<center>Viviers</center>Hôtel de ville. Siège de l'évêché jusqu'en 1986 lorsque eut lieu un échange historique entre la Commune et l'Evêché, il fut construit par l'évêque François-Renaud de Villeneuve au milieu du XVIIIe siècle.
Viviers
Hôtel de ville. Siège de l'évêché jusqu'en 1986 lorsque eut lieu un échange historique entre la Commune et l'Evêché, il fut construit par l'évêque François-Renaud de Villeneuve au milieu du XVIIIe siècle.
134
<center>Viviers</center>Hôtel de ville. Vaste hôtel particulier entre cour et jardin, il s'ouvre sur une grande cour de plan ovale dite « cour d'honneur ».
Viviers
Hôtel de ville. Vaste hôtel particulier entre cour et jardin, il s'ouvre sur une grande cour de plan ovale dite « cour d'honneur ».
135
<center>Viviers</center>Hôtel de ville.
Viviers
Hôtel de ville.
136
<center>Viviers</center>Hôtel de ville.
Viviers
Hôtel de ville.
137
<center>Viviers</center>Hôtel de ville.
Viviers
Hôtel de ville.
138
<center>Viviers</center>Hôtel de ville.
Viviers
Hôtel de ville.
139
<center>Viviers</center>Hôtel de ville. Voûte réalisée par les architectes Franque au XVIIIe siècle.
Viviers
Hôtel de ville. Voûte réalisée par les architectes Franque au XVIIIe siècle.
140
<center>Viviers</center>Hôtel de ville. Lutrin.
Viviers
Hôtel de ville. Lutrin.
141
<center>Viviers</center>Hôtel de ville. Salon
Viviers
Hôtel de ville. Salon "à l'italienne" décoré de peintures murales en camaïeu de gris-vert. Médaillons représentant les quatre éléments : la terre avec Cybèle,
142
<center>Viviers</center>Hôtel de ville. Médaillons représentant les quatre éléments : l'air avec Junon,
Viviers
Hôtel de ville. Médaillons représentant les quatre éléments : l'air avec Junon,
143
<center>Viviers</center>Hôtel de ville. Scènes bibliques : le déluge.
Viviers
Hôtel de ville. Scènes bibliques : le déluge.
144
<center>Viviers</center>Hôtel de ville. Scènes bibliques : la sortie des animaux de l'arche de Noé.
Viviers
Hôtel de ville. Scènes bibliques : la sortie des animaux de l'arche de Noé.
145
<center>Viviers</center>Hôtel de ville. Médaillons représentant les quatre éléments : l'eau avec Neptune,
Viviers
Hôtel de ville. Médaillons représentant les quatre éléments : l'eau avec Neptune,
146
<center>Viviers</center>Hôtel de ville. Médaillons représentant les quatre éléments : le feu avec Vulcain,
Viviers
Hôtel de ville. Médaillons représentant les quatre éléments : le feu avec Vulcain,
147
<center>Viviers</center>Hôtel de ville. Médaillons représentant les quatre saisons : le printemps.
Viviers
Hôtel de ville. Médaillons représentant les quatre saisons : le printemps.
148
<center>Viviers</center>Hôtel de ville. Médaillons représentant les quatre saisons : l'été.
Viviers
Hôtel de ville. Médaillons représentant les quatre saisons : l'été.
149
<center>Viviers</center>Hôtel de ville. Médaillons représentant les quatre saisons : l'automne.
Viviers
Hôtel de ville. Médaillons représentant les quatre saisons : l'automne.
150
<center>Viviers</center>Hôtel de ville. Médaillons représentant les quatre saisons : l'hiver.
Viviers
Hôtel de ville. Médaillons représentant les quatre saisons : l'hiver.
151
<center>Viviers</center>Hôtel de ville. Scènes bibliques : construction de l'Arche de Noé, Sodome et Gomorrhe, embarquement des animaux dans l'Arche de Noé.
Viviers
Hôtel de ville. Scènes bibliques : construction de l'Arche de Noé, Sodome et Gomorrhe, embarquement des animaux dans l'Arche de Noé.
152
<center>Viviers</center>Hôtel de ville. Scènes bibliques : le sacrifice d'Abraham, le Buisson Ardent, la construction de la tour de Babel.
Viviers
Hôtel de ville. Scènes bibliques : le sacrifice d'Abraham, le Buisson Ardent, la construction de la tour de Babel.
153
<center>Viviers</center>Hôtel de ville.
Viviers
Hôtel de ville.
154
<center>Viviers</center>Hôtel de Roqueplane, actuel évêché.
Viviers
Hôtel de Roqueplane, actuel évêché.
155
<center>Viviers</center>Hôtel de Roqueplane, actuel évêché depuis 1986. Construit en 1734-1736 pour Pierre de Roqueplane, receveur des Tailles du Bas Vivarais par l'architecte avignonais Jean-Baptiste Franque, l'édifice avait été acheté en 1892 par la famille Pavin de Lafarge. L'hôtel est ensuite vendu à la commune qui y transfère la mairie le 18 mai 1947.
