Senez, Barrême

<center>Senez </center>  Pont en dos d’âne sur l’Asse achevé en 1770, premier et seul pont sur l’Asse de Blieux donnant accès au village. Le devis du pont de Senez est dressé le 12 juin 1762 par Alexandre Vallon, ingénieur des Etats de Provence. Les années révolutionnaires ont effacé les armes de l'évêque Amat de Volx gravées aux clés amont et aval. Le pont a fait l'objet d'une importante restauration en 1882. Les trois tirants métalliques datent eux probablement d'une seconde campagne de restauration du pont, encore plus lourde que la première, et intervenue au 20e siècle.
Senez
Pont en dos d’âne sur l’Asse achevé en 1770, premier et seul pont sur l’Asse de Blieux donnant accès au village. Le devis du pont de Senez est dressé le 12 juin 1762 par Alexandre Vallon, ingénieur des Etats de Provence. Les années révolutionnaires ont effacé les armes de l'évêque Amat de Volx gravées aux clés amont et aval. Le pont a fait l'objet d'une importante restauration en 1882. Les trois tirants métalliques datent eux probablement d'une seconde campagne de restauration du pont, encore plus lourde que la première, et intervenue au 20e siècle.
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<center>Senez </center> Il se compose d'une unique arche légèrement en anse de panier de 28 m de portée, pour une largeur d'environ 4 m. Il ne développe qu'un seul rang de claveaux, en pierre de taille de moyen appareil et régulièrement extradossé. Le reste de la maçonnerie est aujourd'hui en moellons équarris posés en assises régulières.
Senez
Il se compose d'une unique arche légèrement en anse de panier de 28 m de portée, pour une largeur d'environ 4 m. Il ne développe qu'un seul rang de claveaux, en pierre de taille de moyen appareil et régulièrement extradossé. Le reste de la maçonnerie est aujourd'hui en moellons équarris posés en assises régulières.
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<center>Senez </center> Connue depuis le 2ème siècle grâce au géographe grec Ptolémée, Senez fut une cité épiscopale dès le 4ème siècle. En 506, Marcel est son premier évêque connu. Les deux évêchés préexistants de Salinae (Castellane) et Eturamina (Thorame) lui sont rattachés. Castellane, au cours des siècles, cherchera à reprendre à Senez son siège épiscopal. Les listes épiscopales s'interrompt pendanr cinq siècles, comme dans toute la Provence, à cause des ravages des Lombards et des Sarrasin. En 993, l'évêque Pierre est le premier d'une longue liste jusqu'à la Révolution. Le diocèse de Senez était mitoyen de ceux de Digne et d'Embrub, le point de jonction se trouvant dans le massif des trois Evêchés.
Senez
Connue depuis le 2ème siècle grâce au géographe grec Ptolémée, Senez fut une cité épiscopale dès le 4ème siècle. En 506, Marcel est son premier évêque connu. Les deux évêchés préexistants de Salinae (Castellane) et Eturamina (Thorame) lui sont rattachés. Castellane, au cours des siècles, cherchera à reprendre à Senez son siège épiscopal. Les listes épiscopales s'interrompt pendanr cinq siècles, comme dans toute la Provence, à cause des ravages des Lombards et des Sarrasin. En 993, l'évêque Pierre est le premier d'une longue liste jusqu'à la Révolution. Le diocèse de Senez était mitoyen de ceux de Digne et d'Embrub, le point de jonction se trouvant dans le massif des trois Evêchés.
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<center>Senez </center> Après de multiples essais de transfert de l'évêché à Castellane, à la demande de plusieurs évêques, ces derniers se contenteront de faire leur résidence à Castellane. Ils avaient cependant une demeure à Senez dont ils partageaint la seigneurie avec les Pontevès (XVe-XVIe) puis avec les Gautier (XVIe-XVIIIe), et aussi avec leur chapitre.
Senez
Après de multiples essais de transfert de l'évêché à Castellane, à la demande de plusieurs évêques, ces derniers se contenteront de faire leur résidence à Castellane. Ils avaient cependant une demeure à Senez dont ils partageaint la seigneurie avec les Pontevès (XVe-XVIe) puis avec les Gautier (XVIe-XVIIIe), et aussi avec leur chapitre.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> La construction de la cathédrale date du XIIe. En 1569, elle fut saccagée par une troupe de protestants avec à sa tête Antoine de Mauvans. L'évêque Clausse de Mouchy la restaura en 1572.
Senez
Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
La construction de la cathédrale date du XIIe. En 1569, elle fut saccagée par une troupe de protestants avec à sa tête Antoine de Mauvans. L'évêque Clausse de Mouchy la restaura en 1572.
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<center>Senez </center> En 1684, sous l'épicopat de Mgr de Villeserin, des travaux importants furent entrepris.
Senez
En 1684, sous l'épicopat de Mgr de Villeserin, des travaux importants furent entrepris.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Le clocher est construit en 1713. L'évêque Mgr D'Amat de Volx (1757-1771) avait formé le plan pour l'embellissement de sa cathédrale. Cependant la mort l'a empêché de mettre en œuvre son projet. Elle perd son statut en 1790 et devient une église paroissiale. Ruffo de Bonneval est le dernier évêque de Senez. Le 1er mai 1835, le conseil de fabrique signale au ministère de l'Intérieur l'état de la cathédrale. Les voûtes s'effondrent le 4 juillet. Les travaux de reconstruction des voûtes des deux premières travées de la nef sont adjugés le 22 avril 1837 à l'entrepreneur Honoré Dufresnesous la direction de l'architecte Rossi.  L'architecte Henri Revoil venu sur place en novembre 1881 les critiqua dans son rapport rédigé à Nîmes, le 29 janvier 1882.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Le clocher est construit en 1713. L'évêque Mgr D'Amat de Volx (1757-1771) avait formé le plan pour l'embellissement de sa cathédrale. Cependant la mort l'a empêché de mettre en œuvre son projet. Elle perd son statut en 1790 et devient une église paroissiale. Ruffo de Bonneval est le dernier évêque de Senez. Le 1er mai 1835, le conseil de fabrique signale au ministère de l'Intérieur l'état de la cathédrale. Les voûtes s'effondrent le 4 juillet. Les travaux de reconstruction des voûtes des deux premières travées de la nef sont adjugés le 22 avril 1837 à l'entrepreneur Honoré Dufresnesous la direction de l'architecte Rossi. L'architecte Henri Revoil venu sur place en novembre 1881 les critiqua dans son rapport rédigé à Nîmes, le 29 janvier 1882.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> La façade est encadrée de contreforts peu saillants, issus du premier art roman, influencé en Provence par l’art antique. Du beau portail en cintre brisé plaqué sur le mur roman à la fin du XIIIe siècle, les colonnettes ont été détruites en 1569. Les archivoltes reposent sur des chapiteaux de style gothique, à double rang de crochets. Dans le tympan, une niche trilobée renferme une statuette de la vierge du début du XVIIIe siècle et qui porte sur son socle l'inscription « Viens, tu seras couronné, an 1708 ». Le pignon a été surélevé au XVIIe siècle.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
La façade est encadrée de contreforts peu saillants, issus du premier art roman, influencé en Provence par l’art antique. Du beau portail en cintre brisé plaqué sur le mur roman à la fin du XIIIe siècle, les colonnettes ont été détruites en 1569. Les archivoltes reposent sur des chapiteaux de style gothique, à double rang de crochets. Dans le tympan, une niche trilobée renferme une statuette de la vierge du début du XVIIIe siècle et qui porte sur son socle l'inscription « Viens, tu seras couronné, an 1708 ». Le pignon a été surélevé au XVIIe siècle.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Dans le tympan, une niche trilobée renferme une statuette de la vierge du début du XVIIIe siècle et qui porte sur son socle l'inscription « Viens, tu seras couronné, an 1708 ». Les archivoltes reposent sur des chapiteaux de style gothique, à double rang de crochets. Ce tympan repose sur un linteau soutenu par deux corbeaux sculptés de figures d'atlantes et de feuillage. Sur celui de gauche les feuillages ont été remplacés, peut-être vers le XVe siècle, par un bas-relief représentant un chasseur. Au-dessus du portail une baie, haute et étroite, est soulignée d’un tore.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Dans le tympan, une niche trilobée renferme une statuette de la vierge du début du XVIIIe siècle et qui porte sur son socle l'inscription « Viens, tu seras couronné, an 1708 ». Les archivoltes reposent sur des chapiteaux de style gothique, à double rang de crochets. Ce tympan repose sur un linteau soutenu par deux corbeaux sculptés de figures d'atlantes et de feuillage. Sur celui de gauche les feuillages ont été remplacés, peut-être vers le XVe siècle, par un bas-relief représentant un chasseur. Au-dessus du portail une baie, haute et étroite, est soulignée d’un tore.
