Riez

L'église de Riez <br> La cathédrale actuelle, adossée aux remparts, est une église construite de 1490 à 1524. Elle fut ravagée par les protestants, puis saccagée en 1793. L'évêché de Riez ayant été supprimé en 1791, la cathédrale est devenue église paroissiale. Elle s'effondra en 18429 et a été reconstruite entre 1844 et 1847. Elle a été consacrée en 1850 par Monseigneur Mérieu, évêque de Digne.
L'église de Riez
La cathédrale actuelle, adossée aux remparts, est une église construite de 1490 à 1524. Elle fut ravagée par les protestants, puis saccagée en 1793. L'évêché de Riez ayant été supprimé en 1791, la cathédrale est devenue église paroissiale. Elle s'effondra en 18429 et a été reconstruite entre 1844 et 1847. Elle a été consacrée en 1850 par Monseigneur Mérieu, évêque de Digne.
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L'église de Riez <br> Elle est placée sous le patronage de sainte Thècle et de saint Maxime de Riez. Après les destructions de 1574, c’est Henri III qui finance les travaux. On démolit d’abord ce qui restait de la cathédrale, puis le chantier de reconstruction fut lancé, en plusieurs temps : le chœur et la nef, puis la sacristie (achevée en 1594). Enfin, la première pierre du clocher fut posée en 1599, et les travaux s'achevèrent en 1605. Sept chapelles furent ajoutées par l’évêque Louis Doni d’Attichy en 1649. Aujourd'hui, le clocher possède quatre cloches.
L'église de Riez
Elle est placée sous le patronage de sainte Thècle et de saint Maxime de Riez. Après les destructions de 1574, c’est Henri III qui finance les travaux. On démolit d’abord ce qui restait de la cathédrale, puis le chantier de reconstruction fut lancé, en plusieurs temps : le chœur et la nef, puis la sacristie (achevée en 1594). Enfin, la première pierre du clocher fut posée en 1599, et les travaux s'achevèrent en 1605. Sept chapelles furent ajoutées par l’évêque Louis Doni d’Attichy en 1649. Aujourd'hui, le clocher possède quatre cloches.
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Seuls le clocher, le presbytère et la sacristie qui n'ont pas été atteints par l'écroulement de 1842, datent de 1598.
Seuls le clocher, le presbytère et la sacristie qui n'ont pas été atteints par l'écroulement de 1842, datent de 1598.
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L'église de Riez. <br>L'intérieur est constitué d'une longue nef de sept travées, de 40 m de longueur, sans transept, avec deux nefs latérales se terminant par deux chapelles.
L'église de Riez.
L'intérieur est constitué d'une longue nef de sept travées, de 40 m de longueur, sans transept, avec deux nefs latérales se terminant par deux chapelles.
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L'église de Riez. <br>Les voûtes sont en croisées d'ogives, avec clés en cabochons doré. Les arcs doubleaux et les nervures retombent sur des piliers à chapiteaux plats.
L'église de Riez.
Les voûtes sont en croisées d'ogives, avec clés en cabochons doré. Les arcs doubleaux et les nervures retombent sur des piliers à chapiteaux plats.
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L'église de Riez <br> Collatéral droit, au fond, les fonts baptismaux.
L'église de Riez
Collatéral droit, au fond, les fonts baptismaux.
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L'église de Riez. <br>Fonts baptismaux. Statue de Saint Jean Baptiste en bois doré et peint, XVIIIe s.
L'église de Riez.
Fonts baptismaux. Statue de Saint Jean Baptiste en bois doré et peint, XVIIIe s.
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L'église de Riez <br>Statue de Saint Jean-Baptiste. Bois doré et peint, XVIIIe siècle
L'église de Riez
Statue de Saint Jean-Baptiste. Bois doré et peint, XVIIIe siècle
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L'église de Riez <br> Fonts baptismaux.
L'église de Riez
Fonts baptismaux.
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L'église de Riez <br> Fonts baptismaux.
L'église de Riez
Fonts baptismaux.
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L'église de Riez. <br>Toile représentant les armoiries de Nicolas de Valavoire, évêque de Riez de 1652 à 1685.
L'église de Riez.
Toile représentant les armoiries de Nicolas de Valavoire, évêque de Riez de 1652 à 1685.
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L'église de Riez. <br>Fonts baptismaux.
L'église de Riez.
Fonts baptismaux.
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L'église de Riez. <br>Toile
L'église de Riez.
Toile "Présentation au temple", fin XIXe s.
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L'église de Riez. <br>Toile
L'église de Riez.
Toile "Présentation au temple", fin XIXe s.
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L'église de Riez. <br> Ste Anne et Marie.
L'église de Riez.
