Le cabinet de toilette mauresque. La cheminée-fontaine.
106
Hôtel de la Païva
Le cabinet de toilette mauresque. La cheminée-fontaine.
107
Hôtel de la Païva
Le cabinet de toilette mauresque.
108
Hôtel de la Païva
Le cabinet de toilette mauresque.
109
Hôtel de la Païva
La chambre de la marquise.
110
Hôtel de la Païva
La chambre de la marquise.
111
Hôtel de la Païva
La chambre de la marquise. Des médaillons en bronze doré sur les portes, signés Picou, exposent les vertus de la maîtresse de maison : divitia
112
Hôtel de la Païva
La chambre de la marquise. Fortitudo.
113
Hôtel de la Païva
La chambre de la marquise. Plafond peint à clés pendantes, néo-gothique flamboyant.
114
Hôtel de la Païva
La chambre de la marquise.
115
Hôtel de la Païva
La chambre de la marquise.
116
Hôtel de la Païva
La chambre de la marquise. La cheminée en malachite verte est portée par deux statues agenouillées d'Albert Carrier-Belleuse en bronze doré.
117
Hôtel de la Païva
La chambre de la marquise.
118
Hôtel de la Païva
La chambre de la marquise.
119
Hôtel de la Païva
Vers le boudoir.
120
Hôtel de la Païva
Boudoir. Cheminée en marbre de Carrare, à décor floral.
121
Hôtel de la Païva
Boudoir. L'encadrement du foyer est incrusté de lapis-lazuli.
122
Hôtel de la Païva
Bouidoir. Bronze argenté d'Albert Carrier-Belleuse, « femme et enfant ».
123
Hôtel de la Païva
124
Champs Elysées.
125
Champs Elysées.
Architecte Méwés, 1913.
126
Champs Elysées.
Architecte Méwés, 1913.
127
Champs Elysées.
Façade de style Art nouveau tardif construite en 1914 par les architectes Louis Bigaux et Koller pour le malletier Georges Vuitton.
128
Champs Elysées.
Ancien hôtel Claridge.
129
Champs Elysées.
Ancien hôtel Claridge.
130
Champs Elysées.
Ancien hôtel Claridge.
131
Champs Elysées.
Architecte Charles Lefèbvre et ses associés Marcel Julien et Louis Duhayon. 1925. En 1926, les Arcades des Champs Elysées relancent la mode des passages couverts.
132
Les Champs Elysées.
Galerie du Lido. Les Arcades des Champs-Élysées furent construites en 1925 par l'architecte Charles Lefebvre et ses associés Marcel Julien et Louis Duhayon à l'emplacement de l'ancien hôtel Dufayel. La parcelle de terrain, étroite, entre l'avenue et la rue de Ponthieu, avait été acquise par le diamantaire et promoteur immobilier Léonard Rosenthal. Les Arcades furent inaugurées le 1er octobre 1926. Quelques colonnes en marbre, provenant de l'ancien hôtel Dufayel, sont utilisées dans la réalisation. La décoration de la galerie est l'œuvre du ferronnier René Gobert, des maîtres-verriers Fernand Jacopozzi et René Lalique, auteur de fontaines de verre, aujourd'hui disparues.
133
Les Champs Elysées.
Galerie du Lido.
134
Les Champs Elysées.
Galerie du Lido.
135
Les Champs Elysées.
Galerie du Lido.
136
Les Champs Elysées.
137
Les Champs Elysées.
138
Les Champs Elysées.
139
Les Champs Elysées.
140
Les Champs Elysées.
Le siège de HSBC, l'ancien Elysée Palace. Hôtel de voyageurs construit en 1898 pour la Compagnie des wagons-lits par l'architecte Georges Chedanne. Ce fut le premier des grands hôtels de voyageurs édifiés sur les Champs-Élysées. Il fut bientôt suivi par l'hôtel Astoria (1904) et l'hôtel Claridge (1912).
141
Les Champs Elysées.
Le siège de HSBC, l'ancien Elysée Palace
142
Les Champs Elysées.
Le siège de HSBC, l'ancien Elysée Palace
143
Les Champs Elysées.
Ancien hôtel Elysées Palace. Louis Baralis est le sculpteurdu décor en bas-relief de deux des neuf oculi de la façade, 1898.
144
Les Champs Elysées.
Ancien hôtel Elysées Palace. Autre bas-relief de Louis Baralis.
145
Les Champs Elysées.
Ancien hôtel Elysées Palace Bas-relief de Paul Jean-Baptiste Gasq
146
Les Champs Elysées.
Ancien hôtel Elysées Palace Bas-relief de François Sicard.
147
Les Champs Elysées.
148
Champs Elysées.
Architecte A. Durville. 1895.
149
Les Champs Elysées.
Devant cet immeuble qu'il habita, Alberto Santos Dumont, pionnier de l'Aéronautique, fit atterrir, en 1903, son dirigeable n°9.
150
Le Fouquet's.
