<center>Le cimetière</center>Cimetière classé en 1946, la nécropole de Forcalquier date de 1835, son architecte étant Burne.

Le cimetièreCimetière classé en 1946, la nécropole de Forcalquier date de 1835, son architecte étant Burne.

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<center>Le cimetière</center>Le cimetière se présente sous la forme de gradins étagés. Si la végétation est importante dans l’ensemble du cimetière, le labyrinthe de buis ne se trouve que dans les gradins inférieurs.

Le cimetièreLe cimetière se présente sous la forme de gradins étagés. Si la végétation est importante dans l’ensemble du cimetière, le labyrinthe de buis ne se trouve que dans les gradins inférieurs.

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<center>Le cimetière</center>Ce magnifique labyrinthe d’architectures végétales est composé d’ifs taillés, percés d’ouvertures étroite donnant sur les divisions. Il offre la plus grande concentration d’ifs du territoire français.

Le cimetièreCe magnifique labyrinthe d’architectures végétales est composé d’ifs taillés, percés d’ouvertures étroite donnant sur les divisions. Il offre la plus grande concentration d’ifs du territoire français.

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<center>Le cimetière</center>C'est sous l'impulsion de Martial Sicard, député-maire du début du XXème siècle, que l’idée de planter des ifs pour donner à l’ensemble une structure paysagère, a germé, transformant le cimetière en un parc à la Française.

Le cimetièreC'est sous l'impulsion de Martial Sicard, député-maire du début du XXème siècle, que l’idée de planter des ifs pour donner à l’ensemble une structure paysagère, a germé, transformant le cimetière en un parc à la Française.

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Le cimetière

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Le cimetièreLe chirurgien Edmond HENRY (1910-1972), qui ne réalisa pas la première transplantation cardiaque, mais qui réalisa en 1968 celle qui tint le plus longtemps puisqu’on son patient, Emmanuel Vitria, survécut 19 ans à son opération, enterrant ainsi son sauveur.

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Le cimetière

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Le cimetière

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Le cimetièreTombe d'Eugène Pleuchud (1831-1909), homme de lettres et de sciences, félibre, pharmacien de Forcalquier.

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Le cimetière

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Le cimetière

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Le cimetière

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Le cimetière

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Le cimetièreTombe d’un ardent républicain (Eugène Bouche), mort en 1893.

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<center>Le cimetière</center>« Pendant leur existence, ils endurèrent bien d’adversités, d’injustices et de facheuses tribulations. Puis leur vie s’hexala (sic) sereine vers l’immensité sublime et mystérieuse. Aujourd’hui, leurs débris inertes sous cette terre subissent fatalement les transformations que les révolutions du temps leur imposeront dans les siècles infinis. La raison et les traditions de famille les vouèrent au libéralisme pur qui fut leur culte. Exempts de servilité, ils ne s’inclinèrent devant aucune domination avide ou envahissante. Ils eurent à subir l’odieuse arrongance durant leurs sheres (?) éphémères. Ils les dédaignèrent. Ils demeurèrent fidèles à la démocratie sans cesse grandissante dans la juste revendication de ses droits ».

Le cimetière« Pendant leur existence, ils endurèrent bien d’adversités, d’injustices et de facheuses tribulations. Puis leur vie s’hexala (sic) sereine vers l’immensité sublime et mystérieuse. Aujourd’hui, leurs débris inertes sous cette terre subissent fatalement les transformations que les révolutions du temps leur imposeront dans les siècles infinis. La raison et les traditions de famille les vouèrent au libéralisme pur qui fut leur culte. Exempts de servilité, ils ne s’inclinèrent devant aucune domination avide ou envahissante. Ils eurent à subir l’odieuse arrongance durant leurs sheres (?) éphémères. Ils les dédaignèrent. Ils demeurèrent fidèles à la démocratie sans cesse grandissante dans la juste revendication de ses droits ».

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<center>Le cimetière</center>C’est bien l’ensemble paysager de buis qui est classé : il dessine des carrés, fermés à la manière des cloîtres, dans lesquels les tombes sont très modestes.

Le cimetièreC’est bien l’ensemble paysager de buis qui est classé : il dessine des carrés, fermés à la manière des cloîtres, dans lesquels les tombes sont très modestes.

