Les Champs Elysées, l'Hôtel de la Païva, le Triangle d'Or.

<center>Hôtel de la Païva</center> Le cabinet de toilette mauresque. La cheminée-fontaine.
Hôtel de la Païva
Le cabinet de toilette mauresque. La cheminée-fontaine.
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<center>Hôtel de la Païva</center> Le cabinet de toilette mauresque. La cheminée-fontaine.
Hôtel de la Païva
Le cabinet de toilette mauresque. La cheminée-fontaine.
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<center>Hôtel de la Païva</center> Le cabinet de toilette mauresque.
Hôtel de la Païva
Le cabinet de toilette mauresque.
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<center>Hôtel de la Païva</center> Le cabinet de toilette mauresque.
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Le cabinet de toilette mauresque.
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<center>Hôtel de la Païva</center> La chambre de la marquise.
Hôtel de la Païva
La chambre de la marquise.
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<center>Hôtel de la Païva</center> La chambre de la marquise.
Hôtel de la Païva
La chambre de la marquise.
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<center>Hôtel de la Païva</center> La chambre de la marquise. Des médaillons en bronze doré sur les portes, signés Picou, exposent les vertus de la maîtresse de maison : divitia
Hôtel de la Païva
La chambre de la marquise. Des médaillons en bronze doré sur les portes, signés Picou, exposent les vertus de la maîtresse de maison : divitia
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<center>Hôtel de la Païva</center> La chambre de la marquise. Fortitudo.
Hôtel de la Païva
La chambre de la marquise. Fortitudo.
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<center>Hôtel de la Païva</center> La chambre de la marquise. Plafond peint à clés pendantes, néo-gothique flamboyant.
Hôtel de la Païva
La chambre de la marquise. Plafond peint à clés pendantes, néo-gothique flamboyant.
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<center>Hôtel de la Païva</center> La chambre de la marquise.
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La chambre de la marquise.
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<center>Hôtel de la Païva</center> La chambre de la marquise.
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La chambre de la marquise.
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<center>Hôtel de la Païva</center> La chambre de la marquise. La cheminée en malachite verte est portée par deux statues agenouillées d'Albert Carrier-Belleuse en bronze doré.
Hôtel de la Païva
La chambre de la marquise. La cheminée en malachite verte est portée par deux statues agenouillées d'Albert Carrier-Belleuse en bronze doré.
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<center>Hôtel de la Païva</center> La chambre de la marquise.
Hôtel de la Païva
La chambre de la marquise.
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<center>Hôtel de la Païva</center> La chambre de la marquise.
Hôtel de la Païva
La chambre de la marquise.
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<center>Hôtel de la Païva</center> Vers le boudoir.
Hôtel de la Païva
Vers le boudoir.
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<center>Hôtel de la Païva</center> Boudoir. Cheminée en marbre de Carrare, à décor floral.
Hôtel de la Païva
Boudoir. Cheminée en marbre de Carrare, à décor floral.
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<center>Hôtel de la Païva</center> Boudoir. L'encadrement du foyer est incrusté de lapis-lazuli.
Hôtel de la Païva
Boudoir. L'encadrement du foyer est incrusté de lapis-lazuli.
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<center>Hôtel de la Païva</center> Bouidoir. Bronze argenté d'Albert Carrier-Belleuse, « femme et enfant ».
Hôtel de la Païva
Bouidoir. Bronze argenté d'Albert Carrier-Belleuse, « femme et enfant ».
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<center>Hôtel de la Païva</center>
Hôtel de la Païva
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<center>Champs Elysées. </center>
Champs Elysées.
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<center>Champs Elysées. </center> Architecte Méwés, 1913.
Champs Elysées.
Architecte Méwés, 1913.
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<center>Champs Elysées. </center> Architecte Méwés, 1913.
Champs Elysées.
Architecte Méwés, 1913.
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<center>Champs Elysées. </center> Façade de style Art nouveau tardif construite en 1914 par les architectes Louis Bigaux et Koller pour le malletier Georges Vuitton.
