Le Grand Hôtel, l'Opéra Garnier et l'Opéra Bastille
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Le Grand Hôtel.
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Le Grand Hôtel.
Édifié en 1861 à l'instigations des frères Péreire pour l'exposition universelle de 1867, le grand hôtel offrait pour ses 800 chambres, le luxe, à l'époque inouïe, de 70 salles de bains. Sa décoration intérieure fut confiée à des artistes, peintres et sculpteurs de grand renom. Il comprenait une salle à manger et de vastes salons de réception.
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Le Grand Hôtel.
Il fut inauguré le 14 juillet 1862 par l'impératrice Eugénie et le banquier Péreire. L'architecte est Alfred Armand. Sculpteurs-statuaires : Cuvelir, Aimé Millet, Perraud, Franchesci, Chaselat. Peintres : Hardoin, Benier, Darvant. Sculpteurs-ornementistes : Oury, De Chequier, Din, L. Rousseau.
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Le Grand Hôtel.
Portrait de Sarah Bernhardt (1876), par Georges Clairin.
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Le Grand Hôtel.
La cour d'honneur était couverte d'une magnifique verrière permettant aux voyageurs et aux voitures d'être protégés. On y trouvait aussi un bureau télégraphique et un bureau de tabac.
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Le Grand Hôtel.
L’ancienne cour est couverte d’une verrière par l’architecte Paul-Henri Nénot et transformée en salon de thé.
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Le Grand Hôtel.
La cour d'honneur.
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Le Grand Hôtel.
La cour d'honneur.
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Le Grand Hôtel.
Salle de transition permettant d'accéder à la salle à manger.
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Le Grand Hôtel.
La salle à manger. Les cariatides sont d'Aimé Millet.
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La salle à manger.
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La salle à manger.
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La salle à manger.
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La salle à manger.
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La salle à manger.
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La salle à manger.
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La salle à manger.
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La salle à manger.
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La salle à manger.
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La salle à manger.
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Le Grand Hôtel.
La salle à manger.
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La salle à manger.
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La salle à manger.
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La salle à manger.
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La salle à manger.
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La salle à manger.
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La salle à manger.
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La salle à manger.
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Le Grand Hôtel.
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L'opéra Garnier.
L'Opéra, ou Académie nationale de musique et de danse, est un somptueux édifice, dû à l'architecte Charles Garnier (projet adopté en 1861, première pierre posée en 1862, inauguration en 1875; restauré et modernisé en 1936-1937). On accède au vestibule par sept arcades décorées de statues symboliques (« la peinture et la sculpture » par Théodore Gruyère, et « l’architecture et l’industrie » par Jean Petit) surplombées de médaillons sculptés par Charles Gumery. Sur le toit, l'Harmonie et la Poésie, groupes galvanoplastiques par Gumery.
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L'opéra Garnier.
Les médaillons représentent les compositeurs Johann Sebastian Bach, Domenico Cimarosa, Joseph Haydn et Giovanni Battista Pergolesi. Au 1er étage, la loggia à colonnes monolithes en pierre de Ravières (Yonne), d'ordre corinthien, est toujours illuminée. Entre les colonnes, des bustes en bronze doré réalisés par Louis-Félix Chabaud qui représentent les compositeurs Daniel-François-Esprit Auber, Ludwig van Beethoven, Giacomo Meyerbeer, Wolfgang Amadeus Mozart, Gaspare Spontini, Philippe Quinault, Gioachino Rossini et Jacques Fromental Halévy. Au-dessus de la loggia, un attique bordé de masques antiques en bronze doré.
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L'opéra Garnier.
Apollon, la Poésie et la Musique, entre 1860 et 1869 par Aimé Millet. La frise est régulière et on ne compte que six masques théâtraux tragiques et comiques en bronze doré différents qui se succèdent. Cette frise a été réalisée par le sculpteur Jean-Baptiste Klagmann.
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L'opéra Garnier.
La Poésie par Charles Gumery (1827–1871), groupe en bronze doré.
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L'opéra Garnier.
La Poésie par Charles Gumery (1827–1871), groupe en bronze doré.
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L'opéra Garnier.
L'Harmonie.
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L'opéra Garnier.
L'Harmonie
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L'opéra Garnier.
Le drame lyrique de Jean-Joseph Perraud (avec sa victime agonisante).
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L'opéra Garnier.
La Danse, groupe de Carpeaux. L'original, qui a pris place au Louvre, a été remplacé en 1964 par une réplique, due au sculpteur Paul Belmondo. Les personnages dénudés provoquèrent l'ire des puritains dont celle d'un anonyme qui alla jusqu'à lancer un encrier sur le chef-d'œuvre de l'artiste dans la nuit du 26 au 27 août 1869
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L'opéra Garnier.
