Gorges du Cians

Gorges du Cians, Beuil, Valberg, Péone, château de la reine Jeanne à Guillaumes.

<center>Gorge du Cians</center>Gorges inférieures aux grandes parois blanches.
Gorge du Cians
Gorges inférieures aux grandes parois blanches.
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<center>Gorge du Cians</center>Bélier flocard. C'est un bélier castré qui rassure le troupeau. Il y en a plusieurs dans le troupeau.
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Bélier flocard. C'est un bélier castré qui rassure le troupeau. Il y en a plusieurs dans le troupeau.
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<center>Gorge du Cians</center>Petite clue. Les lutites ou pélites sont une classe de roches sédimentaires détritiques dont les éléments ont un diamètre inférieur à 1/16 mm (moins de 63 µm).
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Petite clue. Les lutites ou pélites sont une classe de roches sédimentaires détritiques dont les éléments ont un diamètre inférieur à 1/16 mm (moins de 63 µm).
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<center>Gorge du Cians</center>Petite clue. Le Cians est une petite rivière qui prend sa source dans le parc national du Mercantour, au pied du mont Mounier et qui est un affluent du Var.
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Petite clue. Le Cians est une petite rivière qui prend sa source dans le parc national du Mercantour, au pied du mont Mounier et qui est un affluent du Var.
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<center>Beuil</center>En 1315, Beuil se révolte contre son puissant seigneur Guillaume Rostaing et le tue. La main de sa fille unique ira à Andaron Grimaldi, un patricien génois de la maison des Grimaldi. La famille, alliée du pape et des Angevins, est influente auprès du comte de Savoie et du roi de France. Pendant deux siècles, les Grimaldi savent naviguer entre ces protecteurs, puissants mais parfois encombrants. Les Grimaldi de Bueil régneront sur l'un des plus grands fiefs de Provence et seront successivement seigneurs, barons et comtes. Profitant de la guerre que se livrent les prétendants à la succession de la reine Jeanne, Charles Duras et Louis Ier d'Anjou, Jean de Bueil rallié aux partisans de Charles de Duras est nommé en 1387 sénéchal de Provence. Il va alors négocier avec le comte de Savoie Amédée VII un accord permettant la dédition de Nice à la Savoie.
Beuil
En 1315, Beuil se révolte contre son puissant seigneur Guillaume Rostaing et le tue. La main de sa fille unique ira à Andaron Grimaldi, un patricien génois de la maison des Grimaldi. La famille, alliée du pape et des Angevins, est influente auprès du comte de Savoie et du roi de France. Pendant deux siècles, les Grimaldi savent naviguer entre ces protecteurs, puissants mais parfois encombrants. Les Grimaldi de Bueil régneront sur l'un des plus grands fiefs de Provence et seront successivement seigneurs, barons et comtes. Profitant de la guerre que se livrent les prétendants à la succession de la reine Jeanne, Charles Duras et Louis Ier d'Anjou, Jean de Bueil rallié aux partisans de Charles de Duras est nommé en 1387 sénéchal de Provence. Il va alors négocier avec le comte de Savoie Amédée VII un accord permettant la dédition de Nice à la Savoie.
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<center>Beuil</center>Le village de Beuil, assis sur un paysage de marnes et de calcaire. Perchée sur une colline dominant la vallée du Cians, ce fut au XVIe s. la capitale de la puissante famille féodale des Grimaldi de Beuil, cousine de celle de Monaco. Son château qui couronnait la butte fut rasé en 1621.
Beuil
Le village de Beuil, assis sur un paysage de marnes et de calcaire. Perchée sur une colline dominant la vallée du Cians, ce fut au XVIe s. la capitale de la puissante famille féodale des Grimaldi de Beuil, cousine de celle de Monaco. Son château qui couronnait la butte fut rasé en 1621.
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<center>Beuil</center>ERn 1860, Beuil est rattaché à la France. L’époque change. Les pérégrinations du chevalier de Cessole dans les Alpes-Maritimes, à la fin du XIXe siècle font découvrir la montagne à une population venue en villégiature au bord de la mer. Et Beuil voit naître très rapidement sa vocation de station de sports d'hiver.
