Puget-Théniers
Puget-Théniers, Puget-Rostang, La Croix-sur-Roudoule.
Accueil
Contact
Puget-Théniers
La gare du train des Pignes. Les premiers travaux de la ligne Nice Digne sont lancés en 1883 entre Digne et Mézelk. C'est une voie métrique qui permet de tracer des courbes plus serrées et d'envisager des rampes à plus forte inclinaison. En 1892, les sections Nice – Puget-Théniers et Digne – Saint André sont livrées à la circulation. Ce n'est qu'en 1911 que la ligne est totalement achevée sur ces 151 km.
1
Puget-Théniers
La gare du train des Pignes. L'histoire féodale de la fut tumultueuse : démêlés violents des habitants avec les seigneurs de la lignée des Glandevès de Saint-Auban; en 1385, confiscation de la seigneurie qui fut inféodée aux Grimaldi de Beuil, puis rattachée, en 1400, au domaine de la Maison de Savoie; un Grimaldi de Busca en fut investi, en 1704, avec titre comtal. Le château avait été pris et rasé en 1691 sur ordre de Louis XIV. La ville, à l'écart des communications (la route ne fut ouverte qu'en 1868), était en pleine régression quand le rattachement à la France en 1860 amena le retour à la prospérité. Sous-préfecture jusqu'en 1926. Patrie du troubadour Bertrand de Puget (XIIIème siècle), de l'historien provençal Papon (XVIIIème siècle), du socialiste Blanqui (XIXème siècle).
2
Puget-Théniers
La gare du train des Pignes.
3
Puget-Théniers
La gare du train des Pignes. Ancien château d'eau.
4
Puget-Théniers
Ancienne locomotive et anciens wagons.
5
Puget-Théniers
Plate-forme de retournement.
6
Puget-Théniers
7
Puget-Théniers
Ancien wagon.
8
Puget-Théniers
Ancien hall à marchandises.
9
Puget-Théniers
L'action enchaînée ou la liberté entravée. Cette statue de bronze installée dès 1908 est due à Aristide Maillol. Elle a été érigée en l'honneur du révolutionnaire Louis Auguste Blanqui (1805 – 1881), natif de Puget-Théniers.
10
Puget-Théniers
L'action enchaînée ou la liberté entravée. E Pottier est l'auteur des paroles de L'Internationale.
11
Puget-Théniers
L'action enchaînée ou la liberté entravée. Cette statue de bronze installée dès 1908 est due à Aristide Maillol. Elle a été érigée en l'honneur du révolutionnaire Louis Auguste Blanqui (1805 – 1881), natif de Puget-Théniers.
12
Puget-Théniers
L'action enchaînée ou la liberté entravée. Cette statue de bronze installée dès 1908 est due à Aristide Maillol. Elle a été érigée en l'honneur du révolutionnaire Louis Auguste Blanqui (1805 – 1881), natif de Puget-Théniers.
13
Puget-Théniers
L'action enchaînée ou la liberté entravée. Cette statue de bronze installée dès 1908 est due à Aristide Maillol. Elle a été érigée en l'honneur du révolutionnaire Louis Auguste Blanqui (1805 – 1881), natif de Puget-Théniers.
14
Puget-Théniers
L'action enchaînée ou la liberté entravée. Cette statue de bronze installée dès 1908 est due à Aristide Maillol. Elle a été érigée en l'honneur du révolutionnaire Louis Auguste Blanqui (1805 – 1881), natif de Puget-Théniers.
15
Puget-Théniers
L'action enchaînée ou la liberté entravée. Cette statue de bronze installée dès 1908 est due à Aristide Maillol. Elle a été érigée en l'honneur du révolutionnaire Louis Auguste Blanqui (1805 – 1881), natif de Puget-Théniers.
16
Puget-Théniers
La Roudoule.
17
Puget-Théniers
La Roudoule.
18
Puget-Théniers
Rue du 4 septembre (1870). Jour de proclamation de la IIIe République. Maisons à encorbellement avec leurs balustrades en bois.