Ste Anne et Marie.
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L'église de Riez. <br>Autel en bois doré et peint de Saint-Antoine, milieu XIX e s.
L'église de Riez.
Autel en bois doré et peint de Saint-Antoine, milieu XIX e s.
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L'église de Riez. <br>Toile
L'église de Riez.
Toile "Saint-François d'Assises aux pieds du Christ en Croix", par Gabriel Camoin, vers 1840.
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L'église de Riez. <br> Ste Thérèse de Lisieux, sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte-Face.
L'église de Riez.
Ste Thérèse de Lisieux, sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte-Face.
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L'église de Riez. <br>Autel du purgatoire en marbre, don de la famille Tardivy, milieu XIXe s.
L'église de Riez.
Autel du purgatoire en marbre, don de la famille Tardivy, milieu XIXe s.
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L'église de Riez. <br> Toile
L'église de Riez.
Toile "Intercession de la Vierge pour les âmes du purgatoire", avec cadre sculpté et doré, début XVIIIe s., classée le 5 octobre 1989.
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L'église de Riez. <br>Autel du purgatoire en marbre, don de la famille Tardivy, milieu XIXe s.
L'église de Riez.
Autel du purgatoire en marbre, don de la famille Tardivy, milieu XIXe s.
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L'église de Riez <br> Statue de Jeanne d'Arc.
L'église de Riez
Statue de Jeanne d'Arc.
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L'église de Riez. <br> Toile
L'église de Riez.
Toile "Mort de saint Joseph" par Faudran, 1655.
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L'église de Riez. <br>Autel du Sacré-Cœur en marbre, 1877.
L'église de Riez.
Autel du Sacré-Cœur en marbre, 1877.
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L'église de Riez. <br>Toile
L'église de Riez.
Toile "Deux anges agenouillés et le Sacré-Cœur", fin XIXe s.
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L'église de Riez. <br>Toile
L'église de Riez.
Toile "Saint Marcellin et Sainte Suzanne", Camoin,1823.
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L'église de Riez <br> Collaréral droit, avec, dasn l'absidiole, la chapelle de la Vierge.
L'église de Riez
Collaréral droit, avec, dasn l'absidiole, la chapelle de la Vierge.
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L'église de Riez. <br>Autel de la Vierge avec statue de la Vierge à l'Enfant en marbre, œuvre marseillaise exécutée en 1645, qui se trouve dans l'église paroissiale depuis la Révolution. Elle y fut transportée en grande pompe, du couvent des Capucins, le 8 avril 1791.
L'église de Riez.
Autel de la Vierge avec statue de la Vierge à l'Enfant en marbre, œuvre marseillaise exécutée en 1645, qui se trouve dans l'église paroissiale depuis la Révolution. Elle y fut transportée en grande pompe, du couvent des Capucins, le 8 avril 1791.
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L'église de Riez. <br>Autel de la Vierge avec statue de la Vierge à l'Enfant en marbre, œuvre marseillaise exécutée en 1645. Provient du couvent des Capucins de Riez.
L'église de Riez.
Autel de la Vierge avec statue de la Vierge à l'Enfant en marbre, œuvre marseillaise exécutée en 1645. Provient du couvent des Capucins de Riez.
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L'église de Riez. <br>Autel de la Vierge avec statue de la Vierge à l'Enfant en marbre, œuvre marseillaise exécutée en 1645. Provient du couvent des Capucins de Riez.
L'église de Riez.
Autel de la Vierge avec statue de la Vierge à l'Enfant en marbre, œuvre marseillaise exécutée en 1645. Provient du couvent des Capucins de Riez.
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L'église de Riez. <br>Chapelle de la Vierge.
L'église de Riez.
Chapelle de la Vierge.
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L'église de Riez. <br>Chapelle de la Vierge.
L'église de Riez.
Chapelle de la Vierge.
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L'église de Riez. <br>Chapelle de la Vierge.
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Chapelle de la Vierge.
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L'église de Riez. <br>Chapelle de la Vierge.
L'église de Riez.
Chapelle de la Vierge.
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L'église de Riez. <br>Chapelle de la Vierge.
L'église de Riez.
Chapelle de la Vierge.
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L'église de Riez. <br>Chapelle de la Vierge.
L'église de Riez.
Chapelle de la Vierge.
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L'église de Riez <br>
L'église de Riez
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L'église de Riez. <br>Chapelle de la Vierge. Toile
L'église de Riez.
Chapelle de la Vierge. Toile "Sainte Famille" legs en 1847 de T.B. Maillet, maire de Riez de 1849 à 1854, qualifiée d'école espagnole du XVIIe s. ou copie en 1905.
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L'église de Riez. <br>Chapelle de la Vierge.
