Balzi Rossi, Jardin Hanbury, Castellar, Castillon

Les grottes des Balzi Rossi ont été occupées par l'homme au Paléolithique. Le jardin botanique Hanbury a été réalisé en 1867. Castellar est un village perché, dominant Menton. Castillon est un village sur la route de Sospel qui a été reconstruit deux fois après un tremblement de terre en 1887 et un bombardement en 1944.

<center> Vue de Menton.</center>
Vue de Menton.
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<center> Vue de Menton.</center>
Vue de Menton.
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<center> Balzi Rossi.</center> Les cavernes des Balzi Rossi s'ouvrent au pied d'une falaise de calcaires dolomitiques datant du Jurassique supérieur. La paroi, haute de 100 mètres environ, sépare le village de Grimaldi di Ventimiglia (dans la province d'Imperia) de la frontière française. La localité tient son nom de la couleur rougeâtre qui caractérise la roche de la paroi (
Balzi Rossi.
Les cavernes des Balzi Rossi s'ouvrent au pied d'une falaise de calcaires dolomitiques datant du Jurassique supérieur. La paroi, haute de 100 mètres environ, sépare le village de Grimaldi di Ventimiglia (dans la province d'Imperia) de la frontière française. La localité tient son nom de la couleur rougeâtre qui caractérise la roche de la paroi ("Baussi Russi" dans le dialecte local signifie "roches rouges").
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<center> Balzi Rossi.</center>Le musée des Balzi Rossi, construit en 1898 par le mécène anglais sir Thomas Hanbury pour accueillir et exposer au public une partie des objets découverts, a été rénové en 1994.
Balzi Rossi.
Le musée des Balzi Rossi, construit en 1898 par le mécène anglais sir Thomas Hanbury pour accueillir et exposer au public une partie des objets découverts, a été rénové en 1994.
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<center> Balzi Rossi.</center> De l'ouest à l'est, les deux groupes comprennent la grotte du Conte Costantini, la grotte des Enfants, la grotte Florestan et la grotte du Cavillon situées au nord de la voie ferrée, Barma Grande et Barma du Bausu da Ture (qui fut détruite par une carrière à la fin du siècle dernier) situées au sud, et enfin la grotte du Prince, la plus vaste, située au nord.
Balzi Rossi.
De l'ouest à l'est, les deux groupes comprennent la grotte du Conte Costantini, la grotte des Enfants, la grotte Florestan et la grotte du Cavillon situées au nord de la voie ferrée, Barma Grande et Barma du Bausu da Ture (qui fut détruite par une carrière à la fin du siècle dernier) situées au sud, et enfin la grotte du Prince, la plus vaste, située au nord.
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<center> Balzi Rossi.</center> Les grottes ont été occupées par l'homme au Paléolithique. Les différents chantiers de fouilles archéologiques ont permis de mettre au jour des restes d’animaux de diverses époques, une vingtaine de sépultures humaines, des objets variés comme des Vénus callipyges, des outils lithiques, une gravure d’un équidé. Au moins sept squelettes découverts sur le site sont attribués à l'Homo sapiens, appelé localement « Homme de Grimaldi ».
Balzi Rossi.
Les grottes ont été occupées par l'homme au Paléolithique. Les différents chantiers de fouilles archéologiques ont permis de mettre au jour des restes d’animaux de diverses époques, une vingtaine de sépultures humaines, des objets variés comme des Vénus callipyges, des outils lithiques, une gravure d’un équidé. Au moins sept squelettes découverts sur le site sont attribués à l'Homo sapiens, appelé localement « Homme de Grimaldi ».
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<center> Balzi Rossi.</center>Les premières fouilles ont été entreprises par le prince Florestan Ier de Monaco dès 1846. Émile Rivière lui succède en 1870-1875. Les travaux menés entre 1875 et 1902, sous l'égide du prince Albert Ier de Monaco sont dirigés par Louis de Villeneuve, qui veille à utiliser des méthodes scientifiques adéquates. De 1928 à 1962, l'Institut italien de paléontologie humaine de Rome complète l'exploration des différentes grottes.
Balzi Rossi.
Les premières fouilles ont été entreprises par le prince Florestan Ier de Monaco dès 1846. Émile Rivière lui succède en 1870-1875. Les travaux menés entre 1875 et 1902, sous l'égide du prince Albert Ier de Monaco sont dirigés par Louis de Villeneuve, qui veille à utiliser des méthodes scientifiques adéquates. De 1928 à 1962, l'Institut italien de paléontologie humaine de Rome complète l'exploration des différentes grottes.
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Balzi Rossi.
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<center> Balzi Rossi.</center>La Barma Grande. La Barma Grande (Barma signifie grotte en dialecte local). On y a découvert une sépulture comprenant les squelettes de six individus du type Cro-Magnon, en particulier la triple sépulture exposée dans le musée, comprenant les squelettes d'un homme, d'(une femme et d'un adolescent.
Balzi Rossi.
La Barma Grande. La Barma Grande (Barma signifie grotte en dialecte local). On y a découvert une sépulture comprenant les squelettes de six individus du type Cro-Magnon, en particulier la triple sépulture exposée dans le musée, comprenant les squelettes d'un homme, d'(une femme et d'un adolescent.
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<center> Balzi Rossi.</center>La Barma Grande. On y a découvert une sépulture comprenant les squelettes de six individus du type Cro-Magnon, en particulier la triple sépulture exposée dans le musée, comprenant les squelettes d'un homme, d'une femme et d'un adolescent.
Balzi Rossi.
La Barma Grande. On y a découvert une sépulture comprenant les squelettes de six individus du type Cro-Magnon, en particulier la triple sépulture exposée dans le musée, comprenant les squelettes d'un homme, d'une femme et d'un adolescent.
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<center> Balzi Rossi.</center>La Grotte du Caviglione.
Balzi Rossi.
La Grotte du Caviglione.
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<center> Balzi Rossi.</center>La Grotte du Caviglione.
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La Grotte du Caviglione.
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<center> Balzi Rossi.</center>La Grotte du Caviglione.
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La Grotte du Caviglione.