Viviers
Hôtel de Roqueplane, actuel évêché depuis 1986. Construit en 1734-1736 pour Pierre de Roqueplane, receveur des Tailles du Bas Vivarais par l'architecte avignonais Jean-Baptiste Franque, l'édifice avait été acheté en 1892 par la famille Pavin de Lafarge. L'hôtel est ensuite vendu à la commune qui y transfère la mairie le 18 mai 1947.
156
<center>Viviers</center>Hôtel de Roqueplane, actuel évêché.
Viviers
Hôtel de Roqueplane, actuel évêché.
157
<center>Viviers</center>Notre-Dame-du-Rhône. Ancienne chapelle d'un couvent de Dominicaines, elle allie beauté et sobriété.
Viviers
Notre-Dame-du-Rhône. Ancienne chapelle d'un couvent de Dominicaines, elle allie beauté et sobriété.
158
<center>Viviers</center>Notre-Dame-du-Rhône. Église paroissiale fondée dans la première moitié du VIe s. par l'évêque Venance qui y est enterré en 544 (église paléochrétienne). À la fin du VIIe s., installation d'un couvent de bénédictines, détruit par les Sarrasins en 727. Église à nouveau ruinée en 1567 lors des guerres de Religion. Le 13 novembre 1624, délibérations consulaire et capitulaire autorisant les religieuses dominicaines de Sainte-Catherine-de-Sienne à fonder un monastère à Notre-Dame-du-Rhône. En 1732, sur les conseils de l'évêque, les religieuses font faire des transformations et reconstruire leur église par Jean-Baptiste Franque. Le 30 juin 1734, pose de la première pierre du nouvel édifice construit en dehors de la clôture du couvent; l'église est consacrée le 11 octobre 1739. L'ancienne église est intégrée aux bâtiments conventuels. Saisi comme bien national à la Révolution, l'édifice connaît plusieurs affectations au cours du XIXe s.
Viviers
Notre-Dame-du-Rhône. Église paroissiale fondée dans la première moitié du VIe s. par l'évêque Venance qui y est enterré en 544 (église paléochrétienne). À la fin du VIIe s., installation d'un couvent de bénédictines, détruit par les Sarrasins en 727. Église à nouveau ruinée en 1567 lors des guerres de Religion. Le 13 novembre 1624, délibérations consulaire et capitulaire autorisant les religieuses dominicaines de Sainte-Catherine-de-Sienne à fonder un monastère à Notre-Dame-du-Rhône. En 1732, sur les conseils de l'évêque, les religieuses font faire des transformations et reconstruire leur église par Jean-Baptiste Franque. Le 30 juin 1734, pose de la première pierre du nouvel édifice construit en dehors de la clôture du couvent; l'église est consacrée le 11 octobre 1739. L'ancienne église est intégrée aux bâtiments conventuels. Saisi comme bien national à la Révolution, l'édifice connaît plusieurs affectations au cours du XIXe s.
159
<center>Viviers</center>Au fond, la statue de saint Michel.
Viviers
Au fond, la statue de saint Michel.
160
<center>Viviers</center>Porte de l'Abri. Au XIVe siècle, cette porte était encadrée par deux tours et précédée d'une barbacane.
Viviers
Porte de l'Abri. Au XIVe siècle, cette porte était encadrée par deux tours et précédée d'une barbacane.
161
<center>Viviers</center>Porte de l'Abri. Au XIVe siècle, cette porte était encadrée par deux tours et précédée d'une barbacane.
Viviers
Porte de l'Abri. Au XIVe siècle, cette porte était encadrée par deux tours et précédée d'une barbacane.
162
<center>Viviers</center>Le quartier cathédrale, avec les maisons des chanoines du chapitre.
Viviers
Le quartier cathédrale, avec les maisons des chanoines du chapitre.
163
<center>Viviers</center>Cathédrale (monument historique classé)
Achevée au milieu du XIIe siècle, fortement modifiée au cours des siècles, elle présente des vestiges romans, une abside gothique entourée d'un déambulatoire et de 4 chapelles rayonnantes rectangulaires.
Chevet du XVIe, de style gothique flamboyant.
Viviers
Cathédrale (monument historique classé) Achevée au milieu du XIIe siècle, fortement modifiée au cours des siècles, elle présente des vestiges romans, une abside gothique entourée d'un déambulatoire et de 4 chapelles rayonnantes rectangulaires. Chevet du XVIe, de style gothique flamboyant.
164
<center>Viviers</center>Tour-porte du quartier cathédrale. L'édifice primitif, tour de forme carrée précédée d'un porche, constitué à la fin du XIe siècle l'unique entrée du quartier de la cathédrale.