19
Puget-Théniers
Rue du 4 septembre (1870). Jour de proclamation de la IIIe République. Ancienne sous-préfecture. L'occupation du comté de Nice dès 1792 par les troupes révolutionnaires aboutit à la création du département des Alpes-Maritimes en 1793 et à l'installation 'un sous-préfet en 1800. Puget-Théniers reste sous-préfectures jusqu'à en 1926.
20
Puget-Théniers
Rue du 4 septembre (1870). Jour de proclamation de la IIIe République.
21
Puget-Théniers
Ancienne sous-préfecture. L'occupation du comté de Nice dès 1792 par les troupes révolutionnaires aboutit à la création du département des Alpes-Maritimes en 1793 et à l'installation 'un sous-préfet en 1800. Puget-Théniers reste sous-préfectures jusqu'à en 1926.
22
Puget-Théniers
Borne frontière. En 1388, la Provence assiste à la dédition des vallées niçoises. Le futur comté, dont Puget-Théniers fait partie, décide de quitter la tutelle des comtes de Provence pour se placer sous celle de la maison de Savoie. Ainsi s'établit une frontière qui passe notamment entre Puget-Théniersr et Entrevaux restée provençale.
23
Puget-Théniers
24
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Puget-Théniers dépendait de l'évêché de Glandèves. En 1066 l'église appartient à l’abbaye de Lérins. Cette abbaye possède alors de nombreuses propriétés alentour. Le 4 juin 1599, le R.P. Lascaris, prieur, accepte d’entretenir deux moines et un prêtre pour le service de la paroisse sous condition que les droits de l'abbaye de Lérins soient sauvegardés. Cette situation va durer jusqu’en 1793.
25
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. La façade occidentale est remaniée au XVe siècle. C’est probablement à cette date que l'entrée de l'église est déplacée. Le nouveau portail est orné de colonnettes et surmonté d’un linteau avec un tympan sans décor. Le décentrement de l’oculus supérieur montre qu'il y a eu des remaniements tardifs.
26
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Le mur gouttereau nord garde la trace d’un ancien portail latéral disparu et muré.
27
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. La différence d'appareillage montre bien la surélévation de l'église au XVIIIe siècle.
28
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. L'appareillage régulier de l'abside avec trois baies d'égales dimensions (l'une étant dissimulée par le presbytère du XIXe siècle) et sa frise en dents d'engrenage semblent montrer que sa construction date du dernier tiers du XIIIe siècle. La frise est surmontée d'une corniche en quart-de-rond qui marque la limite entre la partie ancienne et les surélévations plus récentes.
29
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption.
30
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Au XVIIIe siècle, suite à un incendie de la charpente, l’église est modifiée. L'église est surélevée entraînant la construction de nouvelles voûtes en stuc surbaissées. On augmente l'éclairage de la nef en ouvrant des baies polylobées dans le mur gouttereau sud dans chacune des nouvelles chapelles latérales qui ont été aménagées dans la nef.
31
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. L'église est à nef unique fermée par une large abside semi-circulaire.
32
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Retable du Rosaire.
33
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Le retable du Rosaire a été réalisé vers 1730 pour l'église du couvent des Augustins. Il possède trois niches contenant la Vierge du Rosaire (remplacée aujourd'hui par un crucifix), saint Antoine ermite et saint Blaise à gauche. Des tableautins finement sculptés entourent la niche centrale et représentent les Mystères. Au-dessus des niches latérales, des représentations de saint Dominique et sainte Catherine de Sienne.
34
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Le retable de Saint-Nicolas-de-Tolentino. Retable en bois avec niche centrale avec une statue moderne de saint Nicolas de Talentino. Sur les côtés, deux colonnes torses en bois, autour desquelles s'enroulent des guirlandes de roses fleuries. De chaque côté de la niche, guirlandes dorées. Tabernacle en bois peint avec l'image de saint Joseph.
35
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Au sommet, grand cartouche figurant une étoile.
36
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Statue de la Vierge à l'Enfant du retable.
37
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption.
38
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Vierge intercédant auprès de Dieu pour sauver des pécheurs.
39
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption.
40
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption.
