<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> C'est une église romane qui présente la particularité d’avoir son clocher séparé de l'église. Elle peut être datée de la seconde moitié du XIIIe siècle. Deux portes existent sur la façade sud. Cette datation pourrait être plus tardive si on considère le style d'une de ces portes. La principale ne semble pas avoir été ajoutée plus tardivement à une église antérieure. L'église pourrait être de la fin du XIIIe siècle et embellie au début du XVe siècle, ou entièrement du début du XVe siècle. Certaines petites fenêtres romanes ont été agrandies par percement de grandes ouvertures rectangulaires.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes C'est une église romane qui présente la particularité d’avoir son clocher séparé de l'église. Elle peut être datée de la seconde moitié du XIIIe siècle. Deux portes existent sur la façade sud. Cette datation pourrait être plus tardive si on considère le style d'une de ces portes. La principale ne semble pas avoir été ajoutée plus tardivement à une église antérieure. L'église pourrait être de la fin du XIIIe siècle et embellie au début du XVe siècle, ou entièrement du début du XVe siècle. Certaines petites fenêtres romanes ont été agrandies par percement de grandes ouvertures rectangulaires.

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Les claveaux supérieurs de l'archivolte du portail sud sont ornés de croissant, de soleil et glaive cruciforme, symboles templiers, ce qui leur a fait attribuer la construction de l'église.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> Les consoles et les chapiteaux sont sculptés de figures, crochets et boutons dont le style n'est pas antérieur à la fin du XIVe siècle.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Les consoles et les chapiteaux sont sculptés de figures, crochets et boutons dont le style n'est pas antérieur à la fin du XIVe siècle.

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Les consoles et les chapiteaux sont sculptés de figures, crochets et boutons dont le style n'est pas antérieur à la fin du XIVe siècle.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> L'église est faite d'une nef unique à quatre travées couverte d'un berceau avec une abside semi-circulaire voûtée en cul-de-four.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes L'église est faite d'une nef unique à quatre travées couverte d'un berceau avec une abside semi-circulaire voûtée en cul-de-four.

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes La tribune.

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Saint Jacques et saint Roch.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> Le polyptyque de la Vierge du Rosaire est signé de François Bréa et daté de 1555. Le polyptyque est divisé en dix compartiments :

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Le polyptyque de la Vierge du Rosaire est signé de François Bréa et daté de 1555. Le polyptyque est divisé en dix compartiments :

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> - au centre, la Vierge debout dont le manteau est soulevé par des anges qui posent une couronne. Elle tient un chapelet dans chaque main qu'elle tend aux orants qui sont placés sous son manteau. À sa droite, le pape et des religieux, à gauche, l'empereur et des laïcs, tous agenouillés. L'empereur a déposé son sceptre aux pieds de la Vierge.
- dans le panneau latéral de gauche, saint Martin,
- dans le panneau latéral de droite, saint Blaise.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes - au centre, la Vierge debout dont le manteau est soulevé par des anges qui posent une couronne. Elle tient un chapelet dans chaque main qu'elle tend aux orants qui sont placés sous son manteau. À sa droite, le pape et des religieux, à gauche, l'empereur et des laïcs, tous agenouillés. L'empereur a déposé son sceptre aux pieds de la Vierge. - dans le panneau latéral de gauche, saint Martin, - dans le panneau latéral de droite, saint Blaise.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> - au-dessus, à gauche et à droite, saint Laurent et sainte Madeleine, de part et d'autre du Christ en croix,
- en partie supérieure, l'ange Gabriel et Marie entourent Dieu le Père,

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes - au-dessus, à gauche et à droite, saint Laurent et sainte Madeleine, de part et d'autre du Christ en croix, - en partie supérieure, l'ange Gabriel et Marie entourent Dieu le Père,

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center>
- en partie inférieure, la prédelle représente les douze Apôtres.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes - en partie inférieure, la prédelle représente les douze Apôtres.

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes - en partie inférieure, la prédelle représente les douze Apôtres

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes - en partie inférieure, la prédelle représente les douze Apôtres

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> Dans le panneau latéral de droite, saint Blaise.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Dans le panneau latéral de droite, saint Blaise.

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Au centre, la Vierge debout dont le manteau est soulevé par des anges qui posent une couronne. Elle tient un chapelet dans chaque main qu'elle tend aux orants qui sont placés sous son manteau. À sa droite, le pape et des religieux, à gauche, l'empereur et des laïcs, tous agenouillés. L'empereur a déposé son sceptre aux pieds de la Vierge.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> Dans le panneau latéral de gauche, saint Martin.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Dans le panneau latéral de gauche, saint Martin.

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes La Donation du Rosaire à saint Dominique de Guzman et sainte Catherine de Sienne.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> Des peintures murales réalisées vers 1600 ont été mises au jour en 1921. Elles représentent saint Jean Baptiste, saint Blaise et saint Roch.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Des peintures murales réalisées vers 1600 ont été mises au jour en 1921. Elles représentent saint Jean Baptiste, saint Blaise et saint Roch.

