Chalet typique de savoie. Chamonix entre dans l'histoire en 1091 lorsque le comte Aymon Ier de Genève fait dotation de la vallée à l'abbaye bénédictine de Saint-Michel de la Cluse, en Piémont. Des moines s'installent sur la rive droite de l'Arve. C'est la naissance du prieuré de Chamonix. La commune est un territoire du duché de Savoie qui fait partie des États de Savoie, eux-mêmes intégrés au royaume de Sardaigne. Puis sous la Révolution française et le Premier Empire, elle devient un territoire français. Le 24 mars 1860, par le traité de Turin, le duché de Savoie est cédé à la France. Le 4 avril 1860, la commune de Chamonix devient alors définitivement française et prend le nom de Chamonix-Mont-Blanc le 21 novembre 1921.
1
Chamonix
Hotel Richemeond, géré par la même famille depuis trois générations.
2
Chamonix
Le 18 septembre 2010, a été inaugurée une fresque monumentale de 160 m2, commandée par la commune au muraliste Patrick Commecy. Cette fresque, placée sur la façade d’un immeuble en centre-ville rend hommage aux alpinistes et aux guides qui ont marqué l’histoire du mont Blanc depuis 1760 dans une évocation du premier bureau des guides
3
Chamonix
On peut y voir de haut en bas : Marie Paradis, servante (1779-1839)
Michel Paccard, médecin (1757-1827)
Jacques Balmat, cristallier et guide (1762-1834)
Henriette d'Angeville, alpiniste (1794-1871)
Horace-Benedict de Saussure, philosophe et scientifique genevois (1740-1799)
Joseph Vallot, alpiniste et scientifique (1854-1925).
L'écusson est celui de la Compagnie des Guides de Chamonix. Créée en 1821 à la suite du 1er accident survenu au mont Blanc, 3 guides emportés par une avalanche, il s'agissait alors de mettre en place une structure dont les statuts préciseraient le rôle de chef de caravane, le fonctionnement du bureau des guides et la création d'une caisse de secours pour les guides accidentés et leurs familles.
4
Chamonix
Jean Charlet-Straton, guide (1840-1925)
Alfred Couttet dit Couttet Champion, guide (1889-1974)
Michel Payot, médecin et alpiniste (1869-1908)
Louis Lachenal, guide (1921-1955)
Lionel Terray, guide (1921-1965)
Roger Frison-Roche, guide, journaliste, écrivain, explorateur (1906-1999)
René Claret-Tournier, guide (1917), qui - avec le maire - a inauguré cette fresque. Il détient le record du monde du nombre d'ascensions du mont Blanc avec 530 ascensions.
Armand Charlet, guide (1900-1975)
Gaston Rebuffat, guide, cinéaste, écrivain et photographe (1921-1985)
5
Chamonix
Édouard Cupelin, guide (1840-1906), surnommé par ses pairs « le Capitaine du mont Blanc ». François Devouassoud, guide et instituteur (1832-1905)
Joseph Ravanel, guide (1869-1931)
Michel Payot, guide (1840-1922)
Michel Croz, guide (1830-1865)
6
Chamonix
7
Chamonix
Aiguille du Midi.
8
Chamonix
9
Chamonix
10
Chamonix
11
Chamonix
La mairie de Chamonix-Mont-Blanc.
12
Chamonix
La mairie de Chamonix-Mont-Blanc.
13
Chamonix
La mairie de Chamonix-Mont-Blanc. Docteur Emile Chautemps.
14
Chamonix
La mairie de Chamonix-Mont-Blanc. Docteur Paccard.
15
Chamonix
A Jacques Balmat.
16
Maison de la Montagne
Ancien presbytère.
17
Maison de la Montagne
Bicentenaire de la première ascension du Mont Blanc, en août 1786, par Saussure et Paccard.
18
Maison de la Montagne
100e anniversaire de l'ascension du petit Dru, le 29 août 1879.
19
Maison de la Montagne
Gérard Devouassoux, qui fit partie de l'ascension de l'Everest en 1974.
20
L'église St-Michel
une première église, attestée, est édifiée par les moines en 1119, bien qu'il en existait une plus ancienne. En 1522, tant le prieuré que le bourg sont détruits par un incendie. On décide de reconstruire l'église en 1702, notamment avec la participation de maçons piémontais dont un Pierre Rouge et Antonio Janetta. À peine consacrée, l'église est détruite à nouveau par un incendie en 1758 . Le toit, le clocher et le mobilier disparaissent dans les flammes. On entreprend la réhabilitation des peintures en 1760. Elle se terminera en 1790. D'importants travaux de restauration sont entrepris en 1830. En 1864, la façade actuelle de style Napoléon III est élevée et une travée est ajoutée. Au début des années 80, l'intérieur est entièrement restauré.