Champs Elysées.
Façade de style Art nouveau tardif construite en 1914 par les architectes Louis Bigaux et Koller pour le malletier Georges Vuitton.
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<center>Champs Elysées. </center> Ancien hôtel Claridge.
Champs Elysées.
Ancien hôtel Claridge.
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<center>Champs Elysées. </center> Ancien hôtel Claridge.
Champs Elysées.
Ancien hôtel Claridge.
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<center>Champs Elysées. </center> Ancien hôtel Claridge.
Champs Elysées.
Ancien hôtel Claridge.
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<center>Champs Elysées. </center> Architecte Charles Lefèbvre et ses associés Marcel Julien et Louis Duhayon. 1925. En 1926, les Arcades des Champs Elysées relancent la mode des passages couverts.
Champs Elysées.
Architecte Charles Lefèbvre et ses associés Marcel Julien et Louis Duhayon. 1925. En 1926, les Arcades des Champs Elysées relancent la mode des passages couverts.
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<center>Les  Champs Elysées. </center> Galerie du Lido. Les Arcades des Champs-Élysées furent construites en 1925 par l'architecte Charles Lefebvre et ses associés Marcel Julien et Louis Duhayon à l'emplacement de l'ancien hôtel Dufayel. La parcelle de terrain, étroite, entre l'avenue et la rue de Ponthieu, avait été acquise par le diamantaire et promoteur immobilier Léonard Rosenthal. Les Arcades furent inaugurées le 1er octobre 1926. Quelques colonnes en marbre, provenant de l'ancien hôtel Dufayel, sont utilisées dans la réalisation. La décoration de la galerie est l'œuvre du ferronnier René Gobert, des maîtres-verriers Fernand Jacopozzi et René Lalique, auteur de fontaines de verre, aujourd'hui disparues.
Les Champs Elysées.
Galerie du Lido. Les Arcades des Champs-Élysées furent construites en 1925 par l'architecte Charles Lefebvre et ses associés Marcel Julien et Louis Duhayon à l'emplacement de l'ancien hôtel Dufayel. La parcelle de terrain, étroite, entre l'avenue et la rue de Ponthieu, avait été acquise par le diamantaire et promoteur immobilier Léonard Rosenthal. Les Arcades furent inaugurées le 1er octobre 1926. Quelques colonnes en marbre, provenant de l'ancien hôtel Dufayel, sont utilisées dans la réalisation. La décoration de la galerie est l'œuvre du ferronnier René Gobert, des maîtres-verriers Fernand Jacopozzi et René Lalique, auteur de fontaines de verre, aujourd'hui disparues.
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<center>Les  Champs Elysées. </center> Galerie du Lido.
Les Champs Elysées.
Galerie du Lido.
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<center>Les  Champs Elysées. </center> Galerie du Lido.
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Galerie du Lido.
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<center>Les  Champs Elysées. </center> Galerie du Lido.
Les Champs Elysées.
Galerie du Lido.
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<center>Les  Champs Elysées. </center>
Les Champs Elysées.
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<center>Les  Champs Elysées. </center>
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<center>Les  Champs Elysées. </center> Le siège de HSBC, l'ancien Elysée Palace. Hôtel de voyageurs construit en 1898 pour la Compagnie des wagons-lits par l'architecte Georges Chedanne. Ce fut le premier des grands hôtels de voyageurs édifiés sur les Champs-Élysées. Il fut bientôt suivi par l'hôtel Astoria (1904) et l'hôtel Claridge (1912).
Les Champs Elysées.
Le siège de HSBC, l'ancien Elysée Palace. Hôtel de voyageurs construit en 1898 pour la Compagnie des wagons-lits par l'architecte Georges Chedanne. Ce fut le premier des grands hôtels de voyageurs édifiés sur les Champs-Élysées. Il fut bientôt suivi par l'hôtel Astoria (1904) et l'hôtel Claridge (1912).
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<center>Les  Champs Elysées. </center> Le siège de HSBC, l'ancien Elysée Palace
Les Champs Elysées.