Viviers
Tour-porte du quartier cathédrale. L'édifice primitif, tour de forme carrée précédée d'un porche, constitué à la fin du XIe siècle l'unique entrée du quartier de la cathédrale.
165
<center>Viviers</center>Le deuxième niveau, orné de bande lombarde (arcature aveugle) et de dame d'engrenage, abrite la chapelle Saint-Michel dans l'abside et singulièrement orientée à l'ouest. Cette chapelle est pourvue d'une belle coupole.
Au XIIe siècle fut ajouté un troisième niveau en pierre de taille qui devait constituer l'amorce du clocher.
Viviers
Le deuxième niveau, orné de bande lombarde (arcature aveugle) et de dame d'engrenage, abrite la chapelle Saint-Michel dans l'abside et singulièrement orientée à l'ouest. Cette chapelle est pourvue d'une belle coupole. Au XIIe siècle fut ajouté un troisième niveau en pierre de taille qui devait constituer l'amorce du clocher.
166
<center>Viviers</center>Au XIVe siècle, au moment de la guerre de 100 ans, la tour fut surélevée d'un étage octogonal et crénelé afin de servir de postes de guet.
Viviers
Au XIVe siècle, au moment de la guerre de 100 ans, la tour fut surélevée d'un étage octogonal et crénelé afin de servir de postes de guet.
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<center>Viviers</center>Au XIVe siècle, au moment de la guerre de 100 ans, la tour fut surélevée d'un étage octogonal et crénelé afin de servir de postes de guet.
Viviers
Au XIVe siècle, au moment de la guerre de 100 ans, la tour fut surélevée d'un étage octogonal et crénelé afin de servir de postes de guet.
168
<center>Viviers</center>
Viviers
169
<center>Viviers</center>Porte de la Gâche, c’était l’entrée du quartier des chanoines au XVème siècle. Dans la ville religieuse ou ville haute, bientôt entourée de remparts se trouvait la cathédrale, les bâtiments religieux (demeure de l'évêque, cloître, salle du chapitre...).
Viviers
Porte de la Gâche, c’était l’entrée du quartier des chanoines au XVème siècle. Dans la ville religieuse ou ville haute, bientôt entourée de remparts se trouvait la cathédrale, les bâtiments religieux (demeure de l'évêque, cloître, salle du chapitre...).
170
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center> En arrivant à Viviers en 1498, l'évêque Claude de Tournon conçut le projet d'embellir la cathédrale. Les travaux de construction du magnifique chœur gothique flamboyant eurent lieu de 1516 à 1521. Les murs de l'abside romane servirent de base à la nouvelle élévation, les entrées des chapelles furent murées, en ménageant à l'arrière un couloir de circulation permettant de se déplacer de chapelle en chapelle.
La cathédrale Saint Vincent.
En arrivant à Viviers en 1498, l'évêque Claude de Tournon conçut le projet d'embellir la cathédrale. Les travaux de construction du magnifique chœur gothique flamboyant eurent lieu de 1516 à 1521. Les murs de l'abside romane servirent de base à la nouvelle élévation, les entrées des chapelles furent murées, en ménageant à l'arrière un couloir de circulation permettant de se déplacer de chapelle en chapelle.
171
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center> Neuf baies élancées éclairent le chœur, décoré de deux grandes rosaces aveugles.
La cathédrale Saint Vincent.
Neuf baies élancées éclairent le chœur, décoré de deux grandes rosaces aveugles.
172
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center> Au XVIIIe siècle, l'architecte Jean-Baptiste Franque spécialiste de la stéréotomie, (art de la taille de la pierre suivant un dessin en trois dimensions) construisit une voûte en pierre, rappelant de fausses coupoles romanes avec des trompes d'angle en éventail. C'est une voûte d'arêtes à double arêtier.
La cathédrale Saint Vincent.
Au XVIIIe siècle, l'architecte Jean-Baptiste Franque spécialiste de la stéréotomie, (art de la taille de la pierre suivant un dessin en trois dimensions) construisit une voûte en pierre, rappelant de fausses coupoles romanes avec des trompes d'angle en éventail. C'est une voûte d'arêtes à double arêtier.
173
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center>
La cathédrale Saint Vincent.
174
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center>
La cathédrale Saint Vincent.
175
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center> Le Christ en Croix en bois polychrome de 1609.
La cathédrale Saint Vincent.
Le Christ en Croix en bois polychrome de 1609.
176
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center> La cathédrale Saint Vincent. La cathédrale possède des tapisseries des Gobelins du XVIIe siècle représentant des scènes de l'Evangile : Le lavement des pieds aux apôtres,
La cathédrale Saint Vincent.
La cathédrale Saint Vincent. La cathédrale possède des tapisseries des Gobelins du XVIIe siècle représentant des scènes de l'Evangile : Le lavement des pieds aux apôtres,
177
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center> La cathédrale Saint Vincent.
