Les Charmettes, le lac du Bourget
Les Charmettes, Le château de Thomas II, le prieuré et l'église du Bourget, l'abbaye de Hautecombe.
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Les Charmettes.
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Les Charmettes.
En 1728, Jean-Jacques Rousseau quittant Genève, se réfugie auprès de Madame de Warens à Annecy, puis à Chambéry. A partir de l'été 1735, il s'installe avec celle qu'il appelle «Maman» dans une maison de campagne des environs de la ville. II y séjournera jusqu'en 1742. Située au creux du vallon boisé des Charmettes, cette maison va entrer dans la légende littéraire, Rousseau lui consacrant des pages capitales de ses Confessions et des Rêveries, associant à cette période de sa vie son unique expérience du bonheur et son culte de la nature.
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Les Charmettes.
A partir de l'époque révolutionnaire, la maison devient un lieu de pèlerinage pour les visiteurs du monde entier et de nombreuses célébrités (George Sand et Alphonse de Lamartine racontent avec émotion leur visite).
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Les Charmettes.
Ce lieu, où s'est formée la personnalité d'un des plus grands écrivains de langue française, témoigne de son influence dans l'évolution de la pensée universelle: la nature, le romantisme, l'éducation, le bonheur, le siècle des Lumières, les droits de l'homme et la citoyenneté.
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Les Charmettes.
Elevée sur une terrasse dominant la ville, la maison des Charmettes est un exemple de ces sobres constructions qui, dès la fin du XVII siècle, s'édifièrent autour du bassin chambérien et autour desquelles s'ordonnaient de petites propriétés de rapport.
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Les Charmettes.
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Les Charmettes.
Le jardin botanique.
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Les Charmettes.
Alkekenge ou amour en cage
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Les Charmettes.
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Les Charmettes.
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Les Charmettes.
La salle à manger. Les deux pièces du rez-de-chaussée, salle à manger et salon de musique, sont décorées de peintures en trompe-l'œil à la mode italienne.
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La salle à manger
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La salle à manger
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La salle à manger. Portrait de Jean Jacques Rousseau
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Le salon de Musique
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Le salon de Musique
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Le salon de Musique
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Le salon de Musique
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Le salon de Musique
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Le salon de Musique
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Le salon de Musique
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Le salon de Musique
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Les Charmettes.
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Les Charmettes.
Un large escalier conduit à l'oratoire et aux chambres respectives d e Jean-Jacques Rousseau et de madame de Warens.
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Les Charmettes.
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Notre Dale des Ermites.
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Les Charmettes.
Chambre de Madame de Warens aux Charmettes. Les fenêtres s'ouvrent sur un cadre naturel largement préservé (site inscrit) qui contribue à donner à ces lieux leur charme évocateur.
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Chambre de Rousseau aux Charmettes.
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Les Charmettes.
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La dent du Chat.
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Canal donnant sur le lac du Bourget.
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Le château de Thomas II.
En 1248, Thomas II, frère du comte de Savoie Amédée IV, obtient du prieur du Bourget le droit de construire une maison et un vivier entre la Leysse, le lac et la forêt. Le comte Amédée V choisit ce château pour résidence principale de la cour. Mais, dès la fin du XVe siècle, les comtes et ducs de Savoie lui préfèrent celui de Ripaille, au bord du Léman. Le château de Thomas il est déjà en ruine lorsqu'il est vendu au XVIIe siècle aux Laurent puis aux de Buttet, barons du Bourget.
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Le château de Thomas II.
Un lieu de rendez-vous agréable, propice à la chasse et à la pêche. Situé au centre de leur domaine, proche de Chambéry ou de Hautecombe, ils pouvaient par chemin ou voie d'eau gagner aussi bien la Bresse, que le Viennois, le Genevois ou encore Avignon.
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Le château de Thomas II.
La cour était itinérante et ne séjournait au château qu'à certaines périodes, se rendant d'un château à l'autre. La vie de cour fut marquée par de grands événements : fiançailles, mariages, naissances, baptêmes... Des artistes renommés embellirent le château jusqu'au début du XVème siècle. Le château fut aussi un lieu de diplomatie et de justice.