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<center> Balzi Rossi.</center>La Grotte du Caviglione. En 1971, G. Vicino a mis en évidence la présence d'incisions du paléolithique supérieur. Si la majorité sont de simples lignes, une représente clairement le profil d'un équidé, identifiable avec le
Balzi Rossi.
La Grotte du Caviglione. En 1971, G. Vicino a mis en évidence la présence d'incisions du paléolithique supérieur. Si la majorité sont de simples lignes, une représente clairement le profil d'un équidé, identifiable avec le "cheval de Przewalski".
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Balzi Rossi.
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<center> Balzi Rossi.</center>La Grotte de Florestan, nommée ainsi en l'honneur du prince qui finança, en 1846, les premières fouilles.
Balzi Rossi.
La Grotte de Florestan, nommée ainsi en l'honneur du prince qui finança, en 1846, les premières fouilles.
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<center>Jardin Hanbury</center>En 1867, Thomas Hanbury, un Anglais ayant fait fortune aux Indes et en Chine dans le commerce des épices, du thé et de la soie, est à la recherche d'une résidence loin des pluvieux hivers britanniques. Après avoir parcouru le sud de la France et la côte ligure, il découvre le cap de la Mortola et décide de s'y installer. Thomas Hanbury voulait selon les conseils de son frère Daniel, pharmacien et botaniste passionné, que sa propriété abrite un jardin exotique. Il achète cette propriété le 1er mai 1867. Les travaux débutent en 1868 sous la direction de Daniel et grâce à l'aide du jardinier Ludovic Winter, notamment, le jardin s'organise. En 1875, Daniel meurt et Ludwig Winter quitte le domaine. , Thomas Hanbury décide de continuer le travail de son frère. Thomas Hanbury meurt en 1907 et c'est son fils Cecil qui hérite de la propriété. En 1918, l'épouse de Cecil, Lady Dorothy Symons, reprend en main le domaine.
Jardin Hanbury
En 1867, Thomas Hanbury, un Anglais ayant fait fortune aux Indes et en Chine dans le commerce des épices, du thé et de la soie, est à la recherche d'une résidence loin des pluvieux hivers britanniques. Après avoir parcouru le sud de la France et la côte ligure, il découvre le cap de la Mortola et décide de s'y installer. Thomas Hanbury voulait selon les conseils de son frère Daniel, pharmacien et botaniste passionné, que sa propriété abrite un jardin exotique. Il achète cette propriété le 1er mai 1867. Les travaux débutent en 1868 sous la direction de Daniel et grâce à l'aide du jardinier Ludovic Winter, notamment, le jardin s'organise. En 1875, Daniel meurt et Ludwig Winter quitte le domaine. , Thomas Hanbury décide de continuer le travail de son frère. Thomas Hanbury meurt en 1907 et c'est son fils Cecil qui hérite de la propriété. En 1918, l'épouse de Cecil, Lady Dorothy Symons, reprend en main le domaine.
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<center>Jardin Hanbury</center>La villa Orengo ou le Palais. Elle a une origine très ancienne. On a tout d'abord les traces d'une ancienne villa romaine située cette propriété qui était traversée par la Via Julia Augusta qui reliait les Gaules à l'Italie romaine. La famille des Lanteri a construit un château à cet emplacement au XIe siècle au retour de la Première Croisage. La propriété a été rachetée par la famille Orengo en 1620 qui l'a réaménagé. Thomas Hanbury l'a agrandi avec des terrasses, une cour à arcades et une tour.
Jardin Hanbury
La villa Orengo ou le Palais. Elle a une origine très ancienne. On a tout d'abord les traces d'une ancienne villa romaine située cette propriété qui était traversée par la Via Julia Augusta qui reliait les Gaules à l'Italie romaine. La famille des Lanteri a construit un château à cet emplacement au XIe siècle au retour de la Première Croisage. La propriété a été rachetée par la famille Orengo en 1620 qui l'a réaménagé. Thomas Hanbury l'a agrandi avec des terrasses, une cour à arcades et une tour.
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<center>Jardin Hanbury</center>Statice.
Jardin Hanbury
Statice.
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<center>Jardin Hanbury</center>Aloe arborescens. Afrique du sud.
Jardin Hanbury
Aloe arborescens. Afrique du sud.
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<center>Jardin Hanbury</center>Fontana Nirvana. Elle a été construite sur des plans de 1872 de Ludwig Winter. Agave attenuata. Cette espèce n'a pas eu besoin de développer des épines pour se défendre, parce qu'elle vit sur les parois rocheuses; elle fleurit rarement avec un curieux épi replié comme une trompe.
Jardin Hanbury
Fontana Nirvana. Elle a été construite sur des plans de 1872 de Ludwig Winter. Agave attenuata. Cette espèce n'a pas eu besoin de développer des épines pour se défendre, parce qu'elle vit sur les parois rocheuses; elle fleurit rarement avec un curieux épi replié comme une trompe.
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<center>Jardin Hanbury</center>Agave attenuata. Agave à cou de cygne.
Jardin Hanbury
Agave attenuata. Agave à cou de cygne.
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<center>Jardin Hanbury</center>
Jardin Hanbury
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<center>Jardin Hanbury</center>Greyia sutherlandii. Natal. Rince-bouteille du Natal.
Jardin Hanbury
Greyia sutherlandii. Natal. Rince-bouteille du Natal.
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<center>Jardin Hanbury</center> Aeonium zwartkop
Jardin Hanbury
Aeonium zwartkop
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<center>Jardin Hanbury</center> Agave reine Victoria. Mexique.
Jardin Hanbury
Agave reine Victoria. Mexique.
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<center>Jardin Hanbury</center> Agaves.
Jardin Hanbury
Agaves.
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<center>Jardin Hanbury</center> Agaves.
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Agaves.
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<center>Jardin Hanbury</center> Ferocactus histrix. Mexique.
Jardin Hanbury
Ferocactus histrix. Mexique.
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<center>Jardin Hanbury</center> Agave striata. Mexique.
Jardin Hanbury
Agave striata. Mexique.
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<center>Jardin Hanbury</center> Cycas femelle.
Jardin Hanbury
Cycas femelle.
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<center>Jardin Hanbury</center> Cycas femelle. Cette pergola, provenant du parc anglais de Kingston, une ancienne propriété Hanbury, a été placée ici en 1947.