Beuil
ERn 1860, Beuil est rattaché à la France. L’époque change. Les pérégrinations du chevalier de Cessole dans les Alpes-Maritimes, à la fin du XIXe siècle font découvrir la montagne à une population venue en villégiature au bord de la mer. Et Beuil voit naître très rapidement sa vocation de station de sports d'hiver.
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<center>Beuil</center>Grand-Vassal du comte de Savoie, les Grimaldi de Bueil ont été fréquemment gouverneurs du comté de Nice. Fière de son indépendance, cette famille a été alternativement rebelle et fidèle à la maison de Savoie. La seigneurie de Beuil a été érigée en comté le 26 mai 1581 au profit d'Honoré II Grimaldi (1542-1591). Son fils Annibal lui a succédé . En 1616, durant la guerre de succession de Montferrat, Annibal Grimaldi, comte de Beuil, gouverneur de Nice intriguait avec don Pedro de Tolède. Pendant le même temps il négociait avec le roi de France Louis XIII. Le duc de Savoie, Charles-Emmanuel fait ouvrir un procès devant le Sénat de Nice qui a condamné à mort pour félonie et rébellion Annibal Grimaldi le 2 janvier 1621 et le fait arrêter et exécuter le 9 janvier. Ses biens confisqués ont été partagés par le duc de Savoie entre plusieurs de ses fidèles. La République française annexe le comté de Nice en 1793. Le département des Alpes-Maritimes est formé avec le comté de Nice. Beuil et le comté de Nice retournent sous la souveraineté du roi de Sardaigne en 1814. À Turin, le comte Mattei renonce à ses droits sur Beuil et vend ses biens aux villageois qui les rachètent pour la somme de 6 125 louis.
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Grand-Vassal du comte de Savoie, les Grimaldi de Bueil ont été fréquemment gouverneurs du comté de Nice. Fière de son indépendance, cette famille a été alternativement rebelle et fidèle à la maison de Savoie. La seigneurie de Beuil a été érigée en comté le 26 mai 1581 au profit d'Honoré II Grimaldi (1542-1591). Son fils Annibal lui a succédé . En 1616, durant la guerre de succession de Montferrat, Annibal Grimaldi, comte de Beuil, gouverneur de Nice intriguait avec don Pedro de Tolède. Pendant le même temps il négociait avec le roi de France Louis XIII. Le duc de Savoie, Charles-Emmanuel fait ouvrir un procès devant le Sénat de Nice qui a condamné à mort pour félonie et rébellion Annibal Grimaldi le 2 janvier 1621 et le fait arrêter et exécuter le 9 janvier. Ses biens confisqués ont été partagés par le duc de Savoie entre plusieurs de ses fidèles. La République française annexe le comté de Nice en 1793. Le département des Alpes-Maritimes est formé avec le comté de Nice. Beuil et le comté de Nice retournent sous la souveraineté du roi de Sardaigne en 1814. À Turin, le comte Mattei renonce à ses droits sur Beuil et vend ses biens aux villageois qui les rachètent pour la somme de 6 125 louis.
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<center>Beuil</center>Le lavoir.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Façade en appareil irrégulier à joints fins incluant dans l'angle sud-ouest un clocher-tour à unique étage, campanaire et flèche pyramidale de pierre. Sur le linteau de la porte figure la date 1687. Une niche-balcon surmonte le portail d'entrée et correspond au vestibule.<br>Si le clocher est un bel exemple du prolongement du modèle roman « lombard » à la fin du XVIIe siècle, la façade a été fortement remaniée au début de la seconde moitié du XXe siècle.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Façade en appareil irrégulier à joints fins incluant dans l'angle sud-ouest un clocher-tour à unique étage, campanaire et flèche pyramidale de pierre. Sur le linteau de la porte figure la date 1687. Une niche-balcon surmonte le portail d'entrée et correspond au vestibule.