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Le château de Thomas II.
Le corps du logis est ce qui reste du bâtiment reconstruit au 15ème siècle après un incendie. Bâtiment en L il se composait à l’origine de 3 étages et d’une cave. Au premier étage, se trouvait la aula, grande salle, pour les réceptions.
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Le château de Thomas II.
Le plan général du XIIIe siècle est un quadrilatère structuré par une courtine associée à quatre tours et une tour-porte à pont-levis. Au nord-ouest un corps de logis flanqué de deux tours-résidences rectangulaires.
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Le château de Thomas II.
Tour nord-ouest.
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Le château de Thomas II.
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Le château de Thomas II.
a tour nord-ouest (le donjon) est la plus importante. Elle comportait quatre étages et mesurait 18 mètres de haut et 10 mètres de côté. Les planchers des différents étages ont disparu mais on peut encore voir les cheminées en molasse et les latrines à chaque étage. Les fenêtres à coussièges étaient fermées par du verre, signe de modernité et de confort. Un escalier à vis dessert les différents étages.
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Le château de Thomas II.
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Le château de Thomas II.
Fenêtre à coussiège.
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Le château de Thomas II.
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Le château de Thomas II.
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Le château de Thomas II.
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Le château de Thomas II.
Tour nord-ouest. Deux cheminées en molasse dont celle du bas pourvue encore de sa hotte. .
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Le château de Thomas II.
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Le château de Thomas II.
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Le château de Thomas II.
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Le château de Thomas II.
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Le château de Thomas II.
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Le château de Thomas II.
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Le château de Thomas II.
Latrine 1.
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Le château de Thomas II.
latrine 2 décalée.
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Le château de Thomas II.
Tour des Archives et tour de la Poterne.
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Le château de Thomas II.
Tour des Archives et tour de la Poterne.
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Le château de Thomas II.
T our de la Poterne.
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Le château de Thomas II.
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Le château de Thomas II.
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Le prieuré Saint-Maurice.
Les jardins à la Française étaient au départ un potager et un verger pour subvenir au besoin du monastère. La Duchesse de Choiseul au début du XXème siècle en fera un jardin d’agrément avec des ifs taillés et des essences remarquables telles que, cryptomeria japonica, magnolia, gingko biloba. Ils sont labellisés "jardins remarquables" par le Ministère de la culture en 2006.
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Le prieuré Saint-Maurice.
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Le prieuré Saint-Maurice.
Corinne, statue de Jacques Coquillay, sculpteur parisien.
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Le prieuré Saint-Maurice.
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Le prieuré Saint-Maurice.
Le prieuré clunisien Saint-Maurice a été fondé vers la fin du XIe siècle. II dépendait directement de l'abbé de Cluny. Les bâtiments conventuels, implantés au sud de l'église, ferment un remarquable cloître gothique, œuvre des prieurs de Luyrieux au XVe siècle. En 1582, le prieuré est donné aux jésuites de Chambéry, puis en 1773 aux Cordeliers. II est vendu comme bien national à la Révolution et transformé en ferme. La duchesse de Choiseul le rachète au début du XXe siècle et fait aménager les jardins de style néoclassique.
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Le prieuré Saint-Maurice.
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Le prieuré Saint-Maurice.
Le réfectoire. Première pièce à l’entrée. C’est ici que les moines prenaient leurs repas. La salle est vaste car ces moines accueillaient nécessiteux et pèlerins.
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Le prieuré Saint-Maurice.
Deux vaisseliers de style néogothique meublent également la pièce.
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Le prieuré Saint-Maurice.
Passe plats.
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Le prieuré Saint-Maurice.
Passe plats.
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Le prieuré Saint-Maurice.
La pièce attenante au réfectoire, la cuisine, possède une très belle cheminée du XVème siècle en molasse, pierre de la région.
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Le prieuré Saint-Maurice.
La cuisine. Au centre de cette cheminée, le blason de la famille de Luyrieux dont deux personnages ont été prieurs et ont contribué à la splendeur du prieuré.
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Le prieuré Saint-Maurice.