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Le cimetière

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Le cimetière

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Le cimetièreLa famille DRUMMOND : Jack (né en 1891), nutritionniste britannique, son épouse Anne (née en 1904) et leur fille Elizabeth (née en 1942), tous trois assassinés dans la nuit du 4 au 5 août 1952 en bordure de la nationale 96, à quelques mètres de la ferme familiale de Gaston Dominici (la Grand Terre) et à quelques kilomètres du village de Lurs dans les Basses-Alpes (aujourd’hui Alpes-de-Haute-Provence), alors qu’ils venaient passer des vacances dans la région.

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Le cimetière

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Le cimetière

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Rochers des Mourres

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Chapelle St François

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Chapelle St François

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Chapelle St FrançoisTerrasse du XVIIIe.

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Distillerie ambulante.

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<center>Couvent des Cordeliers</center> Le couvent a été construit aux XIIIème et XIVème siècles, à l'emplacement d'une résidence comtale,restauré en 1963 par Paulette et Henry Constant.

Couvent des Cordeliers Le couvent a été construit aux XIIIème et XIVème siècles, à l'emplacement d'une résidence comtale,restauré en 1963 par Paulette et Henry Constant.

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Couvent des Cordeliers

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Couvent des Cordeliers

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Couvent des Cordeliers

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Couvent des Cordeliers

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Couvent des Cordeliers

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Couvent des Cordeliers

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Couvent des Cordeliers

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Couvent des Cordeliers Vestiges de l'ancienne église.

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<center>La porte des Cordeliers,</center> Datant du XIVe siècle, elle est le dernier vestige des six portes que comptait la ville.

La porte des Cordeliers, Datant du XIVe siècle, elle est le dernier vestige des six portes que comptait la ville.

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Au premier plan, l'hôtel d'Autane, avec deux grandes arcades brisées, puis le logis du Dauphin, avec arcades et baies géminées, sont du XIVe siècle.

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Maison du XVIIIème siècle.

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Synagogue. Emplacement supposé, on sait qu'au Moyen Âge Forcalquier abritait une importante communauté juive.

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Synagogue

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Arrière de l'église du Bourguet.

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Rue médiévale

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<center>La Fontaine Saint-Michel</center> Érigée en 1512 de style gothique.

La Fontaine Saint-Michel Érigée en 1512 de style gothique.

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<center>La Fontaine Saint-Michel</center> A l'arrière-plan, la maison de Tende, appartenant à la famille de Tende, possède une façade large, du XVIIIe siècle

La Fontaine Saint-Michel A l'arrière-plan, la maison de Tende, appartenant à la famille de Tende, possède une façade large, du XVIIIe siècle

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La Fontaine Saint-Michel

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La Fontaine Saint-Michel La partie au-dessus des dégueuloirs a été refaite à l’identique en 1976.

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<center>La Fontaine Saint-Michel</center> Le bassin rond actuel a remplacé, en 1912, le bassin octogonal d’origine.

La Fontaine Saint-Michel Le bassin rond actuel a remplacé, en 1912, le bassin octogonal d’origine.

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<center>La Fontaine Saint-Michel</center> La base est célèbre pour les curieuses scènes sculptées qui représenteraient les vices que saint Michel cherche à écraser.

La Fontaine Saint-Michel La base est célèbre pour les curieuses scènes sculptées qui représenteraient les vices que saint Michel cherche à écraser.

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<center>La Fontaine Saint-Michel</center> Les petits bonhommes jouent au pète en gueule, un jeu d'enfants.

La Fontaine Saint-Michel Les petits bonhommes jouent au pète en gueule, un jeu d'enfants.

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<center>Place du Palais</center> Le bâtiment qui borde tout un côté de la place (façade de 1842) occupe l’emplacement de l’ancien palais des comtes de Forcalquier puis de Provence.

Place du Palais Le bâtiment qui borde tout un côté de la place (façade de 1842) occupe l’emplacement de l’ancien palais des comtes de Forcalquier puis de Provence.

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Place du Palais

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Place du Palais La place s’appelait aussi autrefois la Granatarié (place aux grains), nom qu’a conservé l’escalier en colimaçon construit en 1853 et qui la fait communiquer avec la rue Béranger.