La musique instrumentale d'Eugène Guillaume (avec ses instruments de musique)
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L'opéra Garnier.
La poésie de François Jouffroy (avec ses palmes).
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L'opéra Garnier.
Les façades latérales sont décorées de bustes de musiciens. L’Opéra est entouré de vingt-deux statues lampadaires-cariatides (1870) représentant soit l’Etoile du Matin, soit l’Etoile du Soir. Elles sont l’œuvre de Louis-Félix Chabaud (1824-1902). L’une des statues, du bras gauche, ramène sur son front un voile qui pend par derrière, et du bras droit levé, soutient le lampadaire placé sur sa tête. La jambe droite est croisée devant la jambe gauche. L’autre statue, du bras droit, ramène le voile, qui flotte derrière elle, sur son front , et du bras gauche, elle soutient le lampadaire placé sur sa tête. Elle est appuyée sur la jambe droite placée un peu en arrière ; la tête est un peu tournée à droite.
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L'opéra Garnier.
>Le pavillon des abonnés. Formant un exact pendant au pavillon de l'Empereur, le pavillon des abonnés est ouvert par sept arcades en plein cintre donnant accès à la descente à couvert, vaste rotonde couverte d'une coupole de 13,5 mètres de diamètre.
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L'opéra Garnier.
Le pavillon de l'empereur. Pavillon d'honneur, destiné primitivement à l'empereur et à ses proches, et devant communiquer avec sa loge. La double rampe doit être en mesure de leur assurer une circulation sécurisée et abritée des intempéries en permettant aux fiacres de pouvoir s'arrêter à l'intérieur même du pavillon de l'Empereur.
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L'opéra Garnier.
Le pavillon de l'empereur. L'entrée est indiquée par une suite de colonnes de marbre vert dont deux sont surmontées d'un grand aigle impérial en bronze, symbole miraculeusement préservé après le Second Empire. Les lanternes latérales de la colonne sont portées ici aussi par des figures de proue.
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L'opéra Garnier.
Le pavillon de l'empereur. À la mort de l'architecte, en 1898, il est décidé d'ériger un petit monument à son souvenir et à sa gloire qui est inauguré durant l'année 1903. On peut ainsi découvrir un buste représentant Charles Garnier accompagné, de chaque côté, d'un personnage féminin en pied réalisé également en bronze doré. Cet ensemble sculpté est posé sur un socle de pierre supportant un grand cartouche de métal rectangulaire dont la ciselure représente, en creux et dorée à la feuille, le plan du niveau principal de l'Opéra.
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L'opéra Garnier.
Le pavillon de l'empereur. On aperçoit, en haut, un des deux « Pégase » d’Eugène Lequesne qui furent très critiqués : « il a pris le toit de l’Opéra pour un hippodrome ! » raillait-on !
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L'opéra Garnier.
Vu de la terrasse des Galeries Lafayette.
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L'opéra Garnier.
Vu de la terrasse des Galeries Lafayette. Un des deux « Pégase » d’Eugène Lequesne qui furent très critiqués : « il a pris le toit de l’Opéra pour un hippodrome ! » raillait-on !
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Vestibule d'entrée.
Lully, Rameau, Gluck et Haendel, statues par Schœnewerk Alasseur, Cavelier et Salmson.
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Entrée des abonnés.
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Vestibule circulaire.
Les abonnés pénètrent dans un vaste vestibule circulaire.
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Vestibule circulaire.
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Vestibule circulaire.
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Vestibule circulaire.
Au centre de la voûte, dans une inscription pseudo-arabe, Charles Garnier a signé et daté son œuvre.
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Entrée des abonnés.
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Entrée des abonnés.
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Entrée des abonnés.
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Dessous du grand escalier.
La « Pythonisse » (ou « Pythie ») due à Adèle d'Affry, duchesse de Castiglione-Colonna, dite « Marcello » (Fribourg, 1836 - Naples, 1879).
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Dessous du grand escalier.
La « Pythonisse » (ou « Pythie ») due à Adèle d'Affry, duchesse de Castiglione-Colonna, dite « Marcello » (Fribourg, 1836 - Naples, 1879).
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Dessous du grand escalier.
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Dessous du grand escalier.
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Dessous du grand escalier.
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Grand escalier.
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Grand escalier.
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Grand escalier.
Balustrade en onyx d'Algérie.
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Grand escalier.
Balustrade en onyx d'Algérie.
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Grand escalier.
Au 1°' étage, tout autour de l'escalier, des colonnes monolithes de marbre sarrancolin montant jusqu'au 3e étage soutiennent la voûte.
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Grand escalier.
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Grand escalier.
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Grand escalier.