Le restaurant s’enracine dès 1899, en lieu et place d’un café, baptisé The Criterion, où se retrouvent les cochers. Le fondateur et propriétaire s’appelle Louis Fouquet, le nom Fouquet’s résonnant alors comme un double hommage à la mode britannique et à la terminologie des bars américains. L’intéressé n’invente rien : Maxime Gaillard, un garçon de café, a fait de même avec son Maxim’s – un petit bistrot au départ -, situé à la lisière de la place de la Concorde.
Le successeur de Fouquet, Léopold Mourier, garde le nom mais transforme l’adresse en un endroit ultra-chic où se pressent peu à peu grosses fortunes et personnalités en vue.
151
Le Fouquet's.
Surtout, passionné d’automobile et d’aviation, le nouveau patron réussit à attirer, entre autres, Alberto Santos-Dumont – qui, le premier, fait voler un aéroplane, le 12 novembre 1906 au dessus du parc de Bagatelle – et Ettore Bugatti, le constructeur des fameux bolides. Le monde du spectacle aussi s’installe au Fouquet’s, un cadre qu’il n’a plus jamais quitté depuis environ un siècle. Entrée avec, de chaque coté, les noms des célébrités qui ont fréquenté les lieux.
152
Le Fouquet's.
Noms des célébrités qui ont fréquenté les lieux.
153
Avenue George V.
Hôtel le Fouqet's. Schoebel-Amrein, architectes. Viguie-Verdier, constructeur. 1988.
154
Avenue George V.
Les parties grises sont des moulages en béton réalisés par l’architecte Édouard François. Les fenêtres, aussi fines que des couteaux percent la façade à des endroits absolument et résolument indépendants des modénatures. La décoration intérieure est due à Jacques Garcia.
155
Avenue George V.
Les parties grises sont des moulages en béton réalisés par l’architecte Édouard François. Les fenêtres, aussi fines que des couteaux percent la façade à des endroits absolument et résolument indépendants des modénatures. La décoration intérieure est due à Jacques Garcia.
156
Avenue George V.
Vuitton : façade 1930.
157
Avenue George V.
Vuitton : façade 1930.
158
Avenue George V.
Ancienne chapellerie. ERNEST MOTSCH est le fondateur de la marque de chapeaux MOTSCH, créée en 1887. Dans les années 1980, les descendants d’ERNEST MOTSCH, souhaitent se soustraire de la chapellerie familiale. L’enseigne de renom est rachetée par la Maison HERMÈS.
159
Avenue George V.
Construit sur le site des anciennes carrières de Chaillot, le Prince de Galles, un hôtel Luxury Collection, fut édifié en 1928 par l’architecte Arfvidson dans un style typiquement Art Déco, comme en témoigne son patio entièrement habillé de mosaïques.
L’origine du nom de l’hôtel Prince de Galles réside dans sa finalité première : accueillir à Paris le Prince de Galles, futur Edouard VIII, fils aîné du Roi d’Angleterre de l’époque, George V.
160
Hôtel George V.
Cet hôtel est construit en 1928 par André Terrail, restaurateur propriétaire de La Tour d'Argent, en face de son hôtel particulier. Décoré dans son style d'origine des années 1930, il est considéré comme l’un des plus prestigieux hôtels de Paris.
161
Hôtel George V.
162
Hôtel George V.
163
Hôtel George V.
164
Hôtel George V.
165
Hôtel George V.
166
Hôtel George V.
167
Hôtel George V.
168
Hôtel George V.
169
Hôtel George V.
170
Hôtel George V.
Le salon anglais.
171
Hôtel George V.
Statue de l'Eté.
172
La Fermette Marbeuf .
C'est un restaurant gastronomique de 1898, du Triangle d'or du quartier des Champs-Élysées, du 8e arrondissement de Paris.
173
La Fermette Marbeuf .
174
La Fermette Marbeuf .
Le décor nous transporte un siècle en arrière, lors de la "Belle Époque", avec ses douces lumières et ses céramiques de rêve.
175
La Fermette Marbeuf .
176
La Fermette Marbeuf .
Sa « salle 1900 » de style jardin d'hiver Belle Époque Art nouveau (avec plafond verrière, vitraux, fresques, céramiques, mosaïques, peintures murales, lustres, ameublement, objets de décoration...) est créée en 1898 par le jeune architecte de talent Émile Hurtré (avec les artisans d'art Hubert et Martineau et le céramiste Jules Wielhorski). C'était la salle à manger de l'hôtel Langham, rue Boccador.
177
La Fermette Marbeuf .
Tombée dans un sommeil de l'oubli, 1978 constitue le retour à la vie de cette princesse endormie ; des ouvriers attaquent les murs d'une réserve d'un restaurant anonyme et une brèche ouverte laisse apparaître un authentique décor de l'Art Nouveau ayant subi les outrages du temps.
Il faudra attendre 1983 pour que la salle soit inscrite à l'inventaire des monuments historiques.
178
La Fermette Marbeuf .