21
L'église St-Michel
De sa première construction par les Bénédictins en 1119 ne subsiste aujourd'hui que la tour du clocher.
22
L'église St-Michel
23
L'église St-Michel
24
L'église St-Michel
25
L'église St-Michel
26
L'église St-Michel
Vitrail de L. Balmet, Grenoble 1925.
27
L'église St-Michel
Vitrail de L. Balmet, Grenoble 1925.
28
L'église St-Michel
Si le maître autel, ainsi que le décor général de l’intérieur, est marqué par le style empire du 19ème siècle on retrouve de nombreux éléments de la période baroque dont la statue de Saint Michel au cœur du retable. De cette même période des statues ornant les croisillons, nous rappellent la magnificence du décor du 18ème siècle.
29
L'église St-Michel
Le retable de l'autel central. réalisé en 1737-38 porte la marque du style Empire.
30
L'église St-Michel
La statue de St Michel provient sans doute de l'autel du XVIIIème siècle. Saint Michel est figuré avec ses attributs, le glaive de la justice et la balance du Jugement, dans un mouvement où se déploient la grâce et l'énergie.
31
L'église St-Michel
Il trouve place sous un dais formé de colonnes à chapiteau corinthien, couronnées d'un dôme à décor d'écailles. Le tabernacle reprend en réduction la composition de la partie haute du retable ; sur la porte est figurée l'Eglise.
32
L'église St-Michel
Les statues du dôme, oeuvre de Jacques Montelli en 1838, symbolisent la Foi, la Charité, l'Espérance.
33
L'église St-Michel
Quant aux anges adorateurs, ils sont prosternés devant le mystère de l'Eucharistie.
34
L'église St-Michel
Quant aux anges adorateurs, ils sont prosternés devant le mystère de l'Eucharistie.
35
L'église St-Michel
Les stalles.
36
L'église St-Michel
A l'autel, la Cène, sculpture inspirée de la célèbre peinture de Léonard de Vinci, représentant le moment de l'annonce de la trahison de Judas ; ce panneau peut être attribué aux frères Pedrini.
37
L'église St-Michel
Au niveau inférieur du retable, scènes de l'Ancien Testament, encadrées de motifs décoratifs : - Melchisedech donnant à David les pains consacrés. Au niveau moyen, de part et d'autre du tabernacle, scènes du Nouveau Testament, panneaux illustrant l'enfance et la Passion du Christ : le Christ au jardin des oliviers, Jésus enfant au milieu des Docteurs du Temple.
38
L'église St-Michel
En bas, le sacrifice d'Abraham. En haut, l'Adoration des mages, le Christ devant Caïphe.
39
L'église St-Michel
La poutre de gloire.
40
L'église St-Michel
La Pentecôte"Le jour de la Pentecôte, les disciples se trouvaient tous réunis dans la même salle. Tout à coup il se produisit dans le ciel un bruit aussi violent que le souffle d'un ouragan ; et toute la maison où ils se trouvaient en résonna. Ils virent alors des langues de feu qui se séparaient et se posaient sur chacun d'eux. Et tous furent remplis de l'Esprit Saint". (Actes des Apôtres). L'éclairage contrasté, les mouvements désordonnés, la stupeur des visages tournées vers la colombe de l'Esprit traduisent le mystère de l'évènement. L'ouverture d'une fenêtre au fond de la scène renforce la profondeur. Cette oeuvre, dénotant peut-être une influence flamande, pourrait dater de la fin du XVIIème siècle.
41
L'église St-Michel
Madone du Rosaire
Autour de Marie "pleine de grâces", les quinze mystères auxquels participe la Vierge sont figurés dans des médaillons encadrés par des perles qui évoquent les grains du chapelet.Mystères Joyeux : l'Annonciation, la Visitation, la Nativité, la Purification, Jésus enfant au Temple. Mystères Douloureux : l'Agonie au jardin des oliviers, la Flagellation, le Couronnement d'épines, le Portement de croix, la Mort du Christ sur la croix. Mystères Glorieux : la Résurrection, l'Ascension, la Pentecôte, l'Assomption, le Couronnement de la Vierge.La méditation de ces mystères accompagne la récitation des Ave Mar
42
L'église St-Michel
Croix de consécration.
43
L'église St-Michel
L'orgue a été réalisé par le facteur d'orgue Michel Giroud, artisan grenoblois, et inauguré le 12 juillet 1992 par la musicienne Marie-Claire Alain. Le buffet de l'orgue a été séparé en deux parties distinctes afin que le grand vitrail de l'église puisse demeurer visible.
