Chamonix
Eglises de Cordon et de Combloux, Megève.
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Cordon, Balcon du Mont Blanc
Les Quatre Têtes et la Pointe Percée.
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Cordon, Balcon du Mont Blanc
Aiguilles de Varan et l'aiguille Rouge.
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Cordon, Balcon du Mont Blanc
La chaîne du Mont Blanc. de gauche à droite : l'aiguille Verte et les Drus, les Grandes Charmoz, aiguilles de Blaitière, aiguille du Plan, aiguille du Midi, Mont Blanc du Tacul, Mont Maudit, dôme du Goûter, Mont Blanc, aiguilles de Bionnassay, les dômes de Miage, aiguille de la Bérangère.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
La communauté de Cordon, rattachée à la collégiale de Sallanches, a utilisé la chapelle Notre-Dame du château comme église paroissiale jusqu'au 18e siècle. En 1781, la communauté obtient l'autorisation de construire une église. L'architecte Giovanni Pietro Mathole s'inspire du style de l'église de Saint-Nicolas La Chapelle. La construction dure jusqu'en 1785. L’extérieur est sobre, comme le préconisait l'Église catholique à l'époque.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Le cadran solaire restitué l’indique, nous sommes le 1er juillet 2011, une poignée de seconde avant l’heure du midi solaire.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Sa silhouette, équilibrée et vigoureuse est affinée, par un clocher à bulbe à lanternon, construite en 1816, ajouré de baies jumelles reposant sur des colonnettes médianes.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Le dernier incendie de clocher en 1973 fut important et nécessita l’intervention des "Monuments Historiques". Il a été recouvert d’acier « patiné » (peint à chaud) afin d’imiter au mieux la rouille d’un fer-blanc de 1816.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Le coq rappelle le reniement de Pierre.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Suivant les instructions de Charles Borromée, la façade tranche sur la sobriété de l’ensemble. Le crépi rustique des côtés laisse place à un enduit lissé, blanchi et souvent peint. A Cordon, protégée par un large avant-toit à trois pans, elle s’orne d’un fronton original, encadré de deux piédroits à chapiteaux composites surmontés de pots à feu : c’est le passage du monde profane au sacré. Le mouvement ascensionnel du porche vient s’achever dans un oculus ouvert au dessus de la serlienne réduite à un vitrail, permettant de s’élever de la terre vers le ciel ou du temporel à l’éternel.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Sous l' avant-toit à trois pans, trois peintures.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
La Visitation.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
La Trinité.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
L'Assomption de la Vierge.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
À droite, Saint Félix
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
L'intérieur est magnifique avec un retable et des peintures baroques. Des décors peints et fresques sont dus à un peintre suisse Joseph Léonard Isler (v 1759 - 1837; originaire d'Argovie), travaux réalisés entre 1785 et 1787. Le chœur carré à chevet plat permet de valoriser le maître autel.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Le maître autel, étonnant dans ses couleurs vertes et rouges nous amène de la vie terrestre à la vie céleste. Les colonnes torses, les angelots, les pots à feu, tous les symboles du baroque sont là.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Saint-François-de-Sales et la Vierge. Au-dessus, Saint-Antoine l'ermite. Les pots à feu symbolisent la relation avec les morts.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Saint-Joseph et un clerc (Gonzague). Au-dessus, Saint Jean-Baptiste.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
L’Assomption de Marie. Les colonnes torses qui sont ascendantes et descendantes montrent les relations qui existent entre les hommes et Dieu et entre Dieu et les hommes.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Tout en haut, Dieu le Père avec le triangle de la Trinité. Le rideau est la transition entre le mur et la voûte.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Le tabernacle est recouvert d'or, matière incorruptible comme Dieu.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Au centre, l'agneau aux sept sceaux.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
La grille du choeur. La vigne symbolise le sang du Christ.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Poutre de gloire ou tref. La poutre de gloire est ainsi désignée parce qu'elle porte toujours un crucifix. Elle est à l'origine du jubé.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Poutre de gloire ou tref. La poutre de gloire est ainsi désignée parce qu'elle porte toujours un crucifix. Elle est à l'origine du jubé.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Le chœur. La flagellation de Jésus.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Le chœur. Le sacrifice d’Abraham.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Le chœur. Jésus au jardin des oliviers.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Le chœur. L’institution de l’Eucharistie.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Saint-Michel.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Saint-Michel. Sur les piliers, les croix de consécration.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