Jardin Hanbury
Cycas femelle. Cette pergola, provenant du parc anglais de Kingston, une ancienne propriété Hanbury, a été placée ici en 1947.
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<center>Jardin Hanbury</center> «Tempietto» (petit temple).
Jardin Hanbury
«Tempietto» (petit temple).
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<center>Jardin Hanbury</center> «Tempietto» (petit temple). Les cendres de Dorothy Symons-Jeune, la femme de Cecil et la belle-fille du fondateur du jardin, sont ensevelies sous son sol.
Jardin Hanbury
«Tempietto» (petit temple). Les cendres de Dorothy Symons-Jeune, la femme de Cecil et la belle-fille du fondateur du jardin, sont ensevelies sous son sol.
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<center>Jardin Hanbury</center> Dasylirion serratifolium. Mexique.
Jardin Hanbury
Dasylirion serratifolium. Mexique.
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<center>Jardin Hanbury</center> Palmier Washingtonia robusta.
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Palmier Washingtonia robusta.
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<center>Jardin Hanbury</center> Palmier Washingtonia robusta.
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Palmier Washingtonia robusta.
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<center>Jardin Hanbury</center> Palmier.
Jardin Hanbury
Palmier.
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<center>Jardin Hanbury</center> Palmier reine.
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Palmier reine.
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<center>Jardin Hanbury</center> Cyprès lusitanica. Amérique centrale.
Jardin Hanbury
Cyprès lusitanica. Amérique centrale.
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<center>Jardin Hanbury</center> Callistemon. Rince bouteille, plante goupillon.
Jardin Hanbury
Callistemon. Rince bouteille, plante goupillon.
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<center>Jardin Hanbury</center> Strelitzia reginae. Province du Cap.
Jardin Hanbury
Strelitzia reginae. Province du Cap.
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<center>Jardin Hanbury</center> La Topia. C'est un type de pergola avec des piliers en pierre. Elle traverse de façon horizontale la pente. Pendant le parcours sous la Topia, on peut admirer des rosiers et des glycines.
Jardin Hanbury
La Topia. C'est un type de pergola avec des piliers en pierre. Elle traverse de façon horizontale la pente. Pendant le parcours sous la Topia, on peut admirer des rosiers et des glycines.
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<center>Jardin Hanbury</center> Fontaine de la sirène.
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Fontaine de la sirène.
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<center>Jardin Hanbury</center> Abutilon x milleri.
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Abutilon x milleri.
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<center>Jardin Hanbury</center> Fleur de la passion.
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Fleur de la passion.
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<center>Jardin Hanbury</center> Aeonium hierrense. Canarie.
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Aeonium hierrense. Canarie.
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<center>Jardin Hanbury</center> Ferrocactus pilosus. Mexique.
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Ferrocactus pilosus. Mexique.
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<center>Jardin Hanbury</center> Aloe succotrina. Province du Cap
Jardin Hanbury
Aloe succotrina. Province du Cap
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<center>Jardin Hanbury</center>La Fontaine du Dragon. . La circulation d'air due à la grotte détermine un microclimat qui a permis la culture du papyrus.
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La Fontaine du Dragon. . La circulation d'air due à la grotte détermine un microclimat qui a permis la culture du papyrus.
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<center>Jardin Hanbury</center> La Fontaine du Dragon. . Son nom vient de celui du bronze japonais au centre de la vasque. Il avait été acheté à Kyoto par Thomas Hanbury.
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La Fontaine du Dragon. . Son nom vient de celui du bronze japonais au centre de la vasque. Il avait été acheté à Kyoto par Thomas Hanbury.
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<center>Jardin Hanbury</center> La Fontaine du Dragon. La statue en marbre appelée
Jardin Hanbury
La Fontaine du Dragon. La statue en marbre appelée "l'Esclave" a pour auteur Antonio Canava .
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<center>Jardin Hanbury</center> Pivoine.
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Pivoine.
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<center>Jardin Hanbury</center> Pivoine.
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Pivoine.
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<center>Jardin Hanbury</center> Le Mausolée mauresque . Petit temple de style orientalisant construit par l'architecte Pio Soli en 1886.
Jardin Hanbury
Le Mausolée mauresque . Petit temple de style orientalisant construit par l'architecte Pio Soli en 1886.
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<center>Jardin Hanbury</center> Le Mausolée mauresque . Les cendres de Thomas Hanbury et Katherine Pease y sont déposés.
Jardin Hanbury
Le Mausolée mauresque . Les cendres de Thomas Hanbury et Katherine Pease y sont déposés.
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<center>Jardin Hanbury</center>La villa Orengo ou le Palais. L'édifice a été construit par un cadet de la famille milanaise des Lanteri, de retour de la première croisade (XIe siècle), afin d'augmenter la domination de sa famille. En 1620 sœur Violante, le dernier membre de la famille, a vendu le domaine à la famille Orengo, qui en ont été les propriétaires jusqu'au 1844. Le 1er Mai 1867 Thomas Hanbury a signé le contrat de vente avec Ambrosina Grandis et sa mère Devotina. L'édifice a été restructuré complètement à maintes reprises.
Jardin Hanbury
La villa Orengo ou le Palais. L'édifice a été construit par un cadet de la famille milanaise des Lanteri, de retour de la première croisade (XIe siècle), afin d'augmenter la domination de sa famille. En 1620 sœur Violante, le dernier membre de la famille, a vendu le domaine à la famille Orengo, qui en ont été les propriétaires jusqu'au 1844. Le 1er Mai 1867 Thomas Hanbury a signé le contrat de vente avec Ambrosina Grandis et sa mère Devotina. L'édifice a été restructuré complètement à maintes reprises.
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<center>Jardin Hanbury</center> La villa Orengo ou le Palais. La loge en marbre adossée au Palazzo a été adjointe pendant les restaurations et l'agrandissement de l'édifice qui ont eu lieu en 1876, selon le projet de l'architecte Foster.
Jardin Hanbury
La villa Orengo ou le Palais. La loge en marbre adossée au Palazzo a été adjointe pendant les restaurations et l'agrandissement de l'édifice qui ont eu lieu en 1876, selon le projet de l'architecte Foster.
