C'est un village perché. Ce type d'habitat est considéré comme typiquement provençal, il est surtout typiquement méditerranéen.
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Ces villages sis sur leur « acropole rocheuse », qui ont gardé leur aspect médiéval, forment par l'orientation des façades de leurs maisons – vers la vallée ou la voie de communication – un véritable front de fortification. À l'époque gallo-romaine, un village, se situait à l'extrémité de la vallée. Ce village fut détruit par le feu, peut-être par une invasion barbare. Les habitants se retirèrent alors sur la colline voisine pour s’y fortifier.
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Château du Grand Jardin. Au 17me siècle, le domaine du « Grand Jardin » devient le fief d’une famille parmi les plus influentes de la région. Anobli sous le nom de Fresse de Monval, le membre fondateur de cette dynastie familiale accède au titre de secrétaire et conseiller du roi Louis XIV et acquière un siège au parlement d’Aix-en-Provence. Une bastide est érigée vers 1680. Celle-ci deviendra, à la fin du 19me siècle, la base de construction de l’actuel château. La famille de Fresse de Monval a pour voisinage direct, côté ouest, la famille de Villeneuve Esclapon qui siège au domaine du Clos. Au début de l’Empire français, le frère de l’Amiral Louis de Villeneuve Esclapon épouse Anne Julie de Fresse de Monval.
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Château du Grand Jardin. La tour octogonale date du XIXe. Toutes les extensions et habillages de façades sont réalisés à la fin du 19mesiècle et d’esprit néogothique/ Napoléon III.
La brique pleine est utilisée en éléments de décoration, ce qui semble très peu courant des architectures méridionales. 1934 est une date fatale pour la famille de Fresse de Monval, propriétaires depuis presque trois siècles. Le château du Grand Jardin est mis en vente forcée à Aix-en-Provence pour payer les dettes de jeu du dernier héritier, Pierre de Fresse de Monval qui mène grand train de vie. Les actuels propriétaires acquièrent le domaine en 2001 et y effectuent d’importants travaux de restauration. C'est mainternant des chambres d'hôtes.
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Fontaine devant l’entrée du château du Grand Jardin dans le bas du village.
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Les visages représentent les quatre saisons : le Printemps,
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l'Eté,
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l'Automne,
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l'Hiver.
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Ancienne gendarmerie, ex-monastère des Ursulines.
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Chapelle du Tholonet. C'était l'ancienne dépendance du Château de Villeneuve. Elle a été détachée du château de Villeneuve, en 1934. Style d'inspiration gothique, XXe.
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La Grande Fontaine de 1734.
Elle comporte un bassin circulaire et un pilier central, qui porte les quatre rostres fournissant l’eau.
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La Grande Fontaine de 1734.
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La Grande Fontaine de 1734.
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La Grande Fontaine de 1734.
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Un rostre de la Grande Fontaine de 1734.
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Le lavoir de 1681.
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Le lavoir de 1681.
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Le lavoir de 1681.
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Le lavoir de 1681.
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Le lavoir de 1681.
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Le lavoir de 1681.
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Le lavoir de 1681.
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Tout en haut se dresse l'église Saint Blaise qui date en partie des XIIIe et XIVe siècles. Elle fut construite pour remplacer l'église du XIIe siècle, devenue trop petite. De la construction clunisienne du 11e-13e siècle, il subsiste le choeur surmonté du clocher carré.
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Sur le chœur du sanctuaire s'élève le clocher massif, et à côté, se dresse la tour de de l’horloge surmontée d'un gracieux campanile. En forme de croix latine, cette magnifique église porte le caractère du style Lombard, mélange de Roman et de Gothique.
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L'église Saint Blaise
La façade occidentale est romane.
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L'église Saint Blaise
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L'église Saint Blaise
La nef, reconstruite en 1789-1790, forme une croix latine et les bas-côtés sont ajoutés au XIVe siècle, des chapelles à la fin du XVIe et au début du XVIIe. L'église est dédiée à Saint Blaise, martyr en 316, qui est le patron des cardeurs de laine, des tisserands et des drapiers, corps de métiers très importants sur tout le plateau de Valensole. Il est aussi considéré comme un saint guérisseur des maux de gorge.