Au pied de l'escalier, deux statues-torchères en bronze de Albert Ernest Carrier de Belleuse dit Carrier-Belleuse représentent des figures féminines tenant des éclairages au gaz puis électriques.
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Grand escalier.
Au pied de l'escalier, deux statues-torchères en bronze de Albert-Ernest Carrier de Belleuse (dit Carrier-Belleuse) représentent des figures féminines tenant des éclairages au gaz puis électriques.
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Grand escalier.
Il se scinde au 1er étage; là se trouve l'entrée de l'orchestre et de l'amphithéâtre, flanquée de deux cariatides, la Tragédie et la Comédie de Thomas.
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Grand escalier.
La Tragédie.
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Grand escalier.
La Comédie.
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Grand escalier.
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Grand escalier.
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Grand escalier.
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Grand escalier.
Le plafond est composé de quatre voussures, recouvertes chacune de compositions allégoriques, sur toile marouflée, du peintre Isidore Alexandre-Auguste Pils, Grand Prix de Rome en 1838. Ces œuvres sont éclairées par la verrière d'une lanterne achevant la composition.
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Grand escalier.
Le Charme de la musique.
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Grand escalier.
Le Triomphe d’Apollon.
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Grand escalier.
Minerve combattant la force brutale devant l’Olympe réuni.
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Grand escalier.
La ville de Paris recevant les plans du nouvel Opéra.
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Grand escalier.
Ecusson dde la ville de Paris.
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Grand escalier.
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Grand escalier.
Sur les deux côtés, on trouve, partant du rez-de-chaussée, de très vastes escaliers qui aboutissent aux couloirs circulaires menant aux loges de tous les différents niveaux de la salle de spectacle.
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Grand escalier.
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Grand escalier.
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L'opéra Garnier.
A chaque étage, des balcons permettent d'avoir un coup d'œil d'ensemble.
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Avant-foyer.
La voûte est revêtue de mosaïques exécutées par Salviati d'après Curzon, les ornements par Facchina.
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Avant-foyer.
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Avant-foyer.
A gauche, Artémis et Endymion. A droite, Orphée et Eurydice.
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Avant-foyer.
A gauche, Aurore et Céphale. A droite, Hermès et Psyché.
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Grand escalier.
Des balcons, on a une vue d'ensemble sur le grand escalier, véritable théâtre permettant à la société mondaine de l'époque de se donner en spectacle.
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L'opéra Garnier.
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L'opéra Garnier.
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L'opéra Garnier.
Le « salon de la Lune », situé côté jardin. Sur les voûtes dominent les tonalités froides de l'argent, avec des représentations d'oiseaux de nuit : hiboux et chauves-souris.
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L'opéra Garnier.
Le « salon de la Lune », situé côté jardin. Des miroirs étamés de couleur froide recouvrent ses parois et se reflètent à l'infini pour former des « chemins de lumière ».
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Le grand foyer.
C'est une des plus belles parties de l'Opéra, long de 54 m, large de 13 m et haut de 18 m. Une copie de la représentation en buste de l'architecte, sculptée par Carpeaux, trône au centre du grand foyer et à proximité d'une fenêtre donnant sur la perspective de l'avenue de l'Opéra.
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Le grand foyer.
Sur les murs, se trouvent vingt élégantes statues, allégories des « Qualités » indispensables aux artistes des arts lyrique et chorégraphique : l'imagination, l'espérance, la tradition, la fantaisie, la passion, la force, la pensée, la prudence, la modération, l'élégance, la volonté, la grâce, la science, la foi, la dignité, la beauté, la sagesse, la philosophie, l'indépendance, la modestie.
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Le grand foyer.
A l'entrée centrale, deux glaces de Saint-Gobain.
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Le grand foyer.
Aux extrémités, deux salons ouverts sont ornés de cheminées monumentales à cariatides, créées par Carrier-Belleuse et Cordier et exécutées par Christofles, derrière lesquelles sont les salons octogonaux.
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Le grand foyer.
Peintures de Barrias du côté ouest (les dieux de l'Olympe ainsi que les musiques amoureuse, champêtre et dramatique)
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Le grand foyer.
et de Delaunay du côté est (le Zodiaque, Apollon recevant la Lyre, Orphée et Eurydice, Amphion).
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Le grand foyer.
Quatre têtes de femmes modelées par Chabaud soutiennent les lampes qui représentent les différents modes d'éclairage : huile, bougie, gaz et électricité.
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Le grand foyer.
Quatre têtes de femmes modelées par Chabaud soutiennent les lampes qui représentent les différents modes d'éclairage : huile, bougie, gaz et électricité.
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Le grand foyer.
Dix lustres, fondus par Lecoq, complètent le décor de cette galerie d'apparat.
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Le grand foyer.