Le baptême de Jésus
La cathédrale Saint Vincent.
La cathédrale Saint Vincent. Le baptême de Jésus
178
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center> La cathédrale Saint Vincent.
Les vendeurs chassés du Temple
La cathédrale Saint Vincent.
La cathédrale Saint Vincent. Les vendeurs chassés du Temple
179
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center> La cathédrale Saint Vincent.
La résurrection de Lazare
La cathédrale Saint Vincent.
La cathédrale Saint Vincent. La résurrection de Lazare
180
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center> La cathédrale Saint Vincent.
 La pêche miraculeuse
La cathédrale Saint Vincent.
La cathédrale Saint Vincent. La pêche miraculeuse
181
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center> Neuf baies élancées éclairent le chœur, décoré de deux grandes rosaces aveugles.
La cathédrale Saint Vincent.
Neuf baies élancées éclairent le chœur, décoré de deux grandes rosaces aveugles.
182
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center>
La cathédrale Saint Vincent.
183
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center>
La cathédrale Saint Vincent.
184
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center> Maître-autel du XVIIIe siècle.
La cathédrale Saint Vincent.
Maître-autel du XVIIIe siècle.
185
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center>
La cathédrale Saint Vincent.
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<center>La cathédrale Saint Vincent.</center>
La cathédrale Saint Vincent.
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<center>La cathédrale Saint Vincent.</center>
La cathédrale Saint Vincent.
188
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center> Tableau du XVIIe siècle représentant le retour d'Egypte de Reynaud Le Vieux.
La cathédrale Saint Vincent.
Tableau du XVIIe siècle représentant le retour d'Egypte de Reynaud Le Vieux.
189
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center> Dalle funéraire des évêques de Viviers inhumés dans le chœur de la cathédrale
La cathédrale Saint Vincent.
Dalle funéraire des évêques de Viviers inhumés dans le chœur de la cathédrale
190
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center> Les stalles en bois de noyer du XVIIe siècle.
La cathédrale Saint Vincent.
Les stalles en bois de noyer du XVIIe siècle.
191
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center> Les stalles en bois de noyer du XVIIe siècle.
La cathédrale Saint Vincent.
Les stalles en bois de noyer du XVIIe siècle.
192
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center> Orgue du XIXe.
La cathédrale Saint Vincent.
Orgue du XIXe.
193
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La cathédrale Saint Vincent.
194
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center>
La cathédrale Saint Vincent.
195
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center>
La cathédrale Saint Vincent.
196
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center> Un tableau de l'Annonciation, œuvre du Nicolas Mignard du XVIIe siècle.
La cathédrale Saint Vincent.
Un tableau de l'Annonciation, œuvre du Nicolas Mignard du XVIIe siècle.
197
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center>
La cathédrale Saint Vincent.
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La cathédrale Saint Vincent.
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<center>La cathédrale Saint Vincent.</center>
La cathédrale Saint Vincent.
200
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center> Statuette en albâtre de la fin du XVIe ou début du XVIIe siècle : La Vierge et l'Enfant.
La cathédrale Saint Vincent.
Statuette en albâtre de la fin du XVIe ou début du XVIIe siècle : La Vierge et l'Enfant.
201
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center> Statuette en albâtre de la fin du XVIe ou début du XVIIe siècle : Ecce Homo.
La cathédrale Saint Vincent.
Statuette en albâtre de la fin du XVIe ou début du XVIIe siècle : Ecce Homo.
202
<center>La cathédrale Saint Vincent.</center> Priant de Joseph Michel Frédéric Bonnet.
La cathédrale Saint Vincent.
Priant de Joseph Michel Frédéric Bonnet.
203
<center>Viviers</center>La cathédrale Saint Vincent.
Viviers
La cathédrale Saint Vincent.
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<center>Viviers</center>La statue de la Vierge de la Joannade.
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La statue de la Vierge de la Joannade.
208
<center>Viviers</center>
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<center>Viviers</center>Ce rempart du quartier de la cathédrale du XIVe siècle séparait le quartier des chanoines de la ville laïque. Il conserve certains éléments de défense telle une archère en forme de croix à droite. La fenêtre à croisée du XVIe siècle, couronnée par un larmier, remarquablement restauré, faisait partie d'une maison de clerc bâtie contre le rempart.
Viviers
Ce rempart du quartier de la cathédrale du XIVe siècle séparait le quartier des chanoines de la ville laïque. Il conserve certains éléments de défense telle une archère en forme de croix à droite. La fenêtre à croisée du XVIe siècle, couronnée par un larmier, remarquablement restauré, faisait partie d'une maison de clerc bâtie contre le rempart.
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<center>Viviers</center>
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<center>Viviers</center>
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214
<center>Viviers</center>Maison de Lestrade (XIIe-XVIe siècles). Dans l'état d'origine (XIIe siècle) se dressait deux maison-tours indépendantes, résidences de nobles ou de marchands.