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Des peintures murales réalisées vers 1600 ont été mises au jour en 1921. Elles représentent saint Jean Baptiste, saint Blaise et saint Roch.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> Le Père éternel bénissant de la main gauche, ce qui est rare, est représenté sur l'intrados de l'arc.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Le Père éternel bénissant de la main gauche, ce qui est rare, est représenté sur l'intrados de l'arc.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> Saint Martin.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Saint Martin.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> 1690 Saint Martin, Saint Erige et le bienheureux Amédée IX de Savoie. Fin du XVIIe siècle, huile sur toile. Le Bienheureux Amédée IX de Savoie porte la couronne ducale, le manteau rouge à bordure d’hermine, le sceptre fleurdelisé et surtout le grand collier à Lacs d’amour («Nœuds de Savoie »). Il est représenté sous les traits d’un jeune homme.
Né en 1435, il accède en effet au trône à l’âge de 30 ans. Il épouse Yolande de France, fille de Louis XI, dont il a 7 enfants.
Epileptique et souvent malade, il meurt à 37 ans, après moins de 7 ans de règne.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes 1690 Saint Martin, Saint Erige et le bienheureux Amédée IX de Savoie. Fin du XVIIe siècle, huile sur toile. Le Bienheureux Amédée IX de Savoie porte la couronne ducale, le manteau rouge à bordure d’hermine, le sceptre fleurdelisé et surtout le grand collier à Lacs d’amour («Nœuds de Savoie »). Il est représenté sous les traits d’un jeune homme. Né en 1435, il accède en effet au trône à l’âge de 30 ans. Il épouse Yolande de France, fille de Louis XI, dont il a 7 enfants. Epileptique et souvent malade, il meurt à 37 ans, après moins de 7 ans de règne.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> Sainte Apolline avec une tenaille où est accrochée une dent et saint Jean-Baptiste.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Sainte Apolline avec une tenaille où est accrochée une dent et saint Jean-Baptiste.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> Saint Donat ?

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Saint Donat ?

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> L'abside. Saint Martin et saint Joseph.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes L'abside. Saint Martin et saint Joseph.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> L'abside. Saint Martin et saint Joseph. Les Damnés, la Vierge, saint Pierre et le Sacré-Coeur.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes L'abside. Saint Martin et saint Joseph. Les Damnés, la Vierge, saint Pierre et le Sacré-Coeur.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> L'abside.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes L'abside.

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes L'abside. Les Damnés, la Vierge, saint Pierre et le Sacré-Coeur.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> L'abside. Saint Martin.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes L'abside. Saint Martin.

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes L'abside. Saint Martin.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> L'abside. Saint Joseph.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes L'abside. Saint Joseph.

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes L'abside. Saint Joseph.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> Voûte de l'abside.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Voûte de l'abside.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> L'abside. Saint Martin sur l'arc triomphal.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes L'abside. Saint Martin sur l'arc triomphal.

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes L'abside.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> Saint Blaise.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Saint Blaise.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> Sainte Anne et Marie.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Sainte Anne et Marie.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> Sainte Thérèse de Lisieux.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Sainte Thérèse de Lisieux.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> Le Sacré-Coeur.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Le Sacré-Coeur.

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Le Sacré-Coeur.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> Bannière représentant sainte Anne et Marie.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Bannière représentant sainte Anne et Marie.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> Jeanne d'Arc.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Jeanne d'Arc.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> Saint Antoine de Padoue.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Saint Antoine de Padoue.

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes La tribune

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes La tribune.

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<center> Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes </center> Sacristie.

Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Sacristie.

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Sacristie.

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Sacristie.

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Eglise de Saint-Martin-d'Entraunes Sacristie.

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<center> Entraunes. Chapelle Saint-Sébastien. </center> Petit édifice de plan rectangulaire non voûté, la chapelle St Sébastien marque la limite nord de l'agglomération ancienne. Il se dresse à la sortie du village au départ de la route muletière qui jadis desservait divers écarts avant d'atteindre Estenc et là franchir les cols reliant la haute Provence ou la Tinée et l'Italie. C'est d'abord une

Entraunes. Chapelle Saint-Sébastien. Petit édifice de plan rectangulaire non voûté, la chapelle St Sébastien marque la limite nord de l'agglomération ancienne. Il se dresse à la sortie du village au départ de la route muletière qui jadis desservait divers écarts avant d'atteindre Estenc et là franchir les cols reliant la haute Provence ou la Tinée et l'Italie. C'est d'abord une "chapelle de pont" protégeant la traversée du Var et rassurant ceux qui quittaient le village pour un périple plus ou moins long. Dédiée, à l'origine, à Saint Sébastien puis, peut-être seulement à la fin du XIXe siècle, également à Saint Roch, tous deux protecteurs contre les épidémies en général et la peste en particulier, c'est aussi une “chapelle barrière". Barrière symbolique et psychologique empêchant, par l'intermédiaire des deux saints, "les- pestes" de pénétrer dans le village ; barrière matérielle aussi puisqu'on cas d'épidémie on y plaçait Une "barrière sanitaire" dont les préposés filtraient la circulation refoulant les étrangers soupçonnés de venir des régions infectées.

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<center> Entraunes. Chapelle Saint-Sébastien. </center> Le martyre de saint Sébastien. La chapelle Saint-Sébastien a été classée aux monuments historiques en 1947 pour son retable à fresques de 1515-1516 du peintre Andréa de Cella originaire de Finale (près de Savone) et habitant de Roquebrune. Reconstruit aux alentours de 1500, après la peste de 1467 à l'initiative du comte Clément de Amicis, ce tout petit édifice religieux est situé au débouché du pont sur le Var à la sortie nord-ouest du village d'Entraunes. L'édifice date du XIIIe siècle ; il est remanié au XVIe siècle.

Entraunes. Chapelle Saint-Sébastien. Le martyre de saint Sébastien. La chapelle Saint-Sébastien a été classée aux monuments historiques en 1947 pour son retable à fresques de 1515-1516 du peintre Andréa de Cella originaire de Finale (près de Savone) et habitant de Roquebrune. Reconstruit aux alentours de 1500, après la peste de 1467 à l'initiative du comte Clément de Amicis, ce tout petit édifice religieux est situé au débouché du pont sur le Var à la sortie nord-ouest du village d'Entraunes. L'édifice date du XIIIe siècle ; il est remanié au XVIe siècle.