La Vierge avec Saint Dominique et Sainte-Catherine.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
La Vierge avec Saint Dominique et Sainte-Catherine.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
La Crucifixion. A gauche, Saint Grat, évêque d'Aoste. A droite, Saint Félix.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
La Crucifixion.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
La Crucifixion. Les femmes de Jérusalem.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
La Crucifixion. La Résurrection.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Notre-Dame des sept Douleurs, statues de Saint-Joseph et de la Vierge à l'Enfant.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Notre-Dame des sept Douleurs. Saint-Joseph.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Notre-Dame des sept Douleurs. Au-dessus, le Coeur transpercé par le poignard.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Notre-Dame des sept Douleurs. La Vierge à l'Enfant.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Notre-Dame des sept Douleurs.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Notre-Dame des sept Douleurs.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Notre-Dame des sept Douleurs. La mort de Jésus
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Notre-Dame des sept Douleurs. Le couronnement d'épines.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
La coupole surbaissée, centrée sur la nef,est ornée de peintures en trompe-l'oeil, ce qui donne l'impression de profondeur. Ces peintures représentent la Nativité, la Visitation, la Présentation au temple, l'Annonciation.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Au centre, une couronne de nuages ,pour séparer le connu de l'inconnu. Les anges sont les intermédiaires entre Dieu et les hommes. La Nativité, mais la mort de Jésus est présente : l'agneau aux pattes liées, la charpente qui forme les deux croix des larrons.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
De gauche à droite, l'Annonciation, la Présentation au temple, la Visitation.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Les pendentifs, au décor des quatre évangélistes en médaillon, transforment le plan octogonal des murs en plan circulaire à la hauteur du dôme. Saint-Jean.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Saint Mathieu.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Saint Marc.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Saint Luc.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
Le couronnement de la Vierge, L’Assomption de la Sainte Vierge.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
La descente du Saint Esprit sur les apôtres, L’Ascension du Christ.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
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Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Cordon.
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Combloux, église saint Nicolas.
Le but de la contre-réforme qui s’exprime par l’art baroque est double : réanimer la foi des populations très éprouvée par les conditions de vie très difficiles et établir un rempart contre le protestantisme. Suite au Concile de Trente, les évêques se dépensent sans compter pour que les idées de la contre réforme fleurissent en Savoie. Dans le moindre village, on bâtit, on rebâtit une église dans un art nouveau, chaleureux et coloré, c’est l’art baroque.
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Combloux, église saint Nicolas.
Avec ses 45m, le clocher est le plus important de la Haute-Savoie. Comme dans de nombreuses paroisses, il fut détruit pendant la révolution et reconstruit dans sa forme actuelle en 1828 d’après les plans de Claude François Amoudruz. Il passe pour être le plus beau et le plus sophistiqué de l’art bulbaire savoyard, grâce son double bulbe et sa double galerie.
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Combloux, église saint Nicolas.
Le clocher a été abattu lors de la Révolution. Grâce à l’élan donné par un vicaire nommé Dutruel et la générosité des habitants, la tour et le clocher furent rebâtis en 1828 dans sa forme actuelle.
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Combloux, église saint Nicolas.
Le revêtement est en acier inoxydable traité, pour lui donner son aspect patiné. Avec sa double galerie, son double bulbe, sa flèche dorée terminée par une boule, une croix et un coq, ce clocher a été qualifié « le plus important et le plus beau de toute la Savoie » par M. Michaud, architecte des Bâtiments de France, lors de son inauguration en 1976.
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Combloux, église saint Nicolas.
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Combloux, église saint Nicolas.
La sobriété architecturale de l'édifice est pondérée par les chaînages d'angles, récemment dégagés, peints en trompe l'oeil.