La partie gauche de la façade correspond à la première tour, dont seul subsiste le chapiteau d'une fenêtre.
La partie droite correspond à la seconde tour. Il en reste la belle fenêtre jumelée du deuxième étage et des éléments d'une fenêtre jumelée d'angle au premier étage.
Viviers
Maison de Lestrade (XIIe-XVIe siècles). Dans l'état d'origine (XIIe siècle) se dressait deux maison-tours indépendantes, résidences de nobles ou de marchands. La partie gauche de la façade correspond à la première tour, dont seul subsiste le chapiteau d'une fenêtre. La partie droite correspond à la seconde tour. Il en reste la belle fenêtre jumelée du deuxième étage et des éléments d'une fenêtre jumelée d'angle au premier étage.
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<center>Viviers</center>Maison de Lestrade (XIIe-XVIe siècles). Dans l'état d'origine (XIIe siècle) se dressait deux maison-tours indépendantes, résidences de nobles ou de marchands.
La partie droite correspond à la seconde tour. Il en reste la belle fenêtre jumelée du deuxième étage et des éléments d'une fenêtre jumelée d'angle au premier étage.
Vers 1563, ces deux logis ont été réunis grâce à un escalier en vis desservant l'ensemble de la demeure. Il possède encore ses fenêtres et sa porte avec l'huisserie cloutée d'origine.
Viviers
Maison de Lestrade (XIIe-XVIe siècles). Dans l'état d'origine (XIIe siècle) se dressait deux maison-tours indépendantes, résidences de nobles ou de marchands. La partie droite correspond à la seconde tour. Il en reste la belle fenêtre jumelée du deuxième étage et des éléments d'une fenêtre jumelée d'angle au premier étage. Vers 1563, ces deux logis ont été réunis grâce à un escalier en vis desservant l'ensemble de la demeure. Il possède encore ses fenêtres et sa porte avec l'huisserie cloutée d'origine.
216
<center>Viviers</center>
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217
<center>Viviers</center>Maison des chevaliers. Cette exceptionnelle façade renaissance est adossée à une maison médiévale comportant plusieurs corps de logis articulés autour de deux cours et s'étendant aussi de l'autre côté de la rue.
Elle a été commandée en 1546 par un commerçant ambitieux, Noël Albert, qui gravit les échelons du pouvoir local et régional. Nouveau riche, ami des arts, il se pique de noblesse. Converti au protestantisme, il prend le gouvernement de viviers en 1567. Arrêté, il meurt décapité à Toulouse.
Au rez-de-chaussée on aperçoit deux portes de boutique et la porte piétonne, d'ordre dorique, traitée à l'antique.
Viviers
Maison des chevaliers. Cette exceptionnelle façade renaissance est adossée à une maison médiévale comportant plusieurs corps de logis articulés autour de deux cours et s'étendant aussi de l'autre côté de la rue. Elle a été commandée en 1546 par un commerçant ambitieux, Noël Albert, qui gravit les échelons du pouvoir local et régional. Nouveau riche, ami des arts, il se pique de noblesse. Converti au protestantisme, il prend le gouvernement de viviers en 1567. Arrêté, il meurt décapité à Toulouse. Au rez-de-chaussée on aperçoit deux portes de boutique et la porte piétonne, d'ordre dorique, traitée à l'antique.
218
<center>Viviers</center>Maison des chevaliers. La porte piétonne, d'ordre dorique, traitée à l'antique.
Viviers
Maison des chevaliers. La porte piétonne, d'ordre dorique, traitée à l'antique.
219
<center>Viviers</center>Maison des chevaliers. Les trois autres étages sont organisés de façon rigoureuse. Les lignes verticales sont assurées par des supports d'ordre ionique au premier étage, composite au deuxième, termes (personnages engainés) au dernier. Trois frises structurent les étages : bustes en médaillons alternant avec les armoiries surmontées de heaumes, tournois de chevaliers, rinceaux de feuillages.
Viviers
Maison des chevaliers. Les trois autres étages sont organisés de façon rigoureuse. Les lignes verticales sont assurées par des supports d'ordre ionique au premier étage, composite au deuxième, termes (personnages engainés) au dernier. Trois frises structurent les étages : bustes en médaillons alternant avec les armoiries surmontées de heaumes, tournois de chevaliers, rinceaux de feuillages.
220
<center>Viviers</center>Maison des chevaliers.  Ordre ionique du premier étage. Frise avec des bustes en médaillons alternant avec les armoiries surmontées de heaumes.
Viviers
Maison des chevaliers. Ordre ionique du premier étage. Frise avec des bustes en médaillons alternant avec les armoiries surmontées de heaumes.
221
<center>Viviers</center>Maison des chevaliers. Ordre composite du deuxième étage. Frise avec tournois de chevaliers.
Viviers
Maison des chevaliers. Ordre composite du deuxième étage. Frise avec tournois de chevaliers.