41
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Décoration de la voûte de l'église peinte par L. Adami. La décoration est terminée le 26 novembre 1888 avec des médaillons représentant saint Nicolas de Tolentino et sainte Apollonie en prison.
42
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Décoration de la voûte de l'église peinte par L. Adami
43
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Décoration de la voûte de l'église peinte par L. Adami
44
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. L'abside avec le maître-autel et le retable de Notre-Dame-de-Bon-Secours
45
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Maître-autel exécuté en boiseries sculptées, dorées et peintes vers 1770.
46
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Retable de Notre-Dame du Bon Secours. Le polyptyque est attribué à Antoine Ronzen. Il porte la date du 29 juillet 1525. Il n'en subsiste plus que le triptyque central. La seule œuvre signée d'Antoine Ronzen est le grand polyptyque de la Crucifixion qui se trouve dans la basilique Sainte-Marie-Madeleine de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume. Les retables de Puget-Théniers et de Villars-sur-Var lui sont attribués par comparaison. D'origine flamande, formé à Venise vers 1500, il a travaillé en 1512 avec Antoine Bréa et s'est marié à Puget avant 1508. On peut remarquer des palettes de couleurs nordique - gris, verts et bleus - et vénitienne - ocre et rouge vénitien. Par ses détails, on doit comprendre la signification symbolique du panneau central. Cette œuvre évoque l'intercession ou le « secours », c'est-à-dire la possibilité de s'adresser à Dieu par la médiation de Marie. Ainsi voit-on dans un mouvement ascendant les regards qui se suivent jusqu'à la main du Christ désignant le père. Les attitudes de la vierge « avocate des pécheurs » et du Christ supplcié, entouré des instruments de la passion, sont éclairés par le texte au pied de la croix emprunté à l'abbé Arnaud de Chartres (XIIe siècle)
47
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Panneau central : Le Christ sauveur, la Vierge intercédant et le donateur, un homme de justice probablement. Derrière, une colonne rappelant la flagellation de Jésus, au-dessus, un coq, en référence au reniement de saint Pierre. L'inscription aux pieds du Christ décrit le tableau : Tutum habet homo accessum ad Deum ubi habes filium ante patrem et matrem ante filium. Filius ostendit latus et vulnera. Mater ostendit pectus et ubera. Nulla poterit esse repulsa ubi sunt tot charitatis insignia (tu as un accès certains auprès de Dieu quand tu as le Fils devant la Mère et la Mère devant le Fils. Le Fils montre ses plaies et son côté, la Mère montre sa poitrine, aucune demande ne pourra être repoussée là où il y a tant d'amour dans le cœur).
48
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. À droite saint Jacques le Majeur en tenue de pèlerin porte un chapeau orné d'une coquille, d'un bourdon et des clés de Saint-Pierre. Ces insignes rappellent les deux grands pèlerinages après Jérusalem : Compostelle et Rome.
49
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Panneau central : Le Christ sauveur, la Vierge intercédant et le donateur, un homme de justice probablement. Derrière, une colonne rappelant la flagellation de Jésus, au-dessus, un coq, en référence au reniement de saint Pierre. L'inscription aux pieds du Christ décrit le tableau : Tutum habet homo accessum ad Deum ubi habes filium ante patrem et matrem ante filium. Filius ostendit latus et vulnera. Mater ostendit pectus et ubera. Nulla poterit esse repulsa ubi sunt tot charitatis insignia (tu as un accès certains auprès de Dieu quand tu as le Fils devant la Mère et la Mère devant le Fils. Le Fils montre ses plaies et son côté, la Mère montre sa poitrine, aucune demande ne pourra être repoussée là où il y a tant d'amour dans le cœur).
50
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Le polyptyque était destiné au maître-autel de l'église conventuelle Notre-Dame-de-Pitié des Augustins. C'est ce qui explique la présence de saint Nicolas de Tolentino à la droite du Christ, un des docteurs de cet ordre. Saint Nicolas de Tolentino portant un livre ouvert sur lequel on peut lire : « Precepta patris mei augustini servavi » (je sers la règle de mon père spirituel Augustin). Au centre, un sujet rare mais pas unique, Marie montre ces seins, comme pour dire à Dieu « j'ai nourri ton fils, prend soin de ce malheureux ».