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L'église Saint Blaise
C'est au début de l'an 1000 que les Religieux du Doyenné de Valensole obtinrent de leur Évêque, de Riez, la permission de construire une église attenante à la chapelle St Denys, devenue trop petite compte tenu de l'augmentation de la population. St Mayeul, 4e abbé de Cluny, natif de Valensole (en 910), désirait ardemment cette construction, mais ce ne fut que six ans après sa mort, en 994, que les Bénédictins réalisèrent celle-ci. La nef principale a été profondément remaniée au 19e siècle.
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L'église Saint Blaise
La nef est voûtée d'ogives. La longueur totale de l'édifice est de 44 mètres dont 13,5 mètres pour le sanctuaire, la hauteur de 25 mètres, la largeur, avec les 2 chapelles, est de 33 mètres.
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L'église Saint Blaise
L’ancien jubé, haut de 2,4 m, classé par la commission des monuments historiques en 1936, est de style Henri II, du XVIe siècle finement sculpté, ce qui n’est pas étonnant quand on connaît le goût très sûr des Bénédictin» et leur souci de perfection mis à toutes leurs œuvres.
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L'église Saint Blaise
Clôture formée de colonnes supportant une architrave. Partie droite.
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L'église Saint Blaise
Partie gauche.
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L'église Saint Blaise
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L'église Saint Blaise
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L'église Saint Blaise
L’autre face du jubé.
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L'église Saint Blaise
L’autre face du jubé.
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L'église Saint Blaise
Des colonnes et colonnettes encastrées dans les murs, avec des chapiteaux ornés de feuilles d'acanthe et de figures fantastiques, soutiennent les arcs et les croisillons de la voûte.
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L'église Saint Blaise
Des colonnes et colonnettes encastrées dans les murs, avec des chapiteaux ornés de feuilles d'acanthe et de figures fantastiques, soutiennent les arcs et les croisillons de la voûte.
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L'église Saint Blaise
Des colonnes et colonnettes encastrées dans les murs, avec des chapiteaux ornés de feuilles d'acanthe et de figures fantastiques, soutiennent les arcs et les croisillons de la voûte.
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L'église Saint Blaise
Le lutrin, en noyer, fin XVIe siècle.
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L'église Saint Blaise
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L'église Saint Blaise
Collatéral gauche. Vers le milieu du XIVe siècle, l'église paroissiale prit de l'ampleur, ce fut à cette époque que furent ajoutées deux nefs latérales, avec une voûte en pierres de taille, de style roman très élégant. Les collatéraux se terminent par une chapelle, ici celle de st Jean-Baptiste.
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L'église Saint Blaise
Collatéral droit. Au fond, la chapelle st Eloi.
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L'église Saint Blaise
Collatéral droit, au fond, les fonts baptismaux.
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L'église Saint Blaise
Les fonts baptismaux, avec encadrement de colonnes et deux statues : Saint Jean-Baptiste et le Christ. 18e siècle, 19e siècle.
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Les fonts baptismaux.
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L'église Saint Blaise
Chapelle St Antoine du désert.
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L'église Saint Blaise
Les tentations de St Antoine, de Ravel F, 1824.
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L'église Saint Blaise
Statue de St Blaise, bois doré et peint du XVIIIe siècle
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L'église Saint Blaise
Les chapelles des croisillons, N.D du Rosaire et St Joseph (photo), sont de la fin du 16e et du milieu du 17e siècle. Elles furent l'œuvre d'un maçon, Charles Bœuf, dont on peut voir les initiales gravées avec la date (1662) sur le frontispice de la porte qui donne sur la Cour du Doyenné.
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L'église Saint Blaise
Au XVIIe s., on accola une chapelle de chaque côté de la dernière travée de la nef. Au sud (collatéral droit), ce fut la chapelle dédiée à saint Joseph, en 1661-1664.
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L'église Saint Blaise
Chapelle St Joseph. Le tableau représente la Bonne Mort de St Joseph. 19e siècle.
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L'église Saint Blaise
Chapelle St Joseph. On adopta les croisées d’ogives du gothique tardif en faveur dans le Midi, surtout dans les constructions monastiques.
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L'église Saint Blaise
Jésus bénissant.
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L'église Saint Blaise
Chapelle de St Eloi, au bout du collatéral droit.
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L'église Saint Blaise
Cette peinture de St Eloi, récemment restaurée, représente le village de Valensole et ses principales familles. Elle est de de Reisson, datée de 1823.
