Île Saint-Honorat

<center>L’île Saint-Honorat </center> C'est l'une des deux îles de Lérins situées dans la baie de Cannes Elle est la plus éloignée de la côte et plus petite que Sainte-Marguerite, mais plus grande que Saint-Ferréol. Longue de 1 460 m et large de 400 m, elle se situe à 2,9 km au sud du cap de la Croisette L'île Saint-Honorat a une vocation monastique depuis 410 : on y trouve le monastère de Lérins.
L’île Saint-Honorat
C'est l'une des deux îles de Lérins situées dans la baie de Cannes Elle est la plus éloignée de la côte et plus petite que Sainte-Marguerite, mais plus grande que Saint-Ferréol. Longue de 1 460 m et large de 400 m, elle se situe à 2,9 km au sud du cap de la Croisette L'île Saint-Honorat a une vocation monastique depuis 410 : on y trouve le monastère de Lérins.
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Son ancien monastère fortifié, situé dans la presqu'île dans le sud de l'île et visible de loin, domine directement la mer. L'île Saint-Honorat perpétue le souvenir d'Honorat d'Arles (saint Honorat). À la fin du IVe siècle, saint Honorat, recherchant la solitude, se fixe dans une des deux îles « Lerinas » mais sa retraite est connue et les disciples accourent. Résigné, le saint fonde un monastère qui comptera parmi les plus illustres et les plus puissants de la chrétienté. En 660, saint Aygulf y établit la règle bénédictine Les incursions des Sarrasins, des corsaires génois, la mise en commende, les attaques espagnoles, les garnisons placées dans l'île ne sont guère favorables à la vie monastique. En 1047, les plus jeunes moines sont capturés et emmenés en Espagne puis rachetés par saint Isarn.
L’île Saint-Honorat
Son ancien monastère fortifié, situé dans la presqu'île dans le sud de l'île et visible de loin, domine directement la mer. L'île Saint-Honorat perpétue le souvenir d'Honorat d'Arles (saint Honorat). À la fin du IVe siècle, saint Honorat, recherchant la solitude, se fixe dans une des deux îles « Lerinas » mais sa retraite est connue et les disciples accourent. Résigné, le saint fonde un monastère qui comptera parmi les plus illustres et les plus puissants de la chrétienté. En 660, saint Aygulf y établit la règle bénédictine Les incursions des Sarrasins, des corsaires génois, la mise en commende, les attaques espagnoles, les garnisons placées dans l'île ne sont guère favorables à la vie monastique. En 1047, les plus jeunes moines sont capturés et emmenés en Espagne puis rachetés par saint Isarn.
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Après de multiples et nombreuses attaques, il est instauré au XIVe siècle un système de signalisation entre la tour fortifiée du monastère et la tour du Suquet, située à Cannes. En 1400 l'île est de nouveau pillée ; dès lors, l'abbaye sera gardée par des soldats qui habiteront dans les endroits fortifiés du monastère.

Entre 1635 et 1637, les Espagnols envahissent l'île, la fortifient, disposent des batteries de canons sur les chapelles et s'y installent. La décadence importante au sein de l'abbaye entraine en 1788 la fermeture du couvent, où il ne restait plus que quatre religieux. Confisqué à la Révolution, il est vendu. En 1859, le monastère est rendu au culte. Depuis 1869, il appartient aux moines cisterciens de la congrégation de Sénanque.
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Après de multiples et nombreuses attaques, il est instauré au XIVe siècle un système de signalisation entre la tour fortifiée du monastère et la tour du Suquet, située à Cannes. En 1400 l'île est de nouveau pillée ; dès lors, l'abbaye sera gardée par des soldats qui habiteront dans les endroits fortifiés du monastère. Entre 1635 et 1637, les Espagnols envahissent l'île, la fortifient, disposent des batteries de canons sur les chapelles et s'y installent. La décadence importante au sein de l'abbaye entraine en 1788 la fermeture du couvent, où il ne restait plus que quatre religieux. Confisqué à la Révolution, il est vendu. En 1859, le monastère est rendu au culte. Depuis 1869, il appartient aux moines cisterciens de la congrégation de Sénanque.
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Élevée en 1073 sur une pointe avancée de la côte sud par Adel'Dert, abbé de Lérins, pour protéger les moines des pirates sarrasins. Du XVe siècle jusqu'en 1788, sous le régime de la commende, les religieux y vécurent d'une façon permanente et y subirent de nombreuses attaques.