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Combloux
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Combloux, église saint Nicolas.
Combloux a eu une église dédiée à Saint-Nicolas au début du XVème siècle. Elle fut reconstruite entre 1702 et 1704 sur la base de l’ancienne église. La façade de l'église est restaurée en 1925 en marbre gris, par le maître carrier Joseph Martinelli. Le porche monumental est en granit de Combloux. Deux médaillons portent des inscriptions bibliques : textes de Malachie et de saint Jacques.
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Combloux, église saint Nicolas.
St Nicola est le patron des enfants et des marins.
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Combloux, église saint Nicolas.
Sous l’auvent, quatre peintures représentent la légende de St Nicolas : saint Nicolas apaisant la tempête, épisode des trois filles à Myre,
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Combloux, église saint Nicolas.
Saint Nicolas sauvant les trois petits garçons dans le saloir, st Nicolas choisit comme évêque de Myre.
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Combloux, église saint Nicolas.
Le retable central est la principale œuvre d’art, réalisé au 18ème siècle en bois sculpté et polychrome.
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Combloux, église saint Nicolas.
L’autel et le tabernacle, surmonté d’un baldaquin, le tout formant un ensemble remarquable par sa légèreté et le final de l’exécution. Sur les piliers et dans le chœur : dix croix de consécration de l’église.
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Combloux, église saint Nicolas.
Les statuettes dorées à l'or fin de St Pierre et St Paul encadrent le tabernacle. Le tableau représente l'Annonciation.
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Combloux, église saint Nicolas.
St Nicolas.
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Combloux, église saint Nicolas.
St Augustin.
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Combloux, église saint Nicolas.
l’Assomption de Marie, accueillie au ciel par la Trinité : le Fils à gauche, le Père à droite et le saint Esprit au-dessus.
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Combloux, église saint Nicolas.
Le retable latéral a été reconstitué et restauré en 1972, par les Monuments Historiques, à partir d’éléments d’anciens autels de l’église.
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Combloux, église saint Nicolas.
Toile restaurée du XVIIIe siècle représentant 3 personnages, Saint Pierre, Ste Anne et St Guérin. Les bustes reliquaires sont ceux de St François de Sales et de Ste Jeanne de Chantal.
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Combloux, église saint Nicolas.
St Roch.
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Combloux, église saint Nicolas.
St Antoine de Padoue.
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Combloux, église saint Nicolas.
Vierge à l'Enfant.
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Combloux, église saint Nicolas.
Supplice de Ste Apolline, jeune chrétienne martyrisée à Alexandrie, vers la fin du 3ème siècle. Vêtue d’une tunique rouge, elle est liée à une colonne. À côté d’elle, le bourreau, le visage sombre, les traits durs, tient en main une tenaille avec laquelle il lui arrache la langue. Le sujet est traité d’une manière très réaliste, mais aussi avec une certaine naïveté qui en fait le charme. Ste Apolline est la patronne des dentistes.
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Combloux, église saint Nicolas.
St Sébastien, martyr pour sa foi vers la fin du 3ème siècle et St Roch. N’ayant pas pu le faire apostasier, l’empereur condamne Sébastien, capitaine de sa garde, à servir de cible aux archers. St Roch, en tenue de pèlerin, le bâton à la main, accompagné de son chien, montre du doigt son genou blessé. Sans doute vient-il implorer sa guérison à l’occasion d’un pèlerinage au tombeau de St Sébastien. Au-dessus d’eux, la Vierge et l’Enfant-Jésus les couvrent de leur protection. St Sébastien et St Roch sont invoqués pour lutter contre la peste.
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Combloux, église saint Nicolas.
Bartolomé Esteban Murillo - Vierge à l'enfant. sans doute une belle copie.
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Combloux, église saint Nicolas.
Saint Antoine de Padoue.
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Combloux, église saint Nicolas.
Saint-Roch.
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Combloux, église saint Nicolas.
Vitrail de A. Bernard, Grenoble, 1902. La Vierge à l'Enfant, couronnée, donnant le rosaire à saint Dominique.