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<center>Jardin Hanbury</center> La Terrasse du sud. Le Pavillon, un petit temple construit selon les projets de Thomas Hanbury.
Jardin Hanbury
La Terrasse du sud. Le Pavillon, un petit temple construit selon les projets de Thomas Hanbury.
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<center>Jardin Hanbury</center> La Terrasse du sud.
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La Terrasse du sud.
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<center>Jardin Hanbury</center> La Terrasse du sud.
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La Terrasse du sud.
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<center>Jardin Hanbury</center> Nymphéas..
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Nymphéas..
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<center>Jardin Hanbury</center> La villa Orengo ou le Palais.
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La villa Orengo ou le Palais.
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<center>Jardin Hanbury</center> L'empereur Auguste.
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L'empereur Auguste.
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<center>Jardin Hanbury</center> Jules César.
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Jules César.
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<center>Jardin Hanbury</center> La villa Orengo ou le Palais.
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La villa Orengo ou le Palais.
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<center>Jardin Hanbury</center> La villa Orengo ou le Palais.
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La villa Orengo ou le Palais.
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<center>Jardin Hanbury</center> La villa Orengo ou le Palais. Entrée de la terrasse Nord.
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La villa Orengo ou le Palais. Entrée de la terrasse Nord.
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<center>Jardin Hanbury</center> La villa Orengo ou le Palais. Entrée de la terrasse Nord.
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La villa Orengo ou le Palais. Entrée de la terrasse Nord.
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<center>Jardin Hanbury</center> La villa Orengo ou le Palais. Entrée de la terrasse Nord.
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La villa Orengo ou le Palais. Entrée de la terrasse Nord.
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<center>Jardin Hanbury</center> La villa Orengo ou le Palais. Entrée de la terrasse Nord.
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La villa Orengo ou le Palais. Entrée de la terrasse Nord.
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<center>Jardin Hanbury</center> La villa Orengo ou le Palais. Sous le portique d'accès on peut admirer la mosaïque datée et signée (Salviati -1888) qui représente Marco Polo.
Jardin Hanbury
La villa Orengo ou le Palais. Sous le portique d'accès on peut admirer la mosaïque datée et signée (Salviati -1888) qui représente Marco Polo.
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<center>Jardin Hanbury</center> La villa Orengo ou le Palais.
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La villa Orengo ou le Palais.
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<center>Jardin Hanbury</center> La villa Orengo ou le Palais.
Jardin Hanbury
La villa Orengo ou le Palais.
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<center>Jardin Hanbury</center> La villa Orengo ou le Palais. Sur l'esplanade se trouve aussi une Cloche japonaise en bronze qui provient d'un temple bouddhiste. Les gravures principales rapportent la dédicace « La cloche éternelle de l'illustre secte de Chingon » et le nom du temple: «Hôkôzan Kwannon Mitsuji». Les inscriptions plus petites racontent l'histoire de la consécration et énumèrent les souscripteurs. Au bas de la liste une date et une localité sont mentionnées: 1764, Kanda (quartier de Tokyo).
Jardin Hanbury
La villa Orengo ou le Palais. Sur l'esplanade se trouve aussi une Cloche japonaise en bronze qui provient d'un temple bouddhiste. Les gravures principales rapportent la dédicace « La cloche éternelle de l'illustre secte de Chingon » et le nom du temple: «Hôkôzan Kwannon Mitsuji». Les inscriptions plus petites racontent l'histoire de la consécration et énumèrent les souscripteurs. Au bas de la liste une date et une localité sont mentionnées: 1764, Kanda (quartier de Tokyo).
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<center>Jardin Hanbury</center> La villa Orengo ou le Palais. Terrasse Nord.
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La villa Orengo ou le Palais. Terrasse Nord.
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<center>Jardin Hanbury</center> Streptosolen jamesonii. Amérique du sud.
Jardin Hanbury
Streptosolen jamesonii. Amérique du sud.
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<center>Jardin Hanbury</center> Glaïeul sauvage.
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Glaïeul sauvage.
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<center>Jardin Hanbury</center> Fleur de la passion.
Jardin Hanbury
Fleur de la passion.
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<center>Castellar</center>Les premières traces de présence humaine sur le territoire remontent à la Préhistoire, 10 000 ans avant J.C
Au XIIe siècle, un bourg fortifié, appelé le « Vieux-Castellar » a été édifié, à 870 mètres d'altitude, plus au Nord, sur un éperon rocheux, où quelques ruines subsistent encore II fallut attendre 1435, pour que les habitants du village décident de s'installer ici même, sur la colline Saint-Sébastien. Castellar fut notamment le fief de la famille des Lascaris-Vintimille qui compte au fil des siècles plusieurs personnages illustres. La cité médiévale a connu de multiples soubresauts de l'histoire, de guerres en tremblements de terre en passant par un procès en sorcellerie ! Aujourd'hui, ce village particulièrement pittoresque attire les promeneurs par ses ruelles et ses chapelles.
Castellar
Les premières traces de présence humaine sur le territoire remontent à la Préhistoire, 10 000 ans avant J.C Au XIIe siècle, un bourg fortifié, appelé le « Vieux-Castellar » a été édifié, à 870 mètres d'altitude, plus au Nord, sur un éperon rocheux, où quelques ruines subsistent encore II fallut attendre 1435, pour que les habitants du village décident de s'installer ici même, sur la colline Saint-Sébastien. Castellar fut notamment le fief de la famille des Lascaris-Vintimille qui compte au fil des siècles plusieurs personnages illustres. La cité médiévale a connu de multiples soubresauts de l'histoire, de guerres en tremblements de terre en passant par un procès en sorcellerie ! Aujourd'hui, ce village particulièrement pittoresque attire les promeneurs par ses ruelles et ses chapelles.
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<center>Castellar</center>Du rempart, construit aux XVe et XVIe siècles, il subsiste des tours, place de l'Hôtel-de-ville et rue Arson. Les Lascaris sont issus d'une famille byzantine qui fournit plusieurs empereurs de Nicée. L'un d'eux, Théodore II, eut une fille, Eudoxie, qui épousa en 1261 le comte Guillaume-Pierre de Vintimille. Leurs descendants - en particulier les comtes de Tende et seigneurs de La Brigue adoptèrent le nom et relevèrent les armes des empe¬reurs Lascaris.