Si le clocher est un bel exemple du prolongement du modèle roman « lombard » à la fin du XVIIe siècle, la façade a été fortement remaniée au début de la seconde moitié du XXe siècle.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs. Cette chapelle, construite en 1630 sur l’emplacement d'une précédente, fut le siège de la Confrérie du Gonfalon et de la Miséricorde, Pénitents blancs également voués à la sainte Croix. En 1808, la confrérie déclarait 149 membres (84 frères et 65 sœurs). Disparue avant la Grande Guerre, sa chapelle abandonnée servit de dépôt municipal et se dégrada. Au-dessus de la nef de la chapelle se trouve un grenier. Celui-ci permettait de stocker le grain acheté à l'automne par des collecteurs du mont Granitique, membres de la confrérie. Il était redistribué en mars aux pauvres du village ou aux paysans ayant eu des dommages.
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Chapelle des Pénitents Blancs. Cette chapelle, construite en 1630 sur l’emplacement d'une précédente, fut le siège de la Confrérie du Gonfalon et de la Miséricorde, Pénitents blancs également voués à la sainte Croix. En 1808, la confrérie déclarait 149 membres (84 frères et 65 sœurs). Disparue avant la Grande Guerre, sa chapelle abandonnée servit de dépôt municipal et se dégrada. Au-dessus de la nef de la chapelle se trouve un grenier. Celui-ci permettait de stocker le grain acheté à l'automne par des collecteurs du mont Granitique, membres de la confrérie. Il était redistribué en mars aux pauvres du village ou aux paysans ayant eu des dommages.
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<center>Beuil</center>Tête carrée. 1998, Sosno.
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Tête carrée. 1998, Sosno.
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<center>Beuil</center>Joseph Garnier. 1813-1881. Sénateur, membre de l'institut. Sous son impulsion, fut ouverte en 1893 la route qui descend le Cians, véritable défi à la nature, élargie à plusieurs reprises (1931-1933, 1950, 1972).
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Joseph Garnier. 1813-1881. Sénateur, membre de l'institut. Sous son impulsion, fut ouverte en 1893 la route qui descend le Cians, véritable défi à la nature, élargie à plusieurs reprises (1931-1933, 1950, 1972).
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs. Haute façade entièrement ornée d'un décor pseudo-baroque en trompe l'œil réalisé par Guy Ceppa en 1984. Elle est verticalement percée d'une porte, d'une niche, d'une grande baie en plain cintre surmontée d’un cartouche et d'un oculus.
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Chapelle des Pénitents Blancs. Haute façade entièrement ornée d'un décor pseudo-baroque en trompe l'œil réalisé par Guy Ceppa en 1984. Elle est verticalement percée d'une porte, d'une niche, d'une grande baie en plain cintre surmontée d’un cartouche et d'un oculus.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs.
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Chapelle des Pénitents Blancs.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Nef unique rectangulaire de trois travées, la première coupée d'une vaste tribune. Séparation des travées par pilastres engagés sur dosserets à chapiteaux dédoublés de part et d'autre de la corniche à architrave. Chœur légèrement resserré par deux pilastres plus saillants.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Nef unique rectangulaire de trois travées, la première coupée d'une vaste tribune. Séparation des travées par pilastres engagés sur dosserets à chapiteaux dédoublés de part et d'autre de la corniche à architrave. Chœur légèrement resserré par deux pilastres plus saillants.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Autel de saint Jean-Baptiste. Au sommet, tête sur un bassin. A gauche, Sainte Claire, avec la monstrance. A droite, Vierge à l'Enfant.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Autel de saint Jean-Baptiste. Au sommet, tête sur un bassin. A gauche, Sainte Claire, avec la monstrance. A droite, Vierge à l'Enfant.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). A gauche, aint Michel terrassant le dragon. Autel de la Vierge à l'Enfant. A gauche, saint Michel terrassant le démon. A droite, Saint Dominique.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). A gauche, aint Michel terrassant le dragon. Autel de la Vierge à l'Enfant. A gauche, saint Michel terrassant le démon. A droite, Saint Dominique.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Crucifix en bois. Saint Antoine-de-Padoue. Adoration des Mages, XVIIe siècle. Prédelle : Christ entouré de saint Antoine-Ermite, saint Grat, saint François d'Assise et sainte Marie-Madeleine. Sainte-Anne, patronne du village. Saint Joseph à l'Enfant-Jésus. Saint Pierre.