51
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Panneau central : Le Christ sauveur, la Vierge intercédant et le donateur, un homme de justice probablement. Derrière, une colonne rappelant la flagellation de Jésus, au-dessus, un coq, en référence au reniement de saint Pierre. L'inscription aux pieds du Christ décrit le tableau : Tutum habet homo accessum ad Deum ubi habes filium ante patrem et matrem ante filium. Filius ostendit latus et vulnera. Mater ostendit pectus et ubera. Nulla poterit esse repulsa ubi sunt tot charitatis insignia (tu as un accès certains auprès de Dieu quand tu as le Fils devant la Mère et la Mère devant le Fils. Le Fils montre ses plaies et son côté, la Mère montre sa poitrine, aucune demande ne pourra être repoussée là où il y a tant d'amour dans le cœur).
52
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Un ange placé dans l’écoinçon droit tient les armoiries de la Savoie. Le moine franciscain Saint Bernardin de Sienne a renoncé par trois fois à devenir évêque, comme l'indiquent les mitres à ses côtés. C'est le patron du donateur, et il tient un soleil avec au centre «<IHS »
53
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Un ange placé donateur dans l’écoinçon gauche tient les armoiries de Saint-Martin, saint patron de la ville avant que Saint Nicolas de Tolentino le remplace en 1710.
54
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption.
55
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption.
56
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption.
57
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Buste-reliquaire de saint Honorat, martyr, bois doré.
58
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption.
59
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption.
60
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption.
61
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption.
62
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Tout le décor de la voûte est peint en trompe-l'oeil.
63
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Décor peint en trompe-l'oeil de l'abside : saint Matthieu et saint Jean.
64
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Décor peint en trompe-l'oeil de l'abside : saint Luc et saint Marc.
65
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Groupe sculpté de la Passion. Il a été réalisé en bois de tilleul ciré, vers 1520, comme le montrent les habits. Il a d'abord été attribué à Mathieu d'Anvers qui a signé en 1524 la statue de saint Jean-Baptiste qui se trouve dans l'église de Villars-sur-Var et qui était présent à Colmars-les-Alpes en 1530. Cependant, l'inégalité de l'exécution a fait attribuer l'ensemble à un atelier bourguignon ou flamand à son retour d'Italie. Les deux premiers ensembles - la Crucifixion et la mise au tombeau - traduisent une influence germanique ou flamande, en particulier dans les visages des deux larrons, de Joseph d'Arimathie et de Nicodème. L'ensemble de la Résurrection montre une influence italienne
66
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Sa disposition n'est pas celle d'origine. La Résurrection devait être en premier plan, ce qui expliquerait que les personnages de la scène soient de plus petite taille pour augmenter l'effet de profondeur, devant la mise au tombeau et derrière la Crucifixion. Le bois de tilleuls était probablement polychromé à l'origine.
67
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Groupe de la mise au tombeau. Debouts à l'arrière-plan, Jean, Marie et les Saintes femmes manifestent leur émotion. Celle de droite porte deux attributs de la passion : les clous de la Croix et la couronne d'épines. Tout à gauche, Marie-Madeleine, tête nue, n'est sans doute pas à sa place d'origine.
68
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Groupe de la mise au tombeau, avec à gauche, Joseph d'Arimathie, et à droite, Nicodème. Ils portent sur le linceul le corps du supplicié.
69
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Debouts à l'arrière-plan, Jean, Marie et les Saintes femmes manifestent leur émotion. Celle de droite porte deux attributs de la passion : les clous de la Croix et la couronne d'épines. Tout a gauche, Marie-Madeleine, tête nue, n'est sans doute pas à sa place d'origine.
70
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Résurrection : Soldats endormis avec une arbalète, armement caractéristique du début du XVIe siècle.
71
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Groupe la Crucifixion. Le Christ est entouré des deux larrons (Dimas le bon, à sa droite, et Destas le mauvais) entravés à des pièces de bois, leurs jambes profondément entaillées.