Au dixième siècle, Castellar appartenait aux comtes de Vintimille. Le comté de Vintimille disparut en 1258, partagé entre la République de Gênes et la Provence. Le
Castellar
Du rempart, construit aux XVe et XVIe siècles, il subsiste des tours, place de l'Hôtel-de-ville et rue Arson. Les Lascaris sont issus d'une famille byzantine qui fournit plusieurs empereurs de Nicée. L'un d'eux, Théodore II, eut une fille, Eudoxie, qui épousa en 1261 le comte Guillaume-Pierre de Vintimille. Leurs descendants - en particulier les comtes de Tende et seigneurs de La Brigue adoptèrent le nom et relevèrent les armes des empe¬reurs Lascaris. Au dixième siècle, Castellar appartenait aux comtes de Vintimille. Le comté de Vintimille disparut en 1258, partagé entre la République de Gênes et la Provence. Le "Castrum de Castellar" passa au comte de Provence qui continua toutefois à investir les membres de la famille des Vintimille. Guillaumin (frère de Guillaume Pierre) et son petit-fils Othon, furent à l'origine de la lignée des Vintimille, seigneurs de Castellar. Leurs descendants, Louis et Henri, autorisèrent en 1435, les habitants du vieux village de Castellar à se transporter sur la colline de Saint-Sébastien. Un autre Guillaumin épousa Illaria (ou Hilaire
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<center>Castellar</center>Dès la fin du XVe siècle, des Lascaris de Castellar ont été
Castellar
Dès la fin du XVe siècle, des Lascaris de Castellar ont été "consuls" puis "syndics" de Nice : Honoré en 1508, Etienne en 1512, Célestin en 1517, Barthélémy en 1545. Un autre Honoré fut Président de la Chambre des Comptes du Piémont en 1577. Un troisième Honoré, Chevalier de Malte, trouva la mort en 1562 dans un combat contre les Turcs. Jean-Paul Lascaris, né le 28 juin 1560, entra dans l'Ordre de Malte, atteignit la charge suprême de 55e Grand-Maître, charge qu'il occupa avec intelligence et fermeté. Il mourut à Malte le 14 août 1657, entouré de la renommée universelle. L'un de ses neveux, Jean-Baptiste, maréchal de camp de Charles-Emmanuel II, duc de Savoie, fit construire à Nice, à partir de 1648, le beau palais de la Rue Droite, que ses descendants, les comtes de Peille, coseigneurs de Castellar, occupèrent jusqu'en 1792. Il était également propriétaire du Palais Lascaris de Castellar, dont le porche est couronné par une élégante coupole à lanternon. Les biens de son dernier descendant direct, Jean-Paul Augustin, furent vendus comme "biens nationaux" après le rattachement du Comté de Nice à la France. En 1814, Castellar fut restitué au royaume de Piémont-Sardaigne et demeura Sarde jusqu'au rattachement de 1860. C'est à Castellar et à Gorbio qu'il y a eu la plus forte proportion de votes contre le rattachement à la France.
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<center>Castellar</center>Un des nombreux passages couverts voûtés.
Castellar
Un des nombreux passages couverts voûtés.
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<center>Castellar</center>Maison de Stefano Gaziello (1536(?) -1620) notaire, bayle et conseiller des comtes de Vintimille-Lascaris. Il créa une fondation charitable,
Castellar
Maison de Stefano Gaziello (1536(?) -1620) notaire, bayle et conseiller des comtes de Vintimille-Lascaris. Il créa une fondation charitable, "l’ospedale" et fonda la chapelle St Etienne dans l'église St Pierre. Ce bâtiment servit de "maison commune" et d'école au 18e et 19e siècles.
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<center>Castellar</center>Le Palais Lascaris. Cet ancien palais seigneurial fut construit peu après la convention de 1435 passée entre la communauté et les seigneurs, quand le village de Castellar a été transféré sur le site actuel.  Il appartenait à la grande famille des Lascaris, comtes de Vintimille. La branche locale, comtes de Castellar, est notamment composée d'un Grand Maître de l'ordre de Malte ainsi que du constructeur du fameux palais Lascaris du vieux Nice. Le palais était construit de part et d'autre de la rue. Il subsiste une partie du palais des comtes de Vintimille face à l'église, l'ancien
Castellar
Le Palais Lascaris. Cet ancien palais seigneurial fut construit peu après la convention de 1435 passée entre la communauté et les seigneurs, quand le village de Castellar a été transféré sur le site actuel. Il appartenait à la grande famille des Lascaris, comtes de Vintimille. La branche locale, comtes de Castellar, est notamment composée d'un Grand Maître de l'ordre de Malte ainsi que du constructeur du fameux palais Lascaris du vieux Nice. Le palais était construit de part et d'autre de la rue. Il subsiste une partie du palais des comtes de Vintimille face à l'église, l'ancien "Turris", où est né Jean-Paul Lascaris (1560-1657). Le palais actuel, la "Casa Grande", ne conserve plus d'élément antérieur au XVIIe siècle. Un tremblement de terre en 1564 l'avait partiellement détruit. Baroquisé fin XVIIe, il est agrémenté d'une curieuse tour-porche avec coupole de tuiles polychromes et lanternon. A l'intérieur, on peut voir une chambre à alcôve du XVIIIe siècle. Propriété du commandant Arson au début du XIXe, l'édifice est ensuite laissé à l'abandon et en ruine .
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<center>Castellar</center>Le Palais Lascaris. On peut encore voir le blason des comtes de Vintimille sur le porche. D'or à la tour de gueules ouverte et ajourée du champ, surmontée d'une aigle bicéphale de sable becquée et membrée de gueules.
Le blason actuel utilisé à Castellar est une reprise qui date de 1984, plus stylisée, dont la devise a été conservée mais pas les couronnes au-dessus des deux têtes de l'aigle bicéphale.
La devise est « Nec me fulgura » (« la foudre même ne saurait m’atteindre »).