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<center>Senez </center> Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Cadran solaire de 1673 ou 1674, repeint en 1784 et restauré en 1999. Louis-Anne Aubert de Villeserin fut nommé évêque de Senez de 1671 à 1695. Est-ce lui qui fit exécuter en 1674 ce cadran solaire ? Ou bien les chanoines de la cathédrale, comme semblerait l’indiquer l'Agneau Pascal, repris de leurs armoiries. L’aiguille du cadran, le
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Cadran solaire de 1673 ou 1674, repeint en 1784 et restauré en 1999. Louis-Anne Aubert de Villeserin fut nommé évêque de Senez de 1671 à 1695. Est-ce lui qui fit exécuter en 1674 ce cadran solaire ? Ou bien les chanoines de la cathédrale, comme semblerait l’indiquer l'Agneau Pascal, repris de leurs armoiries. L’aiguille du cadran, le "style" en fer forgé terminé d'une croix, indique qu’ici le temps est religieux et appelle à la prière. Derrière lui, des dates ont été inscrites sur des oriflammes déployées, les "phylactères". Ces banderoles ornent un grand décor encadré d’un bandeau rouge pourpre avec des motifs de croix de sable et des feuilles de chêne aux quatre angles. Car, pour que demeure à jamais la mémoire des grands évènements qui jalonnèrent l’histoire de cet évêché et celle de son chapitre, ce cadran solaire est aussi une horloge chronologique. Les chanoines vivent isolément en 1541. Les chanoines deviennent séculiers en 1647. Le cloître est incendié en 1588. L’église est consacrée par l’évêque Guilhaume en 1242. Equinoxiale, la première cathédrale est construite en 820. Ursus est évêque du siège en 417. Les archives sont incendiées en 1563.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Des contreforts enveloppants étayent les angles de la façade. Ce côté sud est dominé par la tour carrée du clocher de 20 m de haut, couverte d'un toit en matière aplatie. On distingue très bien la partie refaite au-dessus du premier cordon. Le petit clocher-arcade qui la surmonte a été construit sans doute en 1889 pour porter la cloche de l'horloge.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Des contreforts enveloppants étayent les angles de la façade. Ce côté sud est dominé par la tour carrée du clocher de 20 m de haut, couverte d'un toit en matière aplatie. On distingue très bien la partie refaite au-dessus du premier cordon. Le petit clocher-arcade qui la surmonte a été construit sans doute en 1889 pour porter la cloche de l'horloge.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Porte latérale refaite en 1751.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Porte latérale refaite en 1751.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> L’intérieur se compose d'une vaste nef de quatre travées, sans collatéraux, et d'une abside précédée courte travée de chœur et flanquée de deux absidioles qui ouvrent sur les bras de faux transept. Le grand berceau brisé couvre la nef dont les murs sont dépourvus d’arcs de décharge retombent sur un bandeau mouluré. Ce même cordon se retrouve à la naissance des voûtes du faux transept et des absidioles. Les bras du faux transept communiquent avec la nef par deux arcades en cintre brisé à double rouleau, étroites mais hautes. Les chapiteaux sont tous des chapiteaux cubiques, sans tailloirs. Sur le tambour d'une colonne de l'entrée du chœur, à gauche ,on remarque une tête humaine, barbue, sculptée dans la pierre. De chaque côté du choeur, deux couronnes de lumières. Suspensions constituées dans la partie supérieure, d'une première couronne en laiton moulé et doré avec un décor de plaques rapportées. De cette couronne partent des pendeloques de verre opaque qui rejoignent une seconde couronne plus large, située en-dessous. Sous la seconde couronne, les pendeloques forment une sorte de vasque reliée dans le fond par un anneau en laiton.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
L’intérieur se compose d'une vaste nef de quatre travées, sans collatéraux, et d'une abside précédée courte travée de chœur et flanquée de deux absidioles qui ouvrent sur les bras de faux transept. Le grand berceau brisé couvre la nef dont les murs sont dépourvus d’arcs de décharge retombent sur un bandeau mouluré. Ce même cordon se retrouve à la naissance des voûtes du faux transept et des absidioles. Les bras du faux transept communiquent avec la nef par deux arcades en cintre brisé à double rouleau, étroites mais hautes. Les chapiteaux sont tous des chapiteaux cubiques, sans tailloirs. Sur le tambour d'une colonne de l'entrée du chœur, à gauche ,on remarque une tête humaine, barbue, sculptée dans la pierre. De chaque côté du choeur, deux couronnes de lumières. Suspensions constituées dans la partie supérieure, d'une première couronne en laiton moulé et doré avec un décor de plaques rapportées. De cette couronne partent des pendeloques de verre opaque qui rejoignent une seconde couronne plus large, située en-dessous. Sous la seconde couronne, les pendeloques forment une sorte de vasque reliée dans le fond par un anneau en laiton.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> L'abside est voûtée en cul-de-four. Elle est éclairée par trois baies largement ébrasées et encadrées de moulures formées de tores et de scoties. La baie centrale, légèrement plus grande que les deux autres, est entourée d’un tore continu, sans chapiteau, mais prenant naissance sur une base. Tous les vitraux ont été posés peu avant 1870. Ceux de l'abside représentent le Sacré-Cœur au centre, Saint-Joseph à gauche et Saint-François-de-Sales à droite. A droite, un tableau représentant l'Adoration des Mages. Ce tableau anonyme du 18e siècle fut découvert en très mauvais état, roulé dans un garage, avant d'être restauré par Giocanti Hervé. Ce tableau est une copie d'après une composition très célèbre de Jean Restout (1716), église paroissiale de Sèvres. A gauche, le Christ adoré par saint Jean Baptiste et les anges. Sur un rocher, saint Jean Baptiste est assis au centre de la composition, index senestre pointé vers le ciel et tenant de la main dextre une croix de roseau à laquelle est fixé un phylactère portant une inscription. Un agneau est représenté à ses pieds. Au-dessus de lui, le Christ est assis dans une nuée. Il tient de la main senestre le globe crucifère et tend le bras senestre paume de la main ouverte et visible. Il est entouré de nombr
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
L'abside est voûtée en cul-de-four. Elle est éclairée par trois baies largement ébrasées et encadrées de moulures formées de tores et de scoties. La baie centrale, légèrement plus grande que les deux autres, est entourée d’un tore continu, sans chapiteau, mais prenant naissance sur une base. Tous les vitraux ont été posés peu avant 1870. Ceux de l'abside représentent le Sacré-Cœur au centre, Saint-Joseph à gauche et Saint-François-de-Sales à droite. A droite, un tableau représentant l'Adoration des Mages. Ce tableau anonyme du 18e siècle fut découvert en très mauvais état, roulé dans un garage, avant d'être restauré par Giocanti Hervé. Ce tableau est une copie d'après une composition très célèbre de Jean Restout (1716), église paroissiale de Sèvres. A gauche, le Christ adoré par saint Jean Baptiste et les anges. Sur un rocher, saint Jean Baptiste est assis au centre de la composition, index senestre pointé vers le ciel et tenant de la main dextre une croix de roseau à laquelle est fixé un phylactère portant une inscription. Un agneau est représenté à ses pieds. Au-dessus de lui, le Christ est assis dans une nuée. Il tient de la main senestre le globe crucifère et tend le bras senestre paume de la main ouverte et visible. Il est entouré de nombr
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> L'armarium, surmonté d’un gâble flamboyant. La porte qui le ferme est moderne.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