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Combloux, église saint Nicolas.
Le Sacré-Cœur.
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Combloux, église saint Nicolas.
Saint Sébastien.
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Combloux, église saint Nicolas.
Le baptême de Jésus.
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Megève
Le patronyme MEGEVE est d'origine Celte "MAG-EVA". MAG dans le sens d'habitations et EVA traduisant l'eau, qui correspond à la situation du village entre deux torrents : le Glapet et le Nant des Cordes qui se rejoignent en aval de la station et donnent naissance à la rivière d'Arly.
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Megève
"Il était une fois My Way". Sculpture de Pierre Margara. Hommage à Jacques Revaux compositeur de « My Way». Jacques Revaux, Claude François, Paul Anka.
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Megève
"Il était une fois My Way". Sculpture de Pierre Margara. Hommage à Jacques Revaux compositeur de « My Way». Jacques Revaux, Claude François, Paul Anka.
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Megève
"Il était une fois My Way". Sculpture de Pierre Margara. Hommage à Jacques Revaux compositeur de « My Way». Jacques Revaux, Claude François, Paul Anka.
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Megève
Ce bâtiment occupe le bout de l'ancien couvent. Allard est l'inventeur du pantalon fuseau.
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Megève
La place de l'église et son clocher à bulbe.
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Megève
Donjon dit « La Tour de Demi-Quartier », ancienne maison de la famille de Capré, , seigneurs de Megève, et mairie de Demi-Quartier.
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Megève
Construit entre 1904 et 1906, l’actuel Hôtel de ville, de style néo-classique, est l’œuvre de Fleury Raillon, l’architecte départemental de la Haute-Savoie de 1898 à 1938.
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Megève
Cadran solaire fait par Paul Couderc de l’observatoire de Paris.
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Megève
Église Saint-Jean-Baptiste, dont les parties les plus anciennes remontent au XIIIe siècle avec sa porte en bois de 1692, et qui côtoie le prieuré bénédictin fondé au XIIe siècle.
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Megève
Le clocher à bulbe a été érigé au XVIIIe siècle et partiellement reconstruit au siècle suivant, au cours de la Restauration sarde par le megévand Muffat de Saint-Amour.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Façade et avant-nef de l'église. L'avant nef date de 1872. Sa façade en granit de Combloux, présente toutes les caractéristiques du style baroque : portail monumental, fronton, niches et clocher à bulbe. Statues de l'Immaculée Conception (haut) et de Saint Jean Baptiste (bas).
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Église Saint-Jean-Baptiste
La porte en bois de 1692, avec, en son centre, l'anneau de garde pour avoir le droit d'asile.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Un premier édifice, dont la date de construction nous est inconnue, est mentionné à Megève dès 1202. Les trois parties principales du bâtiment actuel renvoient à trois époques différentes : le chœur, de style gothique tardif, date du milieu du XVe siècle ; la nef a quant à elle été entièrement reconstruite à la fin du XVIIe siècle ; l’avant nef, enfin, a été ajoutée dans les années 1870.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Huit imposants piliers, décorés de fresques en trompe-l’œil, soutiennent les voûtes ornées des peintures de Mucengo, vers 1828
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Église Saint-Jean-Baptiste
Chœur du style gothique flamboyant. Il est meublé de beaux sièges en bois dont le dos sculpté représente des personnages bibliques.