Castellar
Le Palais Lascaris. On peut encore voir le blason des comtes de Vintimille sur le porche. D'or à la tour de gueules ouverte et ajourée du champ, surmontée d'une aigle bicéphale de sable becquée et membrée de gueules. Le blason actuel utilisé à Castellar est une reprise qui date de 1984, plus stylisée, dont la devise a été conservée mais pas les couronnes au-dessus des deux têtes de l'aigle bicéphale. La devise est « Nec me fulgura » (« la foudre même ne saurait m’atteindre »).
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<center>Castellar</center>Le Palais Lascaris. Acquis par la commune et récemment restauré, il met aujourd'hui en exergue le site de l'Abri Pendimoun » (-10000 avant JC). Celui-ci, considéré comme un véritable bijou archéologique du Néolithique, est l'un des plus importants lieux de Préhistoire en Europe. Entre 1940 et 1960, Louis Barral, Conservateur du Musée d'Anthropologie préhistorique de Monaco, va initier un grand nombre de chantiers de fouilles dans le Sud-Est de la France, comme celui de l'abri Pendimoun. L’abri Pendimoun a été découvert en Janvier 1955 par le Docteur-Vétérinaire J.-P. Audras . Cet abri situé aux pieds des falaises du flanc Ouest du mont Orméa, a livré un important matériel céramique et osseux. Louis Barral a exhumé le squelette d’un homme d’environ 1,70m qui reposait sur le côté gauche, les tibias légèrement fléchis sur les fémurs et les avant-bras repliés sous la tête.
Castellar
Le Palais Lascaris. Acquis par la commune et récemment restauré, il met aujourd'hui en exergue le site de l'Abri Pendimoun » (-10000 avant JC). Celui-ci, considéré comme un véritable bijou archéologique du Néolithique, est l'un des plus importants lieux de Préhistoire en Europe. Entre 1940 et 1960, Louis Barral, Conservateur du Musée d'Anthropologie préhistorique de Monaco, va initier un grand nombre de chantiers de fouilles dans le Sud-Est de la France, comme celui de l'abri Pendimoun. L’abri Pendimoun a été découvert en Janvier 1955 par le Docteur-Vétérinaire J.-P. Audras . Cet abri situé aux pieds des falaises du flanc Ouest du mont Orméa, a livré un important matériel céramique et osseux. Louis Barral a exhumé le squelette d’un homme d’environ 1,70m qui reposait sur le côté gauche, les tibias légèrement fléchis sur les fémurs et les avant-bras repliés sous la tête.
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<center>Castellar</center>Le Palais Lascaris. Crâne et mandibule de « l'homme de Castellar »
Castellar
Le Palais Lascaris. Crâne et mandibule de « l'homme de Castellar »
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<center>Castellar</center>Le Palais Lascaris. La chambre au deuxième étage conserve un décor en stuc avec des motifs caractéristiques du baroque niçois du XVIIe siècle.
Castellar
Le Palais Lascaris. La chambre au deuxième étage conserve un décor en stuc avec des motifs caractéristiques du baroque niçois du XVIIe siècle.
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<center>Castellar</center>Le Palais Lascaris. La chambre au deuxième étage conserve un décor en stuc avec des motifs caractéristiques du baroque niçois du XVIIe siècle.
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Le Palais Lascaris. La chambre au deuxième étage conserve un décor en stuc avec des motifs caractéristiques du baroque niçois du XVIIe siècle.
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<center>Castellar</center>Le Palais Lascaris. La chambre au deuxième étage conservant un décor en stuc avec des motifs caractéristiques du baroque niçois du XVIIe siècle.
Castellar
Le Palais Lascaris. La chambre au deuxième étage conservant un décor en stuc avec des motifs caractéristiques du baroque niçois du XVIIe siècle.
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<center>Castellar</center>Le Palais Lascaris. Porte en haut de l'escalier monumental.
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Le Palais Lascaris. Porte en haut de l'escalier monumental.
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<center>Castellar</center>L'église Saint-Pierre. L'église a commencé à être construite après le transfert du village de Castellar sur le site actuel en 1435. Elle était orientée est-ouest, avec l'entrée à côté du clocher.
À côté du clocher, on peut voir une pierre gravée
Castellar
L'église Saint-Pierre. L'église a commencé à être construite après le transfert du village de Castellar sur le site actuel en 1435. Elle était orientée est-ouest, avec l'entrée à côté du clocher. À côté du clocher, on peut voir une pierre gravée "asile de pauvres" rappelant que le village possédait un hôpital accueillant des malades à faible revenu. Au XVIe siècle, l'église est agrandie et réorientée sud-nord jusqu'en 1844. L'autel est alors placé au nord après la construction d'une nouvelle abside. L'entrée est au sud. Elle est réaménagée en 1867 et restaurée après le tremblement de terre de 1887 qui a détruit la chapelle extérieure de Saint-Jean-Baptiste, chapelle funéraire des comtes de Lascaris.
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<center>Castellar</center>L'église Saint-Pierre. Cette église paroissiale, fut construite en 1487, peu de temps après la création du village. Plusieurs fois remaniée, l'architecture actuelle est de style néoclassique
En 1610, celle-ci était dans un tel état de délabrement que l’évêque de Vintimille, y jeta l'interdit Des travaux sont aussitôt entrepris. Ils dureront plus de deux ans et la sentence ne sera levée qu'en 1613.
En 1724, l'église est de nouveau confrontée à des dégradations. On y fera face, suivant la formule du linteau du clocher baroque, « avec l'aide des pauvres ». Son clocher à clocheton à bulbe, déporté et de forme quadrangulaire est caractéristique du style baroque, travaillant sur l’imbrication des formes géométriques afin de donner la sensation de mouvement.
Castellar
L'église Saint-Pierre. Cette église paroissiale, fut construite en 1487, peu de temps après la création du village. Plusieurs fois remaniée, l'architecture actuelle est de style néoclassique En 1610, celle-ci était dans un tel état de délabrement que l’évêque de Vintimille, y jeta l'interdit Des travaux sont aussitôt entrepris. Ils dureront plus de deux ans et la sentence ne sera levée qu'en 1613. En 1724, l'église est de nouveau confrontée à des dégradations. On y fera face, suivant la formule du linteau du clocher baroque, « avec l'aide des pauvres ». Son clocher à clocheton à bulbe, déporté et de forme quadrangulaire est caractéristique du style baroque, travaillant sur l’imbrication des formes géométriques afin de donner la sensation de mouvement.