222
<center>Viviers</center>Maison des chevaliers. Termes (personnages engainés) au dernier étage. Frise avec rinceaux de feuillages.
Viviers
Maison des chevaliers. Termes (personnages engainés) au dernier étage. Frise avec rinceaux de feuillages.
223
<center>Viviers</center>Maison des chevaliers, parties romane et gothique.
D'un côté de la rue, à gauche, on peut apercevoir la façade d'une maison romane avec une série de trois baies jumelées.
Une maison gothique (XIVe siècle), située de l'autre côté de la rue, à droite, lui fut rattachée ensuite par un pontet, au centre.
Des arcs trilobés agrémentent les linteaux des fenêtres à croiése. Les cordons, ornés de sculptures (figures humaines, anges et têtes d'animaux), relèvent de la tradition médiévale.
Viviers
Maison des chevaliers, parties romane et gothique. D'un côté de la rue, à gauche, on peut apercevoir la façade d'une maison romane avec une série de trois baies jumelées. Une maison gothique (XIVe siècle), située de l'autre côté de la rue, à droite, lui fut rattachée ensuite par un pontet, au centre. Des arcs trilobés agrémentent les linteaux des fenêtres à croiése. Les cordons, ornés de sculptures (figures humaines, anges et têtes d'animaux), relèvent de la tradition médiévale.
224
<center>Viviers</center>Maison de transition médiévale/renaissance. Médiévale par l'écoppe au rez-de-chaussée et le premier étage d'habitation et renaissance par la fenêtre à meneaux.
Viviers
Maison de transition médiévale/renaissance. Médiévale par l'écoppe au rez-de-chaussée et le premier étage d'habitation et renaissance par la fenêtre à meneaux.
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<center>Viviers</center>Maison de transition médiévale/renaissance. Médiévale par l'écoppe au rez-de-chaussée et le premier étage d'habitation et renaissance par la fenêtre à meneaux.
Viviers
Maison de transition médiévale/renaissance. Médiévale par l'écoppe au rez-de-chaussée et le premier étage d'habitation et renaissance par la fenêtre à meneaux.
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<center>Viviers</center>
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<center>Viviers</center>
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<center>Viviers</center>Le pont romain, passage sur l'Escoutay, rivière de type cévenol. Il date du deuxième siècle. Le pont est l'une des marques du passage des romains circulant entre Viviers et Alba-la-Romaine. Sa longueur est de 108 m, sa largeur de 4,50 m. Il avait 12 ou 13 arches, aujourd'hui il n'en a plus que 11. On peut le comparer avec le pont de Ganagobie. Les arches du milieu sont romaines. Jusqu'au XIXe siècle c'était le seul pont sur l'Escoutay.
Viviers
Le pont romain, passage sur l'Escoutay, rivière de type cévenol. Il date du deuxième siècle. Le pont est l'une des marques du passage des romains circulant entre Viviers et Alba-la-Romaine. Sa longueur est de 108 m, sa largeur de 4,50 m. Il avait 12 ou 13 arches, aujourd'hui il n'en a plus que 11. On peut le comparer avec le pont de Ganagobie. Les arches du milieu sont romaines. Jusqu'au XIXe siècle c'était le seul pont sur l'Escoutay.
230
<center>Viviers</center>Le pont romain, passage sur l'Escoutay. Il a été souvent remanié : les éperons des piles ont été ajoutés après coup, les deux grandes arches côté rive gauche sont du XVIIIe siècle.
Viviers
Le pont romain, passage sur l'Escoutay. Il a été souvent remanié : les éperons des piles ont été ajoutés après coup, les deux grandes arches côté rive gauche sont du XVIIIe siècle.
231
<center>Viviers</center>Le pont romain, passage sur l'Escoutay.
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Le pont romain, passage sur l'Escoutay.
232
<center>Viviers</center>Le pont romain, passage sur l'Escoutay.
Viviers
Le pont romain, passage sur l'Escoutay.
233
<center>Viviers</center>Le Grand-Séminaire. Le Concile de Trente (1545-1563) avait demandé la création de séminaires. A Viviers,lLe premier séminaire fut fondé par Mgr de Beaume de Suze en 1650. En 1657 Mgr de Suze publia le premier règlement général du séminaire de Viviers. Les futurs prêtres doivent y passer trois mois avant l’ordination, 10 jours avant les ordres mineurs, 8 jours avant la tonsure.
