L'Isére.

La Voie Sarde, Grottes des Echelles, St Geoire en Valdaine, Chateau de Longpra, Château de Clermont, Lac de Paladru, Grange Dimière au Pin, Prieuré de Chirens, Château de Virieu.

<center>La voie sarde. </center>  Appelée ‘le Défilé des échelles’, cette voie naturelle entre les montagnes a été creusée par les eaux des torrents des périodes glaciaires. Sa situation géographique a incité les hommes à l’aménager comme voie de passage durant de nombreux siècles.
D'abord romaine, c’est au 17ème siècle que les ducs de Savoie décidèrent de l’aménager en route royale carrossable. Sa rénovation a nécessité des travaux considérables. Le monument Charles Emmanuel II, érigé en 1674 en l'honneur du Duc de Savoie qui fut le promoteur du réaménagement de la Voie Sarde témoigne à la fois de la fréquentation et de l'importance stratégique de cette voie.
La voie sarde.
Appelée ‘le Défilé des échelles’, cette voie naturelle entre les montagnes a été creusée par les eaux des torrents des périodes glaciaires. Sa situation géographique a incité les hommes à l’aménager comme voie de passage durant de nombreux siècles. D'abord romaine, c’est au 17ème siècle que les ducs de Savoie décidèrent de l’aménager en route royale carrossable. Sa rénovation a nécessité des travaux considérables. Le monument Charles Emmanuel II, érigé en 1674 en l'honneur du Duc de Savoie qui fut le promoteur du réaménagement de la Voie Sarde témoigne à la fois de la fréquentation et de l'importance stratégique de cette voie.
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<center>La voie sarde. </center> Le plus spectaculaire reste la rampe sarde qui au sortir du défilé permet de rattraper le niveau de la plaine des Echelles en contrebas.
La voie sarde.
Le plus spectaculaire reste la rampe sarde qui au sortir du défilé permet de rattraper le niveau de la plaine des Echelles en contrebas.
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<center>La voie sarde. </center> Les architectes sardes rénovèrent également le canal qui longe la Voie sarde sur près de 300 mètres et qui sert d’évacuation au trop plein des eaux débouchant de la grotte Supérieure. La Voie Fut qualifiée de « Sarde » quand les Ducs de Savoie devinrent les rois du Piement Sardaigne.
La voie sarde.
Les architectes sardes rénovèrent également le canal qui longe la Voie sarde sur près de 300 mètres et qui sert d’évacuation au trop plein des eaux débouchant de la grotte Supérieure. La Voie Fut qualifiée de « Sarde » quand les Ducs de Savoie devinrent les rois du Piement Sardaigne.
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<center>La voie sarde. </center> Axe de communication principal entre Lyon et Turin, la Voie Sarde a été empruntée par d’illustres voyageurs comme Jean-Jacques Rousseau ou le Pape Pie VII qui se rendait en France pour couronner Napoléon Ier empereur. Aujourd’hui, cet itinéraire est abandonné, car Napoléon le jugea trop difficile et ordonna le percement du tunnel des Echelles en 1804.
La voie sarde.
Axe de communication principal entre Lyon et Turin, la Voie Sarde a été empruntée par d’illustres voyageurs comme Jean-Jacques Rousseau ou le Pape Pie VII qui se rendait en France pour couronner Napoléon Ier empereur. Aujourd’hui, cet itinéraire est abandonné, car Napoléon le jugea trop difficile et ordonna le percement du tunnel des Echelles en 1804.
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<center>Grotte supérieure des Echelles. </center>
Grotte supérieure des Echelles.
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<center>Grotte supérieure des Echelles. </center>
Grotte supérieure des Echelles.
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<center>Grotte supérieure des Echelles. </center>
Grotte supérieure des Echelles.
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<center>Grotte supérieure des Echelles. </center>
Grotte supérieure des Echelles.
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<center>Grotte supérieure des Echelles. </center>
Grotte supérieure des Echelles.
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<center>Grotte supérieure des Echelles. </center>
Grotte supérieure des Echelles.
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<center>Grotte supérieure des Echelles. </center>
Grotte supérieure des Echelles.
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<center>Grotte supérieure des Echelles. </center>
Grotte supérieure des Echelles.
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<center>Grotte supérieure des Echelles. </center>
Grotte supérieure des Echelles.
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Grotte supérieure des Echelles.
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Grotte supérieure des Echelles.
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<center>Grotte supérieure des Echelles. </center>
Grotte supérieure des Echelles.
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<center>Grotte supérieure des Echelles. </center>
Grotte supérieure des Echelles.
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Grotte supérieure des Echelles.
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<center>Grotte supérieure des Echelles. </center>
Grotte supérieure des Echelles.
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<center>Grotte supérieure des Echelles. </center>
Grotte supérieure des Echelles.
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<center>Grotte supérieure des Echelles. </center>
Grotte supérieure des Echelles.
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<center>Grotte supérieure des Echelles. </center>
Grotte supérieure des Echelles.
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Grotte inférieure des Echelles.
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<center>Grotte inférieure des Echelles. </center>
Grotte inférieure des Echelles.
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Grotte inférieure des Echelles.
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Grotte inférieure des Echelles.