L'église de Riez.
Chapelle de la Vierge.
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L'église de Riez <br>Les vitraux datent du XIXe siècle. Certains vitraux sont à motifs géométriques.
L'église de Riez
Les vitraux datent du XIXe siècle. Certains vitraux sont à motifs géométriques.
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L'église de Riez. <br>Autel en marbre polychrome, aménagé à partir d'éléments de l'ancien maître autel monumental (XIXème s.)
L'église de Riez.
Autel en marbre polychrome, aménagé à partir d'éléments de l'ancien maître autel monumental (XIXème s.)
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L'église de Riez. <br>
L'église de Riez.
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L'église de Riez. <br>Les vitraux datent du XIXe siècle. Celui-ci représente sainte Thècle avec, au-dessous, une évocation de la ville de Riez avec ses colonnes et son clocher. L'inscription porte : Sainte Thècle priez pour nous.
L'église de Riez.
Les vitraux datent du XIXe siècle. Celui-ci représente sainte Thècle avec, au-dessous, une évocation de la ville de Riez avec ses colonnes et son clocher. L'inscription porte : Sainte Thècle priez pour nous.
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L'église de Riez <br> Sainte Thècle. Son deuxième supplice fut d'être attachée à une lionne farouche, mais celle-ci lécha les pieds de Thècle, comme pour rendre hommage à sa virginité.
L'église de Riez
Sainte Thècle. Son deuxième supplice fut d'être attachée à une lionne farouche, mais celle-ci lécha les pieds de Thècle, comme pour rendre hommage à sa virginité.
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L'église de Riez <br> Le chœur.
L'église de Riez
Le chœur.
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L'église de Riez. <br>L'abside est un hémicycle avec décoration de pilastres sculptés, colonnes et chapiteaux corinthiens.
L'église de Riez.
L'abside est un hémicycle avec décoration de pilastres sculptés, colonnes et chapiteaux corinthiens.
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L'église de Riez. <br>
L'église de Riez.
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L'église de Riez. <br>
L'église de Riez.
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L'église de Riez. <br>
L'église de Riez.
"Donation du scapulaire à Saint Simon Stock par la Vierge" attribuée à Michel Serre, fin XVIIème s. (armoiries de Jean Louis Habert de Montmort).
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L'église de Riez. <br>L'Assomption de la Vierge, copie par T Basset d'une toile de Poussin  conservé au Louvre..
L'église de Riez.
L'Assomption de la Vierge, copie par T Basset d'une toile de Poussin conservé au Louvre..
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L'église de Riez. <br>Apparition du Christ à saint Jean de la Croix, c'est le miracle de Ségovie, dont on a peu d'exemples en France, attribué à Michel Serre, fin XVII. Les armoiries sont celles du donateur Jean Louis Habert de Montmort, intendant des galères de Marseille de 1680 à 1720.
L'église de Riez.
Apparition du Christ à saint Jean de la Croix, c'est le miracle de Ségovie, dont on a peu d'exemples en France, attribué à Michel Serre, fin XVII. Les armoiries sont celles du donateur Jean Louis Habert de Montmort, intendant des galères de Marseille de 1680 à 1720.
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L'église de Riez. <br>Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
L'église de Riez.
Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
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L'église de Riez. <br>Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
L'église de Riez.
Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
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L'église de Riez. <br>Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
L'église de Riez.
Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
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L'église de Riez. <br>Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
L'église de Riez.
Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
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L'église de Riez. <br>Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
L'église de Riez.
Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
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L'église de Riez. <br>Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
L'église de Riez.
Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
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L'église de Riez. <br>Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
L'église de Riez.
Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
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L'église de Riez. <br>Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
L'église de Riez.
Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
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L'église de Riez. <br>Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
L'église de Riez.
Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
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L'église de Riez. <br>Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
L'église de Riez.
Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
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L'église de Riez. <br>Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
L'église de Riez.
Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
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L'église de Riez. <br>Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
L'église de Riez.
Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
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L'église de Riez. <br>Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
L'église de Riez.
Les stalles en noyer. Décor sculpté, XVIIe.
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L'église de Riez. <br>Saint Fauste, évêque de Riez.
L'église de Riez.
Saint Fauste, évêque de Riez.
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L'église de Riez <br>Saint Fauste, évêque de Riez, représentant l'épiscopat gaulois, est accueilli par le pape Saint-Hilaire.
L'église de Riez
Saint Fauste, évêque de Riez, représentant l'épiscopat gaulois, est accueilli par le pape Saint-Hilaire.
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L'église de Riez <br> Chapelle de Saint-Joseph. Décor du XIXe siècle et statue en plâtre de 1897.
L'église de Riez
Chapelle de Saint-Joseph. Décor du XIXe siècle et statue en plâtre de 1897.