Sur la plaque de cheminée les quatre vertus cardinales et les trois vertus théologales sont représentées sous les traits de cinq femmes reconnaissables par leurs attributs.
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Le prieuré Saint-Maurice.
A gauche, deux vertus cardinales : la force (le glaive) et la justice (la balance, ici la colonne ?) . A droite les deux autres : la prudence (miroir et serpent) et la tempérance (deux récipients avec de l’eau passant de l’un à l’autre). Au centre, les trois vertus théologales : la foi (colombe ou croix tréflée, un livre ou un ostensoir, ici la femme voilée ?), l’espérance (une ancre ou une barque) et la charité (un cœur enflammé).
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Le prieuré Saint-Maurice.
La cuisine.
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Le prieuré Saint-Maurice.
La bibliothèque est un ravissement pour les yeux avec son plafond en cuir de Cordoue. Aménagée en bibliothèque au début du XXème siècle par la Duchesse de Choiseul, on ignore la fonction de cette pièce au temps des moines. Peut-être servait-elle de scriptorium (lieu où sont copiés les manuscrits). Aujoud'hui, la salle des mariages.
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Le prieuré Saint-Maurice.
Salle des mariages. Hotte de la cheminée.
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Le prieuré Saint-Maurice.
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Le prieuré Saint-Maurice.
Le cloître, autour duquel s’articulent les pièces, mais aussi la vie monastique, possède quelques particularités. Tout d’abord il n’est pas complet puisqu’un seul côté est pourvu d’une galerie. Apparemment il n’aurait pas été achevé. La galerie actuelle date du XVème siècle. C’est Oddon de Luyrieux, prieur, qui l’a faite réaliser dans le style gothique.
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Le prieuré Saint-Maurice.
Autre particularité : la galerie supérieure est de style roman et la galerie inférieure de style gothique. Dans un bâtiment, les parties anciennes sont normalement en bas des monuments… La galerie supérieure a été construite au XIIIème siècle et fait partie de l’ancien cloître.Au XVe siècle, le prieur Aynard de Luyrieux, issu d'une noble famille du Bugey, puis son neveu Oddon de Luyrieux, en entreprennent la restauration. Ces deux étapes expliquent la juxtaposition de deux architectures différentes.
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Le prieuré Saint-Maurice.
Vers le XIIe siècle, les moines de Cluny s'établissent au Bourget. Ils construisent le prieuré attenant à l'église paroissiale.
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Le prieuré Saint-Maurice.
Le cloitre.
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L'église paroissiale Saint-Laurent
Chevet de la Prioriale du Bourget du Lac.
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L'église paroissiale Saint-Laurent
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L'église paroissiale Saint-Laurent
La façade a été entièrement refaite en 1887 ; elle était jadis précédée d'un clocher-porche.
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L'église paroissiale Saint-Laurent
L’église sera remaniée au XVème siècle sous le priorat de Aynard de Luyrieux. C’est à cette époque qu’elle sera surélevée avec un voûtement en ogive, type de l’art gothique. Les derniers changements interviendront au XIXème siècle. L’entrée romane sera détruite au profit de la façade actuelle et de la construction de la tribune, le chœur sera surélevé et les vitraux changés, le Jubé démonté et replacé dans le chœur.Sur le mur de droite du chœur, une ouverture permettait à la famille de Savoie d’assister à la messe. Jusqu’au milieu du XIXème siècle, l’église était séparée en deux par un Jubé.
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L'église paroissiale Saint-Laurent
L'intérieur offre deux étages superposés de styles différents: la partie inférieure jusqu'à la retombée des arcs d'ogive, est romane, à part les fenêtres du chœur, et la partie supérieure est gothique. Un détail prouve le contraste des styles: le haut des colonnes (les entablements} est trop large pour la retombée des arceaux gothiques.
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L'église paroissiale Saint-Laurent
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L'église paroissiale Saint-Laurent
Les sculptures disposées aujourd'hui autour du chœur proviennent du jubé qui séparait depuis le XIIIe siècle le chœur des moines de la nef réservée au service paroissial. Ces sculptures polychromes, chef-d'œuvre par excellence, représentent les grands événements de la vie du Christ. Elles forment une série de six groupes sculptés sur des blocs de 1 m de haut. Nous ignorons le nom de l'artiste qui a sculpté cet ensemble, mais le style est celui de l'école Bourguignonne.