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Crucifix en bois. Saint Antoine-de-Padoue. Adoration des Mages, XVIIe siècle. Prédelle : Christ entouré de saint Antoine-Ermite, saint Grat, saint François d'Assise et sainte Marie-Madeleine. Sainte-Anne, patronne du village. Saint Joseph à l'Enfant-Jésus. Saint Pierre.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Saint Antoine de Padoue. Saint Louis-de-Gonzague. Le Sacré-Cœur. Vitrail : saintes Anne et Marie.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Saint Antoine de Padoue. Saint Louis-de-Gonzague. Le Sacré-Cœur. Vitrail : saintes Anne et Marie.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Saintes Anne et Marie.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Saintes Anne et Marie.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). La voûte du Chœur : Œil de Dieu ; colombe du Saint- Esprit, entourée par les cœurs de Jésus et de Marie, ce dernier transpercé ; I.H.S. ( Jésus-Sauveur-des-Hommes).
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). La voûte du Chœur : Œil de Dieu ; colombe du Saint- Esprit, entourée par les cœurs de Jésus et de Marie, ce dernier transpercé ; I.H.S. ( Jésus-Sauveur-des-Hommes).
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Première travéc coupée d'une vaste tribune. En bas, à droite, Sainte Claire, avec la monstrance. A la tribune, statue de l'Apôtre André, avec sa croix. Un ostensoir de forme allongée est désigné sous le terme de monstrance, terme se référant également à un reliquaire portatif destiné à l'exposition des reliques.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Première travéc coupée d'une vaste tribune. En bas, à droite, Sainte Claire, avec la monstrance. A la tribune, statue de l'Apôtre André, avec sa croix. Un ostensoir de forme allongée est désigné sous le terme de monstrance, terme se référant également à un reliquaire portatif destiné à l'exposition des reliques.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). La voûte de la Nef : en haut, ostensoir avec les symboles des quatre évangélistes (ange ou Matthieu, lion ou Marc, taureau ou Luc, aigle ou Jean) ; a gauche, mitre, crosse, croix, encensoir et navette, autour de la Bible ? Enbas, étole et deux croix, dont une d'Anjou-Lorraine ; à droite, blé et raisin, avec un rectangle représentant le monde ou la terre ?
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). La voûte de la Nef : en haut, ostensoir avec les symboles des quatre évangélistes (ange ou Matthieu, lion ou Marc, taureau ou Luc, aigle ou Jean) ; a gauche, mitre, crosse, croix, encensoir et navette, autour de la Bible ? Enbas, étole et deux croix, dont une d'Anjou-Lorraine ; à droite, blé et raisin, avec un rectangle représentant le monde ou la terre ?
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Fonts baptismaux.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Fonts baptismaux.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Deux panneaux peints (début XVIe s.) : Sainte Lucie de Syracuse, les yeux arrachés sur un plateau. Mariage de Marie et de Joseph, XVIe siècle. Sainte Claire d'Assise, tenant la monstrance.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Deux panneaux peints (début XVIe s.) : Sainte Lucie de Syracuse, les yeux arrachés sur un plateau. Mariage de Marie et de Joseph, XVIe siècle. Sainte Claire d'Assise, tenant la monstrance.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Vierge à l'Enfant.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Vierge à l'Enfant.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Pilastre engagé sur dosseret à chapiteau dédoublé de part et d'autre de la corniche à architrave.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Pilastre engagé sur dosseret à chapiteau dédoublé de part et d'autre de la corniche à architrave.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687).
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687).
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687).
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687).
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Vierge à l'Enfant. Crucifix en bois. Saint Antoine-de-Padoue.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Vierge à l'Enfant. Crucifix en bois. Saint Antoine-de-Padoue.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Retable du Rosaire.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Retable du Rosaire.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Retable du Rosaire. En haut, saint Jean-Baptiste.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Retable du Rosaire. En haut, saint Jean-Baptiste.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Retable du Rosaire.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Retable du Rosaire.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687).