L’île Saint-Honorat
Élevée en 1073 sur une pointe avancée de la côte sud par Adel'Dert, abbé de Lérins, pour protéger les moines des pirates sarrasins. Du XVe siècle jusqu'en 1788, sous le régime de la commende, les religieux y vécurent d'une façon permanente et y subirent de nombreuses attaques.
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<center>L’île Saint-Honorat </center>La porte est à 4 m au-dessus du sol. On y accédait par une échelle maintenant remplacée par un escalier de pierre.
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La porte est à 4 m au-dessus du sol. On y accédait par une échelle maintenant remplacée par un escalier de pierre.
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<center>L’île Saint-Honorat </center> C'est vers 400-410, qu'Honorat et Caprais, se sont retirés sur l'île de Lérina, déjà citée par Pline l'Ancien, avec l'accord de l'évêque de Fréjus, Saint Léonce.  Autour de 732, cinq cents membres de la communauté, y compris l'abbé, saint Porcaire, sont massacrés sur l'île au cours d'un raid de Sarrasins. Selon la tradition, l'un des rares survivants, saint Elenthère rebâtit un nouveau monastère sur les ruines de l'ancien. Il est probable que l'abbaye est provisoirement abandonnée jusqu'au départ des Sarrasins de Fraxinet, en 973. Cette menace sarrasine n'a pas disparu ensuite car la Vita d'Isarn, abbé de Saint-Victor de Marseille, cite une attaque de l'abbaye de Lérins, en 1046. L'abbaye est pillée et plusieurs moines sont amenés en captivité en Espagne.

L'abbé Aldebert Ier commence la reconstruction de l'abbatiale Saint-Honorat. Elle est consacrée en 1088 par son successeur, Aldebert II, abbé de 1088 à 1103. C'est ce dernier qui commence la construction de la tour de défense comme en témoigne une lettre datée de 1101 envoyée par Hildebert de Lavardin à l'abbé de Cluny. Il indique qu'il a quitté l'île avant une attaque de barbaresques qui tuèrent plusieurs moines, les autres s'étant réfugiés dans une tour.
L’île Saint-Honorat
C'est vers 400-410, qu'Honorat et Caprais, se sont retirés sur l'île de Lérina, déjà citée par Pline l'Ancien, avec l'accord de l'évêque de Fréjus, Saint Léonce. Autour de 732, cinq cents membres de la communauté, y compris l'abbé, saint Porcaire, sont massacrés sur l'île au cours d'un raid de Sarrasins. Selon la tradition, l'un des rares survivants, saint Elenthère rebâtit un nouveau monastère sur les ruines de l'ancien. Il est probable que l'abbaye est provisoirement abandonnée jusqu'au départ des Sarrasins de Fraxinet, en 973. Cette menace sarrasine n'a pas disparu ensuite car la Vita d'Isarn, abbé de Saint-Victor de Marseille, cite une attaque de l'abbaye de Lérins, en 1046. L'abbaye est pillée et plusieurs moines sont amenés en captivité en Espagne. L'abbé Aldebert Ier commence la reconstruction de l'abbatiale Saint-Honorat. Elle est consacrée en 1088 par son successeur, Aldebert II, abbé de 1088 à 1103. C'est ce dernier qui commence la construction de la tour de défense comme en témoigne une lettre datée de 1101 envoyée par Hildebert de Lavardin à l'abbé de Cluny. Il indique qu'il a quitté l'île avant une attaque de barbaresques qui tuèrent plusieurs moines, les autres s'étant réfugiés dans une tour.
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Mur en pierres à bossage. Cette saillie est sculptée soit dans un but d'ornementation, créant un jeu d'ombre et de lumière, soit dans un but défensif, rendant le mur moins vulnérable aux attaques par boulets ou par sape.
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Mur en pierres à bossage. Cette saillie est sculptée soit dans un but d'ornementation, créant un jeu d'ombre et de lumière, soit dans un but défensif, rendant le mur moins vulnérable aux attaques par boulets ou par sape.
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Mur en pierres à bossage. Cette saillie est sculptée soit dans un but d'ornementation, créant un jeu d'ombre et de lumière, soit dans un but défensif, rendant le mur moins vulnérable aux attaques par boulets ou par sape.