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Grotte inférieure des Echelles.
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<center>Grotte inférieure des Echelles. </center>
Grotte inférieure des Echelles.
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<center> St Geoire en Valdaine. </center>
St Geoire en Valdaine.
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<center> St Geoire en Valdaine. </center>
St Geoire en Valdaine.
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<center> St Geoire en Valdaine. </center> Le village de Saint-Geoire-en-Valdaine se situe au cœur de la Valdaine, au nord du territoire.L'histoire du village est associée à celle de la famille Clermont, première des quatre baronnies du Dauphiné, qui a joué un rôle important dans l'histoire de la province jusqu'au 16e siècle.Liée à la famille des Clermont-Tonnerre, l’église fut le siège de l’archiprêtré de toute la Valdaine étendant son influence sur un vaste territoire.
St Geoire en Valdaine.
Le village de Saint-Geoire-en-Valdaine se situe au cœur de la Valdaine, au nord du territoire.L'histoire du village est associée à celle de la famille Clermont, première des quatre baronnies du Dauphiné, qui a joué un rôle important dans l'histoire de la province jusqu'au 16e siècle.Liée à la famille des Clermont-Tonnerre, l’église fut le siège de l’archiprêtré de toute la Valdaine étendant son influence sur un vaste territoire.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center> L’église Saint-Georges, de style gothique (flamboyant pour son portail), fut construite entre les XIVe et XVe siècles sur l'emplacement d'une église plus ancienne, probablement du XIIe siècle dont témoignerait la base du clocher.
Eglise de St Geoire en Valdaine.
L’église Saint-Georges, de style gothique (flamboyant pour son portail), fut construite entre les XIVe et XVe siècles sur l'emplacement d'une église plus ancienne, probablement du XIIe siècle dont témoignerait la base du clocher.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center> La façade de l’église comporte une série d’arcs, couronnés par un galbe.
Eglise de St Geoire en Valdaine.
La façade de l’église comporte une série d’arcs, couronnés par un galbe.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center>
Eglise de St Geoire en Valdaine.
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Eglise de St Geoire en Valdaine.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center>
Eglise de St Geoire en Valdaine.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center>
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Eglise de St Geoire en Valdaine.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center>
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center>
Eglise de St Geoire en Valdaine.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center> La partie supérieure du clocher fut reconstruite au cours du XIXe siècle, durant cette même époque la façade occidentale fut déplacées d'une travée.
Eglise de St Geoire en Valdaine.
La partie supérieure du clocher fut reconstruite au cours du XIXe siècle, durant cette même époque la façade occidentale fut déplacées d'une travée.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center> Construite en blocs de calcaire de chartreuse et en tuf (un matériau calcaire poreux), elle a été rénovée avec respect en 2008 par des artisans locaux.
Eglise de St Geoire en Valdaine.
Construite en blocs de calcaire de chartreuse et en tuf (un matériau calcaire poreux), elle a été rénovée avec respect en 2008 par des artisans locaux.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center>
Eglise de St Geoire en Valdaine.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center> Porte latérale.
Eglise de St Geoire en Valdaine.
Porte latérale.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center> Les stalles en bois dans la nef sont remarquables. Ce sont des caricatures de personnages de la fin du 17eme siècle. On n’est pas sûr de leur origine, mais on retrouve les mêmes caricatures en Italie du Nord (Piémont).
Eglise de St Geoire en Valdaine.
Les stalles en bois dans la nef sont remarquables. Ce sont des caricatures de personnages de la fin du 17eme siècle. On n’est pas sûr de leur origine, mais on retrouve les mêmes caricatures en Italie du Nord (Piémont).
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center>On y retrouve de nombreux personnages souvent caricaturés représentant aussi bien des guerriers, des « dames », des paysans que des personnages plus loufoques, inquiétants et imaginaires comme le fou ou « l'homme feuillu ». Les motifs s'inspirent de divers courants artistiques de la Renaissance. Le style profane laisse à penser qu’à l’origine ces stalles ont été sculptées pour un autre édifice qu’une église. Offertes à la famille Clermont, elles auraient ensuite été installées dans l'église de Saint-Geoire.
Eglise de St Geoire en Valdaine.
On y retrouve de nombreux personnages souvent caricaturés représentant aussi bien des guerriers, des « dames », des paysans que des personnages plus loufoques, inquiétants et imaginaires comme le fou ou « l'homme feuillu ». Les motifs s'inspirent de divers courants artistiques de la Renaissance. Le style profane laisse à penser qu’à l’origine ces stalles ont été sculptées pour un autre édifice qu’une église. Offertes à la famille Clermont, elles auraient ensuite été installées dans l'église de Saint-Geoire.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center>
Eglise de St Geoire en Valdaine.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center>
Eglise de St Geoire en Valdaine.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center>L’autel en bois avec ses deux tabernacles est anachronique. Il a été rapporté par le maréchal Guillaume Dode de la Brunerie de sa campagne espagnole avec Napoléon 1er .
Eglise de St Geoire en Valdaine.
L’autel en bois avec ses deux tabernacles est anachronique. Il a été rapporté par le maréchal Guillaume Dode de la Brunerie de sa campagne espagnole avec Napoléon 1er .