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). A droite : Le jeune Jésus retrouvé au Temple. Agonie à Gethsémani, 3 apôtres. Violences sur Jésus. A gauche : Pentecôte : Marie et les Douze. Assomption de Marie, devant eux. Couronnement de Marie par la Très Sainte Trinité.<br> Au centre : la Vierge du Rosaire et de Miséricorde protège le monde laïc et le monde ecclésiastique. Elle remet le Rosaire à saint Dominique et sainte Catherine de Sienne.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). A droite : Le jeune Jésus retrouvé au Temple. Agonie à Gethsémani, 3 apôtres. Violences sur Jésus. A gauche : Pentecôte : Marie et les Douze. Assomption de Marie, devant eux. Couronnement de Marie par la Très Sainte Trinité.
Au centre : la Vierge du Rosaire et de Miséricorde protège le monde laïc et le monde ecclésiastique. Elle remet le Rosaire à saint Dominique et sainte Catherine de Sienne.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Coin en haut, à gauche, Annonciation à Marie, puis dans le sens des aiguilles d'une montre : Visitation de Marie à Elisabeth. Nativité de Jésus. Présentation de Jésus, circoncision. Le jeune Jésus retrouvé au Temple. Ce sont les mystères Joyeux. Puis, les mystères Douloureux : Agonie à Gethsémani, 3 apôtres. Violences sur Jésus. Outrages, un roi en dérision. Portement de croix (avec Simon de Cyrène et Véronique). Crucifixion. Les mystères Glorieux : Jésus jaillit du tombeau (bannière de la résurrection). Ascension de Jésus. Pentecôte : Marie et les Douze. Assomption de Marie, devant eux. Couronnement de Marie par la Très Sainte Trinité. Au centre : la Vierge du Rosaire et de Miséricorde protège le monde laïc et le monde ecclésiastique. Elle remet le Rosaire à saint Dominique et sainte Catherine de Sienne.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Coin en haut, à gauche, Annonciation à Marie, puis dans le sens des aiguilles d'une montre : Visitation de Marie à Elisabeth. Nativité de Jésus. Présentation de Jésus, circoncision. Le jeune Jésus retrouvé au Temple. Ce sont les mystères Joyeux. Puis, les mystères Douloureux : Agonie à Gethsémani, 3 apôtres. Violences sur Jésus. Outrages, un roi en dérision. Portement de croix (avec Simon de Cyrène et Véronique). Crucifixion. Les mystères Glorieux : Jésus jaillit du tombeau (bannière de la résurrection). Ascension de Jésus. Pentecôte : Marie et les Douze. Assomption de Marie, devant eux. Couronnement de Marie par la Très Sainte Trinité. Au centre : la Vierge du Rosaire et de Miséricorde protège le monde laïc et le monde ecclésiastique. Elle remet le Rosaire à saint Dominique et sainte Catherine de Sienne.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Retable du Rosaire. En haut, les mystères Joyeux : Annonciation à Marie ; Visitation de Marie à Elisabeth ; Nativité de Jésus ; Présentation de Jésus, circoncision ; Le jeune Jésus retrouvé au Temple. Un mystère Douloureux : Agonie à Gethsémani, 3 apôtres. Deux mystères Glorieux : Assomption de Marie, devant les apôtrtes. Couronnement de Marie par la Très Sainte Trinité.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Retable du Rosaire. En haut, les mystères Joyeux : Annonciation à Marie ; Visitation de Marie à Elisabeth ; Nativité de Jésus ; Présentation de Jésus, circoncision ; Le jeune Jésus retrouvé au Temple. Un mystère Douloureux : Agonie à Gethsémani, 3 apôtres. Deux mystères Glorieux : Assomption de Marie, devant les apôtrtes. Couronnement de Marie par la Très Sainte Trinité.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Retable du Rosaire. Les mystères Douloureux : Agonie à Gethsémani, 3 apôtres. Violences sur Jésus. Outrages, un roi en dérision. Portement de croix (avec Simon de Cyrène et Véronique). Crucifixion. Les mystères Glorieux : Jésus jaillit du tombeau (bannière de la résurrection). Ascension de Jésus. Pentecôte : Marie et les Douze. Assomption de Marie, devant eux.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Retable du Rosaire. Les mystères Douloureux : Agonie à Gethsémani, 3 apôtres. Violences sur Jésus. Outrages, un roi en dérision. Portement de croix (avec Simon de Cyrène et Véronique). Crucifixion. Les mystères Glorieux : Jésus jaillit du tombeau (bannière de la résurrection). Ascension de Jésus. Pentecôte : Marie et les Douze. Assomption de Marie, devant eux.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Prédelle : Christ entouré des saints Antoine-Ermite et Grat, saint François d'Assise et sainte Marie-Madeleine.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Prédelle : Christ entouré des saints Antoine-Ermite et Grat, saint François d'Assise et sainte Marie-Madeleine.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Retable du Rosaire.