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Mur en pierres à bossage. Cette saillie est sculptée soit dans un but d'ornementation, créant un jeu d'ombre et de lumière, soit dans un but défensif, rendant le mur moins vulnérable aux attaques par boulets ou par sape.
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Le monastère fortifié.
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Le monastère fortifié.
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Le monastère fortifié.
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Le monastère fortifié.
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Le monastère fortifié. La fin du XIIIe siècle et le début du XIVe voient l’adjonction vers l’est d’une grande tour carrée aux murs très épais. Un premier cloitre voit le jour en 1459 dans le nouveau bâtiment, appelé « cloitre du travail ». Le deuxième, le « cloitre de la prière », est construit au-dessus vers 1477.
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Le monastère fortifié. La fin du XIIIe siècle et le début du XIVe voient l’adjonction vers l’est d’une grande tour carrée aux murs très épais. Un premier cloitre voit le jour en 1459 dans le nouveau bâtiment, appelé « cloitre du travail ». Le deuxième, le « cloitre de la prière », est construit au-dessus vers 1477.
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Le monastère fortifié. Dans son sous-sol est creusée une citerne, accessible par un puits. Premier cloitre, appelé « cloitre du travail ».
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Le monastère fortifié. Dans son sous-sol est creusée une citerne, accessible par un puits. Premier cloitre, appelé « cloitre du travail ».
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Le monastère fortifié. Premier cloitre, appelé « cloitre du travail ». La plupart des colonnes proviennent de monuments romains (comme une borne militaire), possède des arcades ogivales datant du XIVe siècle. Il fut remanié et restauré au XVIIe siècle.
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Le monastère fortifié. Premier cloitre, appelé « cloitre du travail ». La plupart des colonnes proviennent de monuments romains (comme une borne militaire), possède des arcades ogivales datant du XIVe siècle. Il fut remanié et restauré au XVIIe siècle.
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Le monastère fortifié. Premier cloitre, appelé « cloitre du travail ».
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Le monastère fortifié. Premier cloitre, appelé « cloitre du travail ».
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Le monastère fortifié. Premier cloitre, appelé « cloitre du travail ». La  borne militaire.
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Le monastère fortifié. Premier cloitre, appelé « cloitre du travail ». La borne militaire.
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Le monastère fortifié. Le deuxième cloitre, le « cloitre de la prière ».
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Le monastère fortifié. Le deuxième cloitre, le « cloitre de la prière ».
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Le monastère fortifié. Le deuxième cloitre, le « cloitre de la prière » est soutenu par 12 colonnes octogonales en marbre blanc, offertes par la ville de Gênes qui voulut se racheter de l’attaque du monastère en 1400.
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Le monastère fortifié. Le deuxième cloitre, le « cloitre de la prière » est soutenu par 12 colonnes octogonales en marbre blanc, offertes par la ville de Gênes qui voulut se racheter de l’attaque du monastère en 1400.
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Le monastère fortifié. Le deuxième cloitre, le « cloitre de la prière ».
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Le monastère fortifié. Le deuxième cloitre, le « cloitre de la prière ».
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Le monastère fortifié. Le deuxième cloitre, le « cloitre de la prière ».
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Le monastère fortifié. Le deuxième cloitre, le « cloitre de la prière ».
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Le monastère fortifié.
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Le monastère fortifié. Aux XIVe et XVe siècles, un autre bâtiment est construit ou sud-ouest pour palier au manque de la place prise par les cloitres.
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Le monastère fortifié. Aux XIVe et XVe siècles, un autre bâtiment est construit ou sud-ouest pour palier au manque de la place prise par les cloitres.
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Le monastère fortifié. A la fin du XVe siècle, la garnison militaire s’installe dans les étages supérieurs et sur les terrasses de guet et de défense. Le monastère fortifié, comprenant alors 90 pièces, dont 30 cellules, une église, et trois chapelles, fut utilisé jusqu’à sa fermeture en 1788. Viollet-le-Duc rénova l’édifice et rajouta le clocheton.
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Le monastère fortifié. A la fin du XVe siècle, la garnison militaire s’installe dans les étages supérieurs et sur les terrasses de guet et de défense. Le monastère fortifié, comprenant alors 90 pièces, dont 30 cellules, une église, et trois chapelles, fut utilisé jusqu’à sa fermeture en 1788. Viollet-le-Duc rénova l’édifice et rajouta le clocheton.