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L'église de Riez. <br>Chapelle de Saint Joseph avec décor (XIXe s.) 1897.
L'église de Riez.
Chapelle de Saint Joseph avec décor (XIXe s.) 1897.
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L'église de Riez. <br>Chapelle de Saint Joseph avec décor (XIXe s.) et statue en plâtre, 1897.
L'église de Riez.
Chapelle de Saint Joseph avec décor (XIXe s.) et statue en plâtre, 1897.
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L'église de Riez. <br>Chapelle de Saint Joseph avec décor (XIXe s.) et statue en plâtre, 1897.
L'église de Riez.
Chapelle de Saint Joseph avec décor (XIXe s.) et statue en plâtre, 1897.
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L'église de Riez <br>
L'église de Riez
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L'église de Riez. <br>Chapelle de Saint Joseph avec décor (XIXe s.) et statue en plâtre, 1897.
L'église de Riez.
Chapelle de Saint Joseph avec décor (XIXe s.) et statue en plâtre, 1897.
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L'église de Riez. <br>Chapelle de Saint Joseph avec décor (XIXe s.) et statue en plâtre, 1897.
L'église de Riez.
Chapelle de Saint Joseph avec décor (XIXe s.) et statue en plâtre, 1897.
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L'église de Riez. <br>Statue de saint Maxime, en bois doré et peint, XVIIIe.
L'église de Riez.
Statue de saint Maxime, en bois doré et peint, XVIIIe.
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L'église de Riez <br> St Maxime.
L'église de Riez
St Maxime.
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L'église de Riez. <br>Ce vitrail représentait Saint Maxime portant dans ses bras un enfant qu'il ressuscite, avec à ses pieds un petit cercueil.
L'église de Riez.
Ce vitrail représentait Saint Maxime portant dans ses bras un enfant qu'il ressuscite, avec à ses pieds un petit cercueil.
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L'église de Riez <br> Chaire en noyer sculpté, XVIIe siècle.
L'église de Riez
Chaire en noyer sculpté, XVIIe siècle.
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L'église de Riez. <br>Chaire en noyer sculpté, XVIIe.
L'église de Riez.
Chaire en noyer sculpté, XVIIe.
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L'église de Riez. <br>Chaire en noyer sculpté, XVIIe.
L'église de Riez.
Chaire en noyer sculpté, XVIIe.
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L'église de Riez. <br> Chaire en noyer sculpté, XVIIe.
L'église de Riez.
Chaire en noyer sculpté, XVIIe.
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L'église de Riez. <br> Chapelle de saint Maxime.
L'église de Riez.
Chapelle de saint Maxime.
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L'église de Riez. <br>Chapellede Saint Maxime.
L'église de Riez.
Chapellede Saint Maxime.
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L'église de Riez <br>Miracle de l'enfant ressuscité par saint Maxime, par Fidèle Patritti. 1846.
L'église de Riez
Miracle de l'enfant ressuscité par saint Maxime, par Fidèle Patritti. 1846.
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L'église de Riez <br> Autel de Saint Maxime en marbre, 1875.
L'église de Riez
Autel de Saint Maxime en marbre, 1875.
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L'église de Riez. <br>Miracle de l'Enfant ressuscité par saint Maxime, par Patritti, 1846.
L'église de Riez.
Miracle de l'Enfant ressuscité par saint Maxime, par Patritti, 1846.
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L'église de Riez. <br>Toile
L'église de Riez.
Toile "Sainte Thècle et Saint Maxime aux pieds du Christ", milieu XIXème s.
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L'église de Riez <br>  Donation du rosaire à saint Dominique de Guzman.
L'église de Riez
Donation du rosaire à saint Dominique de Guzman.
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L'église de Riez. <br>Le collatéral gauche est terminé par la chapelle Saint-Joseph.
L'église de Riez.
Le collatéral gauche est terminé par la chapelle Saint-Joseph.
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L'église de Riez. <br> St Antoine de Padoue.
L'église de Riez.
St Antoine de Padoue.
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L'église de Riez <br>
L'église de Riez
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L'église de Riez. <br>Autel de Saint Eloi en marbre, milieu XIXème s.
L'église de Riez.
Autel de Saint Eloi en marbre, milieu XIXème s.
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L'église de Riez. <br>Toile
L'église de Riez.
Toile "Saint Eloi" par Camoin, 1833, avec cadre sculpté.
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L'église de Riez <br> Jean-Marie Vianney, dit le Curé d'Ars.
L'église de Riez
Jean-Marie Vianney, dit le Curé d'Ars.
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L'église de Riez. <br>Autel de Sainte Thècle en marbre, milieu XIXe s. offert par la famille Latil.
