à droite celle de la Tempérance
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La bibliothèque Mazarine.
Buste de Mazarin, par Louis Lerambert. Marbre, vers 1664.
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La bibliothèque Mazarine.
Buste de Gabriel Naudé, par raymond Gayrard. Marbre, 1824. Depuis la fin de l'année 1642, Gabriel Naudé était entré au servicede Mazarin et avait entrepris pour son nouveau maître de concevoir et de développer la plus belle et la plus volumineuse bibliothèque que l'Europe ait connue.
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La bibliothèque Mazarine.
En 1824, l’architecte Léon Biet réalisa, sous la direction d’Antoine Vaudoyer, un escalier d’honneur au décor néo-classique, inscrit dans un tambour ovale à éclairage zénithal, et couronné d’une galerie ornée de bustes antiques.
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La bibliothèque Mazarine.
De nombreuses oeuvres d’art sont venues compléter cet ensemble à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe : bustes en marbre, bronze ou terre cuite, représentant des empereurs romains, des auteurs de l’Antiquité ou des savants des XVIIe et XVIIIe siècles, ornent les accès à la bibliothèque et la salle de lecture.
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La bibliothèque Mazarine.
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La bibliothèque Mazarine.
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La bibliothèque Mazarine.
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La bibliothèque Mazarine.
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La bibliothèque Mazarine.
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La bibliothèque Mazarine.
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La bibliothèque Mazarine.
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La bibliothèque Mazarine.
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La bibliothèque Mazarine.
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La bibliothèque Mazarine.
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La bibliothèque Mazarine.
Salle d'entrée.
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La bibliothèque Mazarine.
Salle d'entrée.
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La bibliothèque Mazarine.
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La bibliothèque Mazarine.
La petite salle. La bibliothèque Mazarine, bibliothèque patrimoniale d'étude et de recherche dépendant du Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, est placée sous l'autorité administrative de l’Institut de France qui occupe, depuis 1805, les anciens bâtiments du collège des Quatre-Nations.
Elle est, depuis 1643, publique et ouverte à tous. La consultation des collections se fait sur place uniquement et celle des ouvrages rares et précieux est soumise à conditions.
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La bibliothèque Mazarine.
La grande salle. La bibliothèque compte aujourd'hui environ 600 000 volumes, dont 40 000 en salle. Si son très riche fonds ancien — près de 200 000 volumes — est encyclopédique, son fonds moderne est lui spécialisé en histoire, notamment l'histoire religieuse, littéraire et culturelle du Moyen Âge (XIIe - XVe siècles) et des XVIe - XVIIe siècles, l'histoire du livre et l'histoire locale et régionale de la France.
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La bibliothèque Mazarine.
La grande salle. Si la collection de manuscrits de Mazarin est aujourd'hui — du fait d'un « échange », en 1668, avec la Bibliothèque royale — à la Bibliothèque nationale de France, la bibliothèque compte malgré tout plus de 5 000 manuscrits (dont environ 1 500 manuscrits médiévaux parmi lesquels de nombreux manuscrits enluminés), provenant essentiellement de saisies révolutionnaires ; 2 700 incunables (premiers livres imprimés de 1452 à 1501), dont un exemplaire de la bible de Gutenberg — connu sous le nom de bible Mazarine —, et la plus importante collection au monde de Mazarinades.
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La bibliothèque Mazarine.
A gauche, Marc-Aurèle, d'après l'antique XVIIe s. A droite, Septime-Sévère, d'après l'antique XVIIe s.
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La bibliothèque Mazarine.
Faisceaux de licteur et armoiries de Mazarin.
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La bibliothèque Mazarine.
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La bibliothèque Mazarine.
Pendule du cabinet de travail de Louis XVI aux Tuileries.
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La bibliothèque Mazarine.
Lustre de la petite salle aux armes de La Pompadour.
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La bibliothèque Mazarine.
Lustre de la petite salle.
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La bibliothèque Mazarine.
Lustre de la grande salle.
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La bibliothèque Mazarine.
Lettre qui confirme le don de quatre lustres pour la bibliothèque des quatre Nations.
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La bibliothèque Mazarine.
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La bibliothèque Mazarine.