L'armarium, surmonté d’un gâble flamboyant. La porte qui le ferme est moderne.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Le tombeau du maître-autel a été refait entre 1866 et 1870. Son soubassement est décoré de cinq niches encadrées de colonnettes torses. Il a perdu quatre statuettes. De part et d'autre du Christ se trouvaient deux évangélistes et deux saints cinq jeunes.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Le tombeau du maître-autel a été refait entre 1866 et 1870. Son soubassement est décoré de cinq niches encadrées de colonnettes torses. Il a perdu quatre statuettes. De part et d'autre du Christ se trouvaient deux évangélistes et deux saints cinq jeunes.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Tabernacle en bois sculpté et doré du XVIIe siècle. Sur le mur Saint-Pierre à gauche, et Saint Paul à droite. Saint Pierre est représenté debout, sur un piédestal, dans une niche à décor de coquille. Il tient une clé dans la main gauche et un livre fermé dans la main droite. Saint Paul tient une épée et un livre dans les mains. Au-dessus de la niche, deux putti tiennent un livre ouvert. Ces deux tableaux sont attribués, par analogie avec d'autres oeuvres présentes dans l'église, à François Mimault. Au-dessus de la niche, deux putti tiennent une couronne. Au-dessus, pour l'ostension du Saint-Sacrement, quatre cariatides, les mains jointes, portent un dôme orné d’une tête d'ange et de grappes de fruits sur les côtés.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Tabernacle en bois sculpté et doré du XVIIe siècle. Sur le mur Saint-Pierre à gauche, et Saint Paul à droite. Saint Pierre est représenté debout, sur un piédestal, dans une niche à décor de coquille. Il tient une clé dans la main gauche et un livre fermé dans la main droite. Saint Paul tient une épée et un livre dans les mains. Au-dessus de la niche, deux putti tiennent un livre ouvert. Ces deux tableaux sont attribués, par analogie avec d'autres oeuvres présentes dans l'église, à François Mimault. Au-dessus de la niche, deux putti tiennent une couronne. Au-dessus, pour l'ostension du Saint-Sacrement, quatre cariatides, les mains jointes, portent un dôme orné d’une tête d'ange et de grappes de fruits sur les côtés.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Du retable du maître-autel il ne reste que sa toile du XVIIe siècle représentant une Assomption de Mimault François. Avec les toiles de saint Pierre et saint Paul, elle devait former le décor du retable. 1614. La composition du tableau est structurée sur deux niveaux qui occupent chacun la moitié de la toile. Au registre inférieur, les douze apôtres sont regroupés autour du tombeau situé au centre. Un treizième personnage (le commanditaire ?) est agenouillé à droite les mains jointes et nous regarde. Il porte une bague à l'auriculaire gauche, le traitement de son visage est légèrement différent de celui des apôtres et le seul détail que l'on distingue de son vêtement, une des manches de sa chemise, semble bordé de dentelle. Les apôtres constatent que le sarcophage ne contient plus le corps de la Vierge mais qu'il est rempli de fleurs. Tandis que la plupart des apôtres regardent vers le ciel, d'autres tel saint Pierre, lèvent les bras pour désigner la Vierge. Au registre supérieur, la Vierge agenouillée dans une nuée est entourée d'anges dont des anges musiciens. Ces anges, tels qu'ils sont représentés ici, sont caractéristiques chez François Mimault.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Du retable du maître-autel il ne reste que sa toile du XVIIe siècle représentant une Assomption de Mimault François. Avec les toiles de saint Pierre et saint Paul, elle devait former le décor du retable. 1614. La composition du tableau est structurée sur deux niveaux qui occupent chacun la moitié de la toile. Au registre inférieur, les douze apôtres sont regroupés autour du tombeau situé au centre. Un treizième personnage (le commanditaire ?) est agenouillé à droite les mains jointes et nous regarde. Il porte une bague à l'auriculaire gauche, le traitement de son visage est légèrement différent de celui des apôtres et le seul détail que l'on distingue de son vêtement, une des manches de sa chemise, semble bordé de dentelle. Les apôtres constatent que le sarcophage ne contient plus le corps de la Vierge mais qu'il est rempli de fleurs. Tandis que la plupart des apôtres regardent vers le ciel, d'autres tel saint Pierre, lèvent les bras pour désigner la Vierge. Au registre supérieur, la Vierge agenouillée dans une nuée est entourée d'anges dont des anges musiciens. Ces anges, tels qu'ils sont représentés ici, sont caractéristiques chez François Mimault.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Aujourd'hui, autour du Christ se trouvent les quatre évangélistes, de gauche à droite, Saint Luc, Saint Mathieu, Saint-Jean et Saint Marc
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Aujourd'hui, autour du Christ se trouvent les quatre évangélistes, de gauche à droite, Saint Luc, Saint Mathieu, Saint-Jean et Saint Marc
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Le lutrin ainsi que les stalles sont du XVIIe siècle
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Le lutrin ainsi que les stalles sont du XVIIe siècle
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Le lutrin ainsi que les stalles sont du XVIIe siècle. Livre : Missel Romain. Il a été imprimé en 1774 chez François Seguin, imprimeur à Avignon.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Le lutrin ainsi que les stalles sont du XVIIe siècle. Livre : Missel Romain. Il a été imprimé en 1774 chez François Seguin, imprimeur à Avignon.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Chasubles et dalmatiques. Chemin de croix : lithographies marouflées sur toile, encadrées dans des cadres en bois. 1874.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Chasubles et dalmatiques. Chemin de croix : lithographies marouflées sur toile, encadrées dans des cadres en bois. 1874.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Au-dessus de la porte d'entrée principale, le vitrail de la Vierge de l'Immaculée Conception est signé La Gesta, de Toulouse. La bordure présente un décor de fleurs stylisées.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Au-dessus de la porte d'entrée principale, le vitrail de la Vierge de l'Immaculée Conception est signé La Gesta, de Toulouse. La bordure présente un décor de fleurs stylisées.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Des onze tapisseries (cinq des Flandres et six d'Aubusson) restaurées en 1949-1950 et remises en place dans la cathédrale, quatre, de grandes tapisseries des Flandres, ont été volées au mois d'août 1982. Celles qui restent, à l'exception d'une verdure, illustrent divers passages de l'Ancien Testament.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Des onze tapisseries (cinq des Flandres et six d'Aubusson) restaurées en 1949-1950 et remises en place dans la cathédrale, quatre, de grandes tapisseries des Flandres, ont été volées au mois d'août 1982. Celles qui restent, à l'exception d'une verdure, illustrent divers passages de l'Ancien Testament.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Tapisserie d'Aubusson. Fin XVIIe siècle. Judith tenant d'une main un glaive, de l'autre la tête d'Holopherne.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Tapisserie d'Aubusson. Fin XVIIe siècle. Judith tenant d'une main un glaive, de l'autre la tête d'Holopherne.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Tapisserie d'Aubusson. Le retour du jeune Tobie de chez Raguel. Fin XVIIe siècle. Au centre Tobie et Sara vêtus d'amples vêtements sont précédés de leur chien et suivis d'un porteur.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Tapisserie d'Aubusson. Le retour du jeune Tobie de chez Raguel. Fin XVIIe siècle. Au centre Tobie et Sara vêtus d'amples vêtements sont précédés de leur chien et suivis d'un porteur.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Tapisserie d'Aubusson. Fin XVIIe siècle. Jahel, un marteau à la main, s'apprête à tuer Sisara.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Tapisserie d'Aubusson. Fin XVIIe siècle. Jahel, un marteau à la main, s'apprête à tuer Sisara.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> En haut, les doubleaux, de profil rectangulaire, délimitant les quatre travées sont reçus au niveau du cordon par des culots. Les murs de la nef sont percés de six étroites fenêtres en plein cintre. Elles sont placées, trois de chaque côté, sous le cordon de la voûte, dans chaque travée.