L'église de Riez.
Autel de Sainte Thècle en marbre, milieu XIXe s. offert par la famille Latil.
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L'église de Riez. <br>Toile
L'église de Riez.
Toile "Sainte Marguerite" par Honoré-Gabriel Camoin, vers 1840.
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L'église de Riez <br>
L'église de Riez
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L'église de Riez. <br>Balustres en noyer (éléments du XVIIe s.)
L'église de Riez.
Balustres en noyer (éléments du XVIIe s.)
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L'église de Riez. <br>Piéta en pierre par Louis Botinelli, offerte par Mme Faucon.
L'église de Riez.
Piéta en pierre par Louis Botinelli, offerte par Mme Faucon.
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L'église de Riez. <br>Piéta en pierre par Louis Botinelli, offerte par Mme Faucon.
L'église de Riez.
Piéta en pierre par Louis Botinelli, offerte par Mme Faucon.
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L'église de Riez. <br>
L'église de Riez.
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L'église de Riez. <br>
L'église de Riez.
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L'église de Riez. <br>Orgue réalisé par Victor Fenon, facteur d'orgues de l'Isle sur Sorgue en 1847, partie instrumentale classée le 9 mars 1979.
L'église de Riez.
Orgue réalisé par Victor Fenon, facteur d'orgues de l'Isle sur Sorgue en 1847, partie instrumentale classée le 9 mars 1979.
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L'église de Riez. <br>Orgue réalisé par Victor Fenon, facteur d'orgues de l'Isle sur Sorgue en 1847, partie instrumentale classée le 9 mars 1979.
L'église de Riez.
Orgue réalisé par Victor Fenon, facteur d'orgues de l'Isle sur Sorgue en 1847, partie instrumentale classée le 9 mars 1979.
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L'église de Riez. <br>Orgue réalisé par Victor Fenon, facteur d'orgues de l'Isle sur Sorgue en 1847, partie instrumentale classée le 9 mars 1979.
L'église de Riez.
Orgue réalisé par Victor Fenon, facteur d'orgues de l'Isle sur Sorgue en 1847, partie instrumentale classée le 9 mars 1979.
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L'église de Riez. <br>Le vitrail situé au-dessus de l'entrée représente une hostie rayonnante.
L'église de Riez.
Le vitrail situé au-dessus de l'entrée représente une hostie rayonnante.
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L'église de Riez. <br> Le chemin de Croix.
L'église de Riez.
Le chemin de Croix.
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L'église de Riez. <br> Le chemin de Croix.
L'église de Riez.
Le chemin de Croix.
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L'église de Riez <br>
L'église de Riez
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L'église de Riez <br>
L'église de Riez
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Entrée de l'ancien Hôtel-Dieui, 1718-1993.
Entrée de l'ancien Hôtel-Dieui, 1718-1993.
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La fontaine Benoîte. La présence d'une fontaine à cet emplacement est attestée depuis le XVe siècle. Face à l'une des portes principales de la ville médiévale (la Porte Sanson ou Saint-Sols ).
La fontaine Benoîte. La présence d'une fontaine à cet emplacement est attestée depuis le XVe siècle. Face à l'une des portes principales de la ville médiévale (la Porte Sanson ou Saint-Sols ).
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La fontaine Benoîte servait à l'approvisionnement des habitants de la ville close et à ceux des quartiers extérieurs, comme le faubourg Saint-Sébastien. Elle permettait aussi aux voyageurs et à leur monture de se désaltérer.
La fontaine actuelle date de 1819. Ses proportions importantes furent conçues pour de nombreux utilisateurs, à l'époque Riez comptait plus de trois mille habitants. C'est aussi une fontaine décorative, à l'échelle de la porte, qui signale l'entrée de la ville. Quelques années plus tard on construisit à côté le vaste lavoir pour répondre aux besoins des habitantes, qui, longtemps, allèrent rincer le linge dans la rivière du Colostre, en bas de la ville.
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La fontaine Benoîte servait à l'approvisionnement des habitants de la ville close et à ceux des quartiers extérieurs, comme le faubourg Saint-Sébastien. Elle permettait aussi aux voyageurs et à leur monture de se désaltérer. La fontaine actuelle date de 1819. Ses proportions importantes furent conçues pour de nombreux utilisateurs, à l'époque Riez comptait plus de trois mille habitants. C'est aussi une fontaine décorative, à l'échelle de la porte, qui signale l'entrée de la ville. Quelques années plus tard on construisit à côté le vaste lavoir pour répondre aux besoins des habitantes, qui, longtemps, allèrent rincer le linge dans la rivière du Colostre, en bas de la ville. .
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La Porte Sanson ou Saint-Sols.