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L'église paroissiale Saint-Laurent
L'apparition du ressuscité à Marie-Madeleine. Inquiète de la disparition du corps du Christ, la sainte femme s'entend appelée par son prénom et reconnaît alors le Sauveur. Revêtu d'un manteau rouge, Jésus, par un geste de la main lui signifie son refus explicite d'être touché (noli me tangere).
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L'église paroissiale Saint-Laurent
La Vierge entourée de six apôtres assistant à une Ascension dont le Christ est absent.
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L'église paroissiale Saint-Laurent
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L'église paroissiale Saint-Laurent
Les saintes femmes au tombeau, la Descente de croix et les pèlerins d'Emmaüs.
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Les pèlerins d'Emmaüs.
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L'église paroissiale Saint-Laurent
La Pentecôte et l'apparition du Christ à Thomas. Ce morceau. aurait pu être placé après la Résurrection.
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L'église paroissiale Saint-Laurent
La Pentecôte, avec la langue de feu au-dessus des apôtres
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L'église paroissiale Saint-Laurent
La Pentecôte, avec la langue de feu au-dessus des apôtres
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L'église paroissiale Saint-Laurent
La scène des rameaux. Le Christ chevauchant un âne est suivi de ses apôtres. Deux groupes de personnages l'entourent symétriquement : enfants montés dans des arbres, habitants de Jérusalem tenant des palmes ou étendant des tapis.
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L'Annonciation, Joseph est averti par deux anges de la paternité divine de Jésus et de l'impérieuse nécessité de la fuite en Égypte pour échapper au massacre des Innocents, l'adoration des Mages.
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L'adoration des Mages et Joseph est averti par deux anges de la paternité divine de Jésus.
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L'Annonciation, Joseph est averti par deux anges de la paternité divine de Jésus et de l'impérieuse nécessité de la fuite en Égypte pour échapper au massacre des Innocents.
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Dans la chapelle de la Sainte Vierge, on peut observer le vitrail du XIVe siècle. La partie supérieure n'appartenait peut-être pas au même vitrail car elle est plus large que les registres inférieurs et le fond est de couleur différente. En haut, Pierre et Paul sur fond violet damassé. Au-dessous, la crucifixion avec Marie et Jean. Le dernier registre porte les armes des princes de Savoie. La bordure qui entoure le vitral est du XVe siècle, comme l'attestent les armes et la devise des De Luyrieux.
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L'Assomption.
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A gauche en entrant, on remarque un bénitier rectangulaire du XIIIe siècle ( en bas, à droite). Au centre de l’arc ogival trônait une très belle statue représentant une Vierge enseignante, statue en pierre polychrome du XVème siècle. (Statue non visible de nos jours.)
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Modillon sculpté en demi-relief représentan un ange en buste tenant l'écu des Luyrieux. 4e quart 15e siècle
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Modillon sculpté en demi-relief représentan un ange en buste tenant l'écu des Luyrieux. 4e quart 15e siècle
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Modillon sculpté en demi-relief représentan un ange en buste tenant l'écu des Luyrieux. 4e quart 15e siècle
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Saint Laurent.
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Au bas des marches, à droite, se dresse contre le mur la dalle funéraire d'Oddon de Luyrieux qui se trouvait dans une chapelle du prieuré. Les os du squelette sont agencés de façon fantaisiste. Dans la bordure coupée aux quatre angles par des écussons des Luyrieux qui semblent avoir été martelés, se trouve l'inscription funéraire. 15e siècle
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La chapelle des fonts baptismaux0. Les chapelles latérales ont conservé leur arcature en plein cintre et leurs fenêtres romanes. A gauche en entrant, on remarque un bénitier rectangulaire du XIIIe siècle.