Le siège de HSBC, l'ancien Elysée Palace
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<center>Les  Champs Elysées. </center> Le siège de HSBC, l'ancien Elysée Palace
Les Champs Elysées.
Le siège de HSBC, l'ancien Elysée Palace
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<center>Les  Champs Elysées. </center> Ancien hôtel Elysées Palace. Louis Baralis est le sculpteurdu décor en bas-relief de deux des neuf oculi de la façade, 1898.
Les Champs Elysées.
Ancien hôtel Elysées Palace. Louis Baralis est le sculpteurdu décor en bas-relief de deux des neuf oculi de la façade, 1898.
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<center>Les  Champs Elysées. </center> Ancien hôtel Elysées Palace. Autre bas-relief de Louis Baralis.
Les Champs Elysées.
Ancien hôtel Elysées Palace. Autre bas-relief de Louis Baralis.
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<center>Les  Champs Elysées. </center> Ancien hôtel Elysées Palace Bas-relief de Paul Jean-Baptiste Gasq
Les Champs Elysées.
Ancien hôtel Elysées Palace Bas-relief de Paul Jean-Baptiste Gasq
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<center>Les  Champs Elysées. </center> Ancien hôtel Elysées Palace Bas-relief de François Sicard.
Les Champs Elysées.
Ancien hôtel Elysées Palace Bas-relief de François Sicard.
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<center>Les  Champs Elysées. </center>
Les Champs Elysées.
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<center>Champs Elysées. </center> Architecte A. Durville. 1895.
Champs Elysées.
Architecte A. Durville. 1895.
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<center>Les  Champs Elysées. </center> Devant cet immeuble qu'il habita, Alberto Santos Dumont, pionnier de l'Aéronautique, fit atterrir, en 1903, son dirigeable n°9.
Les Champs Elysées.
Devant cet immeuble qu'il habita, Alberto Santos Dumont, pionnier de l'Aéronautique, fit atterrir, en 1903, son dirigeable n°9.
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<center>Le Fouquet's. </center> Le restaurant s’enracine dès 1899, en lieu et place d’un café, baptisé The Criterion, où se retrouvent les cochers. Le fondateur et propriétaire s’appelle Louis Fouquet, le nom Fouquet’s résonnant alors comme un double hommage à la mode britannique et à la terminologie des bars américains. L’intéressé n’invente rien : Maxime Gaillard, un garçon de café, a fait de même avec son Maxim’s – un petit bistrot au départ -, situé à la lisière de la place de la Concorde.
Le successeur de Fouquet, Léopold Mourier, garde le nom mais transforme l’adresse en un endroit ultra-chic où se pressent peu à peu grosses fortunes et personnalités en vue.
Le Fouquet's.
Le restaurant s’enracine dès 1899, en lieu et place d’un café, baptisé The Criterion, où se retrouvent les cochers. Le fondateur et propriétaire s’appelle Louis Fouquet, le nom Fouquet’s résonnant alors comme un double hommage à la mode britannique et à la terminologie des bars américains. L’intéressé n’invente rien : Maxime Gaillard, un garçon de café, a fait de même avec son Maxim’s – un petit bistrot au départ -, situé à la lisière de la place de la Concorde. Le successeur de Fouquet, Léopold Mourier, garde le nom mais transforme l’adresse en un endroit ultra-chic où se pressent peu à peu grosses fortunes et personnalités en vue.
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<center>Le Fouquet's. </center> Surtout, passionné d’automobile et d’aviation, le nouveau patron réussit à attirer, entre autres, Alberto Santos-Dumont – qui, le premier, fait voler un aéroplane, le 12 novembre 1906 au dessus du parc de Bagatelle – et Ettore Bugatti, le constructeur des fameux bolides. Le monde du spectacle aussi s’installe au Fouquet’s, un cadre qu’il n’a plus jamais quitté depuis environ un siècle. Entrée avec, de chaque coté, les noms des célébrités qui ont fréquenté les lieux.