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En haut, les doubleaux, de profil rectangulaire, délimitant les quatre travées sont reçus au niveau du cordon par des culots. Les murs de la nef sont percés de six étroites fenêtres en plein cintre. Elles sont placées, trois de chaque côté, sous le cordon de la voûte, dans chaque travée.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Tapisserie d'Aubusson. Fin XVIIe siècle. Esther couronnée de roses
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Tapisserie d'Aubusson. Fin XVIIe siècle. Esther couronnée de roses
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Tapisseries d'Aubusson. Eliezer et Rebecca au puits. Fin XVIIe siècle. Devant la fontaine Éliezer rencontre Rébecca. Des jeunes filles venues puiser de l'eau assistent à la scène, alors qu’un jeune chamelier retient les dromadaires porteurs de présents destinés à la future épouse d'Abraham
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Tapisseries d'Aubusson. Eliezer et Rebecca au puits. Fin XVIIe siècle. Devant la fontaine Éliezer rencontre Rébecca. Des jeunes filles venues puiser de l'eau assistent à la scène, alors qu’un jeune chamelier retient les dromadaires porteurs de présents destinés à la future épouse d'Abraham
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Tapisserie d'Aubusson. Fin XVIIe siècle. Moïse sauvé des eaux. La fille du pharaon entourée de ses suivantes et suivie d’un page, découvre Moïse dans sa corbeille sur les eaux du Nil.
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Tapisserie d'Aubusson. Fin XVIIe siècle. Moïse sauvé des eaux. La fille du pharaon entourée de ses suivantes et suivie d’un page, découvre Moïse dans sa corbeille sur les eaux du Nil.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Tapisserie des Flandres. Rencontre du prophète Élie et de la veuve de Sarepta. Fin XVIe siècle. Statue de saint Apolline avec la paire de tenailles.
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Tapisserie des Flandres. Rencontre du prophète Élie et de la veuve de Sarepta. Fin XVIe siècle. Statue de saint Apolline avec la paire de tenailles.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Retable de Saint-Joseph avec des colonnes torses, telles qu’en ont les retables du XVIIe siècle, des pilastres décorés de pampres et de grappes et des volutes. Sur la volute de droite est gravée la date de 1679. La toile qui représente la Sainte famille est datée de 1645. Au-dessus du retable, le fronton, avec son riche décor, porte un petit tableau représentant le mort de Saint-Joseph de 1679, de Virry F. Devant une tenture, saint Joseph à qui la Vierge soutient légèrement la tête, repose sur un lit tandis que le Christ debout, index senestre pointé vers le ciel en direction de la colombe, prend de son autre main le pouls à Joseph. Au pied du lit, deux anges sont agenouillés, l'un les mains jointes en prière, l'autre tenant un lys dans la main senestre et pointant son index dextre vers Joseph.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Retable de Saint-Joseph avec des colonnes torses, telles qu’en ont les retables du XVIIe siècle, des pilastres décorés de pampres et de grappes et des volutes. Sur la volute de droite est gravée la date de 1679. La toile qui représente la Sainte famille est datée de 1645. Au-dessus du retable, le fronton, avec son riche décor, porte un petit tableau représentant le mort de Saint-Joseph de 1679, de Virry F. Devant une tenture, saint Joseph à qui la Vierge soutient légèrement la tête, repose sur un lit tandis que le Christ debout, index senestre pointé vers le ciel en direction de la colombe, prend de son autre main le pouls à Joseph. Au pied du lit, deux anges sont agenouillés, l'un les mains jointes en prière, l'autre tenant un lys dans la main senestre et pointant son index dextre vers Joseph.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Retable du Rosaire de Mimault François. La toile représente la donation du Rosaire. Au centre du registre inférieur, Louis XIII encore adolescent est représenté agenouillé aux pieds de la Vierge, les doigts des deux mains se touchant. A sa droite se tient saint Dominique, une fleur de lys dans sa main dextre, la main senestre tendue vers la Vierge. A sa gauche, sainte Catherine de Sienne. Deux papes, ou un pape et un évêque, se tiennent derrière saint Dominique tandis qu'une religieuse de l'ordre des Dominicains et sainte catherine d'Alexandrie tenant de la main senestre l'objet de son martyr, la roue, sont derrière sainte Catherine de Sienne. Deux anges drapés de rouge délimitent une trouée au-dessus de la tête de la Vierge. Ils ont des roses dans les mains. La Vierge qui tient l'Enfant Jésus debout sur ses genoux, est entourée d'anges musiciens. Elle s'apprête à remettre le chapelet à sainte Catherine de Sienne.Au-dessus se trouve une Vierge à l'Enfant. L'autel était à l'origine celui de la Vierge situé alors dans la chapelle qui lui est consacrée encore aujourd'hui. Un motif de rinceaux dorés émanant du cartouche souligne le panneau central du tombeau. Un motif de denticules court à la base du panneau central. Les arêtes du tombeau sont ornées d'un décor doré en léger relief.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Retable du Rosaire de Mimault François. La toile représente la donation du Rosaire. Au centre du registre inférieur, Louis XIII encore adolescent est représenté agenouillé aux pieds de la Vierge, les doigts des deux mains se touchant. A sa droite se tient saint Dominique, une fleur de lys dans sa main dextre, la main senestre tendue vers la Vierge. A sa gauche, sainte Catherine de Sienne. Deux papes, ou un pape et un évêque, se tiennent derrière saint Dominique tandis qu'une religieuse de l'ordre des Dominicains et sainte catherine d'Alexandrie tenant de la main senestre l'objet de son martyr, la roue, sont derrière sainte Catherine de Sienne. Deux anges drapés de rouge délimitent une trouée au-dessus de la tête de la Vierge. Ils ont des roses dans les mains. La Vierge qui tient l'Enfant Jésus debout sur ses genoux, est entourée d'anges musiciens. Elle s'apprête à remettre le chapelet à sainte Catherine de Sienne.Au-dessus se trouve une Vierge à l'Enfant. L'autel était à l'origine celui de la Vierge situé alors dans la chapelle qui lui est consacrée encore aujourd'hui. Un motif de rinceaux dorés émanant du cartouche souligne le panneau central du tombeau. Un motif de denticules court à la base du panneau central. Les arêtes du tombeau sont ornées d'un décor doré en léger relief.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Passation de pouvoir d'un évêque défunt à son successeur. Bois peint, XVIIe siècle. La passation de pouvoir évoquée, est probablement celle de Monseigneur Jacques Martin (1601-1623) à Monseigneur Louis Duchaine (1623-1671). A la fin de sa vie, Monseigneur Martin ne pouvait plus remplir toutes les fonctions épiscopales. Il avait donc sollicité et obtenu un coadjuteur, Monseigneur Duchaine, et l'avait ordonné évêque d'Argos le 17 juin 1618.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Passation de pouvoir d'un évêque défunt à son successeur. Bois peint, XVIIe siècle. La passation de pouvoir évoquée, est probablement celle de Monseigneur Jacques Martin (1601-1623) à Monseigneur Louis Duchaine (1623-1671). A la fin de sa vie, Monseigneur Martin ne pouvait plus remplir toutes les fonctions épiscopales. Il avait donc sollicité et obtenu un coadjuteur, Monseigneur Duchaine, et l'avait ordonné évêque d'Argos le 17 juin 1618.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Saint-Michel terrassant le dragon, accompagné d'un évêque. Tableau attribué, par analogie avec d'autres oeuvres présentes dans l'église, à François Mimault. Créant une trouée dans les nuages sombres situés derrière lui, le saint occupe la place centrale du tableau. Il foule le dragon à ses pieds, tient de la main dextre une épée en feu, de la main senestre il soulève une balance. A sa droite, un évêque est debout représenté de trois-quart dextre, faisant le signe de la bénédiction de la main dextre et tenant la crosse de la main senestre.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Saint-Michel terrassant le dragon, accompagné d'un évêque. Tableau attribué, par analogie avec d'autres oeuvres présentes dans l'église, à François Mimault. Créant une trouée dans les nuages sombres situés derrière lui, le saint occupe la place centrale du tableau. Il foule le dragon à ses pieds, tient de la main dextre une épée en feu, de la main senestre il soulève une balance. A sa droite, un évêque est debout représenté de trois-quart dextre, faisant le signe de la bénédiction de la main dextre et tenant la crosse de la main senestre.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Déposition de croix.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Déposition de croix.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Croix avec les instruments de la Passion : lance, échelle, clous, tenaille, marteau, coeur, main, pied. Il s'agit vraisemblablement d'une croix de pénitents.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Croix avec les instruments de la Passion : lance, échelle, clous, tenaille, marteau, coeur, main, pied. Il s'agit vraisemblablement d'une croix de pénitents.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Croix de consécration.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Croix de consécration.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Un Enfant Jésus. Il porte une tunique avec orfroi orné d'une frise de fleurs ainsi qu'un drapé dont l'orfroi est décoré de triangles.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Un Enfant Jésus. Il porte une tunique avec orfroi orné d'une frise de fleurs ainsi qu'un drapé dont l'orfroi est décoré de triangles.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Statue de saint Agathe avec la paire de tenailles.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Statue de saint Agathe avec la paire de tenailles.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Saint Joseph, bois doré et peint.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Saint Joseph, bois doré et peint.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Sacré Coeur.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Sacré Coeur.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Statue-reliquaire de l'Immaculée Conception.