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center>
Eglise de St Geoire en Valdaine.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center> Une peinture murale représente la Cène et le Christ en croix. Sur une partie de la peinture est inscrit la date de 1610, laissant donc penser la date à laquelle cette dernière fut réalisée.
Eglise de St Geoire en Valdaine.
Une peinture murale représente la Cène et le Christ en croix. Sur une partie de la peinture est inscrit la date de 1610, laissant donc penser la date à laquelle cette dernière fut réalisée.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center>
Eglise de St Geoire en Valdaine.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center> Au-dessous, une litre funéraire : c'est une marque de deuil de couleur noire, peinte sur les piliers et représentant le blason du défunt.
Eglise de St Geoire en Valdaine.
Au-dessous, une litre funéraire : c'est une marque de deuil de couleur noire, peinte sur les piliers et représentant le blason du défunt.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center>
Eglise de St Geoire en Valdaine.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center>
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center>
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center> La résurrection.
Eglise de St Geoire en Valdaine.
La résurrection.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center> On peut lire la date 1610.
Eglise de St Geoire en Valdaine.
On peut lire la date 1610.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center>
Eglise de St Geoire en Valdaine.
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<center>Eglise de St Geoire en Valdaine. </center> saint Roch et les anges.
Eglise de St Geoire en Valdaine.
saint Roch et les anges.
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Eglise de St Geoire en Valdaine.
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<center> St Geoire en Valdaine. </center>
St Geoire en Valdaine.
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<center> Chateau de Longpra. </center> Le château de Longpra est une ancienne maison forte, du XIVe siècle profondément remaniée en 1770.
Chateau de Longpra.
Le château de Longpra est une ancienne maison forte, du XIVe siècle profondément remaniée en 1770.
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<center> Chateau de Longpra. </center>
Chateau de Longpra.
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<center> Chateau de Longpra. </center>
Chateau de Longpra.
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<center> Chateau de Longpra. </center> A l'origine à cet emplacement, se trouvait une maison forte, signalée dès le XIVème siècle : elle faisait alors partie de la seigneurerie de Montferrat. Elle est acquise en 1536 par un notaire royal alors installé à Saint-Geoire en Valdaine, un certain Charles Pascal : la demeure venait de trouver une famille qui ne quittera plus les lieux, jusqu'à nos jours ! 

Il faut néanmoins attendre le XVIIIème siècle pour que la vieille maison forte devienne la belle demeure actuelle : on la doit à Pierre Antoine Pascalis, conseiller et futur président du Parlement de Grenoble.
Chateau de Longpra.
A l'origine à cet emplacement, se trouvait une maison forte, signalée dès le XIVème siècle : elle faisait alors partie de la seigneurerie de Montferrat. Elle est acquise en 1536 par un notaire royal alors installé à Saint-Geoire en Valdaine, un certain Charles Pascal : la demeure venait de trouver une famille qui ne quittera plus les lieux, jusqu'à nos jours ! Il faut néanmoins attendre le XVIIIème siècle pour que la vieille maison forte devienne la belle demeure actuelle : on la doit à Pierre Antoine Pascalis, conseiller et futur président du Parlement de Grenoble.
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<center> Chateau de Longpra. </center> Un acte de 1304 conservé dans les archives atteste la présence des douves en eaus et du pont-levis chargés de défendre la maison forte de l'époque.
Chateau de Longpra.
Un acte de 1304 conservé dans les archives atteste la présence des douves en eaus et du pont-levis chargés de défendre la maison forte de l'époque.
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<center> Chateau de Longpra. </center> Au XIXème siècle, le dernier des Pascalis de Longpra n'a pas de descendance, il lègue donc son domaine à sa nièce et filleule Eugénie Chosson du Colombier, vers 1844. Elle avait épousé une décennie plus tôt le baron Anselme Pasquier de Franclieu, et c'est toujours aujourd'hui la famille de Franclieu qui possède les lieux, ouverts à la visite depuis 1984.
Chateau de Longpra.
Au XIXème siècle, le dernier des Pascalis de Longpra n'a pas de descendance, il lègue donc son domaine à sa nièce et filleule Eugénie Chosson du Colombier, vers 1844. Elle avait épousé une décennie plus tôt le baron Anselme Pasquier de Franclieu, et c'est toujours aujourd'hui la famille de Franclieu qui possède les lieux, ouverts à la visite depuis 1984.
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<center> Chateau de Longpra. </center> Les anciennes douves ont été conservées, et remises en eau, offrant ainsi, avec le parc et les terrasses aménagées à la même époque, un environnement exceptionnel.
Chateau de Longpra.
Les anciennes douves ont été conservées, et remises en eau, offrant ainsi, avec le parc et les terrasses aménagées à la même époque, un environnement exceptionnel.
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<center> Chateau de Longpra. C/center>
Chateau de Longpra. C/center>
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Chateau de Longpra.
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<center> Chateau de Longpra. </center>
Chateau de Longpra.
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<center> Chateau de Longpra. </center>
Chateau de Longpra.
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<center>Chirens. </center> Le Château de Clermont sur une motte castrale.
Chirens.