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Église Saint-Jean-Baptiste
A droite, le tabernacle est scellé dans le mur. Daté de 1443, il a été mis à jour lors des travaux de restauration de 1955.Le retable, daté de 1731, offert par les époux Périnet, a été sculpté et peint par Jean Baptiste Bozzo, sculpteur de l’empereur d’Autriche Ferdinand VI. Partiellement détruit pendant la période révolutionnaire, il fut reconstruit et mis au goût du jour avec la restauration Sarde. Le panneau inférieur comprend l’autel finement décoré d’ors et le tabernacle surmonté d’un baldaquin. Le panneau central est occupé dans sa partie centrale par le baldaquin qui surmonte le tabernacle. Entre les colonnes en stuc supportant des chapiteaux dorés et qui forment à droite et à gauche des niches, on peut admirer les statues dorées de Ste Élisabeth avec Jean-Baptiste enfant, et Ste Anne enseignant Marie enfant. Deux autres statues fixées sur un socle dans le mur du chœur à hauteur des précédentes : Bienheureux Amédée de Savoie à gauche et St Joseph à droite. La partie supérieure est composée d’un remarquable dais avec colombe blanche et angelots.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Les vitraux ont été posés en 1959 et réalisés par Jean-Marie Baylan. Les vitraux bleus représentent le curé d’Ars, Jean-Baptiste, François d’Assise et François de Sales.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Les vitraux ont été posés en 1959 et réalisés par Jean-Marie Baylan.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Les vitraux ont été posés en 1959 et réalisés par Jean-Marie Baylan.
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Église Saint-Jean-Baptiste
En 1956, l'artiste Georges Gimel (1898-1962) réalise un chemin de croix émaillé avec des oxydes métalliques précieux.
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Église Saint-Jean-Baptiste
En 1956, l'artiste Georges Gimel (1898-1962) réalise un chemin de croix émaillé avec des oxydes métalliques précieux.
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Église Saint-Jean-Baptiste
La décoration intérieure fut confiée au peintre Italien Mucengo datant après 1827. Endommagée par l'humidité, elle est restaurée en 1859 par le peintre J.B Ferraris.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Au milieu des quadrilobes, en médaillon, les quatre docteurs de l’église : St Augustin, St Ambroise, St Grégoire et St Jérôme.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Au milieu des quadrilobes, en médaillon, les quatre docteurs de l’église : St Augustin, St Ambroise, St Grégoire et St Jérôme.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Au milieu des quadrilobes, en médaillon, les quatre docteurs de l’église : St Augustin, St Ambroise, St Grégoire et St Jérôme.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Au milieu des quadrilobes, en médaillon, les quatre docteurs de l’église : St Augustin, St Ambroise, St Grégoire et St Jérôme.
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Église Saint-Jean-Baptiste
L’orgue date de 1842. Il possède alors 26 jeux, deux claviers manuels de 54 notes et un pédalier de 18 notes. Il est dû aux frères Joseph et Claude-Ignace Callinet. Il a été rénové en 1957 et porté à 48 jeux avec un jeu de chamade à l'horizontale. Une totale reconstruction a été effectuée, en 2004, par Daniel Kern, facteur à Strasbourg.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Plafond des nefs latérales.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Plafond des nefs latérales.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Plafond des nefs latérales.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Plafond des nefs latérales.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Plafond des nefs latérales.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Plafond des nefs latérales.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Plafond des nefs latérales.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Plafond des nefs latérales.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Nef de droite. Autel dédié à la Sainte Vierge, statue en bois dorée. La couronne de 15 médaillons représente les mystères du Rosaire. De part et d’autre les statues de Ste Marthe et de Ste Marie-Madeleine.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Les 15 médaillons représentant les mystères du Rosaire. Ste Marthe et ste Marie-Maseleine.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Nef de droite. Autel et tableau de St Joseph et de St Jean l'évangéliste. Statues en bois de Saint Aimé et de Sainte Christine.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Nef de gauche. Autel et tableau de l'apparition du Sacré-Cœur à Marguerite-Marie Alacoque.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Nef de gauche. Autel et tableau de Saint Claude et de Saint François de Sales. Statues des saints.
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Église Saint-Jean-Baptiste
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Église Saint-Jean-Baptiste
La chaire est couverte de somptueuses boiseries sculptées représentant la vie de St Jean-Baptiste. Elle fait face à la croix.
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Église Saint-Jean-Baptiste
La chaire est couverte de somptueuses boiseries sculptées représentant la vie de St Jean-Baptiste. Elle fait face à la croix.
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Église Saint-Jean-Baptiste
Bénitier en marbre noir veiné de blanc du XVIIIe siècle.