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<center>Place du Palais</center> La place s'appelait aussi autrefois la Granatarié (place aux grains), nom qu’a conservé l’original escalier (1853) qui la fait communiquer avec la rue Bérenger.

Place du Palais La place s'appelait aussi autrefois la Granatarié (place aux grains), nom qu’a conservé l’original escalier (1853) qui la fait communiquer avec la rue Bérenger.

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<center>Place du Palais</center> Heurtoir.

Place du Palais Heurtoir.

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Centre d'art contemporain

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Centre d'art contemporain

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Centre d'art contemporain

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Centre d'art contemporain

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<center>Notre Dame du Bourguet</center> Son plan primitif, en croix latine, à nef romane et abside gothique, a été modifié au XVIIe par l’ajout des nefs latérales, de la partie supérieure du clocher et du campanile. La cathédrale de Forcalquier était une deuxième place (siège) de l’évêque de Sisteron, qui ne pouvait pénétrer dans sa ville de Sisteron en raison d’un différend entre lui et son chapitre. Installé à Forcalquier, il en éleva la collégiale au rang de co-cathédrale.

Notre Dame du Bourguet Son plan primitif, en croix latine, à nef romane et abside gothique, a été modifié au XVIIe par l’ajout des nefs latérales, de la partie supérieure du clocher et du campanile. La cathédrale de Forcalquier était une deuxième place (siège) de l’évêque de Sisteron, qui ne pouvait pénétrer dans sa ville de Sisteron en raison d’un différend entre lui et son chapitre. Installé à Forcalquier, il en éleva la collégiale au rang de co-cathédrale.

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Notre Dame du Bourguet

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Notre Dame du Bourguet Le campanile.

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Notre Dame du Bourguet

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Notre Dame du Bourguet

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Notre Dame du Bourguet La Cathédrale Notre Dame du Bourguet est un monument connu dès 1155. En 1486, elle devient concathédrale avec celle de Sisteron. Construite au pied de la ville, en un site à la fois carrefour et lieu d’un marché millénaire, elle a peut-être succédé à une construction plus ancienne.

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<center>Notre Dame du Bourguet</center> Portail du XIIIe.

Notre Dame du Bourguet Portail du XIIIe.

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Notre Dame du Bourguet

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Notre Dame du Bourguet

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Notre Dame du Bourguet Nef centrale, chœur, transept et clocher datent des premières années du XIIIe siècle et constituent le premier essai d'adaptation d'art gothique en Pays d'Oc

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Notre Dame du Bourguet

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Notre Dame du Bourguet

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Notre Dame du Bourguet Tableau des cordigères franciscains laïcs.

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Notre Dame du Bourguet

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Notre Dame du Bourguet L'orgue, dont les premiers tuyaux remontent à 1629, est un remarquable instrument, utilisé lors des offices et des concerts réputés.

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Notre Dame du Bourguet Saint pancrace est un jeune martyr chrétien, décapité à, l'âge de 14 ans en 304 sur la voie Aurélienne, sous le règne de Dioclétien. Il est le protecteur des enfants. On l'invoque pour les engelures et les crampes. Il est le patron de Manosque, Forcalquier et Oraison. Son nom provençal est San Brancaï. C'est un saint de glace (12 mai), avec saint Mamert (11 mai) et saint Servais (13 mai).

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<center>Notre Dame du Bourguet</center> Cette statue représente la Vierge Marie sous le vocable de Notre Dame de Provence, c'est sous ce titre que les chrétiens de Forcalquier l'invoquent depuis 1875. Les deux écussons qu'elle tient sont ceux de la Provence et de Forcalquier

Notre Dame du Bourguet Cette statue représente la Vierge Marie sous le vocable de Notre Dame de Provence, c'est sous ce titre que les chrétiens de Forcalquier l'invoquent depuis 1875. Les deux écussons qu'elle tient sont ceux de la Provence et de Forcalquier

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<center>Notre Dame du Bourguet</center> Reliquaire de Mary.

Notre Dame du Bourguet Reliquaire de Mary.