Le Château de Clermont sur une motte castrale.
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<center>Chirens. </center>
Chirens.
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<center>Chirens. </center> Église de Chirens.
Chirens.
Église de Chirens.
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<center>Chirens. </center> Château de Clermont.
Chirens.
Château de Clermont.
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<center>Chirens. </center> Château de Clermont.
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Château de Clermont.
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<center>Chirens. </center> Château de Clermont.
Chirens.
Château de Clermont.
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<center>Chirens. </center> Château de Clermont.
Chirens.
Château de Clermont.
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<center>Chirens. </center> Château de Clermont. La communauté (paroisse) de Chirens appartenait au XIIe siècle à la famille de Clermont. Cette famille y édifia, sur la colline de Clermont qui surplombe la vallée de Chirens et sur la vallée de la Fure (Charavines), un château fort. Le château de Clermont était pourvu d'une triple enceinte et avait un donjon pentagonal irrégulier.
Chirens.
Château de Clermont. La communauté (paroisse) de Chirens appartenait au XIIe siècle à la famille de Clermont. Cette famille y édifia, sur la colline de Clermont qui surplombe la vallée de Chirens et sur la vallée de la Fure (Charavines), un château fort. Le château de Clermont était pourvu d'une triple enceinte et avait un donjon pentagonal irrégulier.
95
<center>Chirens. </center> Château de Clermont. Il semble que le château ait été abandonné au début du XVIe siècle et démantelé en 1626 par ordre royal inspiré par Richelieu, comme les autres châteaux qui ne servaient plus à défendre la France.
Chirens.
Château de Clermont. Il semble que le château ait été abandonné au début du XVIe siècle et démantelé en 1626 par ordre royal inspiré par Richelieu, comme les autres châteaux qui ne servaient plus à défendre la France.
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<center>Chirens. </center> Château de Clermont. Seul le donjon, qui appartient toujours aux Clermont-Tonnerre subsiste aujourd'hui et il a la particularité peu courante d'être pentagonal.
Chirens.
Château de Clermont. Seul le donjon, qui appartient toujours aux Clermont-Tonnerre subsiste aujourd'hui et il a la particularité peu courante d'être pentagonal.
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<center>Chirens. </center> Château de Clermont.
Chirens.
Château de Clermont.
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<center>Chirens. </center> Château de Clermont. Pervenche.
Chirens.
Château de Clermont. Pervenche.
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<center>Chirens. </center> Château de Clermont. Bouton d'or ou renoncule.
Chirens.
Château de Clermont. Bouton d'or ou renoncule.
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<center>Chirens. </center> Château de Clermont. La primevère officinale ou coucou
Chirens.
Château de Clermont. La primevère officinale ou coucou
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<center>Chirens. </center> Château de Clermont. Bugle.
Chirens.
Château de Clermont. Bugle.
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<center>Chirens. </center> Château de Clermont. Lamier.
Chirens.
Château de Clermont. Lamier.
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<center>Lac de Paladru. </center> Un  site préhistorique  a été identifié en 1904 à l'occasion d'une baisse importante du niveau des eaux.  Il a été occupé au néolithique, deux fois à bref intervalle10 de 2668 à 2646 et de 2611 à 2592 av. J.-C. d'après les analyses dendrochronologiques.  Il  s'agissait de huttes construites sur pilotis plantés sur la terre ferme au bord du lac. À la fin de la première occupation, les habitants ont pris le temps d'emporter tout ce qui était utilisable avant d'abandonner le village. Un groupe est arrivé environ 40 ans plus tard, il a construit des maisons au même endroit, et a séjourné là une vingtaine d'années, mais cette fois le départ a été provoqué par une montée brutale et rapide des eaux poussant les habitants à abandonner de nombreux objets encore utilisables.
Lac de Paladru.
Un site préhistorique a été identifié en 1904 à l'occasion d'une baisse importante du niveau des eaux. Il a été occupé au néolithique, deux fois à bref intervalle10 de 2668 à 2646 et de 2611 à 2592 av. J.-C. d'après les analyses dendrochronologiques. Il s'agissait de huttes construites sur pilotis plantés sur la terre ferme au bord du lac. À la fin de la première occupation, les habitants ont pris le temps d'emporter tout ce qui était utilisable avant d'abandonner le village. Un groupe est arrivé environ 40 ans plus tard, il a construit des maisons au même endroit, et a séjourné là une vingtaine d'années, mais cette fois le départ a été provoqué par une montée brutale et rapide des eaux poussant les habitants à abandonner de nombreux objets encore utilisables.
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<center>Lac de Paladru. </center> Entourés d'une palissade légère, les deux villages successifs étaient organisés autour d'une place centrale empierrée par les restes des
Lac de Paladru.
Entourés d'une palissade légère, les deux villages successifs étaient organisés autour d'une place centrale empierrée par les restes des "pierres de chauffe", quartzites utilisés pour la cuissons des aliments, les vases n'étant pas capables de supporter le feu direct sur les foyers. Les activités domestiques et artisanales (taille du silex et fabrication de vases, cuillères, peignes à tisser) comme l'évacuation des déchets sont similaires pour les deux villages. Les villageois commerçaient avec des communautés lointaines (ambre de la mer Baltique, vase et cuivre du Languedoc, vases du Centre-ouest de la France, haches polies du Piémont ou de Suisse). Leurs vases étaient exportés vers le lac de Bienne en Suisse ou celui de Chalain dans le Jura.