Le séminaire grandit en importance on y venait des diocèses voisins. En 1670
Viviers
Le Grand-Séminaire. Le Concile de Trente (1545-1563) avait demandé la création de séminaires. A Viviers,lLe premier séminaire fut fondé par Mgr de Beaume de Suze en 1650. En 1657 Mgr de Suze publia le premier règlement général du séminaire de Viviers. Les futurs prêtres doivent y passer trois mois avant l’ordination, 10 jours avant les ordres mineurs, 8 jours avant la tonsure. Le séminaire grandit en importance on y venait des diocèses voisins. En 1670 "il reçut des lettres patentés" de Louis XIV. Mais on se trouvait confronté à l’exiguïté des locaux. Le 10 mai 1772 un incendie ravagea le séminaire furent épargnés la bibliothèque, la chapelle et quelques chambres. Le 30 juin 1776 fut acquis un terrain dans le quartier du "Moulin à vent" en dehors des remparts de Viviers. Le 9 septembre les travaux de terrassement commençaient. La première pierre fut posée le 22 mai 1777. En octobre 1785 le nouveau séminaire commença à fonctionner.
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<center>Viviers</center>Le Grand-Séminaire. A l’époque seule la partie centrale existait. Sa construction avait été bien pensée pour sa fonction. La hantise du feu avait fait que le bois ne fut employé que pour les charpentes, et si le feu prenait dans une chambre il se communiquerait difficilement ailleurs.
Viviers
Le Grand-Séminaire. A l’époque seule la partie centrale existait. Sa construction avait été bien pensée pour sa fonction. La hantise du feu avait fait que le bois ne fut employé que pour les charpentes, et si le feu prenait dans une chambre il se communiquerait difficilement ailleurs.
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<center>Viviers</center>Le Grand-Séminaire. Nous sommes proches de la révolution française. Mgr de la Font de Savines évêque de Viviers depuis 1778, fut parmi les 4 évêques jureurs de
Viviers
Le Grand-Séminaire. Nous sommes proches de la révolution française. Mgr de la Font de Savines évêque de Viviers depuis 1778, fut parmi les 4 évêques jureurs de "la constitution civile du clergé", lorsqu’il fit ce serment en février 1791 dans la cathédrale, les directeurs du séminaire quittèrent la cathédrale. Ils refusèrent de prêter ce serment et durent quitter le séminaire. Le séminaire deviendra caserne, puis prison d’état, ensuite chacun pouvait y puiser les matériaux dont il avait besoin. Il subira de nombreuses dégradations. Après cette période si troublée Mgr d’Aviau du Bois de Sanzay, archevêque de Vienne, fut nommé administrateur du diocèse de Viviers. Celui ci nomma comme vicaire général un prêtre originaire de Villeneuve de Berg et qui avait eu une conduite édifiante durant la révolution : le P Régis Vernet (Sulpicien). Entre 1791 et 1802 seuls 5 prêtres furent ordonnés pour le diocèse. Suite au Concordat de 1802, Viviers fut rattaché au diocèse de Mende. Le séminaire prospérait, mais Napoléon décida de chasser tous les sulpiciens. M. Vernet parti à Thuyets et là il rédigea les "règles de la Congrégation de la présentation de Marie" fondée par Marie Rivier.
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<center>Viviers</center>Le Grand-Séminaire. Le séminaire était devenu trop petit. Il fallait rajouter une aile pour les séminaristes qui faisaient
Viviers
Le Grand-Séminaire. Le séminaire était devenu trop petit. Il fallait rajouter une aile pour les séminaristes qui faisaient "leur philo" avant de commencer la théologie. Il apparaissait aussi nécessaire de séparer ces deux communautés. Ceci fut réalisé en 1826. Les étages des deux bâtiments correspondaient entre eux.
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<center>Viviers</center>La chapelle. Mais il manquait une grande chapelle. Il fut évident qu’elle devait faire face à l’aile de philo. M. Vernet en avait conçu les plans tout comme pour l’aile de philo. Tout le revêtement intérieur est en pierre de St Paul Trois châteaux. Les pilastres, colonnes et sous bassement en marbre noir et rose.
Viviers
La chapelle. Mais il manquait une grande chapelle. Il fut évident qu’elle devait faire face à l’aile de philo. M. Vernet en avait conçu les plans tout comme pour l’aile de philo. Tout le revêtement intérieur est en pierre de St Paul Trois châteaux. Les pilastres, colonnes et sous bassement en marbre noir et rose.
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<center>Viviers</center>La chapelle. Dans cette chapelle le dimanche 9 juin 1901, Charles de Foucauld qui fut moine trappiste de 1890 à 1897 à Notre-Dame desNneiges, puis en Syrie, a été ordonné prêtre du diocèse de Viviers à l'âge de 43 ans sous l'épiscopat de Monseigneur Frédéric Bonnet (1876 – 1923). Il a été déclaré Bienheureux sous le pontificat de Benoît XVI le dimanche 13 novembre 2005.
Viviers
La chapelle. Dans cette chapelle le dimanche 9 juin 1901, Charles de Foucauld qui fut moine trappiste de 1890 à 1897 à Notre-Dame desNneiges, puis en Syrie, a été ordonné prêtre du diocèse de Viviers à l'âge de 43 ans sous l'épiscopat de Monseigneur Frédéric Bonnet (1876 – 1923). Il a été déclaré Bienheureux sous le pontificat de Benoît XVI le dimanche 13 novembre 2005.