72
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Groupe la Crucifixion. Le Christ est entouré des deux larrons (Dimas le bon, à sa droite, et Gestas le mauvais) entravés à des pièces de bois, leurs jambes profondément entaillées.
73
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Le Christ.
74
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Crucifixion : Gestas, le mauvais larron.
75
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Crucifixion : Dimas, le bon larron.
76
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Une partie du mobilier provient du couvent des Augustins qui a été supprimé en 1783. Les stalles en bois ciré sont signées par un menuisier pugetois, H? Conil, vers 1770.
77
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption.Statue en bois doré représentanr l'Assomption de la Vierge.
78
Puget-Théniers
Eglise Notre-Dame de l'Assomption. Cloche fondue par les frères Rosina en 1812-1813.
79
Puget-Théniers
En 1965, le peintre Louis Dussour réalise pour la municipalité une grande fresque habillant les murs de la salle des délibérations, aujourd'hui occupé par la médiathèque.
80
Puget-Théniers
L'adjudant-chef Léon Rémond sauva des otages le 3 mai 1944, alors qu'ils allaient être fusillés par les Allemands.
81
Puget-Théniers
Sur le mur central sont peintes les personnalités natives de Puget-Thénier.
82
Puget-Théniers
83
Puget-Théniers
84
Puget-Théniers
85
Puget-Théniers
Sur le mur de gauche, le peintre a restitué à sa manière Blanqui dans son activisme pour le peuple et contre les régimes monarchiques et autoritaires.
86
Puget-Théniers
87
Puget-Théniers
Sur le mur de droite, une Marianne trône entre des citations d'Auguste Blanqui et de Saint-Just sur la république et l'action révolutionnaire.
88
Puget-Théniers
89
Puget-Théniers
Rue qui longe les anciens remparts.
90
Puget-Théniers
Base d'une toir de frotification du faubourg.
91
Puget-Théniers
Ruines du château des Grimaldi au-dessus de la ville avec la base du donjon XIIe siècle et les vestiges de l'enceinte. Le château avait été pris et rasé en 1691 sur ordre de Louis XIV.
92
Puget-Théniers
93
Puget-Théniers
Emplacement des anciennes tanneries. Au début du XIXe siècle, la ville devient un centre important de l'industrie du cuir dans le comté de Nice. La tannerie ferma définitivement ses portes en 1960.
94
Puget-Théniers
Arrivée de l'eau (la bélière).
95
Puget-Théniers
L'arrière de la chapelle des pénitents.
96
Puget-Théniers
97
Puget-Théniers
Fontaine de la place Conil.
98
Puget-Théniers
Fontaine de la place Conil.
99
Puget-Théniers
Dans la seconde moitié du XIIIe siècle, Puget-Théniers connait un essor économique important sous l'impulsion du comte de Provence qui l'érige au rang de chef-lieu de baillie. La cité accueille alors une petite communauté juive. On la cantonne dans une rue dédiée et bénéficiant de privilèges légaux que l'on a coutume de nommer en Provence « juiverie » ou « carrière ».
100
Puget-Théniers
Rue judaïque.
101
Puget-Théniers
Rue de Verdun.
102
Puget-Théniers
La "petite fontaine", à l'angle de la rue de Verdun et de la rue Viborel est traversée par le canal d'alimentation de la fontaine de la place Conil.
103
Puget-Théniers
passage voûté de la rue de Verdun.
104
Puget-Théniers
Lionel Monges a peint en 2011 un chevalier spectateur de la crucifixion, inspiré d'une œuvre de Louis Bréa, et une servante du palais d'Hérode,inspirée d'une œuvre de Jean Canavesio.
105
Puget-Théniers
Porche de l'ancien couvent de templiers, rue Papon.
106
Puget-Théniers
Couvent des Templiers (1242 – 1308). Escalier de la Renaissance.
107
Puget-Théniers
Couvent des Templiers (1242 – 1308). Escalier de la Renaissance.
108
Puget-Théniers
Maison natale de Jean-Pierre Papon (1734 – 1803).