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L'église Saint Blaise
Le chœur qui ressemble à celui d'une cathédrale par ses vastes dimensions est remarquable par son harmonie architecturale : colonnes et colonnettes dont les chapiteaux sont ornés de feuilles d'acanthe ; fenêtres géminées longues et étroites et surmontées d'une rosace représentant l'Agneau Pascal. A droite, sur le mur, des fresques.
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L'église Saint Blaise
Le chœur. C'est en 1588 que l'Église fut dotée des 48 stalles en noyer. Dans le dossier de l'une d'elles, à droite de l'autel, on peut voir une armoire au trésor, creusée dans le mur, dissimulée dans le lambrissage ; elle comporte une porte de bois, deux portes cloutées, et une solide grille pour protéger le trésor : argenteries et reliques aujourd'hui disparues.
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L'église Saint Blaise
Les colonnes et colonnettes du chœur sont surmontées de chapiteaux ornés de feuilles d'acanthe.
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L'église Saint Blaise
Les colonnes et colonnettes du chœur sont surmontées de chapiteaux ornés de feuilles d'acanthe.
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L'église Saint Blaise
Le chœur. Fenêtres géminées longues et étroites et surmontées d'une rosace représentant l'Agneau Pascal.
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Le chœur. Saint Denis, le patron.
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Le chœur. Saint Blaise, le titulaire.
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L'église Saint Blaise
Le chœur. La mise au tombeau du Christ a son pendant au Louvre, chef d'œuvre du peintre José Ribéra. Copie de Muneret M. (peintre), 19e siècle.
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L'église Saint Blaise
Le chœur. La copie de « La Vierge et l'enfant et Sainte Anne » de Léonard de Vinci date du XIXe siècle.
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L'église Saint Blaise
Chapelle du croisillon nord (collatéral gauche).
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L'église Saint Blaise
Au XVIIe s., on accola une chapelle de chaque côté de la dernière travée de la nef. Au nord, ce fut la chapelle du Rosaire, en 1640.
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L'église Saint Blaise
La chapelle du Rosaire ou de la Vierge, 1640.
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Chapelle du Rosaire.
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Chapelle du Rosaire.
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Chapelle du Rosaire. On adopta les croisées d’ogives du gothique tardif en faveur dans le Midi, surtout dans les constructions monastiques.
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Chapelle du Rosaire. La Vierge donnant le rosaire à saint Dominique, à droite sainte Catherine de Sienne. 18e siècle.
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L'église Saint Blaise
Tableau "La Vierge au donateur", offert en 1869 par Napoléon III ; d'une vraie valeur artistique, il est de Van Dyck, c'est une fidèle reproduction de celui du Musée du Louvre.
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Chapelle du Rosaire.
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Chapelle du Rosaire.
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L'église Saint Blaise
Chapelle st Jean-Baptiste, collatéral gauche.
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L'église Saint Blaise
Tableau, le baptême de Jésus. Le cadre est daté du 18e siècle et le tableau du 19e siècle.
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Collatéral de gauche.
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Collatéral gauche. Confessionnal, 19e siècle, en noyer.
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Vierge intercédant pour les âmes du Purgatoire.
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Collatéral gauche. Chapelle du Sacré Coeur.
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Chapelle du Sacré Coeur de Peselti. 19e siècle.
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Collatéral gauche.
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Collatéral gauche.
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Banc d'oeuvre. Noyer. 18e siècle.
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Saint Antoine du Désert.
Né en 251 à Koma (aujourd'hui Qeman el-Arous en Haute-Egypte). Mort en 356 au Mont Kolzim (aujourd'hui mont Saint-Antoine) dans le désert arabique, entre le Nil et la Mer Rouge.
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L'église Saint Blaise
Saint Antoine de Padoue.
Né au Portugal à Lisbonne vers 1195. Mort à Padoue en Italie le 13 Juin 1231. Prêtre et prédicateur provincial de l'ordre des Frères mineurs, il fut canonisé à Spolète par Grégoire IX. Proclamé Docteur de l'Eglise le 16 Janvier 1946 par le pape Pie XII, il est invoqué pour retrouver les objets perdus.
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Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus de la Sainte Face.
Née à Alençon le 2 Janvier 1873. Morte au Carmel de Lisieux le 30 Septembre 1897. Carmélite, elle est la patronne des missions avec Saint François-Xavier. Béatifiée par Pie XI le 29 Avril 1923, canonisée par Pie XI le 17 Mai 1925.