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<center> Entraunes. Chapelle Saint-Sébastien. </center> Le martyre de saint Sébastien. Andrea de Cella, actif entre 1510 et 1534, était originaire de Finale en Ligurie du Ponent. Il s'était établi à Roquebrune dans la seigneurie de Monaco. De là, il exécutera divers chantiers dans le Comté de Nice et la proche Ligurie. En 1516 il achève dans la chapelle des Saint Sébastien et Saint Roch, à Entraunes, un chantier qui comprend probablement la restauration d'une œuvre antérieure (vers 1480-1485 ?) et son complément. Andrea de Cella illustre, dans ce contexte, la prolongation, d'une activité artistique de modeste qualité due à de petits artisans. On peut penser que leur formation fut rudimentaire et, même s'ils associent à des décorateurs- qui réalisent au pochoir des frises d'encadrement parfois élégantes, dont les motifs sont issus du meilleur répertoire Renaissance, ils restent néanmoins d'intéressants exemples de

Entraunes. Chapelle Saint-Sébastien. Le martyre de saint Sébastien. Andrea de Cella, actif entre 1510 et 1534, était originaire de Finale en Ligurie du Ponent. Il s'était établi à Roquebrune dans la seigneurie de Monaco. De là, il exécutera divers chantiers dans le Comté de Nice et la proche Ligurie. En 1516 il achève dans la chapelle des Saint Sébastien et Saint Roch, à Entraunes, un chantier qui comprend probablement la restauration d'une œuvre antérieure (vers 1480-1485 ?) et son complément. Andrea de Cella illustre, dans ce contexte, la prolongation, d'une activité artistique de modeste qualité due à de petits artisans. On peut penser que leur formation fut rudimentaire et, même s'ils associent à des décorateurs- qui réalisent au pochoir des frises d'encadrement parfois élégantes, dont les motifs sont issus du meilleur répertoire Renaissance, ils restent néanmoins d'intéressants exemples de "peintres naïfs niçois".

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<center> Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité. </center> ND de la Nativité. (1650). Église paroissiale, originale par son clocher en demi-cercle. Son transept est constitué par la petite église remaniée au XIIIe siècle, dédiée à saint Pons, de style roman et d'orientation est-ouest. Église du XIIIe siècle trop petite qui est complètement transformée et agrandie à partir de 1650 notamment avec une nouvelle abside au nord et une nouvelle nef d'orientation nord-sud sur laquelle vont s'ouvrir vers le sud de 1683 à 1727 deux nouvelles chapelles latérales. Chapelles incorporées sous le même toit que celui de l'église lors des travaux de réfection de la toiture terminés en 1805.

Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité. ND de la Nativité. (1650). Église paroissiale, originale par son clocher en demi-cercle. Son transept est constitué par la petite église remaniée au XIIIe siècle, dédiée à saint Pons, de style roman et d'orientation est-ouest. Église du XIIIe siècle trop petite qui est complètement transformée et agrandie à partir de 1650 notamment avec une nouvelle abside au nord et une nouvelle nef d'orientation nord-sud sur laquelle vont s'ouvrir vers le sud de 1683 à 1727 deux nouvelles chapelles latérales. Chapelles incorporées sous le même toit que celui de l'église lors des travaux de réfection de la toiture terminés en 1805.

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<center> Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité. </center> Elle possède de grands tableaux classé du XVIIe siècle attribués à l'école « André de Castellane ». .Jean André, artiste-peintre Jean André né à Annot vers 1620, exécuta environ une trentaine de toiles répertoriées, de grandes dimensions dans la région . Joseph, son fils, peignit également dans la même région.

Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité. Elle possède de grands tableaux classé du XVIIe siècle attribués à l'école « André de Castellane ». .Jean André, artiste-peintre Jean André né à Annot vers 1620, exécuta environ une trentaine de toiles répertoriées, de grandes dimensions dans la région . Joseph, son fils, peignit également dans la même région.

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<center> Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité. </center> 1655 Crucifixion et Saint Pons de Jean André.

Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité. 1655 Crucifixion et Saint Pons de Jean André.

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Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité.

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Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité.

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Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité. 1665 Le Couronnement de la Vierge avec les Trinitaires Félix de Valois et Jean de Matha de Jean André.

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Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité.

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Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité.

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Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité. 1690 La Vierge en gloire et le saint suaire de Joseph André. St Jean-Baptist, à gauche, saint Joseph à droite et au centre, Amédée IX ?

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Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité.

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Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité. Le Sacré-Coeur.

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<center> Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité. </center> 1696 Saints Barthélémy Jean et Pierre de Joseph André. Statue de sainte Thérèse de Lisieux.

Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité. 1696 Saints Barthélémy Jean et Pierre de Joseph André. Statue de sainte Thérèse de Lisieux.

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Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité.

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Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité.

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Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité. 1655 Le Festin chez Simon le Magicien, une imitation de Rubens de Jean André.

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<center> Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité. </center> 1684 Les Ames du Purgatoire de Joseph André.

Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité. 1684 Les Ames du Purgatoire de Joseph André.

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<center> Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité. </center> Saint Michel.

Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité. Saint Michel.

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<center> Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité. </center> Saint Joseph.

Entraunes. Église paroissiale N-D de la Nativité. Saint Joseph.

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<center>Guillaumes</center> La mairie, place Napoléon III. Grâce à l’action de Napoléon III, le comté de Nice a été rattaché à la France en 1860.

Guillaumes La mairie, place Napoléon III. Grâce à l’action de Napoléon III, le comté de Nice a été rattaché à la France en 1860.

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<center>Guillaumes</center> Place de Provence. Arrière de la mairie.

Guillaumes Place de Provence. Arrière de la mairie.