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Notre Dame du Bourguet

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Notre Dame du Bourguet

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Notre Dame du Bourguet

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Notre Dame du Bourguet

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Notre Dame du Bourguet

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La fontaine des quatre reines est constituée d’un obélisque au milieu du bassin, et date de 1832

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<center>Couvent des Visitandines </center> En 1630, la peste ravage Forcalquier. Le Conseil municipal forme le vœu de fonder un couvent de religieuses si Dieu consent à mettre fin à l’épidémie. Le fléau ne cessa pas tout de suite mais le conseil honora sa promesse. Le couvent fut achevé en 1634 et sa chapelle en 1687. Il abrita un collège d’enseignement renommé jusqu’en 1903. En 1883 l’aile sud du bâtiment fut partiellement reconstruite pour accueillir la Mairie.

Couvent des Visitandines En 1630, la peste ravage Forcalquier. Le Conseil municipal forme le vœu de fonder un couvent de religieuses si Dieu consent à mettre fin à l’épidémie. Le fléau ne cessa pas tout de suite mais le conseil honora sa promesse. Le couvent fut achevé en 1634 et sa chapelle en 1687. Il abrita un collège d’enseignement renommé jusqu’en 1903. En 1883 l’aile sud du bâtiment fut partiellement reconstruite pour accueillir la Mairie.

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<center>Couvent des Visitandines </center> Sa chapelle accueille actuellement le cinéma. Elle possède une façade classicisante, à deux ordres et fronton triangulaire, due à l’architecte marseillais Jean Vallier.

Couvent des Visitandines Sa chapelle accueille actuellement le cinéma. Elle possède une façade classicisante, à deux ordres et fronton triangulaire, due à l’architecte marseillais Jean Vallier.

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<center>La citadelle</center>Tour de l’évêque datant du XIIIe siècle.
Au Vème siècle de notre ère une église est construite au sommet, c'est saint Martin (à gauche de Notre Dame de Provence). A cette époque vit saint Mari (ou Mary) venu d'Orléans ainsi que saint Donat, tous deux ermites. Puis arrivent les Goths, les Burgondes en 474, les Francs en 536, enfin les Arabes.
Au début du IXème siècle la construction d'un château est permise grâce à l'eau de la Bonne Fontaine qui remonte par capillarité à travers le safre, se condense au niveau de la masse calcaire et ruisselle sur ce plateau (la trace d'une citerne existe derrière Notre Dame de Provence) : ce lieu reçoit le nom de Font Calquier, ce qui signifie en occitan : fontaine calcaire.

La citadelleTour de l’évêque datant du XIIIe siècle. Au Vème siècle de notre ère une église est construite au sommet, c'est saint Martin (à gauche de Notre Dame de Provence). A cette époque vit saint Mari (ou Mary) venu d'Orléans ainsi que saint Donat, tous deux ermites. Puis arrivent les Goths, les Burgondes en 474, les Francs en 536, enfin les Arabes. Au début du IXème siècle la construction d'un château est permise grâce à l'eau de la Bonne Fontaine qui remonte par capillarité à travers le safre, se condense au niveau de la masse calcaire et ruisselle sur ce plateau (la trace d'une citerne existe derrière Notre Dame de Provence) : ce lieu reçoit le nom de Font Calquier, ce qui signifie en occitan : fontaine calcaire.

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<center>La citadelle</center>Au milieu du Xème siècle est édifiée l'église saint Mari dans laquelle sont déposées les reliques du saint : elle fait partie à l'époque du château et des défenses (les vestiges de cette église sont visibles à partir de la balustrade de l'espace aménagé - autel, bancs de pierre - situé sous le plateau côté Est). En 1065 l'église saint Mari devient cathédrale d'un évêché double (avec Sisteron). Un donjon et l'habitation de l'évêque sont ajoutés
En 1217 est édifiée l'église Notre Dame du Bourg, actuelle con-cathédrale dans laquelle se réunit la communauté chrétienne de Forcalquier. Dès lors, l'église saint Mari est abandonnée.

La citadelleAu milieu du Xème siècle est édifiée l'église saint Mari dans laquelle sont déposées les reliques du saint : elle fait partie à l'époque du château et des défenses (les vestiges de cette église sont visibles à partir de la balustrade de l'espace aménagé - autel, bancs de pierre - situé sous le plateau côté Est). En 1065 l'église saint Mari devient cathédrale d'un évêché double (avec Sisteron). Un donjon et l'habitation de l'évêque sont ajoutés En 1217 est édifiée l'église Notre Dame du Bourg, actuelle con-cathédrale dans laquelle se réunit la communauté chrétienne de Forcalquier. Dès lors, l'église saint Mari est abandonnée.