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Statue-reliquaire de l'Immaculée Conception.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Chapelle Saint Jean-Baptiste au sud. Dans cette chapelle te se trouvait le caveau des évêques. Deux y furent inhumés au XVIIIe siècle : Mgr d’Amat de Volx et Mgr de Castellane Adhémar.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Chapelle Saint Jean-Baptiste au sud. Dans cette chapelle te se trouvait le caveau des évêques. Deux y furent inhumés au XVIIIe siècle : Mgr d’Amat de Volx et Mgr de Castellane Adhémar.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Chapelle de la Vierge au nord. Elle porte sur ses murs des traces de peintures.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Chapelle de la Vierge au nord. Elle porte sur ses murs des traces de peintures.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Dans la chapelle de Saint Jean-Baptiste se trouvait le caveau des évêques. Deux y furent inhumés au XVIIIe siècle : Mgr d’Amat de Volx et Mgr de Castellane Adhémar. Statue colossale d'un évêque.
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Dans la chapelle de Saint Jean-Baptiste se trouvait le caveau des évêques. Deux y furent inhumés au XVIIIe siècle : Mgr d’Amat de Volx et Mgr de Castellane Adhémar. Statue colossale d'un évêque.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Dans la chapelle de Saint Jean-Baptiste se trouvait le caveau des évêques. Deux y furent inhumés au XVIIIe siècle : Mgr d’Amat de Volx et Mgr de Castellane Adhémar. Statue colossale d'un pape en terre cuite peinte avec, parsemés sur le vêtement, des cabochons contenant de la verroterie de couleurs différentes.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Dans la chapelle de Saint Jean-Baptiste se trouvait le caveau des évêques. Deux y furent inhumés au XVIIIe siècle : Mgr d’Amat de Volx et Mgr de Castellane Adhémar. Statue colossale d'un pape en terre cuite peinte avec, parsemés sur le vêtement, des cabochons contenant de la verroterie de couleurs différentes.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Bannière de procession de l'Immaculée Conception. 1872. Sur la face principale est figurée l'Immaculée Conception. La Vierge se présente debout sur des nuées foulant à ses pieds un serpent. Elle a les bras légèrement écartés du corps, la tête inclinée vers le bas. Elle est vêtue d'un manteau, d'une robe à fleurs et d'un voile. Elle est entourée d'une couronne de rinceaux végétaux fleuris issu d'un motif de double coquille. Sur l'autre face, le Christ du Sacré-Coeur en pied, est peint sur le médaillon.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Bannière de procession de l'Immaculée Conception. 1872. Sur la face principale est figurée l'Immaculée Conception. La Vierge se présente debout sur des nuées foulant à ses pieds un serpent. Elle a les bras légèrement écartés du corps, la tête inclinée vers le bas. Elle est vêtue d'un manteau, d'une robe à fleurs et d'un voile. Elle est entourée d'une couronne de rinceaux végétaux fleuris issu d'un motif de double coquille. Sur l'autre face, le Christ du Sacré-Coeur en pied, est peint sur le médaillon.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Ornement liturgique en brocart.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Ornement liturgique en brocart.
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<center>Senez </center>Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption. <br> Ornement liturgique en brocart.
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Cathédrale Notre-Dame-de-l'Assomption.
Ornement liturgique en brocart.
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<center>Senez </center> Le premier château des évêques se trouvait sur une hauteur voisine de la cité. Ce n'est qu'en 1756, à la demande de l'évêque Mgr de Vocance,  qu'on le démolit et qu'on utilisa ses matériaux pour la construction de cette demeure, l'architecte étant Jean Jean Rafeau de Barjols. Vendu à la Révolution, il est aujourd'hui très défiguré. C'est un bâtiment rectangulaire, à deux étages, un portail monumental en pierre de taille, avec aux angles un chaînage de pierres taillées.
Senez
Le premier château des évêques se trouvait sur une hauteur voisine de la cité. Ce n'est qu'en 1756, à la demande de l'évêque Mgr de Vocance, qu'on le démolit et qu'on utilisa ses matériaux pour la construction de cette demeure, l'architecte étant Jean Jean Rafeau de Barjols. Vendu à la Révolution, il est aujourd'hui très défiguré. C'est un bâtiment rectangulaire, à deux étages, un portail monumental en pierre de taille, avec aux angles un chaînage de pierres taillées.
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<center>Senez </center>
Senez
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<center>Senez </center> Cette fontaine du XVII° siècle présente aux quatre points cardinaux quatre têtes masculines sculptées. Chacune est différenciée, comme pour symboliser l’orientation géographique qu’elle désigne. La fontaine historique de Senez a donné son nom à la place où elle a été édifiée. Deux facteurs incitent à la dater du second quart du XVII° siècle, sans certitude, en l’absence de document d’archives. En premier lieu la parenté stylistique avec d’autres fontaines datées du même type (notamment à Moriez, 1644). En outre la construction en 1644 du séminaire par l’évêque Monseigneur Louis Duchaine, le plus ancien bâtiment répertorié de Senez, désigne le début de l’urbanisation réelle du village et des commodités nécessaires qui s’ensuivent, tels que l’aménagement d’un réseau hydraulique permettant l’approvisionnement constant en eau. Un lavoir en béton préformé avait été accolé au bassin original au début du XX° siècle ; il resta en place jusqu’à la fin des années 1990, avant une rénovation de la place incluant la fontaine et les bâtiments autour.
La fontaine est composée d’un bassin circulaire en calcaire et d’une colonne taillée dans le même minéral.