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<center>Guillaumes. Église Saint Étienne. </center> L’église paroissiale, sous le vocable Saint Etienne, premier martyr, se situe sur l’ancienne place principale de la localité.
D'origine lombarde, construite au XIIIème siècle en pierres taillées du terroir, très dures et d’un gris bleuté, elle fut agrandie par la suite, puis en partie détruite sous la révolution.
De l’église médiévale subsiste le clocher roman-lombard carré et trapu, s’achevant par une pyramide quadrangulaire et une abside.

Guillaumes. Église Saint Étienne. L’église paroissiale, sous le vocable Saint Etienne, premier martyr, se situe sur l’ancienne place principale de la localité. D'origine lombarde, construite au XIIIème siècle en pierres taillées du terroir, très dures et d’un gris bleuté, elle fut agrandie par la suite, puis en partie détruite sous la révolution. De l’église médiévale subsiste le clocher roman-lombard carré et trapu, s’achevant par une pyramide quadrangulaire et une abside.

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<center>Guillaumes. Église Saint Étienne. </center> Elle était une dépendance de l’abbaye Saint-Eusèbe de Saignon, mentionnée pour la première fois dans les textes en 1305. Elle a très probablement été construite entre 1240 et 1300, à la suite de la fondation de Guillaumes. L’édifice est transformé entre le XVIesiècle et le XVIIe siècle. À la suite d’une prescription de l’évêque de Glandèves, en 1699, il est décidé de voûter l’église. Au cours du XVIIIe siècle, elle est agrandie et acquiert son aspect actuel. Endommagée entre 1793 et 1800, période durant laquelle l’église est utilisée comme magasin, elle a été remaniée en 1810-11, puis à nouveau en 1898-99. Couverte en bardeaux, enduite de peinture ocre, excepté pour les parties médiévales, elle présente une haute façade irrégulière

Guillaumes. Église Saint Étienne. Elle était une dépendance de l’abbaye Saint-Eusèbe de Saignon, mentionnée pour la première fois dans les textes en 1305. Elle a très probablement été construite entre 1240 et 1300, à la suite de la fondation de Guillaumes. L’édifice est transformé entre le XVIesiècle et le XVIIe siècle. À la suite d’une prescription de l’évêque de Glandèves, en 1699, il est décidé de voûter l’église. Au cours du XVIIIe siècle, elle est agrandie et acquiert son aspect actuel. Endommagée entre 1793 et 1800, période durant laquelle l’église est utilisée comme magasin, elle a été remaniée en 1810-11, puis à nouveau en 1898-99. Couverte en bardeaux, enduite de peinture ocre, excepté pour les parties médiévales, elle présente une haute façade irrégulière

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<center>Guillaumes. Église Saint Étienne. </center> L'église est restaurée en 1811. Les décors extérieurs, évoquant l’histoire civile et religieuse de la cité de Guillaumes, ont été exécutés par Caroline Challan Belvel en 2009.

Guillaumes. Église Saint Étienne. L'église est restaurée en 1811. Les décors extérieurs, évoquant l’histoire civile et religieuse de la cité de Guillaumes, ont été exécutés par Caroline Challan Belvel en 2009.

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Guillaumes. Église Saint Étienne.

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Guillaumes. Église Saint Étienne. De l’église médiévale subsiste le clocher-tour roman-lombard carré et trapu, s’achevant par une pyramide quadrangulaire et une abside. Cette dernière est décorée d’un bandeau de dents d’engrenages où la frise en est renforcée.

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<center>Guillaumes. Église Saint Étienne. </center>L'abside semi-circulaire est décorée d’un bandeau de dents d’engrenages où la frise en est renforcée.

Guillaumes. Église Saint Étienne. L'abside semi-circulaire est décorée d’un bandeau de dents d’engrenages où la frise en est renforcée.

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Guillaumes. Église Saint Étienne.

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Guillaumes. Église Saint Étienne.

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Guillaumes. Église Saint Étienne. Porche d’entrée de l’église. Au-dessus du fronton, Cheliel (Etienne) et Jean-Baptiste.

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<center>Guillaumes. Église Saint Étienne. </center> La nef rectangulaire (plan barlong), élargie de part et d’autre de deux chapelles latérales peu profondes, et prolongée au sud-est par un chœur plus étroit, se termine par une abside en cul-de-four. A droite, la statue de Jeanne d'Arc, et à gauche celle Saint Antoine de Padoue.

Guillaumes. Église Saint Étienne. La nef rectangulaire (plan barlong), élargie de part et d’autre de deux chapelles latérales peu profondes, et prolongée au sud-est par un chœur plus étroit, se termine par une abside en cul-de-four. A droite, la statue de Jeanne d'Arc, et à gauche celle Saint Antoine de Padoue.

92

<center>Guillaumes. Église Saint Étienne. </center> La nef est couverte d’une voûte en berceau plein cintre à pénétrations, les quatre chapelles latérales présentent une voûte en berceau plein cintre transversal.

Guillaumes. Église Saint Étienne. La nef est couverte d’une voûte en berceau plein cintre à pénétrations, les quatre chapelles latérales présentent une voûte en berceau plein cintre transversal.

93

<center>Guillaumes. Église Saint Étienne. </center> L'abside est semi-circulaire avec une voûte en cul-de-four.

Guillaumes. Église Saint Étienne. L'abside est semi-circulaire avec une voûte en cul-de-four.

94

<center>Guillaumes. Église Saint Étienne. </center> Le tableau du maitre autel représentant le martyre de Saint Étienne (lapidation) a été offert aux Guillaumois par l’impératrice Eugénie à l’occasion du rattachement de Nice à la France en 1860. En haut, la sainte Trinité, Jésus, Dieu le Père et la Colombe et un angelot qui va couronner saint Etienne. En bas, à droite, Saul (saint Paul) assiste à la lapidation avec son épée.