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L'église Saint Blaise
Crucifix avec Christ en fonte.
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L'église Saint Blaise
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L'église Saint Blaise
La chaire, ornée de sculptures sur bois d'un fini parfait, date de 1791.
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L'église Saint Blaise
La chaire, ornée de sculptures sur bois d'un fini parfait, date de 1791.
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L'église Saint Blaise
La chaire, ornée de sculptures sur bois d'un fini parfait, date de 1791.
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La chaire, ornée de sculptures sur bois d'un fini parfait, date de 1791.
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L'église Saint Blaise
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L'église Saint Blaise
La bénédiction et inauguration du nouvel orgue de Valensole est intervenue le 28 août 2012.
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L'église Saint Blaise
Rosace de la façade, le triangle de la Trinité.
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Cour du doyenné. L'église paroissiale domine le village. Elle forme avec les habitations groupées sur son flanc sud, autour d'une vaste cour, un ensemble conventuel désigné sous le nom de prieuré-doyenné de Saint-Mayeul. Le prieuré bénédictin a été fondé par Saint-Mayeul, 4e abbé de Cluny. D
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Cour du doyenné. Une chapelle castrale avait été élevée au Xe s. sur la colline et dédiée à saint Maxime, évêque de Riez, diocèse dont Valensole faisait partie. Saint-Maxime fut remplacée au XIIe s. par une nouvelle église, dédiée à saint Denis. Cette église modeste existe encore, assez malmenée, contre le flanc sud du chœur de la grande église dont elle sert de vestibule vers la « cour du Doyenné». Sous la poussée démographique, la population de Valensole et l’abbé de Cluny s’accordèrent pour construire une nouvelle église de dimensions plus vastes, qui fut placée sous le vocable de saint Blaise.
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Cour du doyenné et clocher de l'église. Les bâtiments du doyenné abritaient une communauté bénédictine, composée de quelques moines et d'un supérieur ou "doyen". Ils dépendaient de l'abbaye de Cluny, à laquelle saint Mayeul, originaire de Valensole avait fait don de ses biens au Xe siècle. L'église servait à la fois d'église paroissiale pour les habitants de Valensole et d'église conventuelle aux religieux.
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Cour du doyenné et clocher de l'église. Une entrée par la cour du Doyenné, pratiquée au 17ème siècle, permettait aux moines d’accéder à l’église sans être vus par le public. La sacristie et une partie de la nef de la chapelle Saint Denis séparent la doyenné de Saint Blaise .
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Cour du doyenné et clocher de l'église. Au centre de la cour, un puits fut creusé en 1406 pour subvenir aux besoins des moines, mais aussi à ceux des habitants de la ville haute, pour lesquels il resta longtemps te seul point d'approvisionnement. On dit qu'il va chercher l'eau à trente-cinq mètres de profondeur. C'est l'abbaye de Cluny qui en assura les frais de construction. La communauté de Valensole fut sollicitée mais ne paya jamais sa part.
Après avoir été condamné en 1789, il servit de puits citerne aux habitants de la ville.
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Cour du doyenné et clocher de l'église. Le campanile ouvragé de Valensole et sa balustrade datent du XVIIIe siècle. Un petit personnage soufflant dans une trompette tourne selon le vent.
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Cour du doyenné.
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La chapelle Saint Mayeul fait référence à un grand homme du pays en portant son nom. Saint Mayeul est en effet né à Valensole. Il quitta le pays pour Mâcon où il devint plus tard chanoine de la cathédrale avant d'intégrer le monastère de Cluny dont il devint le quatrième abbé. Les sarrasins le capturèrent dans le Valais en 972, au retour de l'un de ses voyages en Italie. L'émotion suscitée par ce rapt, la noblesse provençale décida de chasser les Maures du pays. Sa famille, possédait un vaste domaine à Valensole, il offrit la seigneurie de Valensole et son château à son monastère lorsqu'il en hérita. D’après la tradition, la chapelle occupe la place d’une boutique, offerte à la ville par son propriétaire pour le culte du saint. La chapelle Saint-Mayeul était le premier édifice que l’on rencontrait en entrant dans la ville par la porte du même nom, située en face.
Les consuls (premiers magistrats des villes de Provence) y étaient reçus officiellement au moment de leur entrée en fonction. On y célébrait alors une messe solennelle.