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Retable du Rosaire.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Mariage de Marie et de Joseph, le bâton fleuri à la main gauche, XVIe siècle.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Mariage de Marie et de Joseph, le bâton fleuri à la main gauche, XVIe siècle.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Sainte Lucie et le Mariage de la Vierge. Sainte Lucie de Syracuse, les yeux arrachés sur un plateau. Mariage de Marie et de Joseph.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Sainte Lucie et le Mariage de la Vierge. Sainte Lucie de Syracuse, les yeux arrachés sur un plateau. Mariage de Marie et de Joseph.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Adoration des mages, toile anonyme (vers 1640).
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Adoration des mages, toile anonyme (vers 1640).
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Sur le tabernacle, Christ aux outrages. Buste de saint Jean Baptiste en bois polychrome.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Sur le tabernacle, Christ aux outrages. Buste de saint Jean Baptiste en bois polychrome.
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<center>Beuil</center>L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Le baptême de Jésus par Jean.
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L'église Saint-Jean-Baptiste (1687). Le baptême de Jésus par Jean.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs.
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Chapelle des Pénitents Blancs.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs.
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Chapelle des Pénitents Blancs.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs.
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Chapelle des Pénitents Blancs.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs. La Vierge remet le Rosaire à saint Dominique et sainte Catherine de Sienne. Elle intercède pour sauver les âmes du purgatoire.
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Chapelle des Pénitents Blancs. La Vierge remet le Rosaire à saint Dominique et sainte Catherine de Sienne. Elle intercède pour sauver les âmes du purgatoire.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs. La Vierge remet le Rosaire à saint Dominique et sainte Catherine de Sienne. Elle intercède pour sauver les âmes du purgatoire.
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Chapelle des Pénitents Blancs. La Vierge remet le Rosaire à saint Dominique et sainte Catherine de Sienne. Elle intercède pour sauver les âmes du purgatoire.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs.
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Chapelle des Pénitents Blancs.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs.
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Chapelle des Pénitents Blancs.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs. Croix de procession.
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Chapelle des Pénitents Blancs. Croix de procession.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs.
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Chapelle des Pénitents Blancs.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs. Bannière de procession.
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Chapelle des Pénitents Blancs. Bannière de procession.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs. Lanterne de procession.
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Chapelle des Pénitents Blancs. Lanterne de procession.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs. Bannière de procession.
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Chapelle des Pénitents Blancs. Bannière de procession.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs. Baldaquin de procession.
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Chapelle des Pénitents Blancs. Baldaquin de procession.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs. Bannière de procession.
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Chapelle des Pénitents Blancs. Bannière de procession.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs. Retable de Saint-Sébastien.
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Chapelle des Pénitents Blancs. Retable de Saint-Sébastien.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs. Une piètà.
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Chapelle des Pénitents Blancs. Une piètà.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs. Statue de Saint-Louis. Reconnaissable à son manteau fleurdelisé et à l'ordre de Saint-Michel visible autour du cou.