Senez
Cette fontaine du XVII° siècle présente aux quatre points cardinaux quatre têtes masculines sculptées. Chacune est différenciée, comme pour symboliser l’orientation géographique qu’elle désigne. La fontaine historique de Senez a donné son nom à la place où elle a été édifiée. Deux facteurs incitent à la dater du second quart du XVII° siècle, sans certitude, en l’absence de document d’archives. En premier lieu la parenté stylistique avec d’autres fontaines datées du même type (notamment à Moriez, 1644). En outre la construction en 1644 du séminaire par l’évêque Monseigneur Louis Duchaine, le plus ancien bâtiment répertorié de Senez, désigne le début de l’urbanisation réelle du village et des commodités nécessaires qui s’ensuivent, tels que l’aménagement d’un réseau hydraulique permettant l’approvisionnement constant en eau. Un lavoir en béton préformé avait été accolé au bassin original au début du XX° siècle ; il resta en place jusqu’à la fin des années 1990, avant une rénovation de la place incluant la fontaine et les bâtiments autour. La fontaine est composée d’un bassin circulaire en calcaire et d’une colonne taillée dans le même minéral.
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<center>Senez </center> Cette fontaine du XVII° siècle présente aux quatre points cardinaux quatre têtes masculines sculptées. Chacune est différenciée, comme pour symboliser l’orientation géographique qu’elle désigne.
Senez
Cette fontaine du XVII° siècle présente aux quatre points cardinaux quatre têtes masculines sculptées. Chacune est différenciée, comme pour symboliser l’orientation géographique qu’elle désigne.
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<center>Senez </center>
Senez
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<center>Senez </center>
Senez
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Elle succède à l’ancienne église, fermée en 1846 et 1862 car en trop mauvais état et dangereuse. Le prêtre nommé en 1864, Jean-Esprit Pellissier, entame la construction de l’église actuelle. L’ancien château est détruit pour lui laisser la place, et l’église construite de 18660 à 1871. Les architectes sont Raymond puis Lutton. La porte, dans la travée centrale, est en plein-cintre. Le pignon est percé d'un oculus.
Barrême
L’église Saint-Jean-Baptiste
Elle succède à l’ancienne église, fermée en 1846 et 1862 car en trop mauvais état et dangereuse. Le prêtre nommé en 1864, Jean-Esprit Pellissier, entame la construction de l’église actuelle. L’ancien château est détruit pour lui laisser la place, et l’église construite de 18660 à 1871. Les architectes sont Raymond puis Lutton. La porte, dans la travée centrale, est en plein-cintre. Le pignon est percé d'un oculus.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> La porte d'entrée.
Barrême
L’église Saint-Jean-Baptiste
La porte d'entrée.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Les trois vaisseaux ont chacun quatre travées couvertes de voûtes d'arêtes que séparent des arcs doubleaux de profil brisé retombant le long des murs sur des consoles pyramidales et au centre sur des colonnes. Les mêmes colonnes reçoivent de part et d'autre les arcades en plein-cintre qui font communiquer entre eux les vaisseaux.
Barrême
L’église Saint-Jean-Baptiste
Les trois vaisseaux ont chacun quatre travées couvertes de voûtes d'arêtes que séparent des arcs doubleaux de profil brisé retombant le long des murs sur des consoles pyramidales et au centre sur des colonnes. Les mêmes colonnes reçoivent de part et d'autre les arcades en plein-cintre qui font communiquer entre eux les vaisseaux.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Les arcs doubleaux retombent le long des murs sur des consoles pyramidales.
Barrême
L’église Saint-Jean-Baptiste
Les arcs doubleaux retombent le long des murs sur des consoles pyramidales.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> La nef principale est flanquée de deux collatéraux. Peintures monumentales du choeur et de la quatrième travée des collatéraux (style néo-gothique), compartimentées en deux registres, au-dessus d'un lambris de hauteur. Dans le choeur, le premier registre comporte une fausse tenture, avec semis de croix feuillagées ocres cernées de rouge, sur fond gris-bleu ; il est encadré par deux larges frises à feuillages stylisés. Dans les quatrièmes travées des collatéraux, le décor peint est limité par un pilastre en trompe l'oeil sous la retombée des arcs latéraux, sur lequel se poursuivent les motifs de ces arcs. La frise inférieure du premier registre comprend des T imbriqués entre de simples bandes colorées ; au-dessus, deux colonnes en trompe l'oeil encadrent un semis de tiges de lys stylisées. Les registres supérieurs sont ornés d'un médaillon et d'un semis de croix feuillagées sur fond vert, les voûtes d'étoiles ocre-jaune sur fond bleu.
Barrême
L’église Saint-Jean-Baptiste
La nef principale est flanquée de deux collatéraux. Peintures monumentales du choeur et de la quatrième travée des collatéraux (style néo-gothique), compartimentées en deux registres, au-dessus d'un lambris de hauteur. Dans le choeur, le premier registre comporte une fausse tenture, avec semis de croix feuillagées ocres cernées de rouge, sur fond gris-bleu ; il est encadré par deux larges frises à feuillages stylisés. Dans les quatrièmes travées des collatéraux, le décor peint est limité par un pilastre en trompe l'oeil sous la retombée des arcs latéraux, sur lequel se poursuivent les motifs de ces arcs. La frise inférieure du premier registre comprend des T imbriqués entre de simples bandes colorées ; au-dessus, deux colonnes en trompe l'oeil encadrent un semis de tiges de lys stylisées. Les registres supérieurs sont ornés d'un médaillon et d'un semis de croix feuillagées sur fond vert, les voûtes d'étoiles ocre-jaune sur fond bleu.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Médaillon du mur gauche du choeur : calice contenant une hostie, posé sur une croix couchée sur un livre, et un pampre. L'arc triomphal porte des caissons et des rosaces ou des motifs feuillagés.
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L’église Saint-Jean-Baptiste
Médaillon du mur gauche du choeur : calice contenant une hostie, posé sur une croix couchée sur un livre, et un pampre. L'arc triomphal porte des caissons et des rosaces ou des motifs feuillagés.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> L'arc triomphal, à droite,  porte des caissons et des rosaces ou des motifs feuillagés.
Barrême
L’église Saint-Jean-Baptiste
L'arc triomphal, à droite, porte des caissons et des rosaces ou des motifs feuillagés.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Médaillon du mur droit : Agneau de Dieu posant deux pattes sur un livre rouge. Le décor du choeur fut commandé en 1879 à M. Gombert, peintre de Riez ; la similitude des peintures de la quatrième travée permet de penser qu'il en est également l'auteur. Ces peintures ont été très largement restaurées en 2000.
Barrême
L’église Saint-Jean-Baptiste
Médaillon du mur droit : Agneau de Dieu posant deux pattes sur un livre rouge. Le décor du choeur fut commandé en 1879 à M. Gombert, peintre de Riez ; la similitude des peintures de la quatrième travée permet de penser qu'il en est également l'auteur. Ces peintures ont été très largement restaurées en 2000.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> L'arc triomphal, à gauche,  porte des caissons et des rosaces ou des motifs feuillagés.
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L’église Saint-Jean-Baptiste
L'arc triomphal, à gauche, porte des caissons et des rosaces ou des motifs feuillagés.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Le chœur est voûté d’ogives. L'abside est plate. Croix d'autel et 6 chandeliers d'autel (style néo-gothique). Pied : dragons supportant un décor architecturé à arcatures et pinacles gothiques, rinceaux de feuillages dans les écoinçons des arcs. Tige cannelée à noeud rapporté, en boule aplatie. Collerette ajourée et broche sur les chandeliers. Tous les motifs décoratifs sont repris en ciselure. Croix : extrémités ajourées ; Christ fondu rapporté. Autel de plan rectangulaire, d'élévation droite ; tabernacle reposant sur le premier gradin et enserré par un gradin à redents. Ensemble en placage de marbre blanc veiné de gris clair. Sur la face de l'autel, cinq arcades trilobées portées par des colonnettes rondes. Les trois arcades centrales contiennent un motif en haut relief rapporté (au centre le Christ Salvator Mundi, à sa gauche saint Antoine abbé, à sa droite saint Jean Baptiste), les deux autres un décor à motifs floraux stylisés. Sur le premier gradin : deux gerbes de blé au centre, rinceaux de pampres sur les côtés. Sur le deuxième gradin : treillis remeublé de disques. Battant du tabernacle en bronze doré : deux colombes de part et d'autre d'une coupe reposant sur deux volutes de feuillages ; juste au-dessus, l'Agneau de Dieu sur l'autel. Dans la partie supérieure, des volutes de pampres, et l'Alpha, l'Oméga et le chrisme dans un quadrilobe. Bordure de perles et d'étoiles sur le pourtour du battant.