44
L'église St-Michel
Ste Cécile entourée d'anges musiciens.
45
L'église St-Michel
Ste Cécile entourée d'anges musiciens.
46
Chamonix
Tournage à Chamonix
La coloration de cette façade arrière du Cinéma « Le Vox » intègre des acteurs et des réalisateurs de cinéma ayant participé à des films tournés à Chamonix.
De gauche à droite, on trouve :
Claude Lelouch à la caméra
«Si c'était à refaire», 1976 et «Tout ça pour ça», 1993
Bernard Giraudeau faisant un «clap»
«La face de l'ogre», 1987
Sami Frey
«La voie Jackson», Gérard Herzog, 1980 Gérard Depardieu
«Dites-lui que je l'aime», Claude Miller 1977
Catherine Deneuve
«Si c'était à refaire», Claude Lelouch, 1976
Jean-Paul Belmondo et Jean Rochefort
«Les tribulations d'un chinois en Chine», Philippe de Brocca, 1965
Pierce Brosnan
«The world is not enough», Michael Apted, 1999
47
Chamonix
48
Chamonix
49
Chamonix
Le Mont Blanc.
50
Chamonix
Aiguille du Midi et Mont Blanc.
51
Chamonix
Aiguille du Midi et Mont Blanc.
52
Chamonix
Aiguille du Midi et Mont Blanc.
53
Chamonix
Mont Blanc.
54
Chamonix
55
Chamonix
56
Chamonix
Aiguille du Midi et Mont Blanc.
57
Chamonix
Aiguille du Midi.
58
Chamonix
Aiguille du Midi.
59
Chamonix
Casino de Chamonix.
60
Chamonix
La statue d'Horace-Bénédict de Saussure en compagnie du guide Jacques Balmat.
61
Chamonix
La statue du docteur Michel Paccard. Au docteur Michel Gabriel Paccard vainqueur du Mont Blanc avec Jacques Balmat le huit août 1786.
62
Chamonix
Exemple d'architecture de style Art nouveau.
63
Chamonix
Exemple d'architecture de style Art nouveau.
64
Chamonix
Les bords de l'Arve.
65
Chamonix
Machinerie d'un moulin pour le seigle et l'orge.
66
Chamonix
Machinerie d'un moulin pour le seigle et l'orge.
67
Chamonix
Machinerie d'un moulin pour le seigle et l'orge.
68
Musée alpin
Le Musée Alpin. Installé dans l'ancien Chamonix-Palace construit au début du XXème siècle, le musée alpin retrace le développement de Chamonix depuis les premiers touristes venus admirer les « glacières de Savoye », jusqu'à la construction des téléphériques
69
Musée alpin
Le Musée Alpin. Lunettes d’approche d’Horace Bénédicte de Saussure. Verre, cuir, bois. XVIIIe siècle.
70
Musée alpin
Le Musée Alpin. Saussure Besteigt des Mont Blanc. Lithographie, XIXe siècle.
71
Musée alpin
Le Musée Alpin. Ascension d’Horace Bénédict de Saussure et de son fils au col du Géant en juillet 1788. Henri Lévêque (1769 – 1832).
72
Musée alpin
Le Musée Alpin. Le 20 août 1820, trois guides : Pierre Carrier, Pierre Balmat et Auguste Tairraz perdent la vie. L'accident de la caravane du Dr Hamel révèle la nécessité de définir la notion de responsabilité dans une caravane - guide ou client ? Le 24 juillet 1821, la «Compagnie» est née ! Trente-quatre guides et douze suppléants sont ainsi nommés.
73
Chamonix
Ecole Nationale de Ski et d'Alpinisme. A droite, "Elan vers les cimes". 70 ans de l'ENSA. 12 juin 2015.
74
Chamonix
75
Sallanches
Place Charles-Albert. Fontaine monumentale commémorative du centenaire de la révolution française, 1889.
76
Sallanches
Place Charles-Albert. Fontaine monumentale commémorative du centenaire de la révolution française, 1889.
77
Sallanches
Place Charles-Albert. Fontaine monumentale commémorative du centenaire de la révolution française, 1889.
78
Sallanches
Place Charles-Albert. Fontaine monumentale commémorative du centenaire de la révolution française, 1889.
79
Hôtel de ville
L'hôtel de ville est achevé en 1844, dans le style néoclassique sarde. les façades sont solennelles, les fenêtres sont entourées d'une moulure et surmontées d'une tablette. Il a été conçu par François Justin.