La Porte Sanson ou Saint-Sols.
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La Porte Sanson ou Saint-Sols.
La Porte Sanson ou Saint-Sols.
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La Grand-Rue est bordée de maisons du XVIe au XVIIIe.
La Grand-Rue est bordée de maisons du XVIe au XVIIIe.
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Ces deux maisons présentent les vestiges d'un important décor de gypseries réalisé au XVIe siècle par le maître gipier riézois André Berle.
Ces deux maisons présentent les vestiges d'un important décor de gypseries réalisé au XVIe siècle par le maître gipier riézois André Berle.
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Le n° 29 appartenait à un agent de l'évêque, le n° 25-27 à un riche marchand. Les deux constructions présentent la même répartition des étages, mais celle de droite a perdu son portail et les meneaux des fenêtres lors d'une ancienne restaurati
Le n° 29 appartenait à un agent de l'évêque, le n° 25-27 à un riche marchand. Les deux constructions présentent la même répartition des étages, mais celle de droite a perdu son portail et les meneaux des fenêtres lors d'une ancienne restaurati
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Chaque niveau est divisé far une moulure de gypserie d'un profil différent à chaque étage. L'ensemble de la façade présente une recherche de symétrie .et de décoration qui atteste une volonté de prestige.
Chaque niveau est divisé far une moulure de gypserie d'un profil différent à chaque étage. L'ensemble de la façade présente une recherche de symétrie .et de décoration qui atteste une volonté de prestige.
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31 Grand-Rue.
Cette maison, très remaniée au XIXe siècle, présente un double intérêt. À l'intérieur, de nombreuses gypseries attestent de la richesse de ses propriétaires. Le plafond du salon, à poutres et solives apparentes, est conservé. L'escalier abondamment décoré donne sur un puits de lumière.
Seule survivance de la décoration extérieure, un portail en pierre sculptée orne la façade.
À gauche, un double étal en pierre signale la fonction commerçante de la rue. Le marchand étalait ses produits au rez-de-chaussée, le client restait dans la rue, espace essentiel de la vie urbaine.
31 Grand-Rue. Cette maison, très remaniée au XIXe siècle, présente un double intérêt. À l'intérieur, de nombreuses gypseries attestent de la richesse de ses propriétaires. Le plafond du salon, à poutres et solives apparentes, est conservé. L'escalier abondamment décoré donne sur un puits de lumière. Seule survivance de la décoration extérieure, un portail en pierre sculptée orne la façade. À gauche, un double étal en pierre signale la fonction commerçante de la rue. Le marchand étalait ses produits au rez-de-chaussée, le client restait dans la rue, espace essentiel de la vie urbaine.
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Ancienne fontaine.
Ancienne fontaine.
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Hôtel de Mazan. Périodes de construction : 1er quart 16e siècle ; 17e siècle ; 18e siècle.
Hôtel de Mazan. Périodes de construction : 1er quart 16e siècle ; 17e siècle ; 18e siècle.
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Hôtel de Mazan.
Hôtel de Mazan.
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Les remparts, édifiés de 1371 à 1384.
Les remparts, édifiés de 1371 à 1384.
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Les remparts, édifiés de 1371 à 1384.
Les remparts, édifiés de 1371 à 1384.
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Les remparts, édifiés de 1371 à 1384. Le clocher de l'Horloge est un des derniers vestiges des remparts.
Les remparts, édifiés de 1371 à 1384. Le clocher de l'Horloge est un des derniers vestiges des remparts.
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Monument aux morts, de Jean Moiroud.
Monument aux morts, de Jean Moiroud.
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Dans l'histoire de la ville, la fontaine de Blanchon reste attachée à la présence de l'Hôtel-Dieu. C'est ici que l'on venait laver une partie du linge des malades. Dans de nombreux villages, un lavoir, où plus fréquemment l'un des bassins de la fontaine publique, était réservé aux familles dans lesquelles il y avait une personne souffrante. Leur présence traduit la peur de la maladie dans la société d'autrefois, à une époque où les vaccins et les antibiotiques étaient inconnus.
Dans l'histoire de la ville, la fontaine de Blanchon reste attachée à la présence de l'Hôtel-Dieu. C'est ici que l'on venait laver une partie du linge des malades. Dans de nombreux villages, un lavoir, où plus fréquemment l'un des bassins de la fontaine publique, était réservé aux familles dans lesquelles il y avait une personne souffrante. Leur présence traduit la peur de la maladie dans la société d'autrefois, à une époque où les vaccins et les antibiotiques étaient inconnus.