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<center>Viviers</center>La chapelle. MA, les initiales de l'architecte ?
Viviers
La chapelle. MA, les initiales de l'architecte ?
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<center>Viviers</center>La chapelle. Au-dessus du tabernacle, copie du « Sacré-Cœur » peinte par Charles de Foucauld à Béni Abbes en 1902.
Viviers
La chapelle. Au-dessus du tabernacle, copie du « Sacré-Cœur » peinte par Charles de Foucauld à Béni Abbes en 1902.
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<center>Viviers</center>La chapelle.
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La chapelle.
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<center>Viviers</center>La chapelle.
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La chapelle.
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<center>Viviers</center>La chapelle. Une tribune fut construite pour les familles des ordonnés.
Viviers
La chapelle. Une tribune fut construite pour les familles des ordonnés.
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<center>Viviers</center>La chapelle.
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La chapelle.
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<center>Viviers</center>L'escalier.
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L'escalier.
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<center>Viviers</center>La bibliothèque. Le Grand Séminaire de Viviers est en 1650 la deuxième fondation diocésaine de la Compagnie des prêtres de Saint-Sulpice, sollicitée par Mgr Louis de La Baume de Suze, évêque de Viviers (1621-1690).
Dans son testament fait au début de l’année 1690, il donne tous ses livres au dit Séminaire. Ses livres constitueront la base des premières collections de la bibliothèque actuelle et les Sulpiciens auront à cœur, selon leurs délibérations annuelles, d’en prendre soin ou tout au moins de rappeler que le règlement, établi en 1736, doit être respecté.
La bibliothèque historique était exclusivement dévolue aux professeurs du Séminaire. Essentiellement donc constituée de collections d’étude et de recherche en sciences religieuses, elle s’est progressivement dotée d’ouvrages profanes, littérature, sciences, histoire… d’ouvrages devenus rares, certains précieux, d’une bibliothèque régionale (actuellement aux archives de l’évêché).
Deux évènements, la Révolution Française et la Loi de Séparation des Eglises et de l’Etat en 1905, entraînèrent la fermeture et vente des locaux, la confiscation de la bibliothèque en 1791 (restituée en partie) et le séquestre de l’Etat (3500 volumes prélevés dans les collections en 1907).
Le Grand Séminaire, en tant que lieu de formation des prêtres du diocèse, a fermé ses portes en 1973. La bibliothèque, installée dans ses locaux actuels depuis 1840, n’a pas déménagé pour autant.
Viviers
La bibliothèque. Le Grand Séminaire de Viviers est en 1650 la deuxième fondation diocésaine de la Compagnie des prêtres de Saint-Sulpice, sollicitée par Mgr Louis de La Baume de Suze, évêque de Viviers (1621-1690). Dans son testament fait au début de l’année 1690, il donne tous ses livres au dit Séminaire. Ses livres constitueront la base des premières collections de la bibliothèque actuelle et les Sulpiciens auront à cœur, selon leurs délibérations annuelles, d’en prendre soin ou tout au moins de rappeler que le règlement, établi en 1736, doit être respecté. La bibliothèque historique était exclusivement dévolue aux professeurs du Séminaire. Essentiellement donc constituée de collections d’étude et de recherche en sciences religieuses, elle s’est progressivement dotée d’ouvrages profanes, littérature, sciences, histoire… d’ouvrages devenus rares, certains précieux, d’une bibliothèque régionale (actuellement aux archives de l’évêché). Deux évènements, la Révolution Française et la Loi de Séparation des Eglises et de l’Etat en 1905, entraînèrent la fermeture et vente des locaux, la confiscation de la bibliothèque en 1791 (restituée en partie) et le séquestre de l’Etat (3500 volumes prélevés dans les collections en 1907). Le Grand Séminaire, en tant que lieu de formation des prêtres du diocèse, a fermé ses portes en 1973. La bibliothèque, installée dans ses locaux actuels depuis 1840, n’a pas déménagé pour autant.
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<center>Viviers</center>La bibliothèque. Elle est composée d'une grande salle de 30m X 12m ouvrant sur une salle de dimension plus modeste de 6m X 12m, l'ensemble situé sous le toit au dessus de la Grande Chapelle. Au total plus d'un kilomètre de linéaire de rayonnage soit environ 40 000 volumes.
Viviers
La bibliothèque. Elle est composée d'une grande salle de 30m X 12m ouvrant sur une salle de dimension plus modeste de 6m X 12m, l'ensemble situé sous le toit au dessus de la Grande Chapelle. Au total plus d'un kilomètre de linéaire de rayonnage soit environ 40 000 volumes.
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<center>Viviers</center>La bibliothèque.
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La bibliothèque.
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<center>Viviers</center>La bibliothèque.
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La bibliothèque.
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