109
Puget-Théniers
Buste de Jean-Pierre Papon. En 1780, Papon est nommé conservateur de la bibliothèque de Marseille où il achève l'histoire générale de Provence.
110
Puget-Théniers
Les montants de cette porte sont ornés de poissons qui peuvent évoquer une poissonneries ou un rappel du signe de reconnaissance des premiers chrétiens. Au-dessus, un cœur et un trèfle ont été sculptés.
111
Puget-Théniers
Porte surmontée d'une croix pattée.
112
Puget-Théniers
113
Puget-Théniers
Porte à linteau à accolade surmontée d'une monogrammes du Christ entrelacé IHS.
114
Puget-Théniers
Maison natale d'Alexandre Barety.
115
Puget-Théniers
Maison natale d'Alexandre Barety.
116
Puget-Théniers
117
Puget-Théniers
Couvent des Augustins. Le couvent de l'ordre mendiant des Augustins est fondée dans la ville à la fin du XIIIe siècle. Il sera fermé le 15 mai 1783.
118
Puget-Théniers
Couvent des Augustins. La façade porte des éléments de blason, crosse et mitre abbatiale.
119
Puget-Théniers
Couvent des Augustins. La façade porte des éléments de blason, crosse et mitre abbatiale.
120
Puget-Théniers
121
Puget-Théniers
Ancienne porte médiévale fortifiée.
122
Puget-Théniers
123
Puget-Théniers
Ancien tribunal de grande instance, place Casimir-Brouchier. Le tribunal d'instance situé dans l'ancien prétoire du couvent des Augustins est créé en même temps que la sous-préfecture en 1800. Comme dans l'église, c'est le menuisier pugétois Honoré Conil qui se charge du mobilier. Il cesse ses activités définitivement en 1970.
124
Puget-Théniers
Maison médiévale à encorbellemnt et pans de bois.
125
Puget-Théniers
Les extrémités des poutres du plafond sont ouvragées et l'une d'elles est sculptée d'une tête.
126
Puget-Théniers
Maison médiévale à encorbellemnt et pans de bois.
127
Puget-Théniers
128
Puget-Théniers
Passage voûté de la rue de Verdun.
129
Puget-Théniers
Verstiges de la deuxième porte.
130
Puget-Théniers
Ancienne menuiserie Casimir Brouchier dont les initiales figurent au-dessus de la porte. Ambitieux, le menuisier fit construire en 1906 l'usine du Sarret sur la rive droite du Var où 200 ouvriers s'employaient jour et nuit à transformer les grumes, de la coupe jusqu'au vernissage des meubles.
131
Puget-Théniers
Plaque de la compagnie d'assurance "l'union" sur une maison médiévale.
132
Puget-Théniers
La chapelle Sainte-Croix des Pénitents Blancs date du XVIe siècle. Située rue Lucien-Viborel, elle a été restaurée. C'est la seule chapelle subsistante des huit chapelles primitives. Sa belle façade classique date du XVIe-XVIIe siècle.
133
Puget-Théniers
La chapelle Sainte-Croix des Pénitents Blancs date du XVIe siècle. Située rue Lucien-Viborel, elle a été restaurée. C'est la seule chapelle subsistante des huit chapelles primitives.
134
Puget-Théniers
Devanture de 1718. Au dessus, les lettres r et A qui pourraient être les initiales du propriétaires ou les outils stylisés d'un cordonnier.
135
Puget-Rostang
Une des trois portes qui donnaient accès au village.
136
Puget-Rostang
Auge de la dîme du XVIe.
137
Puget-Rostang
L’habitat est fortement aggloméré. Les murs pignons mitoyens et les façades juxtaposées forment des bandeaux continus qui constituent une véritable enceinte.
138
Puget-Rostang
Un ange.
139
Puget-Rostang
Partie basse d'un pressoir.
140
Puget-Rostang
Les bandes de constructions épousent les courbes de niveau délimitant ainsi un réseau de voies "principales" parallèles, reliées entre elles par des passages en escaliers.