80
Hôtel de ville
Sallanches dérive vraisemblablement du terme préceltique « Salanca », terme qui désigne un ravin où coule un ruisseau. Ce terme a la même origine que le mot calanque.
81
Hôtel de ville
L'impératrice Eugénie. Don de l'Empereur.
82
Hôtel de ville
Napoléon III. Don de l'empereur.
83
Hôtel de ville
Plafond décoré par Vicario.
84
Hôtel de ville
Plafond décoré par Vicario.
85
Hôtel de ville
Plafond décoré par Vicario. Armoiries de Sallanches. Le V représente le confluent de la Sallanche et de la Frasse.
86
Hôtel de ville
Plafond décoré par Vicario. Armoiries de la famiile des Faucigny.
87
Hôtel de ville
Plafond décoré par Vicario. Armoiries de la Savoie.
88
Hôtel de ville
Plafond décoré par Vicario. Armoiries de la famille des Bellegarde.
89
Hôtel de ville
Plafond décoré par Vicario.
90
Hôtel de ville
Plafond décoré par Vicario.
91
Hôtel de ville
Plafond décoré par Vicario.
92
Hôtel de ville
Table
93
Hôtel de ville
94
Sallanches
C'est ici que se déclara l'incendie de 1840 qui détruisit la ville. Charles Albert (son fils est Victor emmanuel II) décida de la reconstuire et fit appel à l'ingénieur François Justin qui adopta un plan romain où les rues se coupent à angles droits.
95
Sallanches
Le confluent de la Sallanche et de la Frasse.
96
Sallanches
La grenette ou halle au blé.
97
Sallanches
98
Sallanches
Château des Rubins. Ancienne demeure seigneuriale du XIVe siècle, il abrite le Centre de la nature montagnarde, sur 600 m2 d’exposition et 5 niveaux.
99
Église Saint-Jacques
Reconstruite en 1680 à la suite d'un énième incendie, sur une ancienne église du Xéme siècle qui avait été érigée en collégiale en 1389. Sa façade principale du XVIIème est percée d'un portail monumental avec son fronton curviligne interrompu, encadrant une niche dédiée à St Jacques et surmonté d'une serlienne (héritage de l'art baroque). Clocher du XVIIIe.
100
Église Saint-Jacques
Ce cadran très décoratif possède un disque percé d'un trou. L'heure au soleil est indiquée par la position de la tache lumineuse.
On observera la courbe "en huit" qui jusqu'en 1891, était chargée d'indiquer l'heure de Sallanches avançant de 17 minutes sur celle de Paris. Ce huit constitue aussi un calendrier solaire faisant intervenir les signes du zodiaque. Ce cadran possède 3 devises dont deux sous forme d'épigraphes, relevant d'un net engagement religieux. "Fugit velut umbra" ce qui signifie : "fuit comme l'ombre".
101
Église Saint-Jacques
102
Église Saint-Jacques
Sa décoration de style néoclassique est représentative de l'art sacré en Savoie au XIXème siècle. Elle est entièrement recouverte de fresques (réalisées par un artiste piémontais : Casimir Vicario puis terminées par ses élèves suite à son décès en 1847). Ces médaillons et tableaux instruisaient les fidèles sur l'ancien testament (pour les collatéraux) et sur la vie de Jésus pour la nef.
103
Église Saint-Jacques
104
Église Saint-Jacques
L'ancien maître autel du chœur. Marbre de carrare sculpté par Adami (Lyon). Bas-relief représentant les apôtres Pierre et Jean accourus au tombeau le matin de Pâques. Colonnes et statues sculptées par Charles Pédrini, représentant Saint Roch et Saint Sébastien. Le tableau mural inscrit dans le fronton en demi-cercle au-dessus du retable, figure la Cène, dernier repas du Christ et des apôtres, la veille de sa Passion ; il est inspiré de Léonard de Vinci.
105
Église Saint-Jacques
Tabernacle surmonté d'un baldaquin en forme de temple classique. Tableau central : arrestation de Saint Jacques avant son martyre (décapitation) en l’an 44.
106
Église Saint-Jacques
Les stalles du chœur. Elles sont l'œuvre d'artistes originaires du Piémont : J, Martelli, Etienne Gilardi et C. Pédrini. Elles ont été réalisées en noyer du pays.
Les stalles basses. En bas-reliefs sont; représentés les docteurs de l'église.
Les stalles hautes : statues des apôtres et diacres de 1.20m avec piédestaux en cul-de-lampe sculptées par Charles Pédrini.
107
Église Saint-Jacques
Les stalles du chœur. Elles sont l'œuvre d'artistes originaires du Piémont : J, Martelli, Etienne Gilardi et C. Pédrini.