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<center>La Grange Dimière Le Pin.</center> La grange Dîmière, ancienne dépendance du monastère de la Silve Bénite (Le Pin), déjà cité en 1549 mais fut reconstruite en 1655, comme l'atteste la date gravée sur le linteau du porche d'entrée, peut après la reconstruction du monastère et la remise en ordre de ses affaires. Au XVe siècle, on y engrangeait les récoltes du domaine, la dîme et les cens destinés au monastère de la Silve Bénite. La Chartreuse de la Silve Bénite possédait trois granges
La Grange Dimière Le Pin.
La grange Dîmière, ancienne dépendance du monastère de la Silve Bénite (Le Pin), déjà cité en 1549 mais fut reconstruite en 1655, comme l'atteste la date gravée sur le linteau du porche d'entrée, peut après la reconstruction du monastère et la remise en ordre de ses affaires. Au XVe siècle, on y engrangeait les récoltes du domaine, la dîme et les cens destinés au monastère de la Silve Bénite. La Chartreuse de la Silve Bénite possédait trois granges "la correrie ou grange dîmière, la grange d'Ars, proche du lac de Paladru et celle du Verney-au-Pin.
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<center>La Grange Dimière Le Pin.</center> Imposante, elle est signe de la puissance, et de l'aura de la fondation cartusienne. Le bâtiment initial mesurait 22,50 mètres en façade 35 mètres de Grange Dîmière Le Pinlong et 18 mètres de haut, à la suite de l'incendie de 1920, sa longueur a été réduite à 22 mètres. Construite sur une pente, la grange a deux niveaux : un niveau bas d'étables et la grange elle-même, à l'origine constituée d'un nef et de deux bas-côtés en cinq travées. Elle est complétée d'appentis, notamment en façade.
La Grange Dimière Le Pin.
Imposante, elle est signe de la puissance, et de l'aura de la fondation cartusienne. Le bâtiment initial mesurait 22,50 mètres en façade 35 mètres de Grange Dîmière Le Pinlong et 18 mètres de haut, à la suite de l'incendie de 1920, sa longueur a été réduite à 22 mètres. Construite sur une pente, la grange a deux niveaux : un niveau bas d'étables et la grange elle-même, à l'origine constituée d'un nef et de deux bas-côtés en cinq travées. Elle est complétée d'appentis, notamment en façade.
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<center>La Grange Dimière Le Pin.</center>
La Grange Dimière Le Pin.
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<center>La Grange Dimière Le Pin.</center>
La Grange Dimière Le Pin.
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<center>La Grange Dimière Le Pin.</center>
La Grange Dimière Le Pin.
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<center>La Grange Dimière Le Pin.</center> Dans la façade de pierre s'ouvre un porche monumental à deux vantaux. Ces derniers sont récents mais on peut voir les vantaux d'origine à l'intérieur du bâtiment.
La Grange Dimière Le Pin.
Dans la façade de pierre s'ouvre un porche monumental à deux vantaux. Ces derniers sont récents mais on peut voir les vantaux d'origine à l'intérieur du bâtiment.
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<center>La Grange Dimière Le Pin.</center> Les vantaux d'origine.
La Grange Dimière Le Pin.
Les vantaux d'origine.
112
<center>La Grange Dimière Le Pin.</center> La grange est de 1549, reconstruite en 1655, selon la date indiquée sur le linteau de sa porte d'entrée.
La Grange Dimière Le Pin.
La grange est de 1549, reconstruite en 1655, selon la date indiquée sur le linteau de sa porte d'entrée.
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<center>La Grange Dimière Le Pin.</center> Les galets maçonnés que l'on peut découvrir en observant les murs de la grange sont le produit des moraines glaciaires et ont été prélevés sur la place par les constructeurs du bâtiment.
La Grange Dimière Le Pin.
Les galets maçonnés que l'on peut découvrir en observant les murs de la grange sont le produit des moraines glaciaires et ont été prélevés sur la place par les constructeurs du bâtiment.
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<center>La Grange Dimière Le Pin.</center> La charpente complexe présente un grand intérêt pour tous ceux qui s'intéressent aux techniques de construction.
La Grange Dimière Le Pin.
La charpente complexe présente un grand intérêt pour tous ceux qui s'intéressent aux techniques de construction.
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<center>La Grange Dimière Le Pin.</center>
La Grange Dimière Le Pin.
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<center>La Grange Dimière Le Pin.</center>
La Grange Dimière Le Pin.
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<center>Prieuré de Chirens</center> Le prieuré de Chirens a été fondé au XIe siècle probablement par les seigneurs de Clermont, dont le château est situé près de Chirens. Le monastère était rattaché à l'ordre des Bénédictins de Saint-Pierre de Vienne.
Prieuré de Chirens
Le prieuré de Chirens a été fondé au XIe siècle probablement par les seigneurs de Clermont, dont le château est situé près de Chirens. Le monastère était rattaché à l'ordre des Bénédictins de Saint-Pierre de Vienne.