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<center>La citadelle</center>Mur en pierres sèches.

La citadelleMur en pierres sèches.

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La chapelle Notre Dame de Provence

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La chapelle Notre Dame de ProvenceLe carillon. Il a été bâti, en 1925, pour les fêtes célébrant le millénaire de l'arrivée chez nous des reliques de saint Mari. Une très ancienne légende forcalquiérenne raconte que ce jour-là - c'était donc en 925 - toutes les cloches de la ville se mirent à sonner toutes seules, annonçant ainsi la venue de ces précieuses reliques, dont nul ici n'avait été informé. C'est en se référant à cette tradition que le père Gabriel Blanc, missionnaire de Notre-Dame de Provence, fit édifier un carillon sur la colline dominant les ruines de l'ancienne cathédrale, où les reliques du saint avaient d'abord été placées.

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>Le carillon. En 1939, on désignait cet édifice sous le nom de Notre Dame de la Paix en confiant ainsi au cloches de la Citadelle, la tâche de protéger Forcalquier. Tous les autres carillons occupent le sommet d'un clocher, d'un beffroi, ou d'une tour. Le nôtre s'ouvre de plain-pied en haut d'une colline, et le public peut y voir le carillonneur en action, deux traits ne se retrouvant nulle part ailleurs.
Son répertoire est également original. Alors que tous les autres carillons jouent un peu de tout, de la musique classique à la variété, celui de Forcalquier se consacre essentiellement à l'interprétation des musiques de Provence et des Pays d'Oc, du Moyen-âge à nos jours.

La chapelle Notre Dame de ProvenceLe carillon. En 1939, on désignait cet édifice sous le nom de Notre Dame de la Paix en confiant ainsi au cloches de la Citadelle, la tâche de protéger Forcalquier. Tous les autres carillons occupent le sommet d'un clocher, d'un beffroi, ou d'une tour. Le nôtre s'ouvre de plain-pied en haut d'une colline, et le public peut y voir le carillonneur en action, deux traits ne se retrouvant nulle part ailleurs. Son répertoire est également original. Alors que tous les autres carillons jouent un peu de tout, de la musique classique à la variété, celui de Forcalquier se consacre essentiellement à l'interprétation des musiques de Provence et des Pays d'Oc, du Moyen-âge à nos jours.

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>Le carillon. Les marraines et parrains des cloches

La chapelle Notre Dame de ProvenceLe carillon. Les marraines et parrains des cloches

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>Le carillon. Il est enfin jusqu'à présent le seul carillon provençal, car le seul à avoir conserve son clavier manuel permettant le jeu traditionnel

La chapelle Notre Dame de ProvenceLe carillon. Il est enfin jusqu'à présent le seul carillon provençal, car le seul à avoir conserve son clavier manuel permettant le jeu traditionnel "à coups de poings".

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>Le carillon.

La chapelle Notre Dame de ProvenceLe carillon.

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La chapelle Notre Dame de ProvenceLe carillon.

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>A l‘emplacement du château des Comtes de Forcalquier, dont subsistent les bases au midi, s'élèvent aujourd'hui la Chapelle Notre Dame de Provence.
La première pierre fut posée en1868 et la chapelle fut inaugurée le 12 septembre 1875. C'est l'oeuvre du chanoine Joseph-marius Terrasson, curé de la paroisse.

La chapelle Notre Dame de ProvenceA l‘emplacement du château des Comtes de Forcalquier, dont subsistent les bases au midi, s'élèvent aujourd'hui la Chapelle Notre Dame de Provence. La première pierre fut posée en1868 et la chapelle fut inaugurée le 12 septembre 1875. C'est l'oeuvre du chanoine Joseph-marius Terrasson, curé de la paroisse.

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>La porte est divisée en deux baies par un pilier richement décoré. Le cintre de la porte est lui-même orné d'archivoltes très délicatement sculptées.

La chapelle Notre Dame de ProvenceLa porte est divisée en deux baies par un pilier richement décoré. Le cintre de la porte est lui-même orné d'archivoltes très délicatement sculptées.