141
Puget-Rostang
Cette disposition entraîne un type d'habitat particulier : la maison est en hauteur, sur trois ou quatre niveaux et de plan rectangulaire allongé. La façade principale est sur le mur gouttereau et donne directement sur la rue. Une seconde rue borde la façade arrière par laquelle on accède directement à la partie du logement proprement dite.
142
Puget-Rostang
Eglise de la Trinité. En 1871, le clocher est surélevé et doté d’un campanile.
143
Puget-Rostang
Eglise de la Trinité. Restes de peinture. le clocher a été souligné par une bande de frise de guillochis oblique bleu sur fond blanc courant sur les arêtes nord et sud à l’extérieur.
144
Puget-Rostang
Eglise de la Trinité. De l’église romane extrême fin du XIIIe s. – 1/3 XIVe s. subsisterait la nef aux murs remaniés. Dans la seconde moitié du XVIe s., l’abside est remplacée par une travée de chœur au couvrement porté par de fortes nervures non appareillées. Dans le dernier tiers du XVIIIe s. est construit une abside, polygonale à l’extérieur semi-circulaire à l’intérieur, couverte d’un plafond plat et décor rococo
145
Puget-Rostang
Eglise de la Trinité. L’arc triomphal est animé par les trois vertus théologales : « Charité, Foi, Espérance » (le calice, la croix et l’ancre) encadrées par des têtes d’angelots. La décoration est en stuc.
146
Puget-Rostang
Eglise de la Trinité.
147
Puget-Rostang
Eglise de la Trinité. L’abside est décorée d’un plafond demi circulaire animé d’une colombe avec nuage et rayonnement.
148
Puget-Rostang
Eglise de la Trinité. L’autel se compose trois gradins avec un tabernacle habillé de marbre gris clair. Scellée sur le tabernacle du maître autel se trouve une gloire en marbre tenue par quatre colonnes en marbre blanc.
149
Puget-Rostang
Eglise de la Trinité. Sainte Anne entre Saint Grat, évêque d'Aoste et Saint-Joseph. En haut, la sainte Trinité avec le Christ et Dieu tenant le monde entre leurs mains et la colombe du Saint Esprit. Jean André, de Castellane 1662.
150
Puget-Rostang
Eglise de la Trinité. Du côté sud, casque, sponton (lance courte) et palme en stuc sont une référence à saint Julien, dont le buste était conservé dans la niche en dessous fermée par une porte.
151
Puget-Rostang
Eglise de la Trinité. Tableau de 1734. Donation du Rosaire à Saint Dominique et à Sainte Catherine de sienne.
152
Puget-Rostang
Eglise de la Trinité. Au centre, autel de la Vierge.
153
Puget-Rostang
Eglise de la Trinité. Sainte Anne et Marie.
154
Puget-Rostang
Eglise de la Trinité.
155
Puget-Rostang
Eglise de la Trinité. Le fond de l’abside est animé par deux couronnes « végétalisées » en stuc, encadrant à l’origine deux petits tableaux circulaires (tondo). Nous ne connaissons pas l’iconographie de ces tableaux. Aujourd'hui, statue de St Julien.
156
Puget-Rostang
Eglise de la Trinité. Le fond de l’abside est animé par deux couronnes « végétalisées » en stuc, encadrant à l’origine deux petits tableaux circulaires (tondo). Nous ne connaissons pas l’iconographie de ces tableaux.
157
Puget-Rostang
Eglise de la Trinité.
158
Puget-Rostang
Eglise de la Trinité. Une lucarne a été percée en 1871 au-dessus de la porte de l’église dans l’axe vertical du clocher, afin d’harmoniser la façade. Cependant à l’intérieur, cet oculus est décalé par rapport à l’axe de la nef. À l’origine, il était fermé par un châssis supportant des vitraux de couleur assortis.
159
Puget-Rostang
Eglise de la Trinité.
160
Puget-Rostang
Eglise de la Trinité. Le baptistère surmonté d’une coquille et d’une colombe en stuc.
161
Puget-Rostang
Eglise de la Trinité. Le baptistère surmonté d’une coquille et d’une colombe en stuc.
162
Puget-Rostang
Le lavoir.
163
Puget-Rostang
Maison seigneuriale.