Barrême
L’église Saint-Jean-Baptiste
Le chœur est voûté d’ogives. L'abside est plate. Croix d'autel et 6 chandeliers d'autel (style néo-gothique). Pied : dragons supportant un décor architecturé à arcatures et pinacles gothiques, rinceaux de feuillages dans les écoinçons des arcs. Tige cannelée à noeud rapporté, en boule aplatie. Collerette ajourée et broche sur les chandeliers. Tous les motifs décoratifs sont repris en ciselure. Croix : extrémités ajourées ; Christ fondu rapporté. Autel de plan rectangulaire, d'élévation droite ; tabernacle reposant sur le premier gradin et enserré par un gradin à redents. Ensemble en placage de marbre blanc veiné de gris clair. Sur la face de l'autel, cinq arcades trilobées portées par des colonnettes rondes. Les trois arcades centrales contiennent un motif en haut relief rapporté (au centre le Christ Salvator Mundi, à sa gauche saint Antoine abbé, à sa droite saint Jean Baptiste), les deux autres un décor à motifs floraux stylisés. Sur le premier gradin : deux gerbes de blé au centre, rinceaux de pampres sur les côtés. Sur le deuxième gradin : treillis remeublé de disques. Battant du tabernacle en bronze doré : deux colombes de part et d'autre d'une coupe reposant sur deux volutes de feuillages ; juste au-dessus, l'Agneau de Dieu sur l'autel. Dans la partie supérieure, des volutes de pampres, et l'Alpha, l'Oméga et le chrisme dans un quadrilobe. Bordure de perles et d'étoiles sur le pourtour du battant.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br>
Barrême
L’église Saint-Jean-Baptiste
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Saint Pierre et saint Vincent sont dans une niche à volutes de feuilles d'acanthe, de fleurs et de pampres.
Barrême
L’église Saint-Jean-Baptiste
Saint Pierre et saint Vincent sont dans une niche à volutes de feuilles d'acanthe, de fleurs et de pampres.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br>Autel de saint Joseph. Autel de plan rectangulaire, d'élévation droite ; tabernacle reposant sur le premier gradin et enserré par un gradin à redents. Marbre blanc veiné de gris clair. Sur la face de l'autel, trois arcades en ogive portées par des colonnettes rondes. Les arcades latérales simulent une fenêtre géminée et contiennent un décor gravé et doré. Dans l'arcade centrale, monogramme S J entouré d'une nuée. Rinceaux de pampres mêlés de fleurs en pomme de pin sur les gradins d'autel. Tige de lys sur le battant du tabernacle, croix tréflée entre volutes fleuries dans la partie supérieure. 
La Sainte Famille, sainte Anne et saint Jean Baptiste enfant. Un ange tient une couronne de fleurs au-dessus de la tête de la Vierge. Au dessus, un médaillon avec le monogramme de saint Joseph.
Barrême
L’église Saint-Jean-Baptiste
Autel de saint Joseph. Autel de plan rectangulaire, d'élévation droite ; tabernacle reposant sur le premier gradin et enserré par un gradin à redents. Marbre blanc veiné de gris clair. Sur la face de l'autel, trois arcades en ogive portées par des colonnettes rondes. Les arcades latérales simulent une fenêtre géminée et contiennent un décor gravé et doré. Dans l'arcade centrale, monogramme S J entouré d'une nuée. Rinceaux de pampres mêlés de fleurs en pomme de pin sur les gradins d'autel. Tige de lys sur le battant du tabernacle, croix tréflée entre volutes fleuries dans la partie supérieure. La Sainte Famille, sainte Anne et saint Jean Baptiste enfant. Un ange tient une couronne de fleurs au-dessus de la tête de la Vierge. Au dessus, un médaillon avec le monogramme de saint Joseph.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Autel de saint Joseph.
Barrême
L’église Saint-Jean-Baptiste
Autel de saint Joseph.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Statue-reliquaire de Saint Antoine abbé. Carton-pâte : peint, polychrome, bois : peint, doré, étain : repoussé, décor en haut relief. Auteur : Galard de Marseille. 3e quart 19e siècle.
Barrême
L’église Saint-Jean-Baptiste
Statue-reliquaire de Saint Antoine abbé. Carton-pâte : peint, polychrome, bois : peint, doré, étain : repoussé, décor en haut relief. Auteur : Galard de Marseille. 3e quart 19e siècle.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Statue-reliquaire de Saint Jean Baptiste. Carton-pâte : peint, polychrome, bois : peint, doré, étain : repoussé, décor en haut relief. Auteur : Galard de Marseille. 3e quart 19e siècle.
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L’église Saint-Jean-Baptiste
Statue-reliquaire de Saint Jean Baptiste. Carton-pâte : peint, polychrome, bois : peint, doré, étain : repoussé, décor en haut relief. Auteur : Galard de Marseille. 3e quart 19e siècle.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br>Autel de saint Joseph. Les verrières furent commandées à Gesta en novembre 1870.  L'Immaculée Conception et saint Joseph sont placés dans un encadrement architecturé à édicule et entourés d'une bordure fleurie.
Barrême
L’église Saint-Jean-Baptiste
Autel de saint Joseph. Les verrières furent commandées à Gesta en novembre 1870. L'Immaculée Conception et saint Joseph sont placés dans un encadrement architecturé à édicule et entourés d'une bordure fleurie.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Autel de la Vierge. L'Assomption. Ce tableau  pourrait être attribué à Fidèle Maria Patritti : exactement le même motif constitue la partie supérieure d'un tableau à l'église paroissiale Saint-André de Saint-André-les-Alpes, ce tableau est signé par ce peintre et daté de 1851. Les cadres ont été réalisés par le peintre Gombert. Il s'agit d'une copie interprétée d'une gravure de Carlo Maratta représentant l'Assomption de la Vierge, elle-même très inspirée du tableau de ce dernier peint pour l'église Santa-Maria-del-Popolo à Rome en 1689. Cadres : feuilles d'acanthes entre volutes rocaille aux angles ; cartouche rocaille avec fleurs au centre des traverses.  Au dessus, un médaillon avec le monogramme de la Vierge.
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L’église Saint-Jean-Baptiste
Autel de la Vierge. L'Assomption. Ce tableau pourrait être attribué à Fidèle Maria Patritti : exactement le même motif constitue la partie supérieure d'un tableau à l'église paroissiale Saint-André de Saint-André-les-Alpes, ce tableau est signé par ce peintre et daté de 1851. Les cadres ont été réalisés par le peintre Gombert. Il s'agit d'une copie interprétée d'une gravure de Carlo Maratta représentant l'Assomption de la Vierge, elle-même très inspirée du tableau de ce dernier peint pour l'église Santa-Maria-del-Popolo à Rome en 1689. Cadres : feuilles d'acanthes entre volutes rocaille aux angles ; cartouche rocaille avec fleurs au centre des traverses. Au dessus, un médaillon avec le monogramme de la Vierge.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Autel de la Vierge. Chaire à prêcher en noyer. 1ère moitié 19e siècle. Elle provient de l'ancienne église et fut mise en place le 20 août 1871, après avoir été réparée par M. Constantin fils. Culot d'élévation galbée à ressauts.
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L’église Saint-Jean-Baptiste
Autel de la Vierge. Chaire à prêcher en noyer. 1ère moitié 19e siècle. Elle provient de l'ancienne église et fut mise en place le 20 août 1871, après avoir été réparée par M. Constantin fils. Culot d'élévation galbée à ressauts.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Statue du Sacré-Coeur.