Le Fouquet's.
Surtout, passionné d’automobile et d’aviation, le nouveau patron réussit à attirer, entre autres, Alberto Santos-Dumont – qui, le premier, fait voler un aéroplane, le 12 novembre 1906 au dessus du parc de Bagatelle – et Ettore Bugatti, le constructeur des fameux bolides. Le monde du spectacle aussi s’installe au Fouquet’s, un cadre qu’il n’a plus jamais quitté depuis environ un siècle. Entrée avec, de chaque coté, les noms des célébrités qui ont fréquenté les lieux.
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<center>Le Fouquet's. </center> Noms des célébrités qui ont fréquenté les lieux.
Le Fouquet's.
Noms des célébrités qui ont fréquenté les lieux.
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<center>Avenue George V. </center> Hôtel le Fouqet's. Schoebel-Amrein, architectes. Viguie-Verdier, constructeur. 1988.
Avenue George V.
Hôtel le Fouqet's. Schoebel-Amrein, architectes. Viguie-Verdier, constructeur. 1988.
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<center>Avenue George V. </center> Les parties grises sont des moulages en béton réalisés par l’architecte Édouard François. Les fenêtres, aussi fines que des couteaux percent la façade à des endroits absolument et résolument indépendants des modénatures. La décoration intérieure est due à Jacques Garcia.
Avenue George V.
Les parties grises sont des moulages en béton réalisés par l’architecte Édouard François. Les fenêtres, aussi fines que des couteaux percent la façade à des endroits absolument et résolument indépendants des modénatures. La décoration intérieure est due à Jacques Garcia.
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<center>Avenue George V. </center> Les parties grises sont des moulages en béton réalisés par l’architecte Édouard François. Les fenêtres, aussi fines que des couteaux percent la façade à des endroits absolument et résolument indépendants des modénatures. La décoration intérieure est due à Jacques Garcia.
Avenue George V.
Les parties grises sont des moulages en béton réalisés par l’architecte Édouard François. Les fenêtres, aussi fines que des couteaux percent la façade à des endroits absolument et résolument indépendants des modénatures. La décoration intérieure est due à Jacques Garcia.
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<center>Avenue George V. </center> Vuitton : façade 1930.
Avenue George V.
Vuitton : façade 1930.
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<center>Avenue George V. </center> Vuitton : façade 1930.
Avenue George V.
Vuitton : façade 1930.
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<center>Avenue George V. </center> Ancienne chapellerie. ERNEST MOTSCH est le fondateur de la marque de chapeaux MOTSCH, créée en 1887. Dans les années 1980, les descendants d’ERNEST MOTSCH, souhaitent se soustraire de la chapellerie familiale. L’enseigne de renom est rachetée par la Maison HERMÈS.
Avenue George V.
Ancienne chapellerie. ERNEST MOTSCH est le fondateur de la marque de chapeaux MOTSCH, créée en 1887. Dans les années 1980, les descendants d’ERNEST MOTSCH, souhaitent se soustraire de la chapellerie familiale. L’enseigne de renom est rachetée par la Maison HERMÈS.
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<center>Avenue George V. </center> Construit sur le site des anciennes carrières de Chaillot, le Prince de Galles, un hôtel Luxury Collection, fut édifié en 1928 par l’architecte Arfvidson dans un style typiquement Art Déco, comme en témoigne son patio entièrement habillé de mosaïques.
L’origine du nom de l’hôtel Prince de Galles réside dans sa finalité première : accueillir à Paris le Prince de Galles, futur Edouard VIII, fils aîné du Roi d’Angleterre de l’époque, George V.
Avenue George V.
Construit sur le site des anciennes carrières de Chaillot, le Prince de Galles, un hôtel Luxury Collection, fut édifié en 1928 par l’architecte Arfvidson dans un style typiquement Art Déco, comme en témoigne son patio entièrement habillé de mosaïques. L’origine du nom de l’hôtel Prince de Galles réside dans sa finalité première : accueillir à Paris le Prince de Galles, futur Edouard VIII, fils aîné du Roi d’Angleterre de l’époque, George V.