En Septembre 1982, un homme demande à voir la salle "1900" ; il l'a contemple en prenant son temps pour enfin déclarer : "c'est la même ".
A Maison-Laffite sommeille au fond d'un parc, un jardin d'hiver au décor similaire qui fait l'objet d'une vente aux enchères. Comment résister au plaisir de réunir ces deux "sœurs". Le 20 novembre 1982, la vente est conclue !
Débutent alors de longs travaux méticuleux où les cinq mille carreaux seront démontés un par un grâce au plan de "calpinages". Il faudra des semaines pour décoller les vitraux de la verrière conçue en 1898 par Hubert et Martineau.
179
La Fermette Marbeuf .
180
La Fermette Marbeuf .
181
La Fermette Marbeuf .
182
La Fermette Marbeuf .
183
La Fermette Marbeuf .
184
La Fermette Marbeuf .
185
La Fermette Marbeuf .
186
La Fermette Marbeuf .
187
La Fermette Marbeuf .
188
La Fermette Marbeuf .
189
La Fermette Marbeuf .
190
La Fermette Marbeuf .
191
La Fermette Marbeuf .
192
Rue Clément Marot.
Bow-window.
193
Rue Clément Marot.
Bow-window.
194
Le Plaza Athéné.
Construit en deux campagnes entre 1902 et 1909, l'Hôtel Plaza-Athénée est un hôtel de luxe de huit étages, réalisé dans un style éclectique par les architectes Charles Lefèbvre et Louis Duhayon (auteurs de l'hôtel Claridge sur l'avenue des Champs-Élysées). À l'occasion d'un changement de propriétaire en 1933, l'hôtel est modernisé. Il ouvre de nouveau en 1936. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il est occupé successivement par les commandements allemands puis américains. Il retrouvera son activité commerciale en 1946.
195
Le Plaza Athéné.
196
Avenue Montaigne.
Elle s'appela allée des Soupirs vers 1720 et avenue verte vers 1750, puis allée de Veuves vers 1770 car on y rencontrait des femmes seules à la recherche d'une aventure galante en dehors de la ville. C'était un lieu mal éclairé et mal famé où l'on ne trouvait que quelques guinguettes louches. Ce n'est quand 1850, qu'elle prit son nom actuel. Lors de l'Exposition universelle de 1855, le Palais des Beaux-Arts, construit par l'architecte Hector-Martin Lefuel, est édifié avenue Montaigne. Des maisons élégantes commencent à se construire le long de l'avenue, qui change complètement de caractère et devient l'un des lieux à la mode du nouveau quartier des Champs-Élysées.
197
Avenue Montaigne.
L’avenue Montaigne présente des différences certaines avec l'avenue des Champs-Élysées toute proche : elle est moins animée et davantage tournée vers le luxe, en particulier vers la haute couture.
198
Avenue Montaigne.
199
Avenue Montaigne.
Hôtel de Millon d'Ailly de Verneuil. Hôtel particulier de trois étages, construit entre 1865 et 1868 pour la veuve d'Alexandre Colonna Walewski, fils naturel de Napoléon Ier, née Maria Anna Catherine Clarissa Cassandra Ricci (1823-1912). En 1946, avec l'appui de Marcel Boussac, Christian Dior y installe sa maison de couture
200
Avenue Montaigne.
201
Avenue Montaigne.
202
Avenue Montaigne.
Paul Poiret, né à Paris le 20 avril 1879 et mort à Paris le 30 avril 1944, de son vrai nom Paul-Henri Poiret est un grand couturier français, connu pour ses audaces. Il est considéré comme un précurseur du style Art déco. Sa marque commerciale est un turban très enveloppant orné d'une aigrette que sa femme, Denise, rend célèbre. Il ouvre sa maison de couture en septembre 1903 et habille Réjane, ce qui le lance. Il est le premier couturier, avec Madeleine Vionnet1, à supprimer le corset en 1906, en créant des robes taille haute. Il devient ainsi un pionnier de l'émancipation féminine.
203
Avenue Montaigne.
Madeleine Vionnet, née à Chilleurs-aux-Bois le 22 juin 1876 et décédée à Paris le 2 mars 1975, est une grandes couturières françaises et une influence majeure de la mode du XXe siècle. Elle est l'inventrice de la coupe en biais et du drapé. La Maison de couture Vionnet est fondée à Paris en 1912 puis ouvre à New York en 1924.
204
Avenue Montaigne.
Hôtel de Lariboisière (en 1910) : « Dans l'hôtel aux lignes harmonieuses de la comtesse de Lariboisière, femme du sénateur, on entendait de belles musiques dans un salon réputé pour être un centre de grande élégance. ». Madeleine Vionnet installa en mars 1923 sa maison de couture dans cet hôtel particulier dont elle fit un lieu de grand luxe. Dans l'arrière-cour de l'hôtel, elle installa ses 850 ouvrières, réparties dans 28 ateliers, dans un immeuble de huit étages. L'hôtel abrite aujourd'hui une boutique Ralph Lauren.