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>Au tympan, les Saints de Provence : debout, ceux venus d'Orient, Madeleine, Sidoine, Marthe, Lazare à gauche, Marie Salomé, Trophime, Marie Jacobée, Maximin à droite ; à genoux, les Saints Patrons du pays Thyrse et Mary, les époux vierges, Elzéar et Delphine de Sabran, Mayeul qui lit, tous trois du sang des comtes de Forcalquier, Donat, caractérisé par la pierre où l'on trouva l'empreinte miraculeuse de son pied.

La chapelle Notre Dame de ProvenceAu tympan, les Saints de Provence : debout, ceux venus d'Orient, Madeleine, Sidoine, Marthe, Lazare à gauche, Marie Salomé, Trophime, Marie Jacobée, Maximin à droite ; à genoux, les Saints Patrons du pays Thyrse et Mary, les époux vierges, Elzéar et Delphine de Sabran, Mayeul qui lit, tous trois du sang des comtes de Forcalquier, Donat, caractérisé par la pierre où l'on trouva l'empreinte miraculeuse de son pied.

151

<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>De style néo-byzantin, sa forme octogonale est coiffée d'un dôme qui sert de piédestal à une statue de la Vierge.

La chapelle Notre Dame de ProvenceDe style néo-byzantin, sa forme octogonale est coiffée d'un dôme qui sert de piédestal à une statue de la Vierge.

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>La galerie, ou bas-côté, qui entoure le dôme, est ornée, extérieurement, d'une arcature qui encadre, gracieusement, les fenêtres à plein cintre de cette partie de l'édifice. Les arêtes d'angle formées par les huit côtés de l'octogone disparaissent sous des colonnes adossées, dont les chapiteaux, confondus avec la corniche, supportent des anges qui chantent les louanges de la Vierge.

La chapelle Notre Dame de ProvenceLa galerie, ou bas-côté, qui entoure le dôme, est ornée, extérieurement, d'une arcature qui encadre, gracieusement, les fenêtres à plein cintre de cette partie de l'édifice. Les arêtes d'angle formées par les huit côtés de l'octogone disparaissent sous des colonnes adossées, dont les chapiteaux, confondus avec la corniche, supportent des anges qui chantent les louanges de la Vierge.

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>La corniche, ornée de feuilles d'acanthe entaillées, repose sur d'élégants modillons, figurant des têtes qui se détachent, elles-mêmes, sur un large bandeau monumental.

La chapelle Notre Dame de ProvenceLa corniche, ornée de feuilles d'acanthe entaillées, repose sur d'élégants modillons, figurant des têtes qui se détachent, elles-mêmes, sur un large bandeau monumental.

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>Autour de la coupole, des anges jouent de divers instruments occitans anciens : flûte, galoubet/tambourin, mandore, citole, saqueboute, hautbois, vièle à archet, cornemuse. Ces statues sont l'œuvre d'un sculpteur de talent, M Comte.

La chapelle Notre Dame de ProvenceAutour de la coupole, des anges jouent de divers instruments occitans anciens : flûte, galoubet/tambourin, mandore, citole, saqueboute, hautbois, vièle à archet, cornemuse. Ces statues sont l'œuvre d'un sculpteur de talent, M Comte.

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center> hautbois

La chapelle Notre Dame de Provence hautbois

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center> Cornemuse.

La chapelle Notre Dame de Provence Cornemuse.

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center> vièle à archet

La chapelle Notre Dame de Provence vièle à archet

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>, saqueboute

La chapelle Notre Dame de Provence, saqueboute

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>, citole

La chapelle Notre Dame de Provence, citole

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center> mandore.

La chapelle Notre Dame de Provence mandore.

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center> galoubet tambourin.

La chapelle Notre Dame de Provence galoubet tambourin.

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>flûte.

La chapelle Notre Dame de Provenceflûte.

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La chapelle Notre Dame de Provence

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La chapelle Notre Dame de Provence

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La chapelle Notre Dame de Provence

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La chapelle Notre Dame de Provence

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La chapelle Notre Dame de Provence

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La chapelle Notre Dame de ProvenceLa Vierge avec deux anges qui lui présentent les blasons de la Provence et de Forcalquier.

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>Il ya 146 chapiteaux, dont 64 à l'intérieur et 82 à l'extérieur. Les grands piliers portent la figure et l'emblème des Apôtres. Ici, St Pierre (clefs) et derrière, non visible, St Barthélémy (Couteau).