164
Puget-Rostang
Maison seigneuriale. Les maisons sont dotées d’auvents à l’étage supérieur.
165
Puget-Rostang
166
Puget-Rostang
L'écomusée du pays de la Roudoule.
167
Puget-Rostang
L'écomusée du pays de la Roudoule. Un joug.
168
Puget-Rostang
L'écomusée du pays de la Roudoule. Des araires.
169
La Croix-sur-Roudoule.
Fief des templiers puis des hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem, La Croix sur Roudoule a gardé de son passé médiéval quelques morceaux de remparts et une porte fortifié
170
La Croix-sur-Roudoule.
Porte d'enceinte fortifiée du début du XVe siècle, à l'entrée du village.
171
La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique.
172
La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique.
173
La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique. Tableau, la Vierge intercédant pour les damnés.
174
La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique. Le tableau le plus ancien est celui représentant Sainte Catherine.
175
La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique. Fragment de retable de Bréa. Saint-Jean Baptiste est représenté avec le même visage que Saint Iréné à Levens
176
La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique. Fragment de retable de Bréa. Saint Michel.
177
La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique.
178
La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique.
179
La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique.
180
La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique.
181
La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique. A droite, saint Sébastien.
182
La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique.
183
La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique.
184
La Croix-sur-Roudoule.
À l'entrée du village chapelle Notre-Dame du Rosaire. Retable et toile du 18ème siècle. Donation du Rosaire à saint Dominique et à sainte Catherine de Sienne. Autour, les Mystères de la Vierge.
185
La Croix-sur-Roudoule.
À l'entrée du village chapelle Notre-Dame du Rosaire.
186
La Croix-sur-Roudoule.
À l'entrée du village chapelle Notre-Dame du Rosaire.
187
La Croix-sur-Roudoule.
À l'entrée du village chapelle Notre-Dame du Rosaire. Joseph Gaspard Corporandy d'Auvare, lieutenant général dans le Génie, né en 1722, mort en 1804.
188
La Croix-sur-Roudoule.
189
La Croix-sur-Roudoule.
Château rustique du XVIIe siècle (le château des Corporandy d'Auvare) remanié au XIXe siècle.
190
La Croix-sur-Roudoule.
Ancien reposoir du cimetière.
191
La Croix-sur-Roudoule.
Au fond, dôme de Barrot
192
La Croix-sur-Roudoule.
Croix au sommet du village sur une stèle de grès datée de 1867.
193
Léouvé.
Ancien hangar des charettes. Dans les dernières années de l'époque sarde, les recherches minières vont en s'intensifiant. Le 6 juin 1860, le Roi de Sardaigne Victor Emmanuel II signe l'acte instituant les concessions de l'ubac de Jourdan et du Cerisier en faveur de MM. Heneage, Thomas Thompson et Francfort. Dans un premier temps, les gisements du Cerisier, qui occupent une trentaine d'ouvriers, ne fournissent qu'une dizaine de tonnes de minerai épuré par un simple lavage. La société concessionnaire les expédie en Angleterre par les ports de Nice ou de Marseille. Dès 1836, afin d'augmenter la teneur en cuivre du minerai, un atelier de préparation mécanique, est édifié sur la rive gauche de la Roudoule. En 1878 une voie carrossable est réalisée de Puget-Théniers jusqu'à la mine. A partir de 1878, les ingénieurs projettent d'édifier un demi haut-fourneau de fusion. Mais l'activité de la mine plafonne. En 1886, les activités de la mine sont arrêtées. Au total 100 000 tonnes de tout venant ont été extraites pour 2500 tonnes de cuivre.
194
Léouvé.
Scorie de la mine.
195
Léouvé.
Graffitis de 1894
196
Léouvé.
La cheminée du demi haut-fourneau de la mine de cuivre de Cerisier à Léouvé.
197
Léouvé.
La cheminée du demi haut-fourneau de la mine de cuivre de Cerisier à Léouvé.
198
Léouvé.
La cheminée du demi haut-fourneau de la mine de cuivre de Cerisier à Léouvé.
199
Accueil
Contact