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<center>Hôtel George V. </center> Cet hôtel est construit en 1928 par André Terrail, restaurateur propriétaire de La Tour d'Argent, en face de son hôtel particulier. Décoré dans son style d'origine des années 1930, il est considéré comme l’un des plus prestigieux hôtels de Paris.
Hôtel George V.
Cet hôtel est construit en 1928 par André Terrail, restaurateur propriétaire de La Tour d'Argent, en face de son hôtel particulier. Décoré dans son style d'origine des années 1930, il est considéré comme l’un des plus prestigieux hôtels de Paris.
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<center>Hôtel George V. </center>
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<center>Hôtel George V. </center> Le salon anglais.
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Le salon anglais.
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<center>Hôtel George V. </center> Statue de l'Eté.
Hôtel George V.
Statue de l'Eté.
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<center>La Fermette Marbeuf . </center> C'est un restaurant gastronomique de 1898, du Triangle d'or du quartier des Champs-Élysées, du 8e arrondissement de Paris.
La Fermette Marbeuf .
C'est un restaurant gastronomique de 1898, du Triangle d'or du quartier des Champs-Élysées, du 8e arrondissement de Paris.
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<center>La Fermette Marbeuf . </center>
La Fermette Marbeuf .
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<center>La Fermette Marbeuf . </center>Le décor nous transporte un siècle en arrière, lors de la
La Fermette Marbeuf .
Le décor nous transporte un siècle en arrière, lors de la "Belle Époque", avec ses douces lumières et ses céramiques de rêve.
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<center>La Fermette Marbeuf . </center>
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<center>La Fermette Marbeuf . </center> Sa « salle 1900 » de style jardin d'hiver Belle Époque Art nouveau (avec plafond verrière, vitraux, fresques, céramiques, mosaïques, peintures murales, lustres, ameublement, objets de décoration...) est créée en 1898 par le jeune architecte de talent Émile Hurtré (avec les artisans d'art Hubert et Martineau et le céramiste Jules Wielhorski). C'était la salle à manger de l'hôtel Langham, rue Boccador.
La Fermette Marbeuf .
Sa « salle 1900 » de style jardin d'hiver Belle Époque Art nouveau (avec plafond verrière, vitraux, fresques, céramiques, mosaïques, peintures murales, lustres, ameublement, objets de décoration...) est créée en 1898 par le jeune architecte de talent Émile Hurtré (avec les artisans d'art Hubert et Martineau et le céramiste Jules Wielhorski). C'était la salle à manger de l'hôtel Langham, rue Boccador.
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<center>La Fermette Marbeuf . </center> Tombée dans un sommeil de l'oubli, 1978 constitue le retour à la vie de cette princesse endormie ; des ouvriers attaquent les murs d'une réserve d'un restaurant anonyme et une brèche ouverte laisse apparaître un authentique décor de l'Art Nouveau ayant subi les outrages du temps.
Il faudra attendre 1983 pour que la salle soit inscrite à l'inventaire des monuments historiques.
La Fermette Marbeuf .
Tombée dans un sommeil de l'oubli, 1978 constitue le retour à la vie de cette princesse endormie ; des ouvriers attaquent les murs d'une réserve d'un restaurant anonyme et une brèche ouverte laisse apparaître un authentique décor de l'Art Nouveau ayant subi les outrages du temps. Il faudra attendre 1983 pour que la salle soit inscrite à l'inventaire des monuments historiques.
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<center>La Fermette Marbeuf . </center> En Septembre 1982, un homme demande à voir la salle
La Fermette Marbeuf .
En Septembre 1982, un homme demande à voir la salle "1900" ; il l'a contemple en prenant son temps pour enfin déclarer : "c'est la même ". A Maison-Laffite sommeille au fond d'un parc, un jardin d'hiver au décor similaire qui fait l'objet d'une vente aux enchères. Comment résister au plaisir de réunir ces deux "sœurs". Le 20 novembre 1982, la vente est conclue ! Débutent alors de longs travaux méticuleux où les cinq mille carreaux seront démontés un par un grâce au plan de "calpinages". Il faudra des semaines pour décoller les vitraux de la verrière conçue en 1898 par Hubert et Martineau.