Guillaumes. Église Saint Étienne. Le tableau du maitre autel représentant le martyre de Saint Étienne (lapidation) a été offert aux Guillaumois par l’impératrice Eugénie à l’occasion du rattachement de Nice à la France en 1860. En haut, la sainte Trinité, Jésus, Dieu le Père et la Colombe et un angelot qui va couronner saint Etienne. En bas, à droite, Saul (saint Paul) assiste à la lapidation avec son épée.

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<center>Guillaumes. Église Saint Étienne. </center> La donation du Rosaire.

Guillaumes. Église Saint Étienne. La donation du Rosaire.

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Guillaumes. Église Saint Étienne.

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Guillaumes. Église Saint Étienne. Saint Jean-Baptiste prêchant.

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Guillaumes. Église Saint Étienne.

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Guillaumes. Église Saint Étienne.

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Guillaumes. Église Saint Étienne.

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Guillaumes. Église Saint Étienne. Orgue de Carlo Vittino de 1845, installé en 2009. Il était destiné à la paroisse de Falicetto, en Italie. Une organologue niçoiose, Mme Bernard, l'achète en 1978, puis le cède en 1987 au conservatoire de Grasse, qui s'en sert peu. Il le cède à la municipâlié de Guillaumes dans les années 2000.

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Guillaumes. Église Saint Étienne.

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Guillaumes. Église Saint Étienne. Fonts baptismaux.

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Guillaumes. Église Saint Étienne.

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Guillaumes. Église Saint Étienne.

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Guillaumes. Église Saint Étienne.

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Guillaumes. Église Saint Étienne. Les Vitraux sont de Thomas Valence (1931). Ils représentent des scènes du nouveau testament transposés dans le village et constituent de véritables documents historiques sur Guillaumes; Les scènes de la bible sont représentées dans des lieux de Guillaumes, dont certains ont aujourd’hui disparu, comme la chapelle des Pénitents blancs, Notre-Dame-de-Pitié et Sainte-Croix, détruite en 1955. La descente de Croix.

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<center>Guillaumes. Église Saint Étienne. </center> Chapelle de L'Assomption avec Marie.

Guillaumes. Église Saint Étienne. Chapelle de L'Assomption avec Marie.

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<center>Guillaumes. Église Saint Étienne. </center> Sur la aface de l'autel, l'Assomption.

Guillaumes. Église Saint Étienne. Sur la aface de l'autel, l'Assomption.

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Guillaumes. Église Saint Étienne.

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Guillaumes. Église Saint Étienne. Marie, avec sa mère sainte Anne et son père Joachim.

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<center>Guillaumes. Église Saint Étienne. </center> Chapelle de la Sainte Croix avec Le Sacré Coeur.

Guillaumes. Église Saint Étienne. Chapelle de la Sainte Croix avec Le Sacré Coeur.

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Guillaumes. Église Saint Étienne.

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Guillaumes. Église Saint Étienne. Lapidation de saint Etienne.

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<center>Guillaumes. Église Saint Étienne. </center> Saint Etienne.

Guillaumes. Église Saint Étienne. Saint Etienne.

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<center>Guillaumes. Église Saint Étienne. </center> Chapelle Saint Joseph avec la statue de Saint Joseph.

Guillaumes. Église Saint Étienne. Chapelle Saint Joseph avec la statue de Saint Joseph.

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Guillaumes. Église Saint Étienne.

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Guillaumes. Église Saint Étienne. La sainte Famile dans l'atelier de saint Joseph.

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<center>Guillaumes. Église Saint Étienne. </center> Vierge à l'Enfant d'un sergent de 1706.

Guillaumes. Église Saint Étienne. Vierge à l'Enfant d'un sergent de 1706.

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<center>Guillaumes. Église Saint Étienne. </center> saint Maurice ?

Guillaumes. Église Saint Étienne. saint Maurice ?

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Guillaumes. Église Saint Étienne.

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Guillaumes. Église Saint Étienne.

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Guillaumes. Église Saint Étienne. L’arc triomphal, monumental, est décoré d’une fresque, représentant la Sainte Vierge accueillie par les anges, exécutée en 1898 et restaurée par Guy Ceppa en 1995.

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<center>Guillaumes. Église Saint Étienne. </center> La travée de chœur est couverte d’une voûte en berceau plein cintre.

Guillaumes. Église Saint Étienne. La travée de chœur est couverte d’une voûte en berceau plein cintre.

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Guillaumes. Église Saint Étienne.

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Guillaumes. Église Saint Étienne. Décor de Luigi Adami vers 1890 repeint par Evangelisti en 1932.

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Guillaumes. Église Saint Étienne.

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Guillaumes. Église Saint Étienne.

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Guillaumes. Église Saint Étienne. La tribune.

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Guillaumes. Église Saint Étienne.

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Guillaumes

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Guillaumes Devant l’église, un chapiteau cubique est gravé d’un marteau de Justice.

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<center>Guillaumes</center> Crucifixion de Ludovic Bréa.

Guillaumes Crucifixion de Ludovic Bréa.

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<center>Guillaumes</center> Le territoire de Guillaumes fait partie de la province romaine des Alpes-Maritimes. Il est rattaché à la civitas (Cité) de Glanate / Glandèves. 10e s. La Provence est libérée de l’occupation musulmane par Guillaume 1er dit Le Libérateur, comte de Provence qui crée une place-forte sur le site qui portera son nom. Le territoire dépend directement des comtes de Provence qui lui accordent des privilèges favorisant sa prospérité.

Guillaumes Le territoire de Guillaumes fait partie de la province romaine des Alpes-Maritimes. Il est rattaché à la civitas (Cité) de Glanate / Glandèves. 10e s. La Provence est libérée de l’occupation musulmane par Guillaume 1er dit Le Libérateur, comte de Provence qui crée une place-forte sur le site qui portera son nom. Le territoire dépend directement des comtes de Provence qui lui accordent des privilèges favorisant sa prospérité.