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L’église Saint-Jean-Baptiste
Statue du Sacré-Coeur.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> L'Immaculée Conception et saint Joseph sont placés dans un encadrement architecturé à édicule et entourés d'une bordure fleurie.
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L’église Saint-Jean-Baptiste
L'Immaculée Conception et saint Joseph sont placés dans un encadrement architecturé à édicule et entourés d'une bordure fleurie.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br>Collatéral de gauche. Statue : Saint Louis de Gonzague, debout, tenant un crucifix. La tête est petite par rapport au corps. Les deux bénitiers datent de 1872.
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L’église Saint-Jean-Baptiste
Collatéral de gauche. Statue : Saint Louis de Gonzague, debout, tenant un crucifix. La tête est petite par rapport au corps. Les deux bénitiers datent de 1872.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br>
Barrême
L’église Saint-Jean-Baptiste
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Stalle de célébrant. Le meuble est fixé sur un socle en bois résineux peint.Accotoirs galbés. La partie supérieure du dossier est triangulaire et porte un décor rapporté en relief méplat et ajouré, collé. Créateur : Constantin, 4e quart 19e siècle.
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L’église Saint-Jean-Baptiste
Stalle de célébrant. Le meuble est fixé sur un socle en bois résineux peint.Accotoirs galbés. La partie supérieure du dossier est triangulaire et porte un décor rapporté en relief méplat et ajouré, collé. Créateur : Constantin, 4e quart 19e siècle.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Statue de Sainte Brigitte
En plâtre. Auteur Aug. Pellegrini, Marseille.
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L’église Saint-Jean-Baptiste
Statue de Sainte Brigitte En plâtre. Auteur Aug. Pellegrini, Marseille.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus. Plâtre peint. Une tête d'ange surmontée par des roses sur le culot, iconographie habituelle des culots accompagnant une statue de sainte Thérèse de l'Enfant Jésus.
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L’église Saint-Jean-Baptiste
Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus. Plâtre peint. Une tête d'ange surmontée par des roses sur le culot, iconographie habituelle des culots accompagnant une statue de sainte Thérèse de l'Enfant Jésus.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> L'Assomption, saint Jean Baptiste et saint Antoine abbé. Le tableau provient de l’ancienne église paroissiale dont il ornait le maître-autel. Il pourrait dater du 18e siècle. Le cadre a été réalisé par le peintre Gombert.
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L'Assomption, saint Jean Baptiste et saint Antoine abbé. Le tableau provient de l’ancienne église paroissiale dont il ornait le maître-autel. Il pourrait dater du 18e siècle. Le cadre a été réalisé par le peintre Gombert.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Reliquaire-monstrance de sainte Perpétue, martyre de Carthage en 203.
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L’église Saint-Jean-Baptiste
Reliquaire-monstrance de sainte Perpétue, martyre de Carthage en 203.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br>  Statue (grandeur nature) : La Bienheureuse Jeanne d'Arc. Les verrières décoratives sont composées de cinq quadrilobes superposés, contenant une fleur, dans un encadrement alternant médaillons circulaires ou carrés et feuilles stylisées, aux couleurs rouge, vert ou jaune.
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L’église Saint-Jean-Baptiste
Statue (grandeur nature) : La Bienheureuse Jeanne d'Arc. Les verrières décoratives sont composées de cinq quadrilobes superposés, contenant une fleur, dans un encadrement alternant médaillons circulaires ou carrés et feuilles stylisées, aux couleurs rouge, vert ou jaune.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br>  Statue (grandeur nature) : La Bienheureuse Jeanne d'Arc.
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L’église Saint-Jean-Baptiste
Statue (grandeur nature) : La Bienheureuse Jeanne d'Arc.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Collatéral de droite. Fonts baptismaux. L'ensemble est de plan octogonal, sauf la colonne, cylindrique. Ils sont placés au centre d'un double emmarchement de calcaire gris. Ils se composent d'une base et d'une colonne en marbre noir veiné, avec moulures en marbre blanc sur le dessus de la base, et d'une cuve en marbre blanc, d'élévation galbée. Le couvercle en bois résineux comporte six faces reposant sur un octogone plein. La clôture en fer forgé est installée sur la première marche ; elle comprend quatre parties fixes et un battant. Les barreaux, en fer rond, sont amincis en losange pour former une pointe et une bague en fonte est placée dans leur tiers inférieur ; la pointe et la bague sont dorées. La partie supérieure du battant est surmontée de volutes de fers plats rivetés, dorés. Statue de l'Enfant Jésus. Socle de plan rectangulaire à angles abattus, peint, orné de deux moulures en demi relief, dorées. Statuette en carton-pâte, yeux en verre bleu. Les carnations, les cheveux et les sandales sont peints, les vêtements sont dorés. Il est sur l'armoire aux saintes huiles, en noyer, de Constantin, 1877.
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L’église Saint-Jean-Baptiste
Collatéral de droite. Fonts baptismaux. L'ensemble est de plan octogonal, sauf la colonne, cylindrique. Ils sont placés au centre d'un double emmarchement de calcaire gris. Ils se composent d'une base et d'une colonne en marbre noir veiné, avec moulures en marbre blanc sur le dessus de la base, et d'une cuve en marbre blanc, d'élévation galbée. Le couvercle en bois résineux comporte six faces reposant sur un octogone plein. La clôture en fer forgé est installée sur la première marche ; elle comprend quatre parties fixes et un battant. Les barreaux, en fer rond, sont amincis en losange pour former une pointe et une bague en fonte est placée dans leur tiers inférieur ; la pointe et la bague sont dorées. La partie supérieure du battant est surmontée de volutes de fers plats rivetés, dorés. Statue de l'Enfant Jésus. Socle de plan rectangulaire à angles abattus, peint, orné de deux moulures en demi relief, dorées. Statuette en carton-pâte, yeux en verre bleu. Les carnations, les cheveux et les sandales sont peints, les vêtements sont dorés. Il est sur l'armoire aux saintes huiles, en noyer, de Constantin, 1877.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Collatéral de droite.
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L’église Saint-Jean-Baptiste
Collatéral de droite.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br>
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> St Antoine de Padoue.
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St Antoine de Padoue.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br>
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br>
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L’église Saint-Jean-Baptiste
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Saint Jean Bosco et deux enfants. En plâtre. Provient de la maison Vermare à Lyon. 2ème quart 20e siècle.
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L’église Saint-Jean-Baptiste
Saint Jean Bosco et deux enfants. En plâtre. Provient de la maison Vermare à Lyon. 2ème quart 20e siècle.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> L'Education de la Vierge. Plâtre peint. Les vêtements sont richement décorés de motifs peints faux or et faux argent.
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L’église Saint-Jean-Baptiste
L'Education de la Vierge. Plâtre peint. Les vêtements sont richement décorés de motifs peints faux or et faux argent.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br>
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L’église Saint-Jean-Baptiste
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br>
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br>
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br>
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br>
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br>
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br>
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L’église Saint-Jean-Baptiste
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Le Baptême du Christ, dans l'oculus du mur sud, est entouré d'une bordure de feuillages stylisés entre deux rangées de perles.
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Le Baptême du Christ, dans l'oculus du mur sud, est entouré d'une bordure de feuillages stylisés entre deux rangées de perles.
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<center>Barrême </center> L’église Saint-Jean-Baptiste <br> Tribune d'orgue et orgue. Garde-corps ajouré de quadrilobes. Claire-voie du buffet d'orgue découpée en ogives. Auteur : Constantin Frédéric, 1885.
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L’église Saint-Jean-Baptiste
Tribune d'orgue et orgue. Garde-corps ajouré de quadrilobes. Claire-voie du buffet d'orgue découpée en ogives. Auteur : Constantin Frédéric, 1885.
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<center>Barrême </center> Place des tilleuls.
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Place des tilleuls.
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