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<center>Prieuré de Chirens</center>
Prieuré de Chirens
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<center>Prieuré de Chirens</center> Presque toutes les églises bénédictines de haute époque avaient à l’origine trois absides, à l’image de l’abbatiale de Cluny II.. Chirens ne déroge pas à cette règle. Semi-elliptique, l'abside s’ouvre sur la nef par un grand arc triomphal en plein cintre reposant sur deux piliers ornés de chapiteaux romans. Les bases de ces colonnes sont carrées et forment les angles d’une banquette semi-circulaire sur laquelle s’élèvent quatre colonnes moins imposantes que les deux premières, qui rythment le chœur.
Prieuré de Chirens
Presque toutes les églises bénédictines de haute époque avaient à l’origine trois absides, à l’image de l’abbatiale de Cluny II.. Chirens ne déroge pas à cette règle. Semi-elliptique, l'abside s’ouvre sur la nef par un grand arc triomphal en plein cintre reposant sur deux piliers ornés de chapiteaux romans. Les bases de ces colonnes sont carrées et forment les angles d’une banquette semi-circulaire sur laquelle s’élèvent quatre colonnes moins imposantes que les deux premières, qui rythment le chœur.
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<center>Prieuré de Chirens</center> En 1962, le prieuré de Chirens est acquis par Roger Lorin, artiste peintre et professeur de dessin d’art au lycée technique d’État de Voiron. Il est à l’origine de l’opération de sauvetage du monument, à laquelle il a fait participer ses élèves. Roger Lorin donna à ce monument une vie différente axée sur la peinture et la musique mais qui n’en est pas moins une forme de vie spirituelle à laquelle la présence de ces pierres presque millénaires donne un sens particulier.
Prieuré de Chirens
En 1962, le prieuré de Chirens est acquis par Roger Lorin, artiste peintre et professeur de dessin d’art au lycée technique d’État de Voiron. Il est à l’origine de l’opération de sauvetage du monument, à laquelle il a fait participer ses élèves. Roger Lorin donna à ce monument une vie différente axée sur la peinture et la musique mais qui n’en est pas moins une forme de vie spirituelle à laquelle la présence de ces pierres presque millénaires donne un sens particulier.
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<center>Prieuré de Chirens</center> Les fresques du peintre François Chambon (1641-1720) peuvent être datées de la fin du XVIIe siècle selon un prix-fait du 23 août 1686 devant maître François Philippes, notaire à Chirens. Elles ont été réalisées au XVIIe siècle par le peintre dauphinois François Chambon. Treize personnages sont représentés.
Prieuré de Chirens
Les fresques du peintre François Chambon (1641-1720) peuvent être datées de la fin du XVIIe siècle selon un prix-fait du 23 août 1686 devant maître François Philippes, notaire à Chirens. Elles ont été réalisées au XVIIe siècle par le peintre dauphinois François Chambon. Treize personnages sont représentés.
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<center>Prieuré de Chirens</center> Tous les personnages, sauf saint Augustin, sont placés sur deux registres superposés. Saint Augustin est peint, quant à lui, sur le registre du prédicant en chaire. Le Christ, St Claudine, St Augustin, en dessous St Guillaume.
Prieuré de Chirens
Tous les personnages, sauf saint Augustin, sont placés sur deux registres superposés. Saint Augustin est peint, quant à lui, sur le registre du prédicant en chaire. Le Christ, St Claudine, St Augustin, en dessous St Guillaume.
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<center>Prieuré de Chirens</center> Vierge à l'Enfant et saint Nicolas. A gauche, une inscription gothique.
Prieuré de Chirens
Vierge à l'Enfant et saint Nicolas. A gauche, une inscription gothique.
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<center>Prieuré de Chirens</center> St Jean Baptiste, St François d'Assise.
Prieuré de Chirens
St Jean Baptiste, St François d'Assise.
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<center>Prieuré de Chirens</center>
Prieuré de Chirens
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<center>Prieuré de Chirens</center>
Prieuré de Chirens
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Prieuré de Chirens
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Prieuré de Chirens
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Prieuré de Chirens
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Prieuré de Chirens
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Prieuré de Chirens
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<center>Château de Virieu. </center>Le château de Virieu est un ancien château de terre transformé en château de pierre du début du XIe siècle, probablement vers 1010, plusieurs fois remanié depuis. Le château fut le chef-lieu du mandement de Virieu cité comme tel en 1107 lors du partage du comté de Sermorens
Château de Virieu.
Le château de Virieu est un ancien château de terre transformé en château de pierre du début du XIe siècle, probablement vers 1010, plusieurs fois remanié depuis. Le château fut le chef-lieu du mandement de Virieu cité comme tel en 1107 lors du partage du comté de Sermorens
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<center>Château de Virieu. </center> Simple motte castrale au début du XIe siècle, le château de terre primitif devient une construction maçonnée quelques décennies plus tard sous Wilfrid de Virieu.