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La bibliothèque Mazarine.
Cortège pour l'accueil de la reine Christine de Suède après son abdication, ce qui a posé des problèmes de protocole.
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La bibliothèque Mazarine.
Cortège pour l'accueil de la reine Christine de Suède qui se trouve en tête.
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Arrière de l'institut, rue Mazarine.
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Arrière de l'institut, rue Mazarine.
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Arrière de l'institut, rue Mazarine.
Les remparts édifiés au début du XIIIe siècle n'ont jamais servi militairement jusqu'à l’époque de Charles V : sur la rive gauche, ils sont jugés encore suffisants au XIVe siècle, et simplement consolidés puis entourés d'un fossé sec.
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Arrière de l'institut, rue Mazarine.
La rue Mazarine en témoigne : cet ancien chemin extérieur de l'enceinte de Philippe-Auguste est en effet baptisé au XVIIe siècle "rue des Fossés de Nesle". Avec l'essor de la capitale, les fortifications médiévales sont lentement absorbées dans le tissu urbain : la muraille devient limite de propriété, soubassement de maison ou carrière de pierres, et ses tours servent de logis, d'atelier, ou même de chapelle.
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Rue Mazarine.
Emplacement du jeu de paume des Métayers où la troupe de Molière ouvrit en décembre 1643 l'Illustre Théâtre.
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Rue Mazarine.
Dans cette maison habita, en 1791, le député Girondin Charles Barbaroux, 1767-1794.
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Rue Mazarine.
Maison de Champollion qui découvrit, en 1822, le principe du déchiffrement des hiéroglyphes égyptiens.
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Le Pont Neuf.
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Le Pont Neuf.
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Le Pont Neuf.
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L'Institut de France.
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L'Institut de France.
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La passerelle Simone-de-Beauvoir.
Montée vers la passerelle.
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La passerelle Simone-de-Beauvoir.
Montée vers la passerelle Simone-de-Beauvoir .
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La passerelle Simone-de-Beauvoir.
« Les Enfants du monde » , statues de Rachid Khimoune.
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La passerelle Simone-de-Beauvoir.
La passerelle Simone-de-Beauvoir.
C'est un pont réservé aux modes de transports dits « doux » (piétons, vélos). C’est le 37e pont sur la Seine à Paris. Il se trouve entre les ponts de Bercy et de Tolbiac et relie les rives des 12e et 13e arrondissements de Paris, soit environ 304 m
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La passerelle Simone-de-Beauvoir.
Elle a été conçu par le cabinet de l’architecte autrichien Dietmar Feichtinger. Cette passerelle aérienne reprenant le vocabulaire de l’arc, s’inscrit dans une tradition de pont parisien emblématique des technologies de leur époque. Elle enjambe la Seine sans appui intermédiaire dans l’eau, utilisant le principe des ponts suspendus en préservant une meilleure facilité de navigation. Vingt mois de travaux auront été nécessaires à la société Eiffel pour assembler 1 600 tonnes d’acier et 3 800 m2 de chêne.
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La passerelle Simone-de-Beauvoir.
Pont de Bercy. Le pont en arc encastré, à multiples travées a été construit entre 1863 et 1864, surélevé en 1904, élargi entre 1989 et 1992. Il a été inauguré en 1864. A gauche, la piscine flottante Joséphine-Baker, inaugurée une semaine avant la passerelle (6 juillet 2006).
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La bibliothèque nationale de France (BnF).
Ainsi dénommée depuis 1994, elle est la bibliothèque nationale de la République française, inaugurée sous cette nouvelle dénomination le 30 mars 1995 par le président de la République François Mitterrand et héritière des collections royales constituées depuis la fin du Moyen Âge. Elle est la plus importante bibliothèque de France et l’une des plus importantes au monde.
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Bibliothèque François Mitterrand.
Elle occupe un site de 7,5 hectares pour une esplanade de 60 000 m2. Le bâtiment est caractérisé par quatre grandes tours angulaires de 79 m chacune figurant symboliquement quatre livres ouverts. Chaque tour porte un nom : Tour des Temps, Tour des Lois, Tour des Nombres et Tour des Lettres.