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Chapelle Sainte-Anne
Cette petite chapelle, de dimension modeste, érigée en 1500 est sur la même place que l’église Saint Jean Baptiste. Elle a été réparée en 1734. Dans la niche, Sainte Anne et la Vierge. Dans l’incendie de 1728, la chapelle subit d’importants dommages, mais elle fut réparée grâce à Jean-Baptiste Périnet dont la générosité est reconnue par cette inscription sur la façade : « Ex dono pietate J.B. Perinet megevensis et in Austria civis Viennensis. 1734 ». (Par la générosité et la piété de J.B. Périnet de Megève et en Autriche citoyen de Vienne)
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Chapelle Sainte-Anne
Intérieur de la chapelle Sainte Anne ou chapelle des Pénitents (début XVIe siècle).
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Chapelle Sainte-Anne
Elle abrite une icône sur bois doré de 2005, faite par Karine Vadim, artiste russe. Elle représente un Christ en majesté, entouré du « tétramorphe ». Les « quatre êtres vivants » dont parlent le prophète Ezéchiel et l’Apocalypse, sont l’emblème des quatre évangélistes : le lion pour Marc, le taureau pour Luc, l'homme pour Matthieu et l'aigle pour Jean. Dans l'auréole, l'alpha et l'oméga et la croix. On peut dire que c'est une icône baroque car elle est de couleur or, le personnage est déformé, le nez et la bouche sont étroits pour montrer la dimension spirituelle.
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Chapelle Sainte-Anne
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Chapelle Sainte-Anne
Les vitraux sont de 1978, par l'atelier Balayn établi à Castelnau-le-Lez et Loriol.
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Chapelle Sainte-Anne
Les vitraux sont de 1978, par l'atelier Balayn établi à Castelnau-le-Lez et Loriol.
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Chapelle Sainte-Anne
Les vitraux sont de 1978, par l'atelier Balayn établi à Castelnau-le-Lez et Loriol.
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Chapelle Sainte-Anne
Les vitraux sont de 1978, par l'atelier Balayn établi à Castelnau-le-Lez et Loriol.
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Chapelle Sainte-Anne
Les vitraux sont de 1978, par l'atelier Balayn établi à Castelnau-le-Lez et Loriol.
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Chapelle Sainte-Anne
Pietà, sculpture contemporaine de Constant Demaison.
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Chapelle Sainte-Anne
Pietà, sculpture contemporaine de Constant Demaison.
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Chapelle Sainte-Anne
La crucifixion était réservée pour les esclaves. Le condamné portait la partie horizontale de la croix qu'on appelle le patibulum. La partie verticale s'appelle le stipex.
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Megève
Portail de l'ancien cimetière.
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Megève
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Musée
Le Musée de Megève est installé dans l'ancienne Maison de Charité de la ville. Acheté à un fermier par le révérend Blaise Gaspard ORSY, cet établissement, aménagé par deux charpentiers mègevans, avait ouvert ses portes en 1707. Il était alors géré par la Compagnie des Dames de la Charité, fondée en 1696 par le même prêtre, avec pour mission de "servir les malades, visiter et secourir les pauvres, protéger les orphelins et recueillir les infirmes ne pouvant ni travailler ni mendier". Après la Révolution, en 1795, la Maison de Charité devient un Hospice pouvant héberger 20 pauvres, hommes et femmes. En 1862, le curé Ambroise MARTIN en confie la direction aux Soeurs de Saint-Joseph. Plusieurs projets infructueux de reconstruction de l'Hospice se succèdent au cours du XXe siècle. À partir de 1982, quelques années après l'ouverture de la nouvelle maison de retraite, l'ancien hospice inoccupé accueille des expositions thématiques : c'est l'époque de "Megève Expo", galerie d'exposition gérée par Robert JEANROY qui devient officiellement le Musée de Megève en 1988. Le musée du Haut Val d’Arly de Megève a été créé en 1987 à l’initiative du Docteur Charles Socquet, historien et médecin de Megève, et de Martine Senet Ball, antiquaire.
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Musée
Haut-relief en bois sculpté commémorant la visite pastorale de Saint-François-de-Sales au prieuré de Megève le 24 juillet 1606.
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