Il est orné de peintures allégoriques, dues à Paul Baudry, Félix Barrias et Delaunay.
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Le grand foyer.
Un plafond à voussures, peint par Paul Baudry figure les grandes étapes de l'histoire de la Musique, de la Comédie et de la Tragédie et décline plusieurs aspects de leur thématique propre.
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Le grand foyer.
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Le grand foyer.
La partie centrale est limitée par deux arcs ornés de deux grandes têtes modelées par Chabaud : Mercure ici) et Amphitrite, en qui on a cru reconnaître les traits de Charles Garnier et de sa femme.
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Le grand foyer.
La partie centrale est limitée par deux arcs ornés de deux grandes têtes modelées par Chabaud : Mercure et Amphitrite (ici), en qui on a cru reconnaître les traits de Charles Garnier et de sa femme.
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Le grand foyer.
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La logia.
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La logia.
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La logia.
Avenue de l'opéra.
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La logia.
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L'opéra Garnier.
Le « salon du Soleil », côté cour. Sur les voûtes dominent les tons chauds de l'or, au milieu d'un décor de salamandres.
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L'opéra Garnier.
Le « salon du Soleil », côté cour.
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L'opéra Garnier.
Le « salon du Soleil », côté cour. Des miroirs étamés à dominante chaude, recouvrent ses parois et se reflètent à l'infini pour former des « chemins de lumière ».
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L'opéra Garnier.
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L'opéra Garnier.
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La rotonde du Glacier.
Tout autour sont disposés entre les fenêtres une série de huit tapisseries d'après des cartons peints par A.J. Mazerolle (1826-1889), réalisées par la Manufacture des Gobelins. Elles représentent les diverses boissons que l'on peut commander : « le champagne », « le café », « le thé », « l'orangeade » et autres breuvages, mais aussi « la pêche » et « la chasse ».
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La rotonde du Glacier.
Achevée bien après l'ouverture de l'Opéra, la rotonde se rapproche plus du style propre à la « Belle Époque » ou aux « années 1900 ».
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La rotonde du Glacier.
Plafond peint par Georges Jules-Victor Clairin, une ronde de bacchanales et de faunes.
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L'opéra Garnier.
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La bibliothèque.
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Entrée vers le pavillon de l'empereur.
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Ancien plafond de l'opéra.
La première coupole du plafond de la grande salle est due au pinceau du peintre préféré de Napoléon III, Jules Eugène Lenepveu (Angers, 1819 - Paris, 1898), Grand Prix de Rome en 1847. Cette peinture est aujourd'hui dissimulée par une seconde de Chagall, accrochée sous l'œuvre originelle.
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Place de la Bastille.
La colonne de Juillet est une colonne élevée sur la place de la Bastille à Paris, en commémoration des Trois Glorieuses. Ces trois journées de la révolution de juillet 1830 amenèrent la chute de Charles X et de la monarchie absolue, et l'instauration de la monarchie constitutionnelle, avec le règne de Louis-Philippe Ier, duc d'Orléans, devenu roi des Français (monarchie de Juillet).
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Place de la Bastille.
Sur une plaque, au bas de la colonne, il est écrit : « À la gloire des citoyens français qui s'armèrent et combattirent pour la défense des libertés publiques dans les mémorables journées des 27, 28, 29 juillet 1830. » Le fût de la colonne porte le nom des victimes des journées révolutionnaires de juillet 1830.
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Place de la Bastille.
Le sommet est orné d'une sculpture en bronze doré d'Auguste Dumont : le Génie de la Liberté.
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Place de la Bastille.
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Place de la Bastille.
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Opéra Bastille.
L'Opéra Bastille est l'œuvre de Carlos Ott, architecte canadien-uruguayen, qui fut désigné en novembre 1983 après un concours international auquel près de 1700 architectes participèrent. L'inauguration eut lieu le 13 juillet 1989.
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Opéra Bastille.
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Opéra Bastille.
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Opéra Bastille.
Statue de Nifi de Saint Phalle.
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Opéra Bastille.
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Opéra Bastille.
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Opéra Bastille.
La grande salle : superficie : 1 200 m², 5% du volume du bâtiment dimensions : 20 m de haut, 32 m de profondeur, 40 m de large nombre de places : 2 703 matériaux : granit bleu provenant de Lannelin en Bretagne, bois de poirier provenant de Chine, verre au plafond.
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Opéra Bastille.
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Opéra Bastille.
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Opéra Bastille.
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Opéra Bastille.
La scène principale, 45 m de haut, 30 m de large, 25 m de profondeur, constituée de 9 élévateurs permettant de créer plusieurs niveaux, posée sur 3 élévateurs principaux assurant l'arrivée des décors depuis le sous-sol.
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