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Situé sur l’emplacement du monastère primitif d’Honorat, l’ensemble monastique du XIe siècle, commencé sous l’abbatiat d’Aldebert I, comprenait deux églises reliées par une petite pièce à fonction funéraire dite « galerie des morts », l’église majeure Saint-Honorat (dédicacée en 1088) et plus au nord la petite église Sainte-Marie. Les constructions du XIXe siècle encadrent les anciens bâtiments.
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Situé sur l’emplacement du monastère primitif d’Honorat, l’ensemble monastique du XIe siècle, commencé sous l’abbatiat d’Aldebert I, comprenait deux églises reliées par une petite pièce à fonction funéraire dite « galerie des morts », l’église majeure Saint-Honorat (dédicacée en 1088) et plus au nord la petite église Sainte-Marie. Les constructions du XIXe siècle encadrent les anciens bâtiments.
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Deux fours à rougir les boulets, construits en 1794 sur l'ordre de Napoléon Bonaparte, occupent les extrémités est et ouest de l'île. Ils permettaient de chauffer en dix minutes des boulets de canon à plus de 1 000 degrés Celsius. Ainsi en cas d'impact sur un navire ils occasionnaient un incendie.
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Deux fours à rougir les boulets, construits en 1794 sur l'ordre de Napoléon Bonaparte, occupent les extrémités est et ouest de l'île. Ils permettaient de chauffer en dix minutes des boulets de canon à plus de 1 000 degrés Celsius. Ainsi en cas d'impact sur un navire ils occasionnaient un incendie.
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<center>L’île Saint-Honorat </center>La chapelle de la Trinité. Cette chapelle est bâtie avec de nombreux blocs en grand appareil, d'origine antique. On remarque ces réemplois au niveau des chaînages d'angle. La datation de cet édifice est incertaine, on suppose qu'il est antérieur au XIIe siècle.
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La chapelle de la Trinité. Cette chapelle est bâtie avec de nombreux blocs en grand appareil, d'origine antique. On remarque ces réemplois au niveau des chaînages d'angle. La datation de cet édifice est incertaine, on suppose qu'il est antérieur au XIIe siècle.
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<center>L’île Saint-Honorat </center> La chapelle de la Trinité Située dans l'extrémité est de l'île, la chapelle de la Trinité est l'un des sept oratoires répartis dans l'île. Son nom, la « Trinité » est reflété par son architecture : elle possède une abside flanquée de deux absidioles
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La chapelle de la Trinité Située dans l'extrémité est de l'île, la chapelle de la Trinité est l'un des sept oratoires répartis dans l'île. Son nom, la « Trinité » est reflété par son architecture : elle possède une abside flanquée de deux absidioles
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<center>L’île Saint-Honorat </center> La chapelle de la Trinité. La chapelle est voûtée en berceau dans sa nef, et au niveau du chœur avec une coupole. Cette coupole est une spécificité puisqu'elle est surement l'une des premières en occident médiéval à avoir été bâtie. À son sommet se trouve un puits de lumière, ou oculus.
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La chapelle de la Trinité. La chapelle est voûtée en berceau dans sa nef, et au niveau du chœur avec une coupole. Cette coupole est une spécificité puisqu'elle est surement l'une des premières en occident médiéval à avoir été bâtie. À son sommet se trouve un puits de lumière, ou oculus.
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Chapelle Saint Pierre, reconstruite en 1497, détruite en partie par les espagnols en 1636, fut restaurée en 1963. Les fouilles ont permis de découvrir un grand nombre de sépultures datant du Moyen-âge.
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Chapelle Saint Pierre, reconstruite en 1497, détruite en partie par les espagnols en 1636, fut restaurée en 1963. Les fouilles ont permis de découvrir un grand nombre de sépultures datant du Moyen-âge.
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<center>L’île Saint-Honorat </center> Chapelle Saint-Caprais. Saint Caprais, compagnon de Saint Honorat au Ve, aurait vévu retiré dans une cellule à une extrémité de l'île. Cette petite chapelle, située à la  pointe ouest de l’ile, fut construite durant la période carolingienne, entre le VIIIe et le Xe siècle.
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Chapelle Saint-Caprais. Saint Caprais, compagnon de Saint Honorat au Ve, aurait vévu retiré dans une cellule à une extrémité de l'île. Cette petite chapelle, située à la pointe ouest de l’ile, fut construite durant la période carolingienne, entre le VIIIe et le Xe siècle.
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