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<center>Rue Clément Marot. </center> Bow-window.
Rue Clément Marot.
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<center>Rue Clément Marot. </center> Bow-window.
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<center>Le Plaza Athéné. </center> Construit en deux campagnes entre 1902 et 1909, l'Hôtel Plaza-Athénée est un hôtel de luxe de huit étages, réalisé dans un style éclectique par les architectes Charles Lefèbvre et Louis Duhayon (auteurs de l'hôtel Claridge sur l'avenue des Champs-Élysées). À l'occasion d'un changement de propriétaire en 1933, l'hôtel est modernisé. Il ouvre de nouveau en 1936. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il est occupé successivement par les commandements allemands puis américains. Il retrouvera son activité commerciale en 1946.
Le Plaza Athéné.
Construit en deux campagnes entre 1902 et 1909, l'Hôtel Plaza-Athénée est un hôtel de luxe de huit étages, réalisé dans un style éclectique par les architectes Charles Lefèbvre et Louis Duhayon (auteurs de l'hôtel Claridge sur l'avenue des Champs-Élysées). À l'occasion d'un changement de propriétaire en 1933, l'hôtel est modernisé. Il ouvre de nouveau en 1936. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il est occupé successivement par les commandements allemands puis américains. Il retrouvera son activité commerciale en 1946.
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<center>Le Plaza Athéné. </center>
Le Plaza Athéné.
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<center>Avenue Montaigne. </center> Elle s'appela allée des Soupirs vers 1720 et avenue verte vers 1750, puis allée de Veuves vers 1770 car on y rencontrait des femmes seules à la recherche d'une aventure galante en dehors de la ville. C'était un lieu mal éclairé et mal famé où l'on ne trouvait que quelques guinguettes louches. Ce n'est quand 1850, qu'elle prit son nom actuel. Lors de l'Exposition universelle de 1855, le Palais des Beaux-Arts, construit par l'architecte Hector-Martin Lefuel, est édifié avenue Montaigne. Des maisons élégantes commencent à se construire le long de l'avenue, qui change complètement de caractère et devient l'un des lieux à la mode du nouveau quartier des Champs-Élysées.
Avenue Montaigne.
Elle s'appela allée des Soupirs vers 1720 et avenue verte vers 1750, puis allée de Veuves vers 1770 car on y rencontrait des femmes seules à la recherche d'une aventure galante en dehors de la ville. C'était un lieu mal éclairé et mal famé où l'on ne trouvait que quelques guinguettes louches. Ce n'est quand 1850, qu'elle prit son nom actuel. Lors de l'Exposition universelle de 1855, le Palais des Beaux-Arts, construit par l'architecte Hector-Martin Lefuel, est édifié avenue Montaigne. Des maisons élégantes commencent à se construire le long de l'avenue, qui change complètement de caractère et devient l'un des lieux à la mode du nouveau quartier des Champs-Élysées.
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<center>Avenue Montaigne. </center> L’avenue Montaigne présente des différences certaines avec l'avenue des Champs-Élysées toute proche : elle est moins animée et davantage tournée vers le luxe, en particulier vers la haute couture.
Avenue Montaigne.
L’avenue Montaigne présente des différences certaines avec l'avenue des Champs-Élysées toute proche : elle est moins animée et davantage tournée vers le luxe, en particulier vers la haute couture.
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<center>Avenue Montaigne. </center>
Avenue Montaigne.
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<center>Avenue Montaigne. </center> Hôtel de Millon d'Ailly de Verneuil. Hôtel particulier de trois étages, construit entre 1865 et 1868 pour la veuve d'Alexandre Colonna Walewski, fils naturel de Napoléon Ier, née Maria Anna Catherine Clarissa Cassandra Ricci (1823-1912). En 1946, avec l'appui de Marcel Boussac, Christian Dior y installe sa maison de couture
Avenue Montaigne.