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L'église paroissiale Saint-Laurent
L'église paroissiale Saint-Laurent, ancienne église prieurale est construite sur une crypte romane dédiée à Notre-Dame-la-Basse, elle-même édifiée sur les vestiges d'un temple gallo-romain. Située en-dessous du chœur de l'église, elle formait un petit sanctuaire dédié à la Sainte Vierge sous le titre de «Notre-Dame-la-Basse». On ignore la date de sa fondation, le XI e siècle? De plan hémicirculaire, elle est divisée en trois nefs recouvertes par une voûte en berceau plein cintre.
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L'église paroissiale Saint-Laurent
On y trouve divers morceaux romains comportant des inscriptions votives en l'honneur de Mercure, protecteur des voyageurs, provenant sans doute d'un temple païen érigé au Bourget. MERCURO AUGUST SACRUM TITUS TERENTUS CATULLUS V.S.L.M Ce qui se traduit par : (V.S.L.M : votus solvit libens merito) Titus Terentius Catullus a érigé cet autel à Mercure en accomplissement d’un vœu.
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Un petit autel votif dont le dessus est creusé d’une rainure et d’une encoche pour l’écoulement des libations porte l’inscription : LUCIUS CATIUS LUCANUS MERCURIO V.V.S..L.M signifiant : (V.V.S..L.M : ut voverat solvit libens merito) Lucius Catius a érigé cet autel à Mercure comme il en avait fait le vœu.
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Le lac du Bourget.
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L'abbaye de Hautecombe
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L'abbaye de Hautecombe
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L'abbaye de Hautecombe
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L'abbaye de Hautecombe.
À la fin du XIIe siècle, des moines cisterciens venus de la Haute Combe de Cessens, dans l'Albanais, construisent un nouveau monastère en ce lieu appelé Charaï. Cette abbaye est choisie comme nécropole par les comtes de Savoie à partir du XIVe siècle, puis par les derniers souverains de la Maison de Savoie aux XIXe et XXe siècles. L'abbaye, ruinée durant la Révolution française, est rachetée par Charles-Félix, roi de Piémont-Sardaigne, en 1824 sur ses propres deniers. II confie sa restauration à l'architecte piémontais Ernest Melano. Porte de l'Aumône, avec les armes de Jacques de Poyria, abbé de Hautecombe de 1424 à 14737, son constructeur.
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L'abbaye de Hautecombe.
La reine Marie-Christine fait élever dès 1834 la façade monumentale, ornée de médaillons aux armes de Savoie et de sculptures figurant les vertus de la Foi et de la Morale. L'architecte Ernesto Melanorénova l'abbaye dans le style néo-gothique flamboyant, dit "troubadour".
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L'abbaye de Hautecombe.
Auparavant, l'entrée s'effectuait au nord, par la chapelle de Belley qui conserve sa porte sculptée du XVIe siècle. En 1992, au départ des moines, l'archevêque de Chambéry a appelé la Communauté du Chemin-Neuf à poursuivre la vocation de prière et d'accueil de ce lieu.
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L'abbaye de Hautecombe.
Dessus de porte de la sacristie.
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L'abbaye de Hautecombe.
Chapelle et tombeau du roi d'Italie Umberto II et de la reine Marie-José.
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L'abbaye de Hautecombe.
Gisant de Sibylle de Baugé, première épouse d'Amédée V de Savoie.
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Tombe de Clémence de Zähringen, femme d'Humbert III de Savoie.
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La Grange Batelière. Appelé aussi voûte, ce grand bâtiment cistercien de plan rectangulaire a été construit aux XIIIe et XIVe siècles. Sa partie basse, voûtée et baignée par les eaux du lac, accueillait les bateaux. À l'étage, dans un vaste grenier charpenté étaient conservés grains et fourrages de l'abbaye. Outre cet édifice, bassins, moulins et celliers permettaient l'exploitation d'un important domaine rural qui s'étendait grâce à ses nombreuses granges, bien au-delà des rives du lac du Bourget.
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La Grange Batelière.
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La Grange Batelière. L'ancien débarcadère sous la grange batelière.
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La Grange Batelière.
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La Grange Batelière.
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La Grange Batelière. L'ancien débarcadère sous la grange batelière.
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La roselière du lac.
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La roselière du lac.
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