En 1220, il passe par mariage à la maison de Clermont et y demeure pendant sept générations. Antoine de Clermont vend le château en 1573 à Artus Prunier de Saint-André, premier président au Parlement de Grenoble. Il est agrandi et transformé par les propriétaires successifs sans en altérer l'ensemble qui reste parfaitement harmonieux. En 1874, le comte de Saint-Ferriol, dernier descendant des Prunier, vend le château à Alphonse de Virieu, descendant d'une des lignées du premier propriétaire. Il subit entre 1924 et 1928 une importante restauration.
Château de Virieu.
Simple motte castrale au début du XIe siècle, le château de terre primitif devient une construction maçonnée quelques décennies plus tard sous Wilfrid de Virieu. En 1220, il passe par mariage à la maison de Clermont et y demeure pendant sept générations. Antoine de Clermont vend le château en 1573 à Artus Prunier de Saint-André, premier président au Parlement de Grenoble. Il est agrandi et transformé par les propriétaires successifs sans en altérer l'ensemble qui reste parfaitement harmonieux. En 1874, le comte de Saint-Ferriol, dernier descendant des Prunier, vend le château à Alphonse de Virieu, descendant d'une des lignées du premier propriétaire. Il subit entre 1924 et 1928 une importante restauration.
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<center>Château de Virieu. </center>
Château de Virieu.
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<center>Château de Virieu. </center> Jardin à la française, côté sud.
Château de Virieu.
Jardin à la française, côté sud.
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<center>Château de Virieu. </center> A gauche, le verger.
Château de Virieu.
A gauche, le verger.
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<center>Château de Virieu. </center> Dans le verger-potager attenant, arbres fruitiers, fleurs et légumes bordent quatre parterres de verdures enserrant un bassin.
Château de Virieu.
Dans le verger-potager attenant, arbres fruitiers, fleurs et légumes bordent quatre parterres de verdures enserrant un bassin.
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<center>Château de Virieu. </center> Le potager.
Château de Virieu.
Le potager.
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<center>Château de Virieu. </center> L'entrée est flanquée de deux demi-tourelles, dites « ouvertes à la gorge » servant à la défense. L'avant-cour est bordée par les anciens communs et écuries du XVIIe siècle.
Château de Virieu.
L'entrée est flanquée de deux demi-tourelles, dites « ouvertes à la gorge » servant à la défense. L'avant-cour est bordée par les anciens communs et écuries du XVIIe siècle.
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<center>Château de Virieu. </center> On accède ensuite par une grande porte cloutée à la cour intérieure pavée,
Château de Virieu.
On accède ensuite par une grande porte cloutée à la cour intérieure pavée,
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<center>Château de Virieu. </center> On accède ensuite par une grande porte cloutée à la cour intérieure pavée,
Château de Virieu.
On accède ensuite par une grande porte cloutée à la cour intérieure pavée,
145
<center>Château de Virieu. </center>  La cour intérieure pavée est délimitée par un ensemble de bâtiments formant un quadrilatère irrégulier.
Château de Virieu.
La cour intérieure pavée est délimitée par un ensemble de bâtiments formant un quadrilatère irrégulier.
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<center>Château de Virieu. </center>
Château de Virieu.
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<center>Château de Virieu. </center>
Château de Virieu.
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<center>Château de Virieu. </center>  Deux grosses tours cylindriques coiffées en poivrière cantonnent la façade ouest.
Château de Virieu.
Deux grosses tours cylindriques coiffées en poivrière cantonnent la façade ouest.
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<center>Château de Virieu. </center>  Deux grosses tours cylindriques coiffées en poivrière cantonnent la façade ouest.
Château de Virieu.
Deux grosses tours cylindriques coiffées en poivrière cantonnent la façade ouest.
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<center>Château de Virieu. </center> Les bâtiments formant un quadrilatère irrégulier sont reliés entre eux par une courtine surmontée d'un chemin de ronde à créneaux et mâchicoulis.
Château de Virieu.
Les bâtiments formant un quadrilatère irrégulier sont reliés entre eux par une courtine surmontée d'un chemin de ronde à créneaux et mâchicoulis.
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<center>Château de Virieu. </center> En 1622, Louis XIII séjourne au château et laisse ses canons, dits « de montagne », pris sans doute au siège de Montpellier. On les admire encore aujourd’hui, alignés sous chaque arcade de la galerie de la cour intérieure.
Château de Virieu.
En 1622, Louis XIII séjourne au château et laisse ses canons, dits « de montagne », pris sans doute au siège de Montpellier. On les admire encore aujourd’hui, alignés sous chaque arcade de la galerie de la cour intérieure.
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<center>Château de Virieu. </center>
Château de Virieu.
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<center>Château de Virieu. </center>
Château de Virieu.
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<center>Château de Virieu. </center>
Château de Virieu.
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<center>Château de Virieu. </center>
Château de Virieu.
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<center>Château de Virieu. </center> La chapelle.
Château de Virieu.
La chapelle.
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<center>Château de Virieu. </center>> La chapelle. La Pencôte.
Château de Virieu.
> La chapelle. La Pencôte.
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<center>Château de Virieu. </center> La chapelle.
Château de Virieu.
La chapelle.
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<center>Château de Virieu. </center> La chapelle.
Château de Virieu.
La chapelle.