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Chapelle des Pénitents Blancs. Statue de Saint-Louis. Reconnaissable à son manteau fleurdelisé et à l'ordre de Saint-Michel visible autour du cou.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs. Bannière de procession. Étendard à plusieurs bandelettes.
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Chapelle des Pénitents Blancs. Bannière de procession. Étendard à plusieurs bandelettes.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs. Bannière de procession. Étendard à plusieurs bandelettes.
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Chapelle des Pénitents Blancs. Bannière de procession. Étendard à plusieurs bandelettes.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs. Large nef unique rectangulaire de deux travées délimitées par des pilastres sur dosserets. Chœur non différencié mais surélevé par un emmarchement de quatre degrés et fermé par une barrière de communion en bois. Elle conserve un bel ensemble d'objets d'art et de procession.
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Chapelle des Pénitents Blancs. Large nef unique rectangulaire de deux travées délimitées par des pilastres sur dosserets. Chœur non différencié mais surélevé par un emmarchement de quatre degrés et fermé par une barrière de communion en bois. Elle conserve un bel ensemble d'objets d'art et de procession.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs. Une piètà.
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Chapelle des Pénitents Blancs. Une piètà.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs.
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<center>Beuil</center>Chapelle des Pénitents Blancs.
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<center>Beuil</center>Emplacement du château. Le duc de Savoie, Charles-Emmanuel fait ouvrir un procès devant le Sénat de Nice qui a condamné à mort pour félonie et rébellion Annibal Grimaldi le 2 janvier 1621 malgré les sollicitations de la cour de Paris en faveur du coupable. Le duc le fait arrêter et exécuter le 9 janvier. Il donne l'ordre de détruire les châteaux de Beuil et de la Tourette qui pouvaient servir d'asile aux conjurés.
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Emplacement du château. Le duc de Savoie, Charles-Emmanuel fait ouvrir un procès devant le Sénat de Nice qui a condamné à mort pour félonie et rébellion Annibal Grimaldi le 2 janvier 1621 malgré les sollicitations de la cour de Paris en faveur du coupable. Le duc le fait arrêter et exécuter le 9 janvier. Il donne l'ordre de détruire les châteaux de Beuil et de la Tourette qui pouvaient servir d'asile aux conjurés.
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<center>Beuil</center>Emplacement du château. Le duc de Savoie, Charles-Emmanuel fait ouvrir un procès devant le Sénat de Nice qui a condamné à mort pour félonie et rébellion Annibal Grimaldi le 2 janvier 1621 malgré les sollicitations de la cour de Paris en faveur du coupable. Le duc le fait arrêter et exécuter le 9 janvier. Il donne l'ordre de détruire les châteaux de Beuil et de la Tourette qui pouvaient servir d'asile aux conjurés.
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Emplacement du château. Le duc de Savoie, Charles-Emmanuel fait ouvrir un procès devant le Sénat de Nice qui a condamné à mort pour félonie et rébellion Annibal Grimaldi le 2 janvier 1621 malgré les sollicitations de la cour de Paris en faveur du coupable. Le duc le fait arrêter et exécuter le 9 janvier. Il donne l'ordre de détruire les châteaux de Beuil et de la Tourette qui pouvaient servir d'asile aux conjurés.