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<center>Castellar</center>L'église Saint-Pierre. Entre 1844 et 1867, l'édifice subit une transformation radicale : orientation fut inversée et une extension fut créée vers le Nord pour établir le nouveau chœur. Le séisme de 1887 entraîna une nouvelle fois des restaurations.
Castellar
L'église Saint-Pierre. Entre 1844 et 1867, l'édifice subit une transformation radicale : orientation fut inversée et une extension fut créée vers le Nord pour établir le nouveau chœur. Le séisme de 1887 entraîna une nouvelle fois des restaurations.
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<center>Castellar</center>L'église Saint-Pierre. L’église à nef unique, restaurée en 1984, a pour patron Saint Pierre et titulaire Saint Sébastien. A l’intérieur sont accrochés des tableaux des XVIIe et XVIIIe siècles.
Parmi les plus remarquables on citera un « Baptême du Christ » de la fin du XVIIe siècle à droite, et un « Saint François recevant les stigmates » du XVIIIe siècle.
Castellar
L'église Saint-Pierre. L’église à nef unique, restaurée en 1984, a pour patron Saint Pierre et titulaire Saint Sébastien. A l’intérieur sont accrochés des tableaux des XVIIe et XVIIIe siècles. Parmi les plus remarquables on citera un « Baptême du Christ » de la fin du XVIIe siècle à droite, et un « Saint François recevant les stigmates » du XVIIIe siècle.
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<center>Castellar</center>L'église Saint-Pierre. Près du porche, dans la petite chapelle latérale de Saint Etienne, se trouve un gisant en bois sculpté (Christ) du XVIIIe siècle.
Castellar
L'église Saint-Pierre. Près du porche, dans la petite chapelle latérale de Saint Etienne, se trouve un gisant en bois sculpté (Christ) du XVIIIe siècle.
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<center>Castellar</center>L'église Saint-Pierre. Près du porche, dans la petite chapelle latérale de Saint Etienne, se trouve un gisant en bois sculpté (Christ) du XVIIIe siècle.
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L'église Saint-Pierre. Près du porche, dans la petite chapelle latérale de Saint Etienne, se trouve un gisant en bois sculpté (Christ) du XVIIIe siècle.
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<center>Castellar</center>L'église Saint-Pierre. Autel la Vierge avec une statue en stuc, entourée de quinze cartouches peints représentant les mystères du Rosaire.
Castellar
L'église Saint-Pierre. Autel la Vierge avec une statue en stuc, entourée de quinze cartouches peints représentant les mystères du Rosaire.
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<center>Castellar</center>L'église Saint-Pierre. Les mystères joyeux. De bas en haut : L'Annonciation, La Visitation, La Nativité, La présentation, Le recouvrement de Jésus au Temple.
Castellar
L'église Saint-Pierre. Les mystères joyeux. De bas en haut : L'Annonciation, La Visitation, La Nativité, La présentation, Le recouvrement de Jésus au Temple.
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<center>Castellar</center>L'église Saint-Pierre. Les mystères douloureux.  De gauche à droite : L’agonie de Jésus à Gethsémani, La flagellation, Le couronnement d'épines, Le portement de la Croix, La crucifixion.
Castellar
L'église Saint-Pierre. Les mystères douloureux. De gauche à droite : L’agonie de Jésus à Gethsémani, La flagellation, Le couronnement d'épines, Le portement de la Croix, La crucifixion.
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<center>Castellar</center>L'église Saint-Pierre. Les mystères glorieux. De haut en bas : La Résurrection, L'Ascension, La Pentecôte, L'Assomption de la Vierge, Le Couronnement de la Vierge
Castellar
L'église Saint-Pierre. Les mystères glorieux. De haut en bas : La Résurrection, L'Ascension, La Pentecôte, L'Assomption de la Vierge, Le Couronnement de la Vierge
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<center>Castellar</center>L'église Saint-Pierre.
Castellar
L'église Saint-Pierre.
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<center>Castellar</center>L'église Saint-Pierre. Autel de Saint Pierre.
Castellar
L'église Saint-Pierre. Autel de Saint Pierre.
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<center>Castellar</center>L'église Saint-Pierre.
Castellar
L'église Saint-Pierre.
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<center>Castellar</center>L'église Saint-Pierre. L'Annonciation
Castellar
L'église Saint-Pierre. L'Annonciation
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<center>Castellar</center>L'église Saint-Pierre.
Castellar
L'église Saint-Pierre.
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<center>Castellar</center>L'église Saint-Pierre. Notre Dame du Rosaire.
Castellar
L'église Saint-Pierre. Notre Dame du Rosaire.
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<center>Castellar</center>L'église Saint-Pierre.
Castellar
L'église Saint-Pierre.
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<center>Castellar</center>L'église Saint-Pierre. Les quatre évangélistes.
Castellar
L'église Saint-Pierre. Les quatre évangélistes.
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<center>Castellar</center>L'église Saint-Pierre. Saint Sébastien et saint Pierre.
Castellar
L'église Saint-Pierre. Saint Sébastien et saint Pierre.
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<center>Castellar</center>Rue du général Sarrail.
Castellar
Rue du général Sarrail.
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<center>Castellar</center>Chapelle des Pénitents blancs. Elle se trouve 53 rue du général Sarrail, face à l'église. Elle semble dater du XVIIe siècle. Le linteau de la porte, en pierre gravée, représente deux Pénitents portant cagoule et encensant le Saint Esprit, symbolisé par la colombe.
Castellar
Chapelle des Pénitents blancs. Elle se trouve 53 rue du général Sarrail, face à l'église. Elle semble dater du XVIIe siècle. Le linteau de la porte, en pierre gravée, représente deux Pénitents portant cagoule et encensant le Saint Esprit, symbolisé par la colombe.
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<center>Castellar</center>Chapelle des Pénitents blancs. Au-dessus, une inscription en latin
Castellar
Chapelle des Pénitents blancs. Au-dessus, une inscription en latin "ALBORVM SODALITIVM IN HONOREM SPIRITVS SANCTI" MDCCCLIV (Confrérie des Blancs en l'honneur du Saint Esprit, 1854).