Hôtel de Millon d'Ailly de Verneuil. Hôtel particulier de trois étages, construit entre 1865 et 1868 pour la veuve d'Alexandre Colonna Walewski, fils naturel de Napoléon Ier, née Maria Anna Catherine Clarissa Cassandra Ricci (1823-1912). En 1946, avec l'appui de Marcel Boussac, Christian Dior y installe sa maison de couture
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<center>Avenue Montaigne. </center> Paul Poiret, né à Paris le 20 avril 1879 et mort à Paris le 30 avril 1944, de son vrai nom Paul-Henri Poiret est un grand couturier français, connu pour ses audaces. Il est considéré comme un précurseur du style Art déco. Sa marque commerciale est un turban très enveloppant orné d'une aigrette que sa femme, Denise, rend célèbre. Il ouvre sa maison de couture en septembre 1903 et habille Réjane, ce qui le lance. Il est le premier couturier, avec Madeleine Vionnet1, à supprimer le corset en 1906, en créant des robes taille haute. Il devient ainsi un pionnier de l'émancipation féminine.
Avenue Montaigne.
Paul Poiret, né à Paris le 20 avril 1879 et mort à Paris le 30 avril 1944, de son vrai nom Paul-Henri Poiret est un grand couturier français, connu pour ses audaces. Il est considéré comme un précurseur du style Art déco. Sa marque commerciale est un turban très enveloppant orné d'une aigrette que sa femme, Denise, rend célèbre. Il ouvre sa maison de couture en septembre 1903 et habille Réjane, ce qui le lance. Il est le premier couturier, avec Madeleine Vionnet1, à supprimer le corset en 1906, en créant des robes taille haute. Il devient ainsi un pionnier de l'émancipation féminine.
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<center>Avenue Montaigne. </center> Madeleine Vionnet, née à Chilleurs-aux-Bois le 22 juin 1876 et décédée à Paris le 2 mars 1975, est une grandes couturières françaises et une influence majeure de la mode du XXe siècle. Elle est l'inventrice de la coupe en biais et du drapé. La Maison de couture Vionnet est fondée à Paris en 1912 puis ouvre à New York en 1924.
Avenue Montaigne.
Madeleine Vionnet, née à Chilleurs-aux-Bois le 22 juin 1876 et décédée à Paris le 2 mars 1975, est une grandes couturières françaises et une influence majeure de la mode du XXe siècle. Elle est l'inventrice de la coupe en biais et du drapé. La Maison de couture Vionnet est fondée à Paris en 1912 puis ouvre à New York en 1924.
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<center>Avenue Montaigne. </center> Hôtel de Lariboisière (en 1910) : « Dans l'hôtel aux lignes harmonieuses de la comtesse de Lariboisière, femme du sénateur, on entendait de belles musiques dans un salon réputé pour être un centre de grande élégance. ».  Madeleine Vionnet installa en mars 1923 sa maison de couture dans cet hôtel particulier dont elle fit un lieu de grand luxe. Dans l'arrière-cour de l'hôtel, elle installa ses 850 ouvrières, réparties dans 28 ateliers, dans un immeuble de huit étages. L'hôtel abrite aujourd'hui une boutique Ralph Lauren.
Avenue Montaigne.
Hôtel de Lariboisière (en 1910) : « Dans l'hôtel aux lignes harmonieuses de la comtesse de Lariboisière, femme du sénateur, on entendait de belles musiques dans un salon réputé pour être un centre de grande élégance. ». Madeleine Vionnet installa en mars 1923 sa maison de couture dans cet hôtel particulier dont elle fit un lieu de grand luxe. Dans l'arrière-cour de l'hôtel, elle installa ses 850 ouvrières, réparties dans 28 ateliers, dans un immeuble de huit étages. L'hôtel abrite aujourd'hui une boutique Ralph Lauren.
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