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<center>Guillaumes</center> Lavoir « Guillaume le Libérateur ». Le lavoir est construit sur l’emplacement de l’ancien hôpital Saint - Jacques. Il a été baptisé Guillaume II, du nom du fondateur de la cité. Guillaumes II (968, mort en 993), Comte et Marquis de Provence, est le fils de Boson, roi de Bourgogne et de Provence. Ce dernier prit le titre de libérateur lorsqu’il libéra la Provence des Sarrasins vers 972.

Guillaumes Lavoir « Guillaume le Libérateur ». Le lavoir est construit sur l’emplacement de l’ancien hôpital Saint - Jacques. Il a été baptisé Guillaume II, du nom du fondateur de la cité. Guillaumes II (968, mort en 993), Comte et Marquis de Provence, est le fils de Boson, roi de Bourgogne et de Provence. Ce dernier prit le titre de libérateur lorsqu’il libéra la Provence des Sarrasins vers 972.

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<center>Guillaumes</center> Lavoir « Guillaume le Libérateur ». C’est donc vraisemblablement en guerroyant contre les Sarrasins dans la Haute - vallée du Var que Guillaume le Libérateur, excellent homme de guerre, comprenant l’intérêt stratégique de ce site situé au confluent du Var et du Tuébi créa une place forte destinée à défendre le passage des Alpes. Le Castrum de Guillermo conserva toujours le nom de son fondateur qui, dès l’origine, l’intégra à son domaine en lui accordant les libertés et franchises qui ont fait durant des siècles la fierté et la grandeur de la cité.

Guillaumes Lavoir « Guillaume le Libérateur ». C’est donc vraisemblablement en guerroyant contre les Sarrasins dans la Haute - vallée du Var que Guillaume le Libérateur, excellent homme de guerre, comprenant l’intérêt stratégique de ce site situé au confluent du Var et du Tuébi créa une place forte destinée à défendre le passage des Alpes. Le Castrum de Guillermo conserva toujours le nom de son fondateur qui, dès l’origine, l’intégra à son domaine en lui accordant les libertés et franchises qui ont fait durant des siècles la fierté et la grandeur de la cité.

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<center>Guillaumes</center> Lavoir « Guillaume le Libérateur ».

Guillaumes Lavoir « Guillaume le Libérateur ».

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<center>Guillaumes</center> Rue-de la République.
Louis XV cède Guillaumes au roi de Sardaigne en 1760. Mais quelques années plus tard, c’est avec joie que les Guillaumois accueillent les troupes révolutionnaires qui incarnaient leur patrie, la France. Epris de liberté depuis la fondation de la cité, les Guillaumois ont toujours été attachés aux valeurs de la République .

Guillaumes Rue-de la République. Louis XV cède Guillaumes au roi de Sardaigne en 1760. Mais quelques années plus tard, c’est avec joie que les Guillaumois accueillent les troupes révolutionnaires qui incarnaient leur patrie, la France. Epris de liberté depuis la fondation de la cité, les Guillaumois ont toujours été attachés aux valeurs de la République .

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<center>Guillaumes</center> Rue du Viguier.
En 1388 le Haut - Var passa, comme tout le territoire qu’on appellera bientôt le Comté de Nice, sous la domination de la maison de Savoie, sauf Guillaumes qui resta dans le Comté - Royaume de Provence. Guillaumes, enfoncée comme un coin dans les Etats Piémont- Sardaigne, était alors promue chef de baillage ou de viguerie, l’équivalent d’un arrondissement moderne du point de vue judiciaire. Maison du Roy (siège du Gouvernement).

Guillaumes Rue du Viguier. En 1388 le Haut - Var passa, comme tout le territoire qu’on appellera bientôt le Comté de Nice, sous la domination de la maison de Savoie, sauf Guillaumes qui resta dans le Comté - Royaume de Provence. Guillaumes, enfoncée comme un coin dans les Etats Piémont- Sardaigne, était alors promue chef de baillage ou de viguerie, l’équivalent d’un arrondissement moderne du point de vue judiciaire. Maison du Roy (siège du Gouvernement).

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Guillaumes

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Guillaumes Terrasse de Jean de Castellane. Jean de Castellane fait partie d’une une illustre famille provençale, la famille de Castellane, indissociable de l’histoire de Guillaumes. Il joua un rôle important au niveau militaire et fut nommé Gouverneur de Guillaumes, par le roi Louis XIV, en reconnaissance de ses actions. C’est le 5 septembre 1700 qu’il reçut le brevet le nommant commandant de la place, pour le Roi. Il est également un bienfaiteur de l’hôpital Saint-Jacques. Jean de Castellane décéda à Guillaumes le 17 juin 1724 et fut enterré dans le chœur de l’église paroissiale. La terrasse est située au-dessus du lavoir, à l’emplacement de l’ancien hôpital Saint-Jacques.

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Guillaumes Passage du 22 août 1682. Cette date marque l’incendie qui se déclara dans le village. Les habitants de Guillaumes en témoignage de leur dévotion ont fait réaliser un ex-voto, « lequel tableau sera mis en vue de la communauté à un autel dans le sanctuaire de "Notre dame de Buyeï, lieu où seront fondées une procession générale et une messe grande tous les jours de la Saint-Barthélemy, à perpétuité. »... Ce tableau classé représentant l’incendie de 1682, est .le plus grand ex-voto des Alpes-Maritimes.

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<center>Guillaumes</center> Place Jean Pazzi.
Guillaumes a la chance d’avoir vu naître dans cette maison le champion de ski Jean Pazzi le 7 août 1920. Il a porté haut le flambeau de Guillaumes, du département et de la France.
Il fut sélectionné aux jeux Olympiques en 1948, champion du Canada, champion d’Amérique du Nord, vice-champion de France de slalom et de descente...