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<center>Château de Virieu. </center> À l'intérieur, une chapelle du XVIIe siècle présente une crédence de sacristie sculptée par Stéphanie de Virieu.
Château de Virieu.
À l'intérieur, une chapelle du XVIIe siècle présente une crédence de sacristie sculptée par Stéphanie de Virieu.
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<center>Château de Virieu. </center>
Château de Virieu.
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<center>Château de Virieu. </center>
Château de Virieu.
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Château de Virieu.
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<center>Château de Virieu. </center>
Château de Virieu.
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<center>Château de Virieu. </center> Vue sur les terrasses, côté ouest.
Château de Virieu.
Vue sur les terrasses, côté ouest.
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<center>Château de Virieu. </center> L'ancienne cuisine a une monumentale cheminée du XVe siècle et possède des tapisseries d'Aubusson.
Château de Virieu.
L'ancienne cuisine a une monumentale cheminée du XVe siècle et possède des tapisseries d'Aubusson.
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<center>Château de Virieu. </center> L'ancienne cuisine.
Château de Virieu.
L'ancienne cuisine.
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<center>Château de Virieu. </center> L'ancienne cuisine.
Château de Virieu.
L'ancienne cuisine.
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<center>Château de Virieu. </center> L'ancienne cuisine.
Château de Virieu.
L'ancienne cuisine.
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<center>Château de Virieu. </center> L'ancienne cuisine.
Château de Virieu.
L'ancienne cuisine.
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<center>Château de Virieu. </center> L'ancienne cuisine.
Château de Virieu.
L'ancienne cuisine.
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<center>Château de Virieu. </center>
Château de Virieu.
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<center>Château de Virieu. </center> a chambre du Roi, lit à baldaquin recouvert en damas rouge
Château de Virieu.
a chambre du Roi, lit à baldaquin recouvert en damas rouge
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<center>Château de Virieu. </center> a chambre du Roi, lit à baldaquin recouvert en damas rouge
Château de Virieu.
a chambre du Roi, lit à baldaquin recouvert en damas rouge
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<center>Château de Virieu. </center> a chambre du Roi, lit à baldaquin recouvert en damas rouge
Château de Virieu.
a chambre du Roi, lit à baldaquin recouvert en damas rouge
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<center>Château de Virieu. </center>  trois niveaux de terrassesue du jardin depuis la chambre du roi.
Château de Virieu.
trois niveaux de terrassesue du jardin depuis la chambre du roi.
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<center>Château de Virieu. </center>  la chambre blanche, mobilier en marqueterie du XVIIIe siècle.
Château de Virieu.
la chambre blanche, mobilier en marqueterie du XVIIIe siècle.
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<center>Château de Virieu. </center>  la chambre blanche, mobilier en marqueterie du XVIIIe siècle.
Château de Virieu.
la chambre blanche, mobilier en marqueterie du XVIIIe siècle.
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<center>Château de Virieu. </center>  la chambre blanche, mobilier en marqueterie du XVIIIe siècle.
Château de Virieu.
la chambre blanche, mobilier en marqueterie du XVIIIe siècle.
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<center>Château de Virieu. </center>
Château de Virieu.
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<center>Château de Virieu. </center>Les  trois niveaux de terrasses du côté ouest.
Château de Virieu.
Les trois niveaux de terrasses du côté ouest.
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<center>Château de Virieu. </center> Au pied de la façade ouest, un escalier à double volée conduit au jardin à la française restauré selon le plan original du XVIIe siècle.
Château de Virieu.
Au pied de la façade ouest, un escalier à double volée conduit au jardin à la française restauré selon le plan original du XVIIe siècle.
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<center>Château de Virieu. </center> Il se compose côté ouest de trois niveaux de terrasses et parterres entrecoupés d'allées, aménagés sur les anciens remparts.
Château de Virieu.
Il se compose côté ouest de trois niveaux de terrasses et parterres entrecoupés d'allées, aménagés sur les anciens remparts.
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<center>Château de Virieu. </center> Façade ouest, sepuis les terrasses.
Château de Virieu.
Façade ouest, sepuis les terrasses.
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<center>Château de Virieu. </center> Façade sud, où se troive la chambre du roi.
Château de Virieu.
Façade sud, où se troive la chambre du roi.
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<center>Château de Virieu. </center> Côté sud, les buis dessinent des arabesques sous la fenêtre de la chambre du roi.
Château de Virieu.
Côté sud, les buis dessinent des arabesques sous la fenêtre de la chambre du roi.
187
<center>Château de Virieu. </center>  Dans le verger-potager attenant, arbres fruitiers, fleurs et légumes bordent quatre parterres de verdures enserrant un bassin.
Château de Virieu.
Dans le verger-potager attenant, arbres fruitiers, fleurs et légumes bordent quatre parterres de verdures enserrant un bassin.
188
<center>Château de Virieu. </center> Escalier qui ramène à l'entrée.
Château de Virieu.
Escalier qui ramène à l'entrée.
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<center>Château de Virieu. </center> La porte d'entrée.
Château de Virieu.
La porte d'entrée.
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<center>Cathédrale de Voiron.</center>
Cathédrale de Voiron.
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<center>Cathédrale de Voiron.</center>
Cathédrale de Voiron.
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