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<center>Castillon</center>L’église Saint Michel, avec son clocher à bulbe couvert d’écailles polychromes et sa haute abside marque l’entrée du village.
Castillon
L’église Saint Michel, avec son clocher à bulbe couvert d’écailles polychromes et sa haute abside marque l’entrée du village.
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<center>Castillon</center>L’exiguïté et l’escarpement du terrain ont contraint l’architecte à réaliser un narthex coudé en terminaison de la courte nef.
Castillon
L’exiguïté et l’escarpement du terrain ont contraint l’architecte à réaliser un narthex coudé en terminaison de la courte nef.
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<center>Castillon</center>Le village de Castillon a été reconstruit plusieurs fois, subissant les guerres ou les catastrophes naturelles : après la guerre de Succession d'Autriche, au XVIIIe siècle ; après le tremblement de terre de 1887 en Ligurie ; après les bombardements de l'hiver 1944-1945.
Castillon
Le village de Castillon a été reconstruit plusieurs fois, subissant les guerres ou les catastrophes naturelles : après la guerre de Succession d'Autriche, au XVIIIe siècle ; après le tremblement de terre de 1887 en Ligurie ; après les bombardements de l'hiver 1944-1945.
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<center>Castillon</center>Fronton en chapeau de gendarme, oculus en forme de croix grecque, linteau de la porte en schiste de La Roya.
Castillon
Fronton en chapeau de gendarme, oculus en forme de croix grecque, linteau de la porte en schiste de La Roya.
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<center>Castillon</center>La consécration de la nouvelle église et la bénédiction de sa cloche « Sainte Geneviève » cloche offerte en partie par la mère de Jean Médecin  (Geneviève Médecin), est faite en l'année 1956 par Mgr Paul Raymond, évêque de Nice en présence de Jean Médecin, député, maire de Nice et président du conseil général.
Castillon
La consécration de la nouvelle église et la bénédiction de sa cloche « Sainte Geneviève » cloche offerte en partie par la mère de Jean Médecin (Geneviève Médecin), est faite en l'année 1956 par Mgr Paul Raymond, évêque de Nice en présence de Jean Médecin, député, maire de Nice et président du conseil général.
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<center>Castillon</center>Vierge en bois de chêne recouvert de plâtre pour pouvoir la peindre. Cette façon de faire et l'attitude de l'Enfant qui  s'accoude sur l'épaule de la Vierge démontre que cette statue est du XIVe siècle.
Castillon
Vierge en bois de chêne recouvert de plâtre pour pouvoir la peindre. Cette façon de faire et l'attitude de l'Enfant qui s'accoude sur l'épaule de la Vierge démontre que cette statue est du XIVe siècle.
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<center>Castillon</center>Saint Julien d'Auvergne (ou de Brioude). La ville de Brioude, au pays des Arvernes (ou d'Auvergne) vénère la passion de Saint Julien, sous-officier de l'armée et compagnon du tribun Saint Ferréol, officier. Servant secrètement le Christ sous l'habit militaire, Julien, qui était en fuite, fut arrêté par des soldats durant la persécution de Dioclétien. Il eut la gorge coupée et subit une mort cruelle, (c'était vers la fin IIIe siècle).
Castillon
Saint Julien d'Auvergne (ou de Brioude). La ville de Brioude, au pays des Arvernes (ou d'Auvergne) vénère la passion de Saint Julien, sous-officier de l'armée et compagnon du tribun Saint Ferréol, officier. Servant secrètement le Christ sous l'habit militaire, Julien, qui était en fuite, fut arrêté par des soldats durant la persécution de Dioclétien. Il eut la gorge coupée et subit une mort cruelle, (c'était vers la fin IIIe siècle).
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<center>Castillon</center>La commune a été créée en 1793 par démembrement de la commune de Sospel. Le village n'en reste pas moins un village récent puisque sa construction date de 1951.
Le projet de reconstruction du village de Castillon est élaboré par l’architecte Richard Laugier. Les bâtiments publics et les logements présentent les mêmes parements en moellons que ceux des murs de soutènement, persiennes en bois et couvertures en tuiles canal.
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La commune a été créée en 1793 par démembrement de la commune de Sospel. Le village n'en reste pas moins un village récent puisque sa construction date de 1951. Le projet de reconstruction du village de Castillon est élaboré par l’architecte Richard Laugier. Les bâtiments publics et les logements présentent les mêmes parements en moellons que ceux des murs de soutènement, persiennes en bois et couvertures en tuiles canal.
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<center>Castillon</center>Dénommé village des métiers d'art, les artisans et artistes sont nombreux sur cette petite commune depuis que l'ensemble
Castillon
Dénommé village des métiers d'art, les artisans et artistes sont nombreux sur cette petite commune depuis que l'ensemble "Les Arcades" fut construit en 1988 dans un style provençal typique. Ce nouvel ensemble a été conçu pour attirer des artistes et des artisans dans la commune dans le cadre d’une politique de repeuplement du village, menée par le maire Lucien Rousset. Une nouvelle typologie d’immeubles résidentiels a été introduite sur trois étages avec des ateliers sous arcades en rez-de-chaussée, et façades enduites et lisses. Cette architecture qui présente des signes précoces de malfaçon et de dégradation, contraste avec la partie plus ancienne réalisée par Laugier, plus savante et porteuse elle – avant même que la notion et le mot ne soient inventés – de qualités de durabilité.
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<center>Castillon</center>Vue de Castellar.
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Vue de Castellar.
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<center>Le viaduc du Caramel</center> Au Sud se dresse le viaduc du Caramel, un ouvrage imposant qui fut édifié de 1908 à 1910 pour la ligne de tram reliant Sospel à Menton.
Le viaduc du Caramel
Au Sud se dresse le viaduc du Caramel, un ouvrage imposant qui fut édifié de 1908 à 1910 pour la ligne de tram reliant Sospel à Menton.
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<center>Le viaduc du Caramel</center> D'une longueur de 125 m et comportant 13 arches, ce viaduc ne fut utilisé que peu de temps, puisque le dernier tram y circula en 1931.
Le viaduc du Caramel
D'une longueur de 125 m et comportant 13 arches, ce viaduc ne fut utilisé que peu de temps, puisque le dernier tram y circula en 1931.
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