Les stalles basses. En bas-reliefs sont; représentés les docteurs de l'église.
Les stalles hautes : statues des apôtres et diacres de 1.20m avec piédestaux en cul-de-lampe sculptées par Charles Pédrini.
108
Église Saint-Jacques
Les stalles du chœur. Elles sont l'œuvre d'artistes originaires du Piémont : J, Martelli, Etienne Gilardi et C. Pédrini.
Les stalles basses. En bas-reliefs sont; représentés les docteurs de l'église.
109
Église Saint-Jacques
Les stalles du chœur. Elles sont l'œuvre d'artistes originaires du Piémont : J, Martelli, Etienne Gilardi et C. Pédrini.
Les stalles hautes : statues des apôtres et diacres de 1.20m avec piédestaux en cul-de-lampe sculptées par Charles Pédrini.
110
Église Saint-Jacques
Les peintures murales : un catéchisme en images réalisé par des artistes peintres du Piémont entre 1847 et 1849 : Casimir Vicario, Clément Jacobini et Jean Ferraris.
111
Église Saint-Jacques
La Vie de Jésus (nef centrale).
112
Église Saint-Jacques
La Vie de Jésus (nef centrale).
113
Église Saint-Jacques
La Vie de Jésus (nef centrale).
114
Église Saint-Jacques
La Vie de Jésus (nef centrale).
115
Église Saint-Jacques
La Vie de Jésus (nef centrale).
116
Église Saint-Jacques
L'orgue de Callinet (1850). La présence d'un orgue en l'église remonte à 1644. Les buffets de l'orgue actuel réalisé par le facteur alsacien Callinet sont en chêne. Les angelots et statues de Sainte Cécile et du roi David ont été sculptés par Charles Pédrini.
117
Église Saint-Jacques
Médaillons, Ancien Testament (nefs latérales). Adam et Eve, autour de l'Arbre de la Connaissance, puis chassé du Paradis, Abraham et le sacrifice..
118
Église Saint-Jacques
Médaillons, Ancien Testament (nefs latérales). A droite, Ezechiel. A gauche, Isaïe avec la csie.
119
Église Saint-Jacques
Médaillons, Ancien Testament (nefs latérales). A droite, Amos.
120
Église Saint-Jacques
Médaillons, Ancien Testament (nefs latérales). A droite, Nahum.
121
Église Saint-Jacques
Médaillons, Ancien Testament (nefs latérales).
122
Église Saint-Jacques
Médaillons, Ancien Testament (nefs latérales). A droite, Malachie.
123
Église Saint-Jacques
Médaillons, Ancien Testament (nefs latérales). A droite, Michée, à gauche Habacuc.
124
Église Saint-Jacques
Médaillons, Ancien Testament (nefs latérales). A droite Joel.
125
Église Saint-Jacques
Médaillons, Ancien Testament (nefs latérales). A droite, Jérlie et Haruch, à gauche Daniel.
126
Église Saint-Jacques
Médaillons, Ancien Testament (nefs latérales). A droite, Noé, à gauche Moïse.
127
Église Saint-Jacques
Plafond de la chapelle st Pierre, les anciens fonts baptismaux.
128
Église Saint-Jacques
Autel et retable de la Compassion. Peintre : Clerc, 1853.
129
Église Saint-Jacques
Autel et retable de la Trinté. Ils ont été offerts à la Ste Trinité par Jean Baltard Marchand et bourgeois de Sallanches 1697.
130
Église Saint-Jacques
La chaire en noyer est l'œuvre de Jacques Martelli et d'Etienne Gilardi (1845). Sur la cuve, les quatre Evangélistes. Sous l’abat-voix, le bon Pasteur et la brebis égarée en référence au Christ.
131
Église Saint-Jacques
Fonts baptismaux.
132
Église Saint-Jacques
Le trésor d'art sacré : derrière les portes massives d'une armoire en noyer, une collection d'objets et d'ornements sacerdotaux légués par les chanoines de l'ancienne collégiale, des familles nobles et de riches émigrés savoyards, datant du 15e, 16e, 17e et 18e siècles.
133
Église Saint-Jacques
Le reliquaire-monstrance de Saint-Jacques du 15è siècle dans lequel est conservée une sainte relique. Cadeau des Espagnols pour l'aide apportée dans la chasse aux Maures. Mais on sait quel trafic était effectué autour des reliques...),
134
Église Saint-Jacques
Vestige de l'église médiévale, encastrée dans le mur sud au 19e une custode (tabernacle) de style gothique du 15e siècle, en pierre noire de Magland, dans un décor néogothique.