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<center>Valbergl</center>En 1937, alors que la station de Valberg est en plein développement, l'abbé Maurice Dulieux souhaite voir édifier une église qui viendrait remplacer la petite chapelle Saint-Bernard, construite en 1935 à flanc de colline. Les plans sont confiés à Maurice Labbé, architecte, Grand Prix de Rome, et les travaux débutent rapidement grâce aux dons et à la souscription qui avait été lancée. Interrompue par la guerre, la construction reprendra en 1945 et la nouvelle église sera bénie solennellement le 22 février 1948. Construite sur un terrain triangulaire, l'église se présente comme une succession de trois corps de construction, alignés mais distingués par leur largeur et leur toiture : le corps central se caractérise ainsi par sa toiture plus haute et sa plus grande largeur, permettant de deviner le transept depuis l'extérieur. Les toitures asymétriques à double pente en mélèze, soutenues par d'épaisses poutres en bois, rappellent les constructions rustiques de montagne. Un clocher, initialement placé au sommet du mur de séparation entre les deux premiers corps de bâtiment, a été détruit lors d'une campagne de travaux d'agrandissement menée par Jean Cassarini entre 1963 et 1967. Il a été remplacé par un
Valbergl
En 1937, alors que la station de Valberg est en plein développement, l'abbé Maurice Dulieux souhaite voir édifier une église qui viendrait remplacer la petite chapelle Saint-Bernard, construite en 1935 à flanc de colline. Les plans sont confiés à Maurice Labbé, architecte, Grand Prix de Rome, et les travaux débutent rapidement grâce aux dons et à la souscription qui avait été lancée. Interrompue par la guerre, la construction reprendra en 1945 et la nouvelle église sera bénie solennellement le 22 février 1948. Construite sur un terrain triangulaire, l'église se présente comme une succession de trois corps de construction, alignés mais distingués par leur largeur et leur toiture : le corps central se caractérise ainsi par sa toiture plus haute et sa plus grande largeur, permettant de deviner le transept depuis l'extérieur. Les toitures asymétriques à double pente en mélèze, soutenues par d'épaisses poutres en bois, rappellent les constructions rustiques de montagne. Un clocher, initialement placé au sommet du mur de séparation entre les deux premiers corps de bâtiment, a été détruit lors d'une campagne de travaux d'agrandissement menée par Jean Cassarini entre 1963 et 1967. Il a été remplacé par un "signal-clocher" de 13 mètres de hauteur désolidarisé de l'église, situé à gauche de celle-ci et simplement orné d'une grande croix en bois.
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<center>Valbergl</center>A l'entrée, le toit forme un auvent laissant apparaître tout le système de charpente. La simplicité de ce porche ne l'empêche cependant pas d'être orné : une lance et une flèche métalliques viennent compléter une croix de bois monumentale. Dans un souci d'intégration à la structure porteuse, la croix est adossée au poinçon de la charpente, et se confond avec lui. Derrière cette croix, et toujours sous l'auvent, une fresque peinte par le peintre Jean Cassarini représente, autour d'un grand oculus au décor de boiseries, les offrandes des bergers et des paysans de montagne à la Vierge Marie.
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A l'entrée, le toit forme un auvent laissant apparaître tout le système de charpente. La simplicité de ce porche ne l'empêche cependant pas d'être orné : une lance et une flèche métalliques viennent compléter une croix de bois monumentale. Dans un souci d'intégration à la structure porteuse, la croix est adossée au poinçon de la charpente, et se confond avec lui. Derrière cette croix, et toujours sous l'auvent, une fresque peinte par le peintre Jean Cassarini représente, autour d'un grand oculus au décor de boiseries, les offrandes des bergers et des paysans de montagne à la Vierge Marie.
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<center>Valbergl</center>Sur la droite, la fontaine des jardins constitue une autre symbolisation de la Vierge.
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Sur la droite, la fontaine des jardins constitue une autre symbolisation de la Vierge.
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<center>Valbergl</center>l'Abbé Maurice Dulieux, et son mécène Maurice Hétier figurent dans la fresque sous les traits de deux personnages : le guide et le vieillard ». Le vieillard est Monsieur Hétier, le guide l'Abbé Dulieux. Sur la gauche, on découvre la Porte du Ciel, symbole de la Bienheureuse Vierge Marie, et une représentation de la parabole des Anges moissonneurs qui font entrer le bon grain au Paradis.
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l'Abbé Maurice Dulieux, et son mécène Maurice Hétier figurent dans la fresque sous les traits de deux personnages : le guide et le vieillard ». Le vieillard est Monsieur Hétier, le guide l'Abbé Dulieux. Sur la gauche, on découvre la Porte du Ciel, symbole de la Bienheureuse Vierge Marie, et une représentation de la parabole des Anges moissonneurs qui font entrer le bon grain au Paradis.
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