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La fontaine de Blanchon peut dater de la moitié du XVIIIe s. On sait qu'elle fut réparée en 1826. Elle est alimentée par une source dont l'eau arrive jusqu'ici par un petit canal souterrain qui traverse les caves de certaines maisons. Ce système, parfois mal entretenu autrefois par les propriétaires des maisons en question, qui parfois les détournaient à leur profit, entraînait un mauvais écoulement à la fontaine.
La fontaine de Blanchon peut dater de la moitié du XVIIIe s. On sait qu'elle fut réparée en 1826. Elle est alimentée par une source dont l'eau arrive jusqu'ici par un petit canal souterrain qui traverse les caves de certaines maisons. Ce système, parfois mal entretenu autrefois par les propriétaires des maisons en question, qui parfois les détournaient à leur profit, entraînait un mauvais écoulement à la fontaine.
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Aux limites nord-est de la province de Narbonnaise nouvellement créée, l'empereur Auguste fonde au début de notre ère une colonie latine placée sous le vocable d’Apollon : Colonia Julia Augusta Apollinaris Reiorum. Le territoire de la cité est limité au nord par la Bléone, à l’est par une partie de l’arc de Castellane, au sud par les Plans de Canjuers et les basses gorges du Verdon, et à l'ouest par la Durance. La ville est implantée en fond de vallée, au pied de la colline Saint-Maxime. Elle s’étend sur environ 15 hectares, au confluent du Colostre et de l’Auvestre.
La ville antique n'est pas visible au premier regard car la topographie a changé. Le niveau du sol antique est situé 2 m plus bas que le sol actuel. On peut néanmoins avoir une vision de l’agglomération grâce aux connaissances archéologiques que l'on a sur certains monuments fouillés : le temple des Colonnes (dont les vestiges se dressent devant vous) ; une vaste esplanade portiquée (à proximité du temple des Colonnes) ; un grand bâtiment rectangulaire (au sud, actuellement en contrebas de la route) ; des thermes (sous le collège actuel) ; des habitations (dans le secteur du collège) ; des nécropoles (autour de la ville). A l’ouest, s’élève un ensemble monumental : un péribole orné de colonnes délimite l’espace sacré autour du temple des Colonnes (dont le podium est dégagé en 1964). Construction d’époque augustéenne, il s’agit d’un sanctuaire du culte impérial, ou dédié à une divinité.
Aux limites nord-est de la province de Narbonnaise nouvellement créée, l'empereur Auguste fonde au début de notre ère une colonie latine placée sous le vocable d’Apollon : Colonia Julia Augusta Apollinaris Reiorum. Le territoire de la cité est limité au nord par la Bléone, à l’est par une partie de l’arc de Castellane, au sud par les Plans de Canjuers et les basses gorges du Verdon, et à l'ouest par la Durance. La ville est implantée en fond de vallée, au pied de la colline Saint-Maxime. Elle s’étend sur environ 15 hectares, au confluent du Colostre et de l’Auvestre. La ville antique n'est pas visible au premier regard car la topographie a changé. Le niveau du sol antique est situé 2 m plus bas que le sol actuel. On peut néanmoins avoir une vision de l’agglomération grâce aux connaissances archéologiques que l'on a sur certains monuments fouillés : le temple des Colonnes (dont les vestiges se dressent devant vous) ; une vaste esplanade portiquée (à proximité du temple des Colonnes) ; un grand bâtiment rectangulaire (au sud, actuellement en contrebas de la route) ; des thermes (sous le collège actuel) ; des habitations (dans le secteur du collège) ; des nécropoles (autour de la ville). A l’ouest, s’élève un ensemble monumental : un péribole orné de colonnes délimite l’espace sacré autour du temple des Colonnes (dont le podium est dégagé en 1964). Construction d’époque augustéenne, il s’agit d’un sanctuaire du culte impérial, ou dédié à une divinité.
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Ces colonnes monolithes, en granit gris de l'Esterel, hautes de 7 mètres, sont surmontées d'une architrave richement décorée en calcaire tendre. Les bases et les chapiteaux corinthiens sont en marbre blanc. Elles constituaient la façade orientale d'un temple tétrastyle, construit au 1er siècle après J.C. et vraisemblablement dédié à Apollon.
Ces colonnes monolithes, en granit gris de l'Esterel, hautes de 7 mètres, sont surmontées d'une architrave richement décorée en calcaire tendre. Les bases et les chapiteaux corinthiens sont en marbre blanc. Elles constituaient la façade orientale d'un temple tétrastyle, construit au 1er siècle après J.C. et vraisemblablement dédié à Apollon.
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Du haut d'un imposant socle en grand appareil, le temple dominait de 2,50 mètres le niveau antique de circulation ; la grande voie vers Aix. Deux massifs prolongeaient le podium en avant des colonnes extrêmes ; ils enserraient un escalier. L'édifice fut détruit à la fin de l'Antiquité et les matériaux récupérés, mais la colonnade et son support ont été miraculeusement épargnés.