Guillaumes Place Jean Pazzi. Guillaumes a la chance d’avoir vu naître dans cette maison le champion de ski Jean Pazzi le 7 août 1920. Il a porté haut le flambeau de Guillaumes, du département et de la France. Il fut sélectionné aux jeux Olympiques en 1948, champion du Canada, champion d’Amérique du Nord, vice-champion de France de slalom et de descente...

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<center>Guillaumes</center> Rue du roi René, 1er d’Anjou : (Angers : 1409 ; Aix-en -Provence : 1480).
L’histoire de Guillaumes est étroitement liée à celle de ce roi, et à la cause angevine. Au début du XVème siècle compte tenu de sa position. Guillaumes devint chef-lieu de Viguerie du Comté - Royaume de Provence.
En 1445, des compagnies d’aventuriers désolèrent les campagnes de la région. Pour soulager les habitants, le roi René, exempta temporairement la commune des contributions royales, et concéda la franchise de plusieurs foires, afin de développer le commerce. Conscient de l’intérêt militaire de cette place forte, il fit bâtir vers 1450 un château - donjon, formant une citadelle sur les hauteurs escarpées. Ex Haute-Rue, dite rue Saint Joseph, on y trouvait

Guillaumes Rue du roi René, 1er d’Anjou : (Angers : 1409 ; Aix-en -Provence : 1480). L’histoire de Guillaumes est étroitement liée à celle de ce roi, et à la cause angevine. Au début du XVème siècle compte tenu de sa position. Guillaumes devint chef-lieu de Viguerie du Comté - Royaume de Provence. En 1445, des compagnies d’aventuriers désolèrent les campagnes de la région. Pour soulager les habitants, le roi René, exempta temporairement la commune des contributions royales, et concéda la franchise de plusieurs foires, afin de développer le commerce. Conscient de l’intérêt militaire de cette place forte, il fit bâtir vers 1450 un château - donjon, formant une citadelle sur les hauteurs escarpées. Ex Haute-Rue, dite rue Saint Joseph, on y trouvait

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Guillaumes

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Guillaumes Rue Raymond Béranger ou Rue des Juifs. Cette rue porte le nom du comte de Provence, Raymond Béranger IV, qui accorda en 1231 des franchises nouvelles à Guillaumes. Les commerces dans cette rue : un bourrelier, une cave, une menuiserie, une mercerie, un entrepreneur de travaux publics, un matelassier.

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<center>Guillaumes</center> Rue Raymond Béranger ou Rue des Juifs. Cette partie du village était le ghetto juif au moyen-âge. Elle était la rue des notables et du commerce. Le poids de l’histoire fait qu’aujourd’hui encore, aucune procession catholique n’emprunte cette rue pour traverser le village.

Guillaumes Rue Raymond Béranger ou Rue des Juifs. Cette partie du village était le ghetto juif au moyen-âge. Elle était la rue des notables et du commerce. Le poids de l’histoire fait qu’aujourd’hui encore, aucune procession catholique n’emprunte cette rue pour traverser le village.

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<center>Guillaumes</center> Rue Raymond Béranger ou Rue des Juifs. Dans cette rue se trouvait également un temple maçonnique.
Trois portes la jalonnent : une de style Louis XIV, l’autre datée de 1724 surmontée d’une étoile à six branchés (cette photo), signalant peut-être une ancienne synagogue, la troisième aux pierres alternativement claires et foncées.

Guillaumes Rue Raymond Béranger ou Rue des Juifs. Dans cette rue se trouvait également un temple maçonnique. Trois portes la jalonnent : une de style Louis XIV, l’autre datée de 1724 surmontée d’une étoile à six branchés (cette photo), signalant peut-être une ancienne synagogue, la troisième aux pierres alternativement claires et foncées.

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<center>Guillaumes</center> Rue Raymond Béranger ou Rue des Juifs.

Guillaumes Rue Raymond Béranger ou Rue des Juifs.

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Guillaumes Rue Raymond Béranger ou Rue des Juifs.

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Guillaumes Rue Raymond Béranger ou Rue des Juifs.

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Guillaumes Rue Raymond Béranger ou Rue des Juifs.

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<center>Guillaumes</center> A droite, rue Pierre Honoré Lions : Juge royal de la ville, mais aussi poète. Il a écrit la très belle Ode, adressée le 16 décembre 1845, à Sa Majesté le Roi de Sardaigne, suite aux intempéries qui avaient menacé le bourg

Guillaumes A droite, rue Pierre Honoré Lions : Juge royal de la ville, mais aussi poète. Il a écrit la très belle Ode, adressée le 16 décembre 1845, à Sa Majesté le Roi de Sardaigne, suite aux intempéries qui avaient menacé le bourg

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<center>Guillaumes</center> 1ère partie du 13e s. Raymond Béranger V, comte de Provence, fonde le château, probablement entre 1233 et 1235. 13e s. Castrum de Guillermo est cité. Le château qui domine la ville dit de la reine Jeanne fait référence à la fidélité du village à Jeanne de Provence.

Guillaumes 1ère partie du 13e s. Raymond Béranger V, comte de Provence, fonde le château, probablement entre 1233 et 1235. 13e s. Castrum de Guillermo est cité. Le château qui domine la ville dit de la reine Jeanne fait référence à la fidélité du village à Jeanne de Provence.

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<center>Guillaumes</center> 14e s. La Maison d’Anjou accorde des privilèges et valeurs aux habitants de Guillaumes. La reine Jeanne l’autorise à porter ses couleurs dans ses armoiries et lui accorde l’assurance de ne jamais être aliéné du domaine comtal.

1382. L’assassinat de la Reine Jeanne 1ère à Naples et la crise de succession qu’il entraîne ont des fortes implications sur Guillaumes.