La chapelle Notre Dame de ProvenceIl ya 146 chapiteaux, dont 64 à l'intérieur et 82 à l'extérieur. Les grands piliers portent la figure et l'emblème des Apôtres. Ici, St Pierre (clefs) et derrière, non visible, St Barthélémy (Couteau).

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>Les vitraux représentent des scènes de la vie de la Vierge ainsi que les scènes essentielles de la vie de Jésus le Christ, décrites dans l'Évangile, appelées aussi les mystères du Rosaire.

La chapelle Notre Dame de ProvenceLes vitraux représentent des scènes de la vie de la Vierge ainsi que les scènes essentielles de la vie de Jésus le Christ, décrites dans l'Évangile, appelées aussi les mystères du Rosaire.

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>De droite à gauche : Présentation de Marie ; Annonciation.
Chapiteau : St Jude (coupe au serpent) et St Mathias (hache).

La chapelle Notre Dame de ProvenceDe droite à gauche : Présentation de Marie ; Annonciation. Chapiteau : St Jude (coupe au serpent) et St Mathias (hache).

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>Visitation; Nativité .
St Philippe (croix) et St Jacques Majeur (bourdon) .

La chapelle Notre Dame de ProvenceVisitation; Nativité . St Philippe (croix) et St Jacques Majeur (bourdon) .

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>Circoncision.
St Paul (épée) et St Barnabé (lance)

La chapelle Notre Dame de ProvenceCirconcision. St Paul (épée) et St Barnabé (lance)

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>Adoration des Mages ; Présentation au Temple.
Saint Mathieu (enfant) et St Marc (lion)

La chapelle Notre Dame de ProvenceAdoration des Mages ; Présentation au Temple. Saint Mathieu (enfant) et St Marc (lion)

175

<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>Présentation; Jésus au milieu des docteurs.
St Jean (aigle) et St Luc (taureau)

La chapelle Notre Dame de ProvencePrésentation; Jésus au milieu des docteurs. St Jean (aigle) et St Luc (taureau)

176

<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>Noces de Cana ; Crucifixion.
St Jean (aigle) et St Luc (taureau)

La chapelle Notre Dame de ProvenceNoces de Cana ; Crucifixion. St Jean (aigle) et St Luc (taureau)

177

<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>Crucifixion; Descente de Croix.
St Pierre (clefs) et St Barthélémy (Couteau);

La chapelle Notre Dame de ProvenceCrucifixion; Descente de Croix. St Pierre (clefs) et St Barthélémy (Couteau);

178

<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>Dormition de Marie; Assomption.
St André (croix en X) et St Jacques Mineur (massue)

La chapelle Notre Dame de ProvenceDormition de Marie; Assomption. St André (croix en X) et St Jacques Mineur (massue)

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<center>La chapelle Notre Dame de Provence</center>Assomption; Couronnement de la Vierge.
St Simon (scie) et St Thomas (équerre).

La chapelle Notre Dame de ProvenceAssomption; Couronnement de la Vierge. St Simon (scie) et St Thomas (équerre).

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La Chapelle de la Charité. Cette chapelle du XVIIième siècle fut celle du couvent des Augustines situé rue Saint-Jean. En 1720, il laisse place à l’Hôpital de la Charité Saint-Louis.

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Maison d'un particulier.

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Maison d'un particulier.

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Maison d'un particulier.

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Maison d'un particulier.

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Maison d'un particulier.

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Maison d'un particulier.

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Le bel hôtel particulier situé à droite du temple (XVIIe siècle) a été celui d’une grande famille protestante, les Gassaud.

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Le clocher Saint Pierre est construit en 1859 à la demande des Forcalquiérens qui suite à la disparition du clocher des Récollets n’entendaient plus les cloches. Ce clocher est une tour carré, sorte de Campanile dont le dernier étage est doté d’une horloge. Le tout coiffé d’un dôme en fer où se trouve placé un timbre.

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Fontaine Jeanne d’Arc . Cette fontaine construite en 1900, remplace la fontaine Saint-Pierre construite en même temps que la fontaine Saint-Michel. Une statue de Jeanne d’Arc surmonte la fontaine. Eugène Bernard écrivit un poème vengeur où Saint-Pierre se plaint d’avoir été chassé.

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