Du haut d'un imposant socle en grand appareil, le temple dominait de 2,50 mètres le niveau antique de circulation ; la grande voie vers Aix. Deux massifs prolongeaient le podium en avant des colonnes extrêmes ; ils enserraient un escalier. L'édifice fut détruit à la fin de l'Antiquité et les matériaux récupérés, mais la colonnade et son support ont été miraculeusement épargnés.
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Le baptistère.
Le baptistère.
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Baptistère dit le Panthéon. Ce baptistère du Ve siècle était jadis entouré d'un portique. Bâti sur des thermes antiques, avec des matériaux de réemploi d'époque romaine, il a été très remanié et restauré au cours des siècles. L'enveloppe extérieure a été entièrement refaite en 1818, mais le plan est resté inchangé.
Baptistère dit le Panthéon. Ce baptistère du Ve siècle était jadis entouré d'un portique. Bâti sur des thermes antiques, avec des matériaux de réemploi d'époque romaine, il a été très remanié et restauré au cours des siècles. L'enveloppe extérieure a été entièrement refaite en 1818, mais le plan est resté inchangé.
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C'est un édifice orienté, carré à l'extérieur et octogonal à l'intérieur, où il présente 8 niches alternativement rectangulaires et semi-circulaires.
C'est un édifice orienté, carré à l'extérieur et octogonal à l'intérieur, où il présente 8 niches alternativement rectangulaires et semi-circulaires.
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La dernière restauration a fait disparaître les pierres par un enduit.
La dernière restauration a fait disparaître les pierres par un enduit.
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C’est un édifice octogonal à l’intérieur, où il présente huit niches alternativement rectangulaires et semi-circulaires. La cuve baptismale octogonale est entourée d’une colonnade qui la sépare d’un déambulatoire annulaire.
C’est un édifice octogonal à l’intérieur, où il présente huit niches alternativement rectangulaires et semi-circulaires. La cuve baptismale octogonale est entourée d’une colonnade qui la sépare d’un déambulatoire annulaire.
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Ces huit colonnes, semblables à celles de la façade du temple, supportent une coupole d’époque romane.
Ces huit colonnes, semblables à celles de la façade du temple, supportent une coupole d’époque romane.
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Ces huit colonnes, semblables à celles de la façade du temple, supportent une coupole d’époque romane.
Ces huit colonnes, semblables à celles de la façade du temple, supportent une coupole d’époque romane.
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Le groupe épiscopal, visible de part et d’autre du C.D. 952, fut édifié au 5e siècle, sinon plus tôt, sur des ruines d’édifices du Haut-Empire.
Le groupe épiscopal, visible de part et d’autre du C.D. 952, fut édifié au 5e siècle, sinon plus tôt, sur des ruines d’édifices du Haut-Empire.
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La cathédrale primitive, N.-D. du Siège, se trouvait à l’est du baptistère et dans le même axe. Elle est restée en usage jusqu’au 16e siècle, au début duquel elle fut détruite lors de la construction de la cathédrale incluse dans le bourg (église actuelle).
La cathédrale primitive, N.-D. du Siège, se trouvait à l’est du baptistère et dans le même axe. Elle est restée en usage jusqu’au 16e siècle, au début duquel elle fut détruite lors de la construction de la cathédrale incluse dans le bourg (église actuelle).
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Les restes de l’édifice ont été remis au jour lors de fouilles récentes. Elle fut édifiée sur un monument antique, grand bâtiment; public rectangulaire, longé au nord par une galerie où on accédait par un escalier monumental. Cette basilique comportait trois nefs séparées par deux rangées de colonnes romaines remployées, et une profonde abside semi-circulaire (partie grise) au long de laquelle courrait un banc réservé au clergé.
Les restes de l’édifice ont été remis au jour lors de fouilles récentes. Elle fut édifiée sur un monument antique, grand bâtiment; public rectangulaire, longé au nord par une galerie où on accédait par un escalier monumental. Cette basilique comportait trois nefs séparées par deux rangées de colonnes romaines remployées, et une profonde abside semi-circulaire au long de laquelle courrait un banc réservé au clergé.
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Allemagne-en-Provence. Château des Castellane.
Allemagne-en-Provence. Château des Castellane.
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Allemagne-en-Provence. Château des Castellane.
Allemagne-en-Provence. Château des Castellane.
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Allemagne-en-Provence. Château des Castellane.
Allemagne-en-Provence. Château des Castellane.
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Allemagne-en-Provence. Château des Castellane.
Allemagne-en-Provence. Château des Castellane.
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