Les villes de l’Union d’Aix (1382–1387) soutiennent Charles de Duras contre Louis Ier d’Anjou.
1385. A la mort de Louis 1er, la communauté de Guillaumes se rallie à son jeune fils, Louis II d’Anjou.
1390. Guillaumes est désigné par Marie de Blois, comtesse de Guise, comme chef lieu de viguerie.

1450. Reconstruction du château par le Roi René,seigneur de Guillaumes.

Le château est doté d’un véritable donjon.

Guillaumes 14e s. La Maison d’Anjou accorde des privilèges et valeurs aux habitants de Guillaumes. La reine Jeanne l’autorise à porter ses couleurs dans ses armoiries et lui accorde l’assurance de ne jamais être aliéné du domaine comtal. 1382. L’assassinat de la Reine Jeanne 1ère à Naples et la crise de succession qu’il entraîne ont des fortes implications sur Guillaumes. Les villes de l’Union d’Aix (1382–1387) soutiennent Charles de Duras contre Louis Ier d’Anjou. 1385. A la mort de Louis 1er, la communauté de Guillaumes se rallie à son jeune fils, Louis II d’Anjou. 1390. Guillaumes est désigné par Marie de Blois, comtesse de Guise, comme chef lieu de viguerie. 1450. Reconstruction du château par le Roi René,seigneur de Guillaumes. Le château est doté d’un véritable donjon.

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<center>Guillaumes</center>
1700 – 1706. Le site est fortifié par Vauban.
1744. 4 – 8 juillet. Avant d’attaquer Entraunes et St-Martin-d’Entraunes, les troupes franco-espagnoles stationnent dans Guillaumes.
1760. Le château est démantelé après sa cession au Roi de Sardaigne.

Le traité du 24 mars 1760 redéfinit les frontières entre les royaumes de Louis XV et de Charles-Emmanuel III de Savoie.
Guillaumes est cédée à la Maison de Savoie.
Le commissaire sarde prend possession de la ville le 20 octobre.

Guillaumes 1700 – 1706. Le site est fortifié par Vauban. 1744. 4 – 8 juillet. Avant d’attaquer Entraunes et St-Martin-d’Entraunes, les troupes franco-espagnoles stationnent dans Guillaumes. 1760. Le château est démantelé après sa cession au Roi de Sardaigne. Le traité du 24 mars 1760 redéfinit les frontières entre les royaumes de Louis XV et de Charles-Emmanuel III de Savoie. Guillaumes est cédée à la Maison de Savoie. Le commissaire sarde prend possession de la ville le 20 octobre.

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<center>Guillaumes</center> 1792. L’armée révolutionnaire française s’empare de Guillaumes qui reste française jusqu’au Traité de Vienne.
1796. 15 mai. Le Traité de Paris oblige le roi de Sardaigne à céder ses droits sur le comté de Nice à la France.
1845. Charles-Albert, roi de Sardaigne, engage d’importants travaux pour protéger Guillaumes des crues.

La rive gauche du Var est endiguée.

1860. 24 mars. Guillaumes est rattaché définitivement à La France. La création de routes impériales est la 1ère grande action française.

Guillaumes 1792. L’armée révolutionnaire française s’empare de Guillaumes qui reste française jusqu’au Traité de Vienne. 1796. 15 mai. Le Traité de Paris oblige le roi de Sardaigne à céder ses droits sur le comté de Nice à la France. 1845. Charles-Albert, roi de Sardaigne, engage d’importants travaux pour protéger Guillaumes des crues. La rive gauche du Var est endiguée. 1860. 24 mars. Guillaumes est rattaché définitivement à La France. La création de routes impériales est la 1ère grande action française.

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Guillaumes

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Guillaumes. Le château. Le chateau est attesté au XIIIe siècle. Il résulte d'une reconstruction vers 1230 ou 1250. Il est dit de la Reine Jeanne mais il s'agit d'une légende.

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<center>Guillaumes. Le château. </center> Pour protéger la cité, le Roi René (Guillaumes est resté rattaché à la maison d'Anjou en 1388) fît bâtir selon la tradition ou plutôt remanier vers 1450 un château-donjon formant citadelle sur les hauteurs escarpées.
En 1574 le roi de France installe deux compagnies dans le château. Vauban prescrit des travaux qui le rendent

Guillaumes. Le château. Pour protéger la cité, le Roi René (Guillaumes est resté rattaché à la maison d'Anjou en 1388) fît bâtir selon la tradition ou plutôt remanier vers 1450 un château-donjon formant citadelle sur les hauteurs escarpées. En 1574 le roi de France installe deux compagnies dans le château. Vauban prescrit des travaux qui le rendent "inattaquable" en 1706. En 1760 suite aux rectifications de frontières (Traité de Turin), Guillaumes est rattaché au Comté de Nice et le château est rasé.

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Guillaumes. Le château.

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Guillaumes. Le château.

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Guillaumes. Le château.

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Guillaumes. Le château.

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<center>Gorges de Daluis</center> Au fond, le pont du saut de la Mariée. Le pont permettait au tramway de franchir la vallée du Var et d’atteindre Guillaumes par sa rive gauche. 1910. Début de la construction de la ligne de tramway du Haut-Var. 1923. 29 juillet. Inauguration de la ligne de tramway du Haut-Var. 1929. 16 mai. Après 6 ans d’exploitation, la ligne de tramway du Haut-Var est arrêtée.

Gorges de Daluis Au fond, le pont du saut de la Mariée. Le pont permettait au tramway de franchir la vallée du Var et d’atteindre Guillaumes par sa rive gauche. 1910. Début de la construction de la ligne de tramway du Haut-Var. 1923. 29 juillet. Inauguration de la ligne de tramway du Haut-Var. 1929. 16 mai. Après 6 ans d’exploitation, la ligne de tramway